COLLECTION DÉPUCELAGE. La croisière s’amuse. (1/5)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Récit libertin : COLLECTION DÉPUCELAGE. La croisière s’amuse. (1/5) Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-10-2016 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION DÉPUCELAGE. La croisière s’amuse. (1/5)
Je suis né un 14 juillet, mes parents viennent de me donner la bonne nouvelle, je saute de joie quand ils m’annoncent que nous fêterons mes 18 ans à bord d’un bateau de croisière.
Sans me consulter ils ont décidé que nous ferions cette croisière en Méditerranée.
Départ Venise puis Trieste aussi en Italie en passant par Split en Croatie retour vers Bari en Italie la Grèce à Corfou et pour finir trois villes italiennes Palerme, Naples et retour dans la ville de Savone.
J’ai l’impression de la manière dont ils en parlent que c’est plus pour eux que pour mon anniversaire qu’ils ont décidés de ce cadeau.
J’aurais espéré comme chaque année que maman me demande.

• Christian que peut-on t’offrir pour tes 18 ans mon chéri, on aime te faire plaisir et nous ignorons tes envies.

À quoi j’aurais répondu !

• Maman, j’ai des copains qui ont le permis de conduire et qui souhaitent que nous allions au Portugal dans la voiture de l’un d’eux chez sa grand-mère alors donnez-moi quelques billets pour que je les mette au pot commun.

J’aurais évité de leur dire que dans ces copains il y avait Julie avec laquelle j’espère perdre ce putain de pucelage qui me colle à la peau et certainement dans un même temps lui ôter sa virginité.
Je m’étais préparé depuis des semaines allant même au supermarché acheter des capotes que j’ai soigneusement cachées pour éviter de les paniquer s’ils les trouvent et qu’ils comprennent que le temps des voitures miniatures descendant la rampe du garage offert pour mes 8 ans était révolu.

• Ce soir nous allons voir ce que le bateau va nous apporter pour que cette croisière soit exceptionnelle.

C’est la première étape d’un long processus où Jean mon papa médecin urgentiste a l’hôpital de Marseille va nous projeter le travail de plusieurs jours nous montrant grâce à des documents d’A à Z tous ce que nous trouverons à bord et surtout le détail des escales ou les heures nous seront comptés pour tous visiter.
Tout est chronométré, minuté, nous voyons à l’écran chaque monument visiter, l’heure d’arrivée, le temps passer à l’intérieur ou à l’extérieur pour les parcs et le départ soit à pied soit en taxi pour l’étape suivante.
Je connais le processus car depuis mes 6 ans nous partons en juillet visiter l’Europe et sauf le système de projection évoluant au gré des innovations technologiques nous passons les soirées du mois précédant l’heure du départ à regarder notre futur voyage.
La règle est respectée et outre le fait que Julie m’échappe certainement défloré par Luc certes mon copain mais mon pire ennemi auprès d’elle depuis le début de l’année scolaire où elle est arrivée au bahut et que nous nous la chamaillons.
Fini la perte de mon pucelage car je vais avoir les aïeuls sur le dos tous les jours de ce voyage enfin nous verrons quelquefois les plans foireux du père se heurtant à des impondérables.
Je me souviens de mes 8 ans où la culasse a lâché et pour mes 12 ans le pont fermé pour travaux nous permettant de passer d’une rive à l’autre d’un fleuve, nous obligeant à faire des dizaines de kilomètres supplémentaires.

Marseille Venise par le train nous obligeant à porter nos putains de valises surtout celle de maman qui en a trois à elle toute seule, surtout si elle a la chance d’être à la table du commandant au prix qu’ils ont payé les billets en prenant deux cabines avec balcon personnel pour nous faire bronzer.
Et voilà la 8e merveille du monde qui est devant moi quand le taxi nous dépose.
La masse de ce navire en réel est plus imposante qu’en photo.
Nous sommes conduits à nos cabines par un personnel zélé et efficace en rapport du monde qui circule partout dans les coursives.
Valises déposées je profite de ce que mes vieux se reposent les 25 minutes prévues dans le plan de marche pour explorer cette ville et plusieurs fois je dois demander mon chemin étant perdu.
L’une des salles des machines à sous attire mon attention ainsi que plusieurs salles où je pourrais danser et peut-être draguer.
Appareillage où nous nous tenons sur les terrasses respectives de nos cabines saluant de la main les cons qui sont venus conduire la famille où les amis et les cons qui nous répondent papa ayant sorti son appareil photo numérique acheté exprès pour le voyage.
Première erreur du père, sur le programme il est marqué départ de Venise, ville d’où nous aurons simplement vu le trajet de la gare de chemin de fer à l’embarquement sans voir la moindre gondole.
À si j’en vois une grosse comme un timbre-poste quand nous sortons de Venise direction Trieste.
30 minutes que j’attends dans ma cabine alors que sur le book que papa nous a imprimé nous devrions être en train de visiter le navire pendant 1 heure.

• Maman je vous attends que faîte vous avec papa.
• Entre ton père a le mal de mer et je viens d’appeler le médecin.
• Le mal de mer, les systèmes anti roulis et anti tangage font que le bateau reste toujours sans bouger.
• Cela n’empêche qu’il a le mal de mer, il a déjà vomi deux fois, le repas est dans deux heures vient me chercher en attendant voilà 100 €, vas te promener et bois un coca.

