COLLECTION ESCORTE. Comment j’ai débuté dans le métier. Saison I (3/8)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-03-2020 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION ESCORTE. Comment j’ai débuté dans le métier. Saison I (3/8)
Le taxi qui m’a conduit au pied de l’immeuble où habite Louis boulevard du Palais-Royal était disgracieux, la course étant courte.
Le billet que je lui glisse en pourboire lui ramène le sourire et c’est très respectueusement qu’il vient m’ouvrir la porte et sortir ma valise.
- Voulez-vous que je la monte jusque chez vous ?
- Non vous êtes bien gentil, mais continuez à travailler, je vais me débrouiller.
Le bas de ma chambre de bonne où j’habite a dû lui paraître un lieu où j’étais venue et que c’est dans l’immeuble de Louis que j’habite vue ma classe et sa classe.
Il a raison dans un sens, ce matin j’ai signé un bail de plusieurs mois dans un immeuble où mes fenêtres donnent directement sur le champ de Mars et la tour Effel.
Mon compte en banque commence à bien se remplir et c’est ainsi que chaque fois que je vais me faire du fric avec ma chatte je prends des taxis, c’est encore le cas aujourd’hui.
- Bonsoir Anabella, comment vas-tu, tu es de plus en plus belle.
Je le peux, je sors du coiffeur comme je le fais toutes les semaines et mes cheveux qui étaient raides sont bouclés, sans compter mes vêtements qui ont fini de sortir du supermarché du coin.
Je m’habile dans une petite boutique digne de grands couturiers.
- Mon argent.
- Tout doux ma belle le voilà.
Il me tend un paquet de billets, je contrôle que les 2 500 € sont bien là.
- Je vais dans la salle de bains me préparer va dans ta chambre, déshabille-toi et couche-toi sur ton lit entièrement nu.
Tu vas voir, depuis ton pote, outre mes tarifs, j’ai nettement progressé dans le sexe, tu vas en avoir pour ton argent.
Je vais dans la salle de bains où j’ouvre ma valise, je sors mon matériel de travail et surtout la tenue que j’ai amenée.
Guêpière en cuir noir sans aucune culotte, paire de bottes à la D’Artagnan, gants en cuir qui comme mes bottes me montent jusqu’au coude ainsi qu’une large ceinture que je sers fort et qui donne à mon corps l’impression d’une taille très fine.
Enfin pour affiner mon personnage qui va étonner Louis une casquette en cuir dans laquelle je rentre mes cheveux coiffés en chignon.
Je prends le martinet ainsi que la cravache que j’ai apportée sans oublier la paire de menottes.
Quand j’entre dans sa chambre Louis est tellement étonné que je lui passe une menotte à son poignet et que je fixe sur le barreau de son lit.
Il devient comme je l’espérais à ma merci, je vais pouvoir lui rendre ce qu’il m’a fait le jour où il m’a saoulé et qu’il m’a baisé.
- Retourne-toi, sinon c’est ta verge que je vais fouetter.
- Guénaelle, j’ai peur d’avoir mal, je suis très douillet.
Le coup de martinet que je viens de sortir de ma ceinture lui single les cuisses à quelques centimètres de sa verge qui est entièrement au repos.
- Je t’ai dit que Guénaelle est morte et que tu as créé Anabella la tigresse.
Regarde mes ongles ils vont te labourer, appelle-moi maîtresse Anabella débris humain.
- Oui maîtresse Anabella, je me retourne.
Il le fait et je prends mon pied ma chatte se liquéfiant littéralement à l’entendre pleurer.
A-t-il pleuré quand il a donné mon numéro de téléphone à son copain pour qu’il finisse le travail commencé en profitant de ma détresse.
Dès que son cul est en évidence je lui donne un coup moyennement fort, mais qui les rosisse.
Il hurle un coup au risque d’ameuter ses voisins qui pourraient venir à son secours.
- Tu veux gueuler, je reviens !
Je retourne dans ma valise et j’apporte un sac en plastique avec à l’intérieur une boule à bouche que j’ai stérilisée après la dernière fois où je l’ai utilisé.
Je lui place, le muselant ce qui me permet d’arrêter ses plaintes.
Je reprends ma flagellation sans m’arrêter les fesses de mon soumis se déchirant, et finissant par me faire mal au bras.
Je passe ma main sous son ventre, il bande, je suis contente de moi.
C’est un client qui m’a fait connaître le sadomasochisme où il était le sado et où j’étais là soumise ma chatte coulant à chaque coup, comme pour moi, inversant les fonctions.
