COLLECTION DOMINANT DOMINÉ. Le nain et sa grosse queue (5/6)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 23-08-2024 dans la catégorie Dominants et dominés
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COLLECTION DOMINANT DOMINÉ. Le nain et sa grosse queue (5/6)
• Oui, attache-moi, je vais être ta gentille chienne !
À ce jour, j’étais soumise à Mathéo, homme de petite taille que nous devons appeler maître, Valérie la présentatrice télé et moi.
Il semble avoir disparu ce qui a eu tendance à me rendre orpheline.
En voyant Valérie, l’autre soumise, du moins celle que je connais, à la télé, sachant ou se trouve les studios ou elle tourne ses émissions, je décide d’aller si elle a des nouvelles de notre maître.
Elle aussi, est dans l’expectative, mais c’est chez elle qu’elle m’emmène.
En entrant dans son vestibule, je vois la laisse avec son collier que son maître lui avait attaché au cou et qu’il tenait en main pendant que je perdais au poker une somme folle de 10 000 € et que je lui devais.
Pourtant à la proposition qu’il fait à nos adversaires de me re-caver contre 2000 € chacun, les blinde de 1 000 € ont eu ma peau.
C’est lorsque Valérie me dit sa volonté que je sois sa maîtresse en lui mettant ce collier que je prends conscience que moi aussi j’aime dominer un autre être humain.
Que dire de plus sur notre relation ce soir et cette nuit-là ?
Autant l’une que l’autre ignorons où se trouve notre maître, mais en lui mangeant le clito, j’arrive facilement à le remplacer.
Au début de mon histoire que je couche sur mon ordinateur, j’étais folle amoureuse de Calvin qui me transportait à chaque fois qu’il me prenait simplement dans ses bras.
Si j’ai cédé à celui que dans ce moment-là j’appelais encore Mathéo, c’était certainement que la force de l’habitude l’avait emporté sur l’amour passion.
Je dois reconnaitre que celui qui est devenu mon maître m’a fait connaître un monde insoupçonné dont maintenant Valérie fait partie.
Le monde des femmes aimant les femmes surtout que lorsque je la domine à mon tour la pourfendant avec son gode ceinture qu’elle m’a mis autour de mes reins, cette sensation de domination est décuplé.
J’étais comme une poupée gonflable sous les coups de queue de Boris et de ses copains.
Ma verge même de substitution que je plante dans le vagin de ma nouvelle amie me donne cette sensation de toute puissance surtout lorsqu’elle exulte de plaisir à l’orgasme que je déclenche en elle.
Avec Calvin ou les hommes avec qui je l’ai trompé, chaque fois après qu’il m’ait baisé ou s’endorme, ou me ramène chez moi inconsciente de ce qu’ils m’ont fait subir.
Avec Valérie, elle vient se blottir dans mes bras jouant avec mes seins, allant même jusqu’à les mordiller, les faisant frissonner.
Jusqu’au matin, la douceur de ses doigts et ses tendres baisers sur mon clito me transporte vers des pays où le plaisir simple domine la rudesse que les hommes nous apportent, même notre maître.
Vers dix heures, elle doit se préparer les répétitions de son émission vont commencer.
Un dernier baiser et je monte dans le taxi que nous avons appelé alors que son chauffeur l’attend.
J’arrive à ma résidence, la police est là ainsi qu’une ambulance, ou l’on monte un corps dans un sac à viande.
C’est ainsi que Calvin avait appelé ce genre de sac où l’on met les corps, hélas, décédés après un accident que nous avions croisés sur l’autoroute.
• Madame, ou allez-vous, il est interdit de rentrer dans cette immeuble.
À son côté, Maria la gardienne portugaise est là.
• Madame Juliette, quel grand malheur, j’avais appelé le fils de votre ancienne voisine pour lui dire que vous aviez vu quelqu’un chez sa maman.
Il était en vacances en Espagne, il est venu ce matin et il a trouvé les serrures changées.
Il a appelé un serrurier qui lui a ouvert et il a trouvé l’homme de petite taille mort d’une balle dans la tête, nous avons appelé la police.
