COLLECTION COCU. Le poulain. Saison VII. Fin de l’histoire (29/29)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Récit libertin : COLLECTION COCU. Le poulain. Saison VII. Fin de l’histoire (29/29) Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-09-2020 dans la catégorie Dans la zone rouge
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(29.0 / 10)

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COLLECTION COCU. Le poulain. Saison VII. Fin de l’histoire (29/29)
À la fin du chapitre précédent, je m’aperçois que j’allais oublier de parler de ma soirée d’anniversaire.
Oui, mon dernier anniversaire préparé par Magalie et John en Normandie...
Dire que mon mari a été à l’origine de cette débauche que j’accepte de faire, même si je devrais dire subir.
Je dirais que s’ils avaient oublié qu’il existait, ça m’aurait aidé, la vie file si vite.
Comment on évite de demander son âge après un certain âge à une dame, j’en ferais de même ?
Une piste, j’avais 29 ans au début de mon histoire, Jules 5, il en a 23 !
Eh oui, j’approche de la cinquantaine.
Alors quand John et Magalie mon amie libertine me demandent de venir vers 21 heures à la piscine, je me demande bien ce qu’ils me réservent.

J’ai faim, mais dans mon bain dès 19 heures 30 avec mes parfums de roses, je prends mon mal en patience.
Magalie est arrivée avec John alors que Sonia m’avait dit l’hôtel fermé pour ce week-end.
Elles sont elles-mêmes parties pour Canne avec Catalin un fils de Jupiter qui pour sa part finit sa vie à manger de l’herbe bien grâce dans nos champs normands.
Quand je regarde sur nos livres de nos saillis avec Duchesse, élève à l’école vétérinaire des équidés d’Alfort près du confluant de la Marne et de la Seine où elle a attaqué de brillantes études.
Son père ayant quitté cette terre à 19 ans, je sais le chagrin que ressentira Jules, sa vie étant très liée à son cheval.
Pour mon fils, c’est son cheval alors que pour moi, c’est celui qui lui a offert et qu’hélas, j’ai perdu bien plus tôt, mon cher Duc.
Catalin est un bon cheval, mais bien loin de son père quand l’on compare ses temps sur le kilomètre lancé.
Jupiter était une véritable bombe alors que son fils nous rapporte des pépètes, car c’est un diesel et il est rare qu’il finisse premier.
Les parieurs veulent de l’argent, il le place dans leurs paris, mais plutôt en deux, trois ou quatre mais rarement cinquième au Quarté.
Bref, nous sommes seules au manoir.

Je rejoins la tour, emprunte le tunnel pour déboucher dans notre piscine.
Première surprise quand je monte les quelques marches !
John est attaché sur un transat, nu comme un ver menotté et une boule en bouche, l’empêchant de parler.
Magalie dans une tenue de lanière de cuir qu’elle porte fréquemment dans les soirées libertines qu’elle organise, est à ses côtés.
Un buffet est dressé certainement livré par le charcutier du village et le boulanger.
Pour les vins, je suis trop loin pour voir d’où les bouteilles viennent.
J’ai le temps de voir que la Normandie est bien représentée avec du cidre bouché bio.

- Marie, pour fêter tes vingt ans, John et moi avons beaucoup cherché.
Ce buffet est pour nos invités, toi ce sont d’autres mets que nous allons t’offrir.
Messieurs présentez-vous à notre amie.

Sortant du bloc technique, un à un je vois sortir des hommes aussi nus que John.

- Alain, Benoît, Carle, ils sont douze à sortir, 13 avec John.
Ils sont tous là seulement pour toi et pour les yeux de Lord Cromwell quand ils vont te baiser.
Je me retire.
Deux choses à savoir.
Ils sont venus à toi dans un car sans voir ou ils sont.
Deuxièmement, les ayant essayés, leurs bites vont de 28 centimètres mini à 49 centimètres maxi pour Alex, ce magnifique éphèbe noir.
John et moi, souhaitons que pour tous ces hommes repartent les couilles vides de la moindre goutte de sperme dans leurs bourses avant d’être reconduites dans ta chambre !
La nuit est à toi et aussi à ton mari qui va subir le supplice de Tantale, te regardant sans pouvoir se toucher.

Un gang bang pour moi toute seule puisque Magalie nous quitte certainement pour rejoindre un galant avec lequel elle va passer sa nuit.
Je suis rapidement entouré, chacun de ses garçons empoignant leurs verges et se masturbant bandant rapidement.
Je sens mon peignoir me quitter.
Quand un peu plus tôt je parlais de la salope que j’étais devenue, j’étais loin de penser que pour mon anniversaire, ce sont plusieurs bites qui m’entourent.
Pour les soirées libertines, des clientes aiment s’exhiber devant les autres et il a été installé un tourniquet où je me sens diriger.
Ils sont tous autour de moi leurs bites bien bandées.
J’ai envie de jouer et comme je tourne lentement, je saisis au passage et pour quelques instants toutes ces verges à ma disposition.
Inutile de dire qu’étant jeune, je savais que tels jeux existaient.
Deux à trois minutes chacune.
Tient une des deux blacks, celle d’Alex vu sa longueur et son diamètre.
Une première giclée sort d’une verge et me bouche un œil alors que le reste entre dans ma bouche.
Il en sera de même pour les bites suivantes qui me tapissent l’estomac.
J’ai nettement l’impression que ce soir, mon repas sera rempli de spermatozoïdes tous plus ou moins efficaces si c’est par cette voie que nous les femmes faisions des bébés.