J’ai chaud, mais je suis là pour faire jouir mon client aussi je lui donne l’ordre de se retourner et dès que je le peux, je saute sur son ventre et me pénètre de sa verge.
- Um-um.
Il veut me dire quelque chose mais la boule l’en empêche.
- Je vais t’enlever ta boule, tu me jures que tu t’arrêteras de crier.
Le oui qu’il me fait de la tête me montre qu’il est en accord avec celle qui cette fois le domine, j’enlève la boule.
- Maîtresse merci de me fouetter, j’aimerais encore recevoir votre martinet cela me rappelle beaucoup choses, relevez-vous je me retourne.
C’est incroyable je viens de déclencher chez cet homme d’âge mûr l’envie de souffrir et l’envie d’être dominé.
Ce coup-ci, c’est avec ma cravache bien à plat que je le fouette.
Il s’est placé sur les mains malgré la menotte, le cul relevé en rapport du reste de son corps.
Quand les coups pleuvent, sa queue tendue se dresse sous lui, il se mord les lèvres pour éviter que je lui muselle la bouche.
Pendant que je frappe la spatule bien à plat même si mon envie de le punir de ce qu’il m’a fait reste entière, je fais attention.
Je passe ma main sous son ventre le masturbant jusqu’au moment où de longs jets de sperme sortent de sa verge arrosant ma main et maculant ses draps.
Il s’affale, j’entends très nettement qu’il s’est endormi repu de coups et de fatigue.
Je vais me déshabiller, je prends tranquillement un bain.
J’appelle un taxi et après avoir remis ma tenue plus soft, je pars oubliant volontairement de lui détacher la main laissant un trombone sur sa table de nuit, à lui de se débrouiller.
Après ce traitement, je sais qu’il me rappellera.
C’est dès le lendemain que je reçois son appel.
- Maîtresse Anabella, j’ai beaucoup aimé, vous m’avez fait connaître ma vraie nature, comme je pense vous avoir fait trouver la vôtre.
Je vous rappelle dès que je peux payer la somme que vous me demandez.
J’ai mis deux heures à me détacher, mais c’est bon, j’accepte volontiers la punition que vous m’avez infligé.
Sans lui dire un mot, je raccroche, quand il aura les moyens de ses envies, je reviendrais, suis-je ou non, maîtresse Anabella.
Les semaines passent et mon travail a la fac se porte très bien.
Certes le rythme que j’inflige à mon corps est épuisant, mais ce sont bientôt les vacances et je pars un mois à la ferme de mes parents.
À la veille de prendre la route, je vais chercher la mini, trois couleurs que j’ai achetés.
Au début, j’avais un coup de cœur pour cette belle Mercedes coupée sport, mais mes parents auraient eu un doute sur l’évolution de ma vie.
Quand j’arrive, je joue un personnage, jean troué, basket basse avec petit chemisier discret.
Seule concession à ma nouvelle vie, j’ai acheté ces vêtements dans ma boutique.
Le chèque que j’ai laissé ferait pâlir mes parents.
Pour ma voiture, je leur dis que j’ai pu me la payer grâce au travail fait dans un restaurant Mac Do où je fais des heures chaque fois que je le veux.
- Viens dans mes bras ma fille, j’ai l’impression de retrouver ta mère quand je l’ai connue et qui faisait des ménages en dehors de ces heures de travail à la ferme que nous venions d’acquérir.
C’est beau la confiance pour sa progéniture.
À la fin de mon mois de repos je retrouve mon téléphone, mais je dois rapidement trouver une solution au problème que mes parents me posent, la veille de mon départ mon père m’a dit.
- Fifille, maman et moi avons décidé de venir passer trois jours à Paris.
Je sais que tu as seulement une chambre de bonne pour vivre alors nous irons à l’hôtel.
Panique à bord, si je les fais monter dans mon logement actuel avec vue sur la tour Eiffel, j’arriverais à la même découverte de mes activités que si j’étais arrivée en grosse voiture de sport.
Une nouvelle idée me vient, je retourne rue des Ursulines frappant à la porte de mon ancien logement.
- Oui, que voulez-vous ?
- Bonjour mademoiselle, j’étais locataire ici avant de déménager.
- Et vous avez perdu quelque chose.
J’ai seulement trouvé une petite culotte sous le lit, hélas je l’ai jeté.
- Non, permet moi d’entrer.
Voilà le roman que je lui raconte proche de la réalité.