C’est Santa Maria notre gardienne qui me donne ces renseignements avec son accent sentant bon le soleil du Portugal.
Ça me glace d’effrois, ma liaison avec cet homme va être découverte, je vais peut-être moi-même être soupçonné de ce meurtre et me retrouver en prison.
• Inspecteur Barnabé, cette dame veut rentrer, elle habite dans cet immeuble !
C’est la policière qui m’a intercepté devant une bande de papier rouge barrant l’entrée qui appelle un homme sortant de notre immeuble.
• À quel étage habitez-vous ?
J’ai compris les dégâts que ma demande à notre gardienne a déclenchés et ce qui va suivre après que les inspecteurs auront trouvé nos traces ADN et nos empreintes partout dans la salle à manger, de notre maître à Valerie et à moi.
• À celui de monsieur Mathéo que vous emmenez une balle dans la tête à ce que vient de me dire Maria notre gardienne.
• Vous êtes Juliette, j’ai vu vos noms à vous et votre mari Calvin sur votre sonnette en voulant vous interroger après ce que la gardienne nous a expliqué.
Au nom de mon mari, je décide d’impressionner l’inspecteur au renseignement que je lui donne.
• Calvin est à Bruxelles avec le président de la République pour plusieurs jours et moi chez mon amie Valérie, la présentatrice de l’émission qui passe tous les jours sur la deuxième chaîne.
• Je connais Calvin, je l’ai déjà rencontré, vous pouvez remonter chez vous, je viendrais vous voir si j’ai besoin d’informations complémentaires.
Ah ! oui, une question, pourquoi vous vous êtes inquiétée auprès de votre gardienne si elle avait vu votre voisin, vous étiez proche ?
• Il s’était présenté un jour, je l’avais croisé près de l’ascenseur et nous avions simplement conversé entre voisin.
J’ai croisé Maria, ça faisait plusieurs jours que je n’avais pas vu cet homme de petite taille.
C’est pour cela que je lui ai posé cette question sans savoir qu’il avait eu une mort tragique.
• Rien que de bien normal, il y a trop de gens qui vivent auprès des autres sans s’inquiéter de leur état de santé après plusieurs jours sans les voir. J’aimerais vous avoir comme voisine, la mienne est acariâtre, même pas une réponse à mes bonjours.
Enfermé chez moi, j’appelle Calvin pour lui dire ce qu’il m’arrive, j’espère surtout qu’avec ses appuis il en saura plus ce qui me servira à préparer ma défense.
Même si j’ai baisé avec notre maître et sa grosse queue, en aucun cas je suis une meurtrière.
Une chose est sûre pour moi, sa mort fait disparaitre ma créance de 10 000 € surtout que ce prêt était verbal sans le moindre papier à la disposition de la police pouvant faire de moi une suspecte.
• Albert, c’est Calvin !
De retour Calvin vient d’appeler le commissaire Albert V, l’un de ses amis.
Il va voir où en sont les choses dans cette affaire et le tiendra au courant sans pour autant intervenir dans l’enquête de ses collègues.
La présence indirecte dans son affaire doit avoir mis mal à l’aise l’inspecteur que j’ai rencontré à mon retour.
Il est impossible ici de rentrer dans les arcanes d’une enquête, mais nous avons eu quelques informations toutes rassurantes pour Valérie et moi.
À croire qu’un ange gardien a veillé sur nous.
Une caméra urbaine à un carrefour a montré une voiture à un rond-point immatriculé en Bulgarie.
Le conducteur a été identifié, il s’appelle Vladimir, mais la photo que Calvin a pu se procurer me montre Boris, l’un des trois hommes que j’ai sucé avant qu’il m’encule pendant que ses copains étaient tous les deux au fond de ma chatte.
En la regardant et en le reconnaissant, un frisson est passé dans mon dos.
J’ai même cru voir un rictus sur le visage de Calvin, mais ce devait être ma peur qui me faisait avoir cette impression.
Depuis la découverte de la mort violente de notre maître, à tout moment, j’ai la peur d’un coup de sonnette venant de l’enquête pour m’arrêter.
