COLLECTION ESCORTE GIRL. Colocataire anglaise (1/4)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION ESCORTE GIRL. Colocataire anglaise (1/4) Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-07-2020 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION ESCORTE GIRL. Colocataire anglaise (1/4)
Ma sexualité de jeune fille a débuté quelques jours après mes 12 ans.
J’ai découvert mon corps et mes doigts mon clito et ma grotte.
À 14 ans, allant fréquemment sur Internet, je me suis fait livrer un gode ventouse chez une copine sans lui dire qu’elle avait été mon acquisition.
Je me suis empalée sur cette bite alors que je l’avais collé sur le carrelage de ma salle de bains.
Ma chambre, ma salle de bains étaient mes lieux privés que mon père respectait.
Il était veuf depuis ma naissance et m’avait élevé avec les meilleurs principes d’amour et de respect de soi.
À 17 ans, j’avais mon bac et comme je voulais devenir parfaitement bilingue, nous avons décidé que je m’exilerais à Londres continuer mes études.
Mon père ayant une très bonne situation, nous avons trouvé une colocation avec une jeune anglaise dans le quartier de la City à deux pas du King’s Collège où il arrive à me faire inscrire.
Dans son budget, il avait prévu la coloc et 3 000 € pour mes frais en plus de l’inscription.
J’étais sans crainte pour les finances familiales, à ma naissance, ils avaient ouvert une épargne étude.

Après pour la première fois, je prends le tunnel sous la manche, je fais la connaissance de Victoria jeune fille un an plus vieille que moi.
Elle est inscrite dans une autre école pour les arts.
Jolie, pétillante, elle me fait rapidement progresser en anglais en plus de mes cours.
Je travaille d’arrache-pied.
On s’entend à merveille, malgré mon travail et ses fréquentes absences certains soirs.
J’ai vite compris qu’elle avait un amant qu’elle rejoignait.
J’avais amené mon propre amant qui me satisfaisait chaque fois que ma chatte me démangeait.
À 17 ans, j’étais vierge de signe et de sexe, bien que j’aie fait disparaître mon hymen depuis trois ans.

Ça fait six mois que je vis ma vie anglaise, faite de travail et de promenade dans le parc Victoria.
C’est drôle, même noms, nous en rions souvent avec Victoria.
Ce soir-là, je l’ai vu se préparer toujours très sexy, moi qui suis plutôt classique sans faire vieille fille pour autant.
Elle est partie prenant sa valise qu’elle range dans son coin de placard sans jamais l’ouvrir en ma présence.
À penser à ces choses grivoises, ma chatte s’est échauffée et comme j’avais un travail important pour le lundi suivant, j’ai collé mon gode sur le parquet lisse.
Je me l’enfilais jusqu’à ses couilles en me caressant le clito, son usage depuis si longtemps me le permettant, j’ai vu la porte s’ouvrir et Victoria entrer.

- Oh ! my god !

Bien sûr, en français.

- Oh ! mon Dieu !

C’est dans cette position qui devait être ridicule que Victoria me parle comme si tout était normal.

- Je croyais que tu étais toujours vierge.
As-tu eu beaucoup d’hommes ?

Comment lui dire qu’à part ce morceau de plastique planté en moi, je suis vierge de tout homme ?
Surtout quand elle me fait une drôle de proposition.

- Véronique, j’ai besoin d’un service pour demain soir !
- Dis-moi, si je peux t’aider.
- Je suis venue prendre les clefs de ma voiture que j’ai oubliées.
- Tu as une voiture ?
- Oui, mais comme je suis censée être pauvre, je la gare assez loin pour te la cacher.
- Censée être pauvre ?
- Oui, en arrivant l’an passé, je me suis très vite aperçu, que mon budget était trop serré malgré la colocation que j’avais avec Élisabeth.
Un jour, j’étais dans un bar quand un homme m’a proposé de le suivre dans son hôtel.
Je lui ai dit non, il m’a proposé du fric.
- Et tu as accepté ?
- C’est ça, ça été le premier avec qui j’ai couché pour du pognon.
Depuis, j’ai largement complété ma clientèle, devenant entièrement autonome.
- C’est pour ça que tu pars souvent avec ta valise ?
- Oui, j’y vais, demain je te demanderais quelque chose.
Je vais être en retard.

Elle est repartie ayant récupéré ses clefs me laissant pantoise toujours mon gode dans la chatte.
Toute la nuit, j’ai pensé à ce qu’elle faisait auprès du client avec lequel elle se trouvait.
J’en ai conclu, que ces verges qu’elle acceptait en elle pour de l’argent, je pouvais les considérer à armes égales avec mon gode qui me pénètre sans amour.
C’est un peu gêné qu’au matin elle s’en retourne.