Libre pendant deux heures je file aux machines à sous ou je joue au poker, à la machine voisine une dame d’un certain âge plus vieille que maman joue sa carte bancaire directement placée dans la fente prévue à cet effet.

• Saloperie de machine, elle a toujours faim je vais perdre une blinde ce soir.

J’ai fait de la monnaie en billets de 5 et j’en introduis un grâce la fente vite avalée après trois essaye de combinaison.

• Vous avez raison, la chance est absente.
• Vous avez raison jeune homme j’ai encore perdu.

Je remets un billet, j’appuie pour chercher un carré, la machine clignote de toutes ses lumières déversant une douce musique.

• Merde j’ai gagnée ou voit-on les gains ?
• Appuyé là vous aurez un reçu que vous irez à la caisse vous faire payer.

Machinalement la dame appuie sur deux boutons et bingo elle gagne.

• Vous avez combien sur votre reçu ?
• Commencer par dire le montant du vôtre vous avez gagné le premier 6 000 € minces une fortune pour moi.
• 2 500 c’est moins que vous mais c’est mieux que rien, vous m’avez porté chance, je vous offre un verre pour vous remercier.

Je me fais payer en liquide et la dame directement sur sa carte bancaire.

• Je suis plus riche que vous et papa m’appris à être galant c’est moi qui vous paye un verre.
• Il vous a bien éduqué j’accepte malgré votre jeune âge.
• Comme vous y allez demain j’ai dix-huit ans et je serais majeur.
• Vous avez de la chance qu’ils vous aient payée il est interdit de jouer aux mineurs.
Ou sont vos parents ?

Je lui explique que papa est couché avec le mal de mer.

• Nous nous reverrons peut-être il est vrai que le bateau est grand.

Je la quitte et rejoins la cabine des parents ou papa continue à se vider malgré l’aide du médecin qui est venu le voir.
À l’heure prévue nous le laissons dormir et nous nous dirigeons vers la salle à manger.
Nous donnons notre nom et une hôtesse nous amène vers notre table.
Nous sommes 6 mais 5 car la place de papa reste vide.
Un couple est installé et 3 minutes après notre arrivée alors que je réponds au sourire d’une jeune fille à la table voisine alors qu’elle est assise à côté de son double aussi blond qu’elle, j’entends.

• Incroyables, mon porte-bonheur, nous sommes à la même table.

Mamam regarde de l’autre côté semblant chercher quelqu’un, je mets mes doigts par trois et en plaçant mon index sur ma bouche en les frottant entre eux je lui fais comprendre de se taire sur l’argent que j’ai gagné et dissimulé dans ma cabine avec les capotes que j’ai apportées et ou trois d’entre elles sont dans mon portefeuille.

• Je vous présente Emmanuelle mon épouse, je sais vous allez dire qu’elle porte ce prénom car ses parents un peu cochons ont vu le film et moi-même m’appelant Raoult, je vois madame que vous connaissez déjà notre jeune ami.
• Oui, j’ai gagné un peu d’argent aux machines à sous tout à l’heure et ce jeune homme était derrière moi et m’a servi de muse.
Je m’appelle Viviane et j’habite à Aix-en Provence ou je suis directrice d’école.
Et vous jeune homme, il est vrai que nous avions d’autre chose à faire que d’échanger nos noms.
• Je m’appelle Christian, maman présente toi, tu verras papa va se remettre et après une bonne nuit il reviendra parmi nous.
• Excusé je suis perturbé je me pré-nome Alice et mon mari qui est malade Alain.
• Bref, vous êtes papa et maman pour moi.

La table se met à rire, ayant certainement tous vus « La croisière s’amuse » à la télé.
Le repas est bon mais sans plus dans ces lieux où le monde pullule.

• Christian vous venez je retourne jouer, voulez-vous m’accompagner pour continuer à me porter chance.
• Va mon chéri, je trouverais mon chemin seule, je demanderais, amuse-toi.

Nous quittons la table avec Viviane mais je trouve étrange le chemin qu’elle prend pour les salles de jeux.
Nous arrivons dans une coursive identique à la nôtre mais certainement un pont plus bas et devant la porte 6969.

• Regarde ce chiffre me rappelle quelque chose, tu entreras bien boire un verre.

Nous entrons et sitôt la porte franchie elle m’embrasse comme si nous étions déjà des personnes ayant fait des 69.
Sa main vient sur ma bite qui réagit, je bande.

• Évite de rester les bras ballant, occupe-toi de mon corps.

En prononçant ces mots elle se recule pour me regarder.

• Mais tu es puceau, quelle chance j’ai, j’ai toujours rêvé de dépuceler un jeune garçon comme toi, tu vas voir je vais bien t’apprendre, veux-tu que je te suce ou veux-tu me baiser immédiatement pour sentir l’intérieur de la chatte d’une femme ?

La sucette mes copains l’évoque tout le temps, je lui appuie sur les épaules et en baissant mon pantalon elle me prend dans sa bouche…

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Texte coquin : COLLECTION DÉPUCELAGE. La croisière s’amuse. (1/5)
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