Ce qui est sûr entre la soirée de poker et le moment où je regarde cette photo, le temps de nouveau a passé et j’ai retrouvé toutes mes sensibilités sans la moindre douleur lorsque Calvin me fait l’amour.
Calvin me parle que Mathéo aurait fait partie d’une organisation mafieuse internationale qui ciblait des gens proches du pouvoir pour glaner des renseignements pour les Russes.
La position de mon mari, me fait voir qu’en me faisant tomber sous sa coupe, sans me le dire, car s’il en savait plus sur mes turpitudes notre couple aurait explosé.
Notre maître, pardon je suis indécrottable, Mathéo à termes s’il était resté vivant aurait été plus loin dans ses demandes, incluant certainement Calvin et ses relations.
C’est la presse qui prévient Valérie de l’issue fatale de Mathéo notre homme de petite taille.
Elle m’a appelé, j’ai sérieusement fait attention à chaque mot que j’ai employé.
Je regarde fréquemment des films policiers, surtout ceux avec Olivier Marchal.
J’ai cru savoir mais où et comment il y a quelques années, il avait lui aussi été dans le métier avant d’écrire des scénarios de film policier ce qui les rend plus vraisemblables.
Si je suis suspectée, la police peut m’avoir mis sur écoute, alors ce sont dans les bras l’une de l’autre que nous tombons dans le salon de thé où nous retrouvons dans Paris.
• T’ont-ils fait une prise de tes empreintes !
• Pourquoi tu me fais peur !
• Ils ont dû trouver les cartes, dessus il doit y avoir tes empreintes !
Valérie voudrait me faire flipper, elle ne s’en prendrait pas différemment.
Je réfléchis, à part la policière à qui j’ai expliqué que je venais de chez mon amie au matin, nul ne sait qu’elle était avec moi dans les mains de Mathéo lorsque je les manipulais.
Je me rassure aussi, s’ils ont trouvé des empreintes, celle de Boris devenu Vladimir y sont aussi et comme il semble être leur suspect numéro un, pourquoi iraient-ils chercher plus loin ?
Un instant je me demande si Valérie est vraiment étrangère à ce qu’il m’est arrivé.
Comme l’on dit, a-t-elle fait l’âne pour avoir du son ?...
À ce jour, j’étais soumise à Mathéo, homme de petite taille que nous devons appeler maître, Valérie la présentatrice télé et moi.
Il semble avoir disparu ce qui a eu tendance à me rendre orpheline.
En voyant Valérie, l’autre soumise, du moins celle que je connais, à la télé, sachant ou se trouve les studios ou elle tourne ses émissions, je décide d’aller si elle a des nouvelles de notre maître.
Elle aussi, est dans l’expectative, mais c’est chez elle qu’elle m’emmène.
En entrant dans son vestibule, je vois la laisse avec son collier que son maître lui avait attaché au cou et qu’il tenait en main pendant que je perdais au poker une somme folle de 10 000 € et que je lui devais.
Pourtant à la proposition qu’il fait à nos adversaires de me re-caver contre 2000 € chacun, les blinde de 1 000 € ont eu ma peau.
C’est lorsque Valérie me dit sa volonté que je sois sa maîtresse en lui mettant ce collier que je prends conscience que moi aussi j’aime dominer un autre être humain.
Que dire de plus sur notre relation ce soir et cette nuit-là ?
Autant l’une que l’autre ignorons où se trouve notre maître, mais en lui mangeant le clito, j’arrive facilement à le remplacer.
Au début de mon histoire que je couche sur mon ordinateur, j’étais folle amoureuse de Calvin qui me transportait à chaque fois qu’il me prenait simplement dans ses bras.
Si j’ai cédé à celui que dans ce moment-là j’appelais encore Mathéo, c’était certainement que la force de l’habitude l’avait emporté sur l’amour passion.
Je dois reconnaitre que celui qui est devenu mon maître m’a fait connaître un monde insoupçonné dont maintenant Valérie fait partie.
Le monde des femmes aimant les femmes surtout que lorsque je la domine à mon tour la pourfendant avec son gode ceinture qu’elle m’a mis autour de mes reins, cette sensation de domination est décuplé.
J’étais comme une poupée gonflable sous les coups de queue de Boris et de ses copains.
