COLLECTION ÉCHANGISME. Ma fille me dévergonde. Saison III (8/9)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION ÉCHANGISME. Ma fille me dévergonde. Saison III (8/9) Histoire érotique Publiée sur HDS le 31-01-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION ÉCHANGISME. Ma fille me dévergonde. Saison III (8/9)
Ma vie a basculé quand ma fille m’a fait connaître la boîte libertine qu’elle semble fréquenter assidument.
Nous avions une habitude, chaque année l’une après l’autre, j’avais acceptée l’impensable le temps d’une soirée que nous soyons livrés à l’autre.
Resto jusqu’au sommet de la tour Eiffel pour moi, jusqu’à ce club libertin ou j’ai fini par craquer sur un beau black pour elle.
Ces soirées mon rendu accro au sexe, jusqu’à une boutique de fringues ou je flash sur la femme qui la tient.

• As-tu trouvé une nouvelle chatte à aimer ?
• Comment le sais-tu ?
• Votre regard hier quand vous vous êtes quitté en disait long sur le rendez-vous qu’elle t’a donné le soir.
• Elle a fermé la porte de sa boutique dix minutes avant l’heure m’entraînant à l’étage où je me suis retrouvée sur son lit la tête et ses doigts me caressant d’une façon divine.
• C’est bien, je suis contente pour toi, elle est mignonne et semble avoir le droit au bonheur.
• Tu sais ce matin quand je l’ai quitté jusqu’à midi, elle m’a demandé d’aller chercher mes affaires ce week-end pour vivre avec elle.
• As-tu dit oui ?
• Je rêvais d’habiter dans ce quartier et je réalise mon rêve en trouvant celle qui va bousculer ma vie.
• Soyez heureuse.
• Merci, mais nous deux ?
• Tu reste mon amie et j’aurais toujours plaisir à voir ta chatte sous ton bureau, mais pas question de te faire risquer de mettre en l’air tes amours naissants.

La journée se passe sans problème, mais Éliane me fait savoir son absence alors je reste à l’agence un peu seule quand Odile rejoint Adeline.
Quand nous fermons j’ai des états d’âme, très peu pressés de rejoindre mon logement ou je serais seule.
Je passe devant le café où nous avons pris un verre en terrasse qui est noir de monde.
L’homme qui a eu un instant envie de me parler est assis à la même place.
Voyant que je cherche une place il se lève et m’aborde.

• Excusez, je vois que vous cherchez une place, voulez-vous partager ma table je suis seul à Paris.
• Merci vous êtes gentil, j’accepte.

En prenant place à ses côtés je sais que je prends un risque d’incompréhension entre nous.
C’est simplement une bouteille d’eau fraîche qui est mon seul but même si j’étais une femme infidèle malgré Pedro, cet homme d’une classe folle serait une proie idéale.
Mon voisin s’avère être un homme charmant et courtois me rassurant sur la décision que j’ai prise d’accepter de m’asseoir à sa table.

• Êtes-vous parisienne ?
• Oui, j’habite porte de saint clou près du Parc des Princes.
• Aimez-vous le football ?
• Non, c’est la galère le soir des matchs pour rentrer, car il y a des contrôles partout.
• Moi, j’aime le rugby.
• Comme mon mari, il joue en vétéran au P.U.C.
• Je vois que vous êtes mariée !

C’est là que je fais voir les limites d’une vie de femme dans l’adultère.
Je mais ma main sur mon alliance alors pourquoi cacher cet état de fait.
Surtout que je viens de dire que mon mari est un rugbyman.
Alors, je joue la franchise.

• Mon mari est parti jusqu'au dimanche au Qatar.
Il est architecte-décorateur pour les espaces verts en milieu urbain.
Il travaille particulièrement dans les immeubles qui souhaitent avoir des espaces de verdure.

Une fois de plus en faisant la pipelette, je revois le jardin des plaisirs où Pedro avec sa grosse queue m’a fait énormément jouir au point qu’à ce souvenir je sens ma chatte dégouliner d’envie.

• Et vous ?
• Je suis un négociant en vins pour la région bordelaise et je suis venu à Paris pour un salon, mais je repars demain retrouver ma femme.
• Vous devez être satisfait d’aller la retrouver !
• Vous savez 30 ans de mariage l’an prochain, la routine s'est installée.
• Mais vous avez toujours des rapports avec elle !
• Là, c’est vous qui devenez indiscrète, mais je vous réponds.
Migraines, pas envie, une autre fois, encore c’est le refrain que j’entends depuis quelques années.
• Vous avez loupé le virage de votre indépendance sexuelle.
• Oui, trop de tabou, le respect de la parole donnée le jour de mon mariage.
Tenez, en venant à Paris je me suis dit que j’irai dans un club libertin pour goûter à ces plaisirs qui me sont défendus.
• Vous y êtes allés !
• Oui, les deux premiers soirs mais le premier, ils avaient leur quota d’hommes seuls.
Le lendemain la soirée était réservé au couple et une nouvelle fois je suis resté à la porte.
• Vous avez pensé à chercher des professionnels en passant sur Internet.
Je pense que vous en auriez trouvé.
• Vous savez connaitre, en êtes-vous une ?

