COLLECTION ÉCHANGISME. Maisons jumelles et mitoyennes. Fin de la saison III (9/9)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : COLLECTION ÉCHANGISME. Maisons jumelles et mitoyennes. Fin de la saison III (9/9) Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-04-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION ÉCHANGISME. Maisons jumelles et mitoyennes. Fin de la saison III (9/9)
• Samedi, seras-tu en état ?
• Oui, dès demain !
• Appelle le samedi matin, se sera parfait, je crois que j’ai une idée.

Ces propos, nous les avons tenus avec Clarisse.
J’ai retrouvé ma forme et c’est avec mon cardio autour du bras que nous commençons avec simplement nos chaussures de jogging à courir vers notre but.
Qu’a pu inventer notre belle Clarisse pour que Marie nous suive dans la voie que je viens d’emprunter depuis le début de nos vacances !
Au bout du chemin non loin du nôtre, nous croisons Gilbert qui part faire son jogging.

• Salut Gladys, elle est à la maison, je lui ai dit que je partais faire mon jogging et que j’allais augmenter la distance, je serai de retour dans deux heures.
• Elle t’a cru !

Gilbert éclate de rire.

• Elle m’a dit d’aller voir mes putes, alors j’y vais.

Il est reparti, les putes, c’est devant chez lui, qu’elles s’arrêtent.

• Fais celle qui vient de se fouler la cheville !

Que Clarisse a-t-elle encore inventé, mais je m’exécute, par chance tous ces chemins menant vers la plage sont en sable et je tombe sans le moindre bobo.
La propriété est entourée d’un mur de deux mètres.
Clarisse sonne au portillon de la porte de celle que nous voulons tenter de corrompre.
Il y a un Interphone.

• Passez votre chemin, on a besoin de rien.
• Madame, c’est nous qui sommes dans la détresse, nous courrions sur le chemin, lorsque mon amie s’est tordue la cheville.
Il faudrait que nous puissions appeler nos maris pour qu’ils viennent la chercher et l’emmener passer une radio.
• Attendez, j’arrive, j’allais prendre un bain, mon mari est parti courir, je suis seule.

Elle voudrait se faire attaquer, malgré ses hauts murs, elle donnerait tous ces renseignements à d’éventuelles personnes mal faisantes.
Deux minutes et la porte s’ouvre, Marie m’apparaît jeune femme très appétissante, une serviette nouée autour de ses seins.
Brune environ ma taille, ses cheveux un peu à la garçonne, le genre de jolie fille assez bête comme moi je l’étais d’être coincée du cul comme me l’a si bien dit Clarisse.
Villa de plain-pied, jardin très bien entretenu avec quelques pins faisant de l’ombre, piscine, petite mais sympa devant une terrasse.

• Asseyez-vous sur mon transat, nous allons voir si c’est grave !
• Regarde, Gladys, cette piscine, je pense en faire construire une pour l’été prochain.
• Malgré la mer ?
• Oui, pour nos soirées comme celle de dimanche pour le 15 août la fête de Marie !
• Je m’appelle Marie et j’aurai 25 ans demain.

Je suis à deux doigts de faire l’imper de lui dire que je le sais ce qui aurait certainement mis tout parterre.

• Voyons voir cette cheville !
• Vous êtes médecin !
• Non, mais j’ai été scout, j’étais routier et je m’occupais d’un groupe de filles plus jeunes.
• Tu conduisais des camions !
• Non, chez nous, les garçons au-dessus de dix-sept ans sont en charge des plus jeunes et sont appelés routiers.
J’ai été scout jusqu’à mes vingt ans où j’ai rencontré Gilbert, c’est mon mari, comme je vous l’ai dit, il est parti courir.
Mais on papote, montrez-moi voir cette cheville.

Marie est baissée devant moi, sa serviette bouge, ce desserrant et sa vallée m’apparaît.
Elle a du répondant, sa paire de seins semble de toute beauté, dommage de la laisser flétrir par des convenances familiales qui vous écrasent.
Je sais de quoi je parle, moi aussi quel chemin, j’ai dû parcourir pour en arriver là ou j’en suis ce matin.
Elle me fait bouger la cheville avec toute la délicatesse du monde.
J’ai l’impression qu’elle est hypnotisée par ma chatte lorsqu’elle la regarde et lève ses grands yeux verts.

• Une simple foulure, je vais aller chercher une bande , mais avant je vais vous mettre de la glace pour éviter de la voir gonfler et d’avoir une ecchymose.

Elle se lève, sa serviette se dénoue, brune et entière.
Je parle de sa toison, épaisse et fournie comme on en voyait dans le peu de films où les actrices montraient leurs chattes dans les années 70 ou 80.
Elle la renoue et s’éclipse par la porte-fenêtre.
Clarisse assise à mes côtés me prend la main.

• Gladys, c’est une gougnotte, une lesbienne.
• Tu rigoles, comment vois-tu ça, c’est marqué sur son visage ?
• Pas vraiment, je suis libertine bisexuelle.
J’ai emmené Gaétan dans un club échangiste pensant que ça lui plairait, mais comme Alain te l’a dit, il s’est contenté de regarder.
Des filles comme elle, j’en ai connu quelques-unes, « non madame, pas de cela avec moi » et dès que vous les avez révélées, elle vous saute à la chatte.

