COLLECTION ESCORT BOY. Ma voix m’a amené à devenir une pute (1/1).

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION ESCORT BOY. Ma voix m’a amené à devenir une pute (1/1). Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-06-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION ESCORT BOY. Ma voix m’a amené à devenir une pute (1/1).
Je me présente Christopher, à vingt-six ans, je suis la pute de dames friquées.
Il y a deux ans que je me prostitue afin de gagner de l’argent pour avoir une vie facile.
C’est ma sœur Corinne qui m’a mis le pied à l’étrier, oh ! bien sûr, sans le vouloir, mais aux actes sexuels contre rétribution.
Corinne est infirmière dans une Ehpad de bon niveau dans le XVIe arrondissement.
Je cherchais ma voie dans le show-business, mais pour 100 propos de garçon se trouvant une voix harmonieuse, 1 ou 2 arrivent à émerger.
Ma voix fait partie des cent, mais loin des deux gagnants.
Ma voix, certes, je pensais que c’était un atout, mais ma chevelure blonde et mes yeux bleus sur un corps à la musculature parfaite se sont avérés bien plus productifs.
Ce corps sans penser qu’il me servirait un jour à me faire payer pour baiser, je l’entretiens depuis mes douze ans ou j’étais chétif à en faire peur.
L’ablette ou l’asperge, c’était mes surnoms dans la cour de l’école tellement j’avais poussé vers le haut oubliant de m’étoffer.
Par chance, notre maire dans notre banlieue mettait à notre disposition un secteur sport avec foot, Mbappé, j’en ai rien à cirer ayant deux pieds gauches pour ce sport.
Étant grand, j’aurais pu être attiré par le poste de gardien, mais comme je l’ai dit, même à la télé, le foot je m’en bas la queue.
Excuser ma grivoiserie, j’en ai rien à foutre quoi que !
Il y avait la piscine, un albatros, c’est comme cela que l’on m’a défini lorsque nous sommes allés apprendre à nager pendant les temps d’école.
Un moniteur affecté à la piscine a voulu me faire faire un essai, mais j’ai vite dit, non, des heures à faire des longueurs si pour le foot je m’en battais la queue.
Excuser, mon manque de respect pour tous les albatros qui acceptent ces contraintes, j’ai préféré en avoir, mais sur la terre ferme dans une salle de musculation.
Les résultats sont venus et rapidement de monsieur sac d’os, je suis passé à monsieur muscles à la limite de devenir monsieur univers.
Bon, j’exagère, car je préférais un bon steak à des protéines infectes.
Et après ma mue corporelle et celle de ma voix, je suis ce que l’on appelle un tombeur.
Dès que j’ai pu perdre mon pucelage d’assez bonne heure avec Gisèle, la copine de Corinne, j’ai eu de nombreuses aventures avec des jeunes femmes toutes avec un âge loin de dépasser la trentaine.
Parmi elle, il y avait Sabine et Laurine, deux femmes mariées que j’ai baisées sans la moindre considération pour leurs maris et enfants.
Du moment qu’il y avait des trous et des poils, ça me suffisait.
Bref vie insouciance de cancre qui s’est retrouvé obligé de trouver une porte de sortie à vingt-cinq ans pour pouvoir crouter.
C’est Corinne qui m’a apporté la solution.

• Christopher, j’ai parlé avec ma directrice, elle est d’accord pour que tu viennes chanter devant les résidents tous les mardis après-midi.
Si ça plait, elle te fait fort de te faire des contrats dans tous leur groupe d’Ehpad de la région parisienne.

Ça s’était il y a deux ans et trois mois.
Trois mois à tourner et chanter avec des pépés et mémés certains Alzheimer, ce sont les plus assidus, leur maladie les ramenant dans leur jeunesse et Aznavour et Sardou leurs rappelant leurs premiers émois.
Les deux premières fois chez ma sœur, j’ai chanté mon répertoire, j’étais poliment écouté comme je l’étais dans les maisons de disques et maintenant de CD.

• Chante nous les lacs du Connemara.

Combien de fois ai-je entendu !
« Ma vie » pas celle de Barrière, la chanson qui fait partie de mes compos quand je la terminais me demandant.

• Petit, on veut « La Mama »celle qui nous fait pleurer.

La semaine suivante dès que je suis arrivée avec ma petite sono et ma guitare, j’ai attaqué ainsi !

• Pour vous faire plaisir, je vais demander à chacun de vous ce que voulez que je vous chante.

Il serait trop long de transcrire leur demande, on y serait encore demain et demain, je me fais une cliente à 1 000 €.
Mais je vais trop vite, pour gagner ces 1 000 € en plus de chanter, il faut que je devienne escorte.

• Bon, taisez-vous, nous allons changer de système, madame au bout du rang à gauche, que voulez-vous que je chante.
• Le Connemara.
• Je vois que Madeleine veut à tout prix nous imposer Sardou.
Mylène, je reviendrais à vous après, satisfaisons Madeleine avec le Connemara.

Je cherche sur ma tablette, parole de cette chanson, il va sans le dire que mon répertoire est loin de connaître tous ces titres, mais Internet va m’aider.
À partir de ce moment, même si Madeleine dès la fin du morceau redemande les lacs, je fais un tabac.
Jusqu’au jour environ trois mois ayant débuté dans cette Epad du 16e, dès ma prestation terminée, je rangeais mon instrument.
Je veux parler de ma guitare et non de mon costume trois-pièces.
Lorsqu’une femme la soixantaine marchant avec une canne s’est approchée.