Je suis à deux doigts de lui claquer le bec.
Je me souviens que j’ai changé de vêtements et il est vrai que tout en étant sobre, le rajeunissement de ma tenue pourrait lui faire penser que je drague le client.
Surtout en ayant accepté de m’asseoir à la table d’un homme seule semblant un peu friqué.

• Non, je refuse de payer pour rencontrer une femme.
Je pense que je suis encore capable de séduire, mais les endroits pour cela sont peu fréquents à Paris.
• Je confirme que vous êtes séduisant et si comme vous, j’étais de ces femmes qui se fichent du contrat qu’elles ont passé, j’aurais plaisir à vous accompagner à votre hôtel.
• Merci de votre compréhension, vous m’avez dit que votre mari était absent pour quelques jours.
J’aimerais vous inviter à partager mon repas, j’avais décidé de manger un couscous marocain au restaurant qui se trouve tout près d’ici.

Ce restaurant, je le connais, je le vois tous les jours.
Il est juste en face de mon agence et j’ai souvent dit que j’irai y manger adorant ces plats orientaux, surtout avec beaucoup d'épices, ce qui embrasse mon corps.

• Je vous aurais bien accompagné au lieu de rentrer me retrouver seul devant ma tranche de jambon.
Hélas, j’aurais trop peur de prendre le métro de nuit surtout avec le changement, les couloirs sont très mal fréquentés.

J’ai envie de lui dire, « surtout avec mes nouvelles fringues ».
Mais là, je suis de mauvaise foi, car même si je me suis laissé légèrement influencer, j’aime me sentir rajeuni.

• J’ai ma voiture près d’ici au parking.
Je vous raccompagnerais jusqu’au pied de votre immeuble.
J’irai plus loin, tant que vous serez hors de votre appartement.
• Vous êtes un coquin et arrivé en bas vous me demanderez de monter prendre un dernier verre.
• Comme vous y allez, je suis un homme courtois et mon invitation est sans aucune équivoque.
Je vous dépose, comme je viens de vous le dire, je vous regarde entrer par sécurité et je reviens à mon parking finir ma nuit, hélas, seul comme vous.
• Alors, j’accepte, je vous fais confiance.
• Merci, vous me comblez de joie, si nous nous tutoyons, je me prénomme Stéphane.
• Je suis d’accord, tu peux m’appeler Solange, comme j’ai l’habitude de le dire, hélas, c’est mon prénom.
• Que nénies, c’était le prénom de ma maman qui m’a quitté l’année dernière.
• Tu es incestueux.
• Merci pour le tu, je vois que tu as de l’humour.

C’est ainsi que je retourne vers mon agence à deux pas d’Odile qui doit caresser, voire plus sa nouvelle amie.
Mais je me garde bien de le dire à cet homme que c’est mon agence souhaitant garder des distances avec lui.
Je suis juste là pour lui faire plaisir.
J’ai de la peine si je le laisse dîner seule.
Une nouvelle fois, je suis de mauvaise foi, le couscous est mon plat favori alors que c’est la choucroute alsacienne pour Yves.
Chaque fois, que l’hiver il m’emmène au restaurant, c’est ce plat me donnant des aigreurs qu’il choisit de m’offrir.

Au cours du repas étant charment, je suis à deux doigts de lui dire que je connais un club libertin ou je serais très bien reçu et ou étant en couple avec moi, il pourrait entrer.
Mais ma décision de rester à distance de ce genre d’endroit trop dangereux pour l’équilibre de mon couple, je me tais.
Nous sommes reçus par une jeune femme nous montrant qu’elle doit être d’un pays du soleil.

• Bonjour, monsieur et madame, je m’appelle Nouhza et je suis à votre service pour toute votre soirée, si la moindre chose, vous pose problème, j’accours.
• Puis-je vous demander si vous êtes Marocaine et de quelle ville !
• Bien sûr, c’est ma maman Loubna qui fait la cuisine et nous sommes originaires de Meknès.
Installez-vous, je vous apporte un mojito sans alcool de bienvenue.

Ouf, un cocktail sans alcool, je vais éviter de finir en roulant sous la table, voire plus quand je regarde ce que j’ai fait dans ces dernières heures.
À cause de ma fille, je le rappelle, j’étais une femme un peu frustrée, mais fidèle...

Les avis des lecteurs

Histoire Erotique
Histoire toujours très bien écrite qui ménage un certain suspense.....mais toujours des
questions
Pourquoi échangisme alors que le mari n'echange rien ? Pourquoi la fille pousse sa mère à
tromper son père ?
Peut être des réponses à venir...
Je continue à suivre.



Texte coquin : COLLECTION ÉCHANGISME. Ma fille me dévergonde. Saison III (8/9)
Histoire sexe : Une rose rouge
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