- J’ai rencontré un homme dans les jardins du Luxembourg plus ancien que moi et nous sommes devenues amants.
Il a fini par m’installer dans un bel appartement donnant sur la tour Eiffel.
Il est allé en vacances avec sa famille et mes parents viennent de m’apprendre leur arrivée à Paris pour trois jours.
Je te propose de venir habiter chez moi et je reviendrais ici, car mon père aurait du mal à accepter que je sois la maîtresse d’un homme ayant son âge.
Il me dirait que je suis devenue une fille entretenue et me renierait.
- Si je peux te rendre service pour trois jours, pourquoi pas.
Elle fait sa valise et je la conduis à mon appartement.
Elle m’aide à charger quelques livres pour donner le change à papa.
Aurélie c’est le nom qu’elle me donne fait des études de pharmacie à la fac de Paris Descartes.
- Comment t’es-tu retrouvé rue des Ursulines en cours d’année ?
- Je vivais avec un gars que j’avais rencontré pendant mes vacances dans mon pays près de Reims et qui venait étudier à Paris à la fac de Vincennes.
Nous avions un studio à Saint-Mandé mais nous nous sommes fâchés quand il a voulu que je baise avec un de ses copains.
Ils avaient rapporté du champagne de chez nous et ils avaient décidé de me prendre en double pénétration.
Tu sais ce que cela veut dire.
- Deux gars une fille, c’est explicite.
- Excuse, si je t’ai offensé, j’ai fait ma valise et j’ai cherché un endroit près de mes cours pas trop chers.
Comme tu venais de déménager j’ai pris ta place.
Aurélie comme Guénaelle sommes des victimes de ce breuvage dit bénis des Dieux.
Les trois jours avec mes parents se passent merveilleusement sauf un seul point.
Ma mère a voulu voir le restaurant rapide où je travaillais, là encore il m’a fallu réfléchir vite.
- J’ai démissionné, le gérant venant de changer et le nouveau me mettait les mains aux fesses, je l’ai giflé et je suis partie.
- Bravo ma fille je vois que tu as la main aussi leste que ton papa.
- Restez zen, j’ai quelque chose de plus intéressant et mieux rémunéré en vue.
Je continuerais à être autonome.
Ils sont repartis le voisin qui nourrissait les cochons devant s’absenter à son tour.
Dès que leur voiture a tourné le coin, j’ai pris la mienne.
J’ai retrouvé Aurélie, j’ouvre la porte.
- Salope pourquoi m’as-tu caché que tu es une pute…
Le billet que je lui glisse en pourboire lui ramène le sourire et c’est très respectueusement qu’il vient m’ouvrir la porte et sortir ma valise.
- Voulez-vous que je la monte jusque chez vous ?
- Non vous êtes bien gentil, mais continuez à travailler, je vais me débrouiller.
Le bas de ma chambre de bonne où j’habite a dû lui paraître un lieu où j’étais venue et que c’est dans l’immeuble de Louis que j’habite vue ma classe et sa classe.
Il a raison dans un sens, ce matin j’ai signé un bail de plusieurs mois dans un immeuble où mes fenêtres donnent directement sur le champ de Mars et la tour Effel.
Mon compte en banque commence à bien se remplir et c’est ainsi que chaque fois que je vais me faire du fric avec ma chatte je prends des taxis, c’est encore le cas aujourd’hui.
- Bonsoir Anabella, comment vas-tu, tu es de plus en plus belle.
Je le peux, je sors du coiffeur comme je le fais toutes les semaines et mes cheveux qui étaient raides sont bouclés, sans compter mes vêtements qui ont fini de sortir du supermarché du coin.
Je m’habile dans une petite boutique digne de grands couturiers.
- Mon argent.
- Tout doux ma belle le voilà.
Il me tend un paquet de billets, je contrôle que les 2 500 € sont bien là.
- Je vais dans la salle de bains me préparer va dans ta chambre, déshabille-toi et couche-toi sur ton lit entièrement nu.
Tu vas voir, depuis ton pote, outre mes tarifs, j’ai nettement progressé dans le sexe, tu vas en avoir pour ton argent.
Je vais dans la salle de bains où j’ouvre ma valise, je sors mon matériel de travail et surtout la tenue que j’ai amenée.
Guêpière en cuir noir sans aucune culotte, paire de bottes à la D’Artagnan, gants en cuir qui comme mes bottes me montent jusqu’au coude ainsi qu’une large ceinture que je sers fort et qui donne à mon corps l’impression d’une taille très fine.