• Christopher, vous savez que nos maisons de retraite permettent à certains de ses résidents de s’échapper à certains moments, j’en fais partie.
Ce soir puis-je vous inviter au restaurant, j’aime beaucoup l’homme que vous semblez être.

Resto, sa main sur notre table couverte de bijoux tous plus chers les uns que les autres, reposait comme une invitation.
Je l’ai recouverte sans penser à mal, simplement faire voir à Bénédite qu’elle était une personne fort courtoise.
Lorsque le dessert a été prix, elle a posé sa Master Carte sur le plateau et en as profiter pour sortir des billets, dont celui du dessus était vert avec un arc de Triumph.
Cent euros et à l’épaisseur il y en avait plusieurs.
Je les ai pris et glisser dans ma veste.

• Arrête toi ici, je vais te sucer et je viendrais te chevaucher.

Ça c’est très bien passé, j’ai assuré, j’étais tombé sur une fêlée du cul.
Elle m’a sucé jusqu’aux couilles, je sentais sa glotte caresser mon gland chaque fois qu’elle tentait de déglutir.
Le fric et l’oublie de petites culottes, tout était prévu, même si j’avais pu repousser les billets.
Nous étions dans ma vieille Lada, que ceux qui ignorent ce genre de voiture de 1980 regardent ce modèle, une vraie petite poubelle.
Elle était souple ayant été championne de France et vice-championne d’Europe de gym.
Elle avait épousé le ministre des sports de l’époque qu’elle avait quittée pour un homme bien plus friqué fumant le cigare et travaillant en contact avec la City Londonienne.
Son cigare lui avait abrégé sa vie et maintenant qu’elle était la reine de l’ Ehpad où je chantais et ou travaillait ma sœur.
Il va sans dire que dans les jours qui ont suivi le numéro de mon portable que j’avais donné à Bénédite s’est mis à chauffer avec en prime des restaurants où l’on m’invitait.
J’ai rapidement changé de voiture, une sportive remplaçant ma poubelle.
Son espace réduit et le manque de mobilité de mes clientes nous ont obligés à trouver mieux que ces espaces réduits.
Paris 16e, à quelques encablures de la maison de retraite, j’ai finie par avoir ma chambre presque attitrée.
Comment de l’une à l’autre lorsque j’avais fini mon numéro, je continuais à chanter pour leurrer ma sœur, j’avais toujours une deuxième prestation à assumer ?
Un jour dans un des Mercures de Paris, je me suis obligé de donner au réceptionniste de service, un des nombreux billets gagnés lorsqu’il l’a refusé.
J’ai toujours dans l’oreille ce qu’il m’a dit.

• Votre service est entièrement payé, même les pourboires, mais si vous arrivez à faire boire à vos clientes une bouteille de champagne, je gagnerais sur chaque bouchon.

Dans l’un d’eux, j’ai pu voir le prix, chaque fois, je réclamais à ma cliente du champagne sachant que je me faisais un ami à la réception.
Ce fut une ouverture vers du fric supplémentaire, si vous saviez le nombre de femmes seules qui leur demande un beau gosse pour la soirée et la nuit.
Ça m’a donné l’occasion de monter de classe d’hôtel, on dit des pays du golf que les hommes sont friands de petites chattes roses françaises.
Les petites blacks aussi, mais ils préfèrent les blondes aux yeux bleus comme moi.
Dans ces pays, les femmes sont bridées, mais certaines lorsqu’elles viennent pour leurs affaires adorent que je les défonce moyennant finance il va de soi.
Pour autant, ce changement de statut mon laissé umble, jeunes ou mi-jeune en palaces ou vieilles en Ehpad, je suis une escorte faisant consciencieusement son travail.
J’apprends rapidement que l’on devient rapidement un vieux beau.
Finir toutou de Bénédite ou d’une de ses consoeurs friquées.
Je suis prudent, au début j’ai flambé, maintenant tout est bon à prendre fric et cadeaux que je revends dès que je le peux.
Une belle Rolex avant cinquante ans, c’est bien, mais mes rêves sont tous autres.
J’ai en vue l’achat d’un vieux château périgourdin qui après que je l’ai rénové, je le ferais visiter en disant à mes visiteurs que je suis le Comte depuis des générations de ce monument de pierres.
Il y aura des soirées chants, c’est moi qui en serais la vedette, repas, produits régionaux et chants il y a du fric à ce faire.
Il va de soi que Corinne sera de la fête, même si entre-temps je me marie, c’est grâce à elle que je suis devenue une pute de luxe.
Excusez, comme je l’ai dit, j’ai un rendez-vous me permettant de me payer quelques pierres de plus.
Je connais ma cliente,c’est une de celles venant du golf, je pourrais vous donner le menu de ma soirée sauf dans le lit du palace ou dans le baignoir avec des robinets en or.
Cette salope aime que je la prenne là où je l’attrape, ma bite qui m’aide à devenir riche trouvant son chemin sans problème dans sa chatte chaude comme la braise.
Dans la baignoire elle adore que je lui chante les lacs du Connemara et dans un autre registre, « le zizi ».

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