- Ce que je fais, te choc ?
- Non, j’étais loin de penser que tu étais une prostituée.
- Une occasionnelle, je suis une occasionnelle qui un jour se mariera et oubliera ce moment de ma vie.
- Hier tu as commencé à me dire que tu aurais besoin d’un service, je serais heureuse de te le rendre.
- Après avoir réfléchi, je me demande si c’est une bonne idée qui m’est passée par la tête.
Je vais téléphoner à mes clients qu’ils se trouvent deux autres filles.
- Tu m’intrigues Victoria, tu en as trop dit, fait moi confiance, ce que tu vas me demander resteras entre nous.
- Bon, je me lance, mais je veux que notre amitié reste entière, même en cas de refus.
- Tu m’emmerdes Victoria, je suis majeur et je sais diriger ma vie.
Pardon d’avoir été un peu grossière.
- Bon, voilà, ce soir j’avais rendez-vous avec des jumeaux d’une cinquantaine d’années.
Rebecca, une autre escorte avec qui je travaille, devait m’accompagner, mais elle m’a téléphoné pour me dire que sa grand-mère écossaise était décédée et qu’elle partait pour Glasgow à son enterrement.
- Et tu voudrais que je t’accompagne ?
- C’est bête, d’avoir pensé à ça, mais j’ai du mal de m’asseoir sur 5 000 £.

5 000 £ à peu près l’équivalent de 5 000 €, c’est une somme.
C’est pour ça que je vais parler en euros, pour faciliter mon histoire.

- 5 000 la soirée avec des jumeaux, les hommes sont dingues.
- Pas tant que ça, avec nous, nous jouons des rôles que leurs épouses refusent souvent.
Fellation, même les positions comme la levrette, elles baisent simplement dans la position du missionnaire.
- Simplement en missionnaire, ça doit être triste.
- Voilà à quoi l’on sert.
Satisfaire leurs fantasmes contre du pognon.
C’est l’âge de ces mecs qui te choque ?
- Non, et si je te disais oui !

Je suis folle, à part mon gode, l’amour physique, c’est à travers des vidéos porno que je le connais.
Découvrir le sexe d’un homme contre du pognon, ça devrait me choquer moi qui contrairement à ma coloc en aie largement assez, ça peut-être drôle.
De plus, même si j’en ai assez 2 500 €, c’est une somme.

- Victoria appelle tes clients, ce soir je t’accompagnerais, tu as certainement besoin de ces 2 500 €.
- 3 000, ces clients, ce sont les miens, toi tu toucheras 2 000 €.

À quoi bon des discussions de marchandes de chapeaux.
Ce jeu que j’accepte de faire, dépasse la somme que je toucherais.

Il est 19 heures quand elle ouvre son armoire, nous faisons toutes les deux du 36 et ses fringues sont plus en rapport de ce que je vais aller faire.
Jusqu’au maquillage que je pratique avec parcimonie pour les grandes occasions, me transforme en ce que je suis une pute.
C’est dans l’ascenseur où il y a une glace en pied sur le fond de la cabine que je prends conscience en me voyant, moi qui suis vierge dans toutes les acceptions du terme, je vais vendre mon corps.
Soyons courageuse, ce que je vais faire ici à Londres, j’aurais été dans l’incapacité de faire la même chose à Paris de peur de me retrouver devant un ami de mon père.
Un taxi, la valise mystérieuse dans la main de Victoria, il nous dépose devant l’un des plus grands hôtels de Londres.

- Bonsoir, Victoria, chambre 69, ta nouvelle amie est fort jolie.
- Merci John.
Bonne soirée à vous aussi.

Je vois Victoria serrer la main du réceptionniste.
Je vois qu’un billet change de main.
Nous nous dirigeons vers les ascenseurs.

- Tu vois ces deux clients que nous allons rencontrer, ça fait trois fois qu’ils font appel à moi.
La première fois, c’est ce réceptionniste qui a donné ma carte avec mon numéro de téléphone à ses clients, il faut savoir les récompenser même si pour ce soir, il est resté en dehors de la transaction.
Les réceptionnistes sont les plus grands amis des escortes.

Je m’aperçois que j’emploie le « tu » de la langue française alors que le « you » anglais nous ôte ce léger problème de communication dès qu’un des jumeaux ouvre la porte en peignoir.

- Entrez, ton amie est magnifique, dommage pour Rebecca, mais pour nous vous la remplacez avec beaucoup d’avantages.

Je pénètre dans cette chambre où le jumeau de celui qui a ouvert est, lui aussi là en peignoir coucher sur le lit plus grand que le lit de mon père.

- Voici votre enveloppe.

Victoria la prend et la met dans son sac.
Elle me conduit vers la salle de bains.
Elle ouvre sa valise.
Que contient-elle ?...

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