Enfin pour affiner mon personnage qui va étonner Louis une casquette en cuir dans laquelle je rentre mes cheveux coiffés en chignon.
Je prends le martinet ainsi que la cravache que j’ai apportée sans oublier la paire de menottes.
Quand j’entre dans sa chambre Louis est tellement étonné que je lui passe une menotte à son poignet et que je fixe sur le barreau de son lit.
Il devient comme je l’espérais à ma merci, je vais pouvoir lui rendre ce qu’il m’a fait le jour où il m’a saoulé et qu’il m’a baisé.
- Retourne-toi, sinon c’est ta verge que je vais fouetter.
- Guénaelle, j’ai peur d’avoir mal, je suis très douillet.
Le coup de martinet que je viens de sortir de ma ceinture lui single les cuisses à quelques centimètres de sa verge qui est entièrement au repos.
- Je t’ai dit que Guénaelle est morte et que tu as créé Anabella la tigresse.
Regarde mes ongles ils vont te labourer, appelle-moi maîtresse Anabella débris humain.
- Oui maîtresse Anabella, je me retourne.
Il le fait et je prends mon pied ma chatte se liquéfiant littéralement à l’entendre pleurer.
A-t-il pleuré quand il a donné mon numéro de téléphone à son copain pour qu’il finisse le travail commencé en profitant de ma détresse.
Dès que son cul est en évidence je lui donne un coup moyennement fort, mais qui les rosisse.
Il hurle un coup au risque d’ameuter ses voisins qui pourraient venir à son secours.
- Tu veux gueuler, je reviens !
Je retourne dans ma valise et j’apporte un sac en plastique avec à l’intérieur une boule à bouche que j’ai stérilisée après la dernière fois où je l’ai utilisé.
Je lui place, le muselant ce qui me permet d’arrêter ses plaintes.
Je reprends ma flagellation sans m’arrêter les fesses de mon soumis se déchirant, et finissant par me faire mal au bras.
Je passe ma main sous son ventre, il bande, je suis contente de moi.
C’est un client qui m’a fait connaître le sadomasochisme où il était le sado et où j’étais là soumise ma chatte coulant à chaque coup, comme pour moi, inversant les fonctions.
J’ai chaud, mais je suis là pour faire jouir mon client aussi je lui donne l’ordre de se retourner et dès que je le peux, je saute sur son ventre et me pénètre de sa verge.
- Um-um.
Il veut me dire quelque chose mais la boule l’en empêche.
- Je vais t’enlever ta boule, tu me jures que tu t’arrêteras de crier.
Le oui qu’il me fait de la tête me montre qu’il est en accord avec celle qui cette fois le domine, j’enlève la boule.
- Maîtresse merci de me fouetter, j’aimerais encore recevoir votre martinet cela me rappelle beaucoup choses, relevez-vous je me retourne.
C’est incroyable je viens de déclencher chez cet homme d’âge mûr l’envie de souffrir et l’envie d’être dominé.
Ce coup-ci, c’est avec ma cravache bien à plat que je le fouette.
Il s’est placé sur les mains malgré la menotte, le cul relevé en rapport du reste de son corps.
Quand les coups pleuvent, sa queue tendue se dresse sous lui, il se mord les lèvres pour éviter que je lui muselle la bouche.
Pendant que je frappe la spatule bien à plat même si mon envie de le punir de ce qu’il m’a fait reste entière, je fais attention.
Je passe ma main sous son ventre le masturbant jusqu’au moment où de longs jets de sperme sortent de sa verge arrosant ma main et maculant ses draps.
Il s’affale, j’entends très nettement qu’il s’est endormi repu de coups et de fatigue.
Je vais me déshabiller, je prends tranquillement un bain.
J’appelle un taxi et après avoir remis ma tenue plus soft, je pars oubliant volontairement de lui détacher la main laissant un trombone sur sa table de nuit, à lui de se débrouiller.
Après ce traitement, je sais qu’il me rappellera.
C’est dès le lendemain que je reçois son appel.
- Maîtresse Anabella, j’ai beaucoup aimé, vous m’avez fait connaître ma vraie nature, comme je pense vous avoir fait trouver la vôtre.
Je vous rappelle dès que je peux payer la somme que vous me demandez.
J’ai mis deux heures à me détacher, mais c’est bon, j’accepte volontiers la punition que vous m’avez infligé.
Sans lui dire un mot, je raccroche, quand il aura les moyens de ses envies, je reviendrais, suis-je ou non, maîtresse Anabella.
Les semaines passent et mon travail a la fac se porte très bien.