Ma verge même de substitution que je plante dans le vagin de ma nouvelle amie me donne cette sensation de toute puissance surtout lorsqu’elle exulte de plaisir à l’orgasme que je déclenche en elle.
Avec Calvin ou les hommes avec qui je l’ai trompé, chaque fois après qu’il m’ait baisé ou s’endorme, ou me ramène chez moi inconsciente de ce qu’ils m’ont fait subir.
Avec Valérie, elle vient se blottir dans mes bras jouant avec mes seins, allant même jusqu’à les mordiller, les faisant frissonner.
Jusqu’au matin, la douceur de ses doigts et ses tendres baisers sur mon clito me transporte vers des pays où le plaisir simple domine la rudesse que les hommes nous apportent, même notre maître.
Vers dix heures, elle doit se préparer les répétitions de son émission vont commencer.
Un dernier baiser et je monte dans le taxi que nous avons appelé alors que son chauffeur l’attend.
J’arrive à ma résidence, la police est là ainsi qu’une ambulance, ou l’on monte un corps dans un sac à viande.
C’est ainsi que Calvin avait appelé ce genre de sac où l’on met les corps, hélas, décédés après un accident que nous avions croisés sur l’autoroute.
• Madame, ou allez-vous, il est interdit de rentrer dans cette immeuble.
À son côté, Maria la gardienne portugaise est là.
• Madame Juliette, quel grand malheur, j’avais appelé le fils de votre ancienne voisine pour lui dire que vous aviez vu quelqu’un chez sa maman.
Il était en vacances en Espagne, il est venu ce matin et il a trouvé les serrures changées.
Il a appelé un serrurier qui lui a ouvert et il a trouvé l’homme de petite taille mort d’une balle dans la tête, nous avons appelé la police.
C’est Santa Maria notre gardienne qui me donne ces renseignements avec son accent sentant bon le soleil du Portugal.
Ça me glace d’effrois, ma liaison avec cet homme va être découverte, je vais peut-être moi-même être soupçonné de ce meurtre et me retrouver en prison.
• Inspecteur Barnabé, cette dame veut rentrer, elle habite dans cet immeuble !
C’est la policière qui m’a intercepté devant une bande de papier rouge barrant l’entrée qui appelle un homme sortant de notre immeuble.
• À quel étage habitez-vous ?
J’ai compris les dégâts que ma demande à notre gardienne a déclenchés et ce qui va suivre après que les inspecteurs auront trouvé nos traces ADN et nos empreintes partout dans la salle à manger, de notre maître à Valerie et à moi.
• À celui de monsieur Mathéo que vous emmenez une balle dans la tête à ce que vient de me dire Maria notre gardienne.
• Vous êtes Juliette, j’ai vu vos noms à vous et votre mari Calvin sur votre sonnette en voulant vous interroger après ce que la gardienne nous a expliqué.
Au nom de mon mari, je décide d’impressionner l’inspecteur au renseignement que je lui donne.
• Calvin est à Bruxelles avec le président de la République pour plusieurs jours et moi chez mon amie Valérie, la présentatrice de l’émission qui passe tous les jours sur la deuxième chaîne.
• Je connais Calvin, je l’ai déjà rencontré, vous pouvez remonter chez vous, je viendrais vous voir si j’ai besoin d’informations complémentaires.
Ah ! oui, une question, pourquoi vous vous êtes inquiétée auprès de votre gardienne si elle avait vu votre voisin, vous étiez proche ?
• Il s’était présenté un jour, je l’avais croisé près de l’ascenseur et nous avions simplement conversé entre voisin.
J’ai croisé Maria, ça faisait plusieurs jours que je n’avais pas vu cet homme de petite taille.
C’est pour cela que je lui ai posé cette question sans savoir qu’il avait eu une mort tragique.
• Rien que de bien normal, il y a trop de gens qui vivent auprès des autres sans s’inquiéter de leur état de santé après plusieurs jours sans les voir. J’aimerais vous avoir comme voisine, la mienne est acariâtre, même pas une réponse à mes bonjours.