C’est difficile de raconter ce qui vous arrive par-devant alors que derrière vous ça s’active à chaque fois que vous approchez d’un de ceux que vous avez sucés quelques minutes avant.
De mon œil valide, je regarde John, il apprécie mon exploit, car sans pouvoir ce toucher, il bande comme jamais.
J’ai le temps de voir un mouvement de sa main et le tourniquet s’arrête.
Je sais, pour l’avoir fait fonctionner lors d’une partie fine, le mois dernier qu’au bout du fil électrique, une poire permet de le faire tourner ou non.
En même temps qu’une bite décharge une nouvelle fois me fermant mon deuxième œil, le plateau où je suis à quatre pattes s’arrête et une bite entre en moi.
Longue, longue, grosse, grosse, interminable, me faisant frissonner.
Nul doute, John a choisi Alex et sa bite gigantesque pour ma première pénétration.
Rapidement pour mon plus grand plaisir, il décharge m’arrosant le col de mon utérus un spasme de plaisir traversant mon corps.
Combien de fois, suis-je mise sur le dos, amené dans un transat, sur la queue d’un mec pendant qu’un autre me sodomise, impossible de le dire.
Le sperme giclant succède au sperme qui gicle.
Par deux fois, la petite normande, je suis balancée à la flotte, m’enlevant les traces de sperme sur mon corps et surtout mes yeux.
Chaque fois, je suis rattrapée par des mains qui me sauvent de la noyade avant de me baiser dans l’eau.
Chaque fois, je regarde John qui doit avoir mal à la bite à force de bander sans éjaculer.
La deuxième fois, c’est de nouveau Alex ce grand black surpuissant, certainement capable de rivaliser avec un célèbre sportif en kimono qui me rattrape me pose sur la margelle pour me bouffer la chatte avec ses grosses lèvres.
Sa langue est aussi active que sa verge et rapidement un nouvel orgasme me travers.
Toutes ces grosses bites m’ont donné tellement de plaisir que lorsqu’il me fait glisser le long de lui, quand l’eau touche mes parties intimes, son pieu entre en moi sans le moindre problème .
Si la prochaine fois où j’irai en Écosse, je serais capable de m’empaler sur le gode 5.
Après ces douze hommes que je vois rendre l’âme l’un après l’autre, un dernier départ de feu dans mon corps et je sens que je suis transportée vers d’autres cieux.

Mon bain, c’est dans mon bain de rose que je me retrouve somnolent de fatigue et où la main de Magalie me caresse la chatte avec mon savon à l’amande douce qui calme le feu de mon vagin.
Je me retrouve dans mon lit à côté de John.
Quand je le sens basculer sur moi afin de me pénétrer, la légère douleur voudrait que je lui dise que j’ai la migraine.
Hélas, la Lady que je suis devenue se souvient du serment promis au pasteur lors de mon mariage alors une dernière fois j’écarte mes cuisses.

Voilà, je vous ai tout dit, mon anniversaire s’était il y a quelques mois comme je l’ai dit.

Mais je m’aperçois en relisant le défilé de ma vie jusqu’à ce jour qu’il manque quelqu’un, plutôt quelqu’une.
Duchesse.
Trop jeune au début, mais maintenant qu’elle va sur ses dix-huit ans très libre du moins, je l’ignorais jusqu’à ce jour.
C’est le soir à la fraîche, je suis rentrée d’Écosse hier ou j’ai joué à la Lady.
Je monte Diane, l’une des filles de Catalin, faisant de Jupiter un grand-père, qui vient de pouliner.
Elle a besoin d’exercice après ce moment de douleur.
Je prends le chemin de ma grange.
Je dis ma grange, car si elle est toujours là.
C’est grâce à mon mari Lord Cromwell.
Quand nous avons regardé la maquette que le mari de Magalie avait fait confectionner d’après les relevés qu’il était venu faire.
L’augmentation de la capacité des écuries du haras demandait une augmentation du volume de foin que nous entre position du temps de mes premières turpitudes.
Il avait prévu de faire un hangar métallique à sa place.
John sachant l’attachement à nos jeux amoureux que nous avions eu avec Tanguy mon amant handicapé des jambes ayant toujours la queue en l’air, a racheté la parcelle voisine des écuries où le hangar a été construit.

Quand j’arrive, je laisse Diane dans l’enclos et je m’avance un livre en main.
J’aime lire jusqu’à la nuit dans cette soirée d’été.
Surprise, devant les doubles portes, trois voitures.
Les voitures je les reconnais, ce sont celles de Tanguy dont je parlais et de Xavier, le beau parisien escorte boy.
Que fond deux de mes amants avec la propriétaire de la voiture que j’ai offerte à Duchesse pour ses 18 ans !
Je la reconnais bien, c’est moi qui suis allée la chercher chez le concessionnaire.
Il y a une fenêtre, j’approche et à l’intérieur une scène déjà vue en Écosse se présente devant mes yeux.
Jules devant sa mère sans savoir que je le regardais a baisé Lorna, la femme de Ronald Macdonald dans cette grange, ma grange, c’est ma fille qui est prise en double pénétration par les deux mâles en rut.
Comment ma fille encore si jeune pratique déjà à la double pénétration avec mes amants et ceux de sa grand-mère ?
Certainement en région parisienne ou elle a dû retrouver Xavier.
Il faudra que je fasse rendre gorge à Magalie, se voit-elle à Paris et est-ce elle qui l’a entraîné dans ses dépravations.
Je devrais dire nos dépravations.
À moins, que je me sois trompée sur le digne successeur de Duc en pensant à Jules mon fils.
Duchesse sa fille, notre fille serait peut-être celle-là !

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