Certes le rythme que j’inflige à mon corps est épuisant, mais ce sont bientôt les vacances et je pars un mois à la ferme de mes parents.
À la veille de prendre la route, je vais chercher la mini, trois couleurs que j’ai achetés.
Au début, j’avais un coup de cœur pour cette belle Mercedes coupée sport, mais mes parents auraient eu un doute sur l’évolution de ma vie.
Quand j’arrive, je joue un personnage, jean troué, basket basse avec petit chemisier discret.
Seule concession à ma nouvelle vie, j’ai acheté ces vêtements dans ma boutique.
Le chèque que j’ai laissé ferait pâlir mes parents.
Pour ma voiture, je leur dis que j’ai pu me la payer grâce au travail fait dans un restaurant Mac Do où je fais des heures chaque fois que je le veux.
- Viens dans mes bras ma fille, j’ai l’impression de retrouver ta mère quand je l’ai connue et qui faisait des ménages en dehors de ces heures de travail à la ferme que nous venions d’acquérir.
C’est beau la confiance pour sa progéniture.
À la fin de mon mois de repos je retrouve mon téléphone, mais je dois rapidement trouver une solution au problème que mes parents me posent, la veille de mon départ mon père m’a dit.
- Fifille, maman et moi avons décidé de venir passer trois jours à Paris.
Je sais que tu as seulement une chambre de bonne pour vivre alors nous irons à l’hôtel.
Panique à bord, si je les fais monter dans mon logement actuel avec vue sur la tour Eiffel, j’arriverais à la même découverte de mes activités que si j’étais arrivée en grosse voiture de sport.
Une nouvelle idée me vient, je retourne rue des Ursulines frappant à la porte de mon ancien logement.
- Oui, que voulez-vous ?
- Bonjour mademoiselle, j’étais locataire ici avant de déménager.
- Et vous avez perdu quelque chose.
J’ai seulement trouvé une petite culotte sous le lit, hélas je l’ai jeté.
- Non, permet moi d’entrer.
Voilà le roman que je lui raconte proche de la réalité.
- J’ai rencontré un homme dans les jardins du Luxembourg plus ancien que moi et nous sommes devenues amants.
Il a fini par m’installer dans un bel appartement donnant sur la tour Eiffel.
Il est allé en vacances avec sa famille et mes parents viennent de m’apprendre leur arrivée à Paris pour trois jours.
Je te propose de venir habiter chez moi et je reviendrais ici, car mon père aurait du mal à accepter que je sois la maîtresse d’un homme ayant son âge.
Il me dirait que je suis devenue une fille entretenue et me renierait.
- Si je peux te rendre service pour trois jours, pourquoi pas.
Elle fait sa valise et je la conduis à mon appartement.
Elle m’aide à charger quelques livres pour donner le change à papa.
Aurélie c’est le nom qu’elle me donne fait des études de pharmacie à la fac de Paris Descartes.
- Comment t’es-tu retrouvé rue des Ursulines en cours d’année ?
- Je vivais avec un gars que j’avais rencontré pendant mes vacances dans mon pays près de Reims et qui venait étudier à Paris à la fac de Vincennes.
Nous avions un studio à Saint-Mandé mais nous nous sommes fâchés quand il a voulu que je baise avec un de ses copains.
Ils avaient rapporté du champagne de chez nous et ils avaient décidé de me prendre en double pénétration.
Tu sais ce que cela veut dire.
- Deux gars une fille, c’est explicite.
- Excuse, si je t’ai offensé, j’ai fait ma valise et j’ai cherché un endroit près de mes cours pas trop chers.
Comme tu venais de déménager j’ai pris ta place.
Aurélie comme Guénaelle sommes des victimes de ce breuvage dit bénis des Dieux.
Les trois jours avec mes parents se passent merveilleusement sauf un seul point.
Ma mère a voulu voir le restaurant rapide où je travaillais, là encore il m’a fallu réfléchir vite.
- J’ai démissionné, le gérant venant de changer et le nouveau me mettait les mains aux fesses, je l’ai giflé et je suis partie.
- Bravo ma fille je vois que tu as la main aussi leste que ton papa.
- Restez zen, j’ai quelque chose de plus intéressant et mieux rémunéré en vue.
Je continuerais à être autonome.
Ils sont repartis le voisin qui nourrissait les cochons devant s’absenter à son tour.
Dès que leur voiture a tourné le coin, j’ai pris la mienne.
J’ai retrouvé Aurélie, j’ouvre la porte.
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