C’est plausible et si c’est vrai, il sera facile de l’amener vers ce qu’elle est, une salope qui se cache derrière une montagne de préjugés, en partie les mêmes que les miens.
Lorsqu’elle revient, Marie à passer un maillot une pièce, même ce maillot semble sortir d’un autre âge.

• J’ai tout ce qu’il faut, vous verrez après vous pourrez rentrer chez vous et vous irez consulter.

Elle me pose une poche de glace tenue par la bande.

• Voilà, c’est fait, il faut garder la glace quelques minutes.
Que faite vous Clarisse, vous êtes folle !
J’ai compris, vous faite partie de ces dégêner comme nos voisins !
Nous avons été obligés de construire un mur, car ils faisaient des fêtes où ils se comportaient comme des lapins.

Pendant qu’elle était à mes genoux s’occupant de ma cheville, Clarisse s’est mise à lui caresser la joue, descendant rapidement jusqu’à l’échancrure du maillot lui prenant le sein.

• Tu crois que tu peux me tromper, tu aimes les filles et tu t’es mariée espérant refouler tes pulsions homosexuelles.
La manière dont tu as regardé Gladys et surtout sa chatte t’a trahie, tu voudrais bien y fourrer ta langue.
Où as-tu bouffé de la chatte, chez les scouts ?
Tu dis que tes voisins sont des dégénérés, mais que dire, d’une cheffe scout qui profite de ce qu’elle guide des jeunes filles pour les dévergonder !
• Mais, non, Christine avait mon âge, c’était la dernière année, nous avions 19 ans et nous couchions dans la même tente, les petites quelle horreur.
Je vais te dire, c’était le 15 août et tout le camp avait fêté mon anniversaire.
Avec d’autres routiers, nous avions pu aller boire un verre dans le village près d’où nous campions.
Quand nous sommes entrées sous notre tente, Christine m’a déshabillée et m’a appris à être heureuse avec une autre fille.

À mon tour, c’est moi qui lui prends la tête et qui me penchant légèrement l’embrasse.
Nous nous redressons et le baiser qu’elle me donne est loin de me sentir insensible.
Mais d’un coup, elle me laisse et part en courant vers sa maison.

• Tu vois, j’avais raison, c’est une gougnotte !
• Je la suis, elle va s’échapper.
• Non, c’est elle qui va revenir, en l’embrassant tu as réveillé des souvenirs vieux de cinq à six ans et il faut qu’elle digère tout ça surtout qu’il y a Gilbert.
• Gilbert, que vient-il faire dans tout ça ?
• Si elle se refuse comme tu me l’as dit, c’est qu’elle s’est mariée de peur de faire voir autour d’elle la lesbienne qui est en elle, elle, la petite fille sage que tout le monde connaît autour d’elle.

Quelques minutes, Marie revient un plateau à la main avec verres et des orangeades, on voit qu’elle a séché des larmes.

• Je m’excuse, j’ai paniqué à l’évocation de Christine.
Je vais tout vous dire, à la fin de ce camp, elle voulait que je quitte mes parents et que je vienne habiter avec elle.
J’ai eu peur de mes parents et de ce que dirait le voisinage, je l’ai quittée et j’ai choisi le premier garçon qui a semblé s’intéresser à moi et je l’ai épousé.
• Et tu es déçu après avoir fait ce choix, c’est pour ça que tu te refuses à Gilbert depuis plusieurs mois !

En même temps des mots prononcés par Clarisse , je me demande pourquoi elle le fait.
Elle m’a montré une grande métrise de soi, alors pourquoi cette erreur ?

• Je vois que tu es étonnée que je te parle de ton mari et de ton refus envers lui.
Lorsque Gladys est arrivée avec son mari, je devais la mettre au courant des envies de son époux pour son couple, comme toi, ça battait de l’aile entre eux.
J’ai tergiversé et si Gladys avait été une femme simplement sur la vengeance de la trahison de son mari, elle serait repartie à Paris.
Elle a eu l’intelligence de rester et je pense qu’elle peut dire que l’harmonie règne dans son couple.
Tu sais Marie, si les hommes sentent que ça va de travers dans leur couple, ils vont voir ailleurs.
Je pense toujours que tu veux cacher ta vraie nature, tu rejettes la verge de ton mari au point de l’empêcher d’avoir un enfant avec toi !
Nous savons que vous avez essayé et que ça a échoué, tu lui as même demandé de faire des recherches sur sa fertilité, tu aurais voulu le castrer, tu t’y serais prise comme tu l’as fait !
• Tu as tout faux Clarisse et je vais te le prouver...

Tient, déjà la fin de la saison II, Clarisse semble métriser son sujet jusqu’à ce que Marie, nous présente sa version qui semble bien différente de celle que Gilbert a tenue à Gladys dans la pinède.
Qu’en soit-il, nous l’apprendrons certainement dans la saison IV de leurs aventures landaises.

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