Enfermé chez moi, j’appelle Calvin pour lui dire ce qu’il m’arrive, j’espère surtout qu’avec ses appuis il en saura plus ce qui me servira à préparer ma défense.
Même si j’ai baisé avec notre maître et sa grosse queue, en aucun cas je suis une meurtrière.
Une chose est sûre pour moi, sa mort fait disparaitre ma créance de 10 000 € surtout que ce prêt était verbal sans le moindre papier à la disposition de la police pouvant faire de moi une suspecte.
• Albert, c’est Calvin !
De retour Calvin vient d’appeler le commissaire Albert V, l’un de ses amis.
Il va voir où en sont les choses dans cette affaire et le tiendra au courant sans pour autant intervenir dans l’enquête de ses collègues.
La présence indirecte dans son affaire doit avoir mis mal à l’aise l’inspecteur que j’ai rencontré à mon retour.
Il est impossible ici de rentrer dans les arcanes d’une enquête, mais nous avons eu quelques informations toutes rassurantes pour Valérie et moi.
À croire qu’un ange gardien a veillé sur nous.
Une caméra urbaine à un carrefour a montré une voiture à un rond-point immatriculé en Bulgarie.
Le conducteur a été identifié, il s’appelle Vladimir, mais la photo que Calvin a pu se procurer me montre Boris, l’un des trois hommes que j’ai sucé avant qu’il m’encule pendant que ses copains étaient tous les deux au fond de ma chatte.
En la regardant et en le reconnaissant, un frisson est passé dans mon dos.
J’ai même cru voir un rictus sur le visage de Calvin, mais ce devait être ma peur qui me faisait avoir cette impression.
Depuis la découverte de la mort violente de notre maître, à tout moment, j’ai la peur d’un coup de sonnette venant de l’enquête pour m’arrêter.
Ce qui est sûr entre la soirée de poker et le moment où je regarde cette photo, le temps de nouveau a passé et j’ai retrouvé toutes mes sensibilités sans la moindre douleur lorsque Calvin me fait l’amour.
Calvin me parle que Mathéo aurait fait partie d’une organisation mafieuse internationale qui ciblait des gens proches du pouvoir pour glaner des renseignements pour les Russes.
La position de mon mari, me fait voir qu’en me faisant tomber sous sa coupe, sans me le dire, car s’il en savait plus sur mes turpitudes notre couple aurait explosé.
Notre maître, pardon je suis indécrottable, Mathéo à termes s’il était resté vivant aurait été plus loin dans ses demandes, incluant certainement Calvin et ses relations.
C’est la presse qui prévient Valérie de l’issue fatale de Mathéo notre homme de petite taille.
Elle m’a appelé, j’ai sérieusement fait attention à chaque mot que j’ai employé.
Je regarde fréquemment des films policiers, surtout ceux avec Olivier Marchal.
J’ai cru savoir mais où et comment il y a quelques années, il avait lui aussi été dans le métier avant d’écrire des scénarios de film policier ce qui les rend plus vraisemblables.
Si je suis suspectée, la police peut m’avoir mis sur écoute, alors ce sont dans les bras l’une de l’autre que nous tombons dans le salon de thé où nous retrouvons dans Paris.
• T’ont-ils fait une prise de tes empreintes !
• Pourquoi tu me fais peur !
• Ils ont dû trouver les cartes, dessus il doit y avoir tes empreintes !
Valérie voudrait me faire flipper, elle ne s’en prendrait pas différemment.
Je réfléchis, à part la policière à qui j’ai expliqué que je venais de chez mon amie au matin, nul ne sait qu’elle était avec moi dans les mains de Mathéo lorsque je les manipulais.
Je me rassure aussi, s’ils ont trouvé des empreintes, celle de Boris devenu Vladimir y sont aussi et comme il semble être leur suspect numéro un, pourquoi iraient-ils chercher plus loin ?
Un instant je me demande si Valérie est vraiment étrangère à ce qu’il m’est arrivé.
Comme l’on dit, a-t-elle fait l’âne pour avoir du son ?...
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Les avis des lecteurs
La femme est naïve ou conne de croire qu’un proxénète est 1 maître. 🤦♀️🤔
La chipie
La chipie