COLLECTION ESCORTE GIRL. Femme BCBG, escorte, non, pute… La suite (152)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : COLLECTION ESCORTE GIRL. Femme BCBG, escorte, non, pute… La suite (152) Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-01-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION ESCORTE GIRL. Femme BCBG, escorte, non, pute… La suite (152)
Mon dieu, quelle organisation, c’est une pieuvre que je retrouve en reprenant pied sur terre.
C’est la réflexion que je me fais en retrouvant ma maison de Chennevières sur marne.
Ma maison, oui, je me souviens avoir signé des papiers pour l’acquérir, mais la fourmilière qu’elle est devenue me fait me douter qu’elle soit toujours à moi.
Sur un certain plan, après l’épreuve que je viens de vivre, je suis satisfaite que tout ceci repose sur les épaules de mes petites filleules.
Katia, Ophélie et Chloé semblent dominer leur sujet et c’est impressionnant à leur jeune âge l’assurance qu’elle me montre depuis mon retour.
Chloé qui gère un tout nouveau système pour moi, inculte de ce monde nouveau de l’informatique et de ces voyeurs.
Payer pour regarder des gens vivre leur vie de tous les jours, il fallait avoir une drôle de dose de culot pour créer ce système.

• Cloé, comment s’appelle le site que vous avez créée ?
• « Réalité caméra » nous avons pensé à un nom entièrement français, mais comme notre système est diffusé autour du monde, hélas, l’Anglais a pris le pas sur le Français.
« Réalité caméra » est compréhensible dans bien des langues.
Christine tu vois sur cet écran, prenons comme exemple le couple ou Gorges prend Mira en levrette, on les voit baisés par la caméra 3, tout le monde peut les voir.
Elle est ouverte en libre-service.
Ça fait cinq minutes que je les observe, eux aussi le savent, ils ont appâté les voyeurs et regardent, ils quittent la salle et le canapé, ils prennent un couloir et rentrent dans leur chambre.
• Tiens, c’est un autre couple qui a pris le relais ?
• Non, c’est une image répétitive, seules les personnes ayant souscrit un abonnement peuvent voir le couple reprendre leurs ébats avec les caméras que nous avons placées dans la chambre.
Mira est l’une de nos vedettes du réseau avec Gorges, le couple est logé gratuitement et touche une certaine somme sur le temps ou des voyeurs payant les mates.
• Il vive en baisant et en étant des comment dit-on, ma mémoire me fait défaut ?
• Ce sont des exhibitionnistes qui ont trouvé là le moyen de baiser en se faisant du fric, ça leur rapporte assez pour vivre.
Nous aussi par la même occasion, nous touchons un gros pourcentage des « Christine » que les voyeurs achètent en monnaie de leur pays.
J’ai la possibilité de regarder ce qui se passe dans la chambre, tu veux voir.
• Oui, Mira et Gorges, sont-ils en France ?
• Je devrais garder ça pour moi, mais comme je sais qui tu es ainsi que le rôle que tu as joué et ce qui m’a permis de connaître Ophélie.
Katia, toi qui es un peu la responsable de tout ici, je peux le dire à notre amie.
• Considère Christine, comme la cheffe maintenant qu’elle nous a rejointes.
• Mira et Georges sont des Suisses, leur appartement est à Genève, ils ont trente ans pour Georges et vingt-six pour elle.
• Je commence à comprendre, l’organisation est-elle propriétaire de cet appartement !
• Christine, tu as vu l’expansion prise par l’organisation, qui si tu l’as oublié, as été créée grâce à ta marraine Virginie, nous avons eu des problèmes de bénéfice.
L’argent de la prostitution que nos filles nous rapportaient, il fallait le blanchir.
C’est à cette époque que notre amie Chloé a rencontré Ophélie dans son école d’informatique, elle avait l’idée des appartements, mais elle était sans le sou.
Elles ont tout mis en place et nous avons proposé au comité, que j’ai intégré en lieu et place de toi Christine de tous financer.
Nous avons acheté ce premier appartement et le matériel nécessaire.
• Katia, je te cherchais, j’ai fini de balayer le cours de tennis et de nettoyer la salle de douches.
Madame, vous êtes là, Katia, tu aurais dû me prévenir que la patronne était rentrée, je serais venu tout de suite la saluer.

Comment dit-on, je tombe sur le cul, ce beau jeune black me dit vaguement quelque chose ?

• Madame, je vois que vous semblez chercher qui je suis ?
Aliou, le jeune gars que vous avez rencontré gare de Lyon et que vous avez engagé pour entretenir votre maison.
• Marraine, Aliou m’a tout raconté de votre rencontre, de l’argent que tu lui as donné, 500 € je crois, et à mon retour de Moscou fidèle à ta promesse, j’ai gardé Aliou.

Encore une surprise, même si ce beau mâle a été mon amant, Katia, plus jeune que lui doit avoir su se servir du beau paquet que je peux voir dans son pantalon.
Mais ça, l’avenir me le montrera ou pas.
Depuis que William m’a remis le pied à l’étrier, je sais reconnaitre que j’ai aimé le sexe et que j’aime le sexe.
Je comprends que Katia à qui j’ai vendu son hymen à Moscou ait pu flacher sur ce garçon dont l’histoire est loin de m’être inconnue.
Devoir naviguer entre le présent et le passé présente un effort surhumain et je me rends compte qu’il faut que je digère tous ça.

• Katia, nous reparlerons de tout ça demain, ou puis-je me coucher ?
• Mais dans ta chambre marraine, elle est restée libre depuis notre départ pour Moscou et ton...
• Tu veux éviter de me parler de la balle que j’ai reçue, soit sans crainte, je l’ai encaissé comme je viens d’encaisser que tu as gardé Aliou qui a dû être mon amant.
• Marraine, j’ai l’impression que tu penses qu’Aliou est mon amant, tu te trompes, c’est Valérie qui l’a pris sous son aile lorsque Vladimir est parti avec son fils.
Tu vas pouvoir reprendre ta place, Christine.
• Je sais l’évolution de tous et de toutes, je vais savoir rester à ma place, vous vous en sortez très bien sans moi.
Montrez-moi où se trouve ma chambre, ça je l’ai oubliée !

Katia ouvre le chemin et je retrouve un lieu, lui aussi familier, que je vais de nouveau devoir m’accaparer.
Je me dénude, j’enlève ma perruque rousse.
Je redécouvre ma salle de bain et surtout ma baignoire, à la maison médicalisée, j’avais juste une douche.
J’y serais restée des heures, mais l’eau commence à refroidir, je sors, je m’essuie et je me couche.
J’aimerais pouvoir dire que je me mets à sucer mon pouce, j’ai largement passé l’âge de ça, il me semble.
Je dors, je suis bien, quand je sens le matelas bouger et une main venir se poser sur ma chatte.
J’aime ces sensations nouvelles, bien que celle-là semble en terrain de connaissance.
J’ai déjà senti cette main se poser sur mon intimité, mes ou et quand ?
Je repense à la douche et à la chambre ou j’ai repris pied sur terre.
Mon lit était à une place alors que celui où je me trouve a été conçu pour un régiment.
C’est le souffle chaud dans mon cou, qui me donne la réponse, Virginie ma marraine en bonne voisine est venue me retrouver.
C’est dans un souffle voyant certainement que malgré la nuit je suis réveillé qu’elle me dit des mots doux.

• Ma chérie, repose-toi, je viens de rentrer de ton institue de beauté, Anne avait besoin que je garde Sindy, car elle avait un rendez-vous.

Sindy, Anne, mon institue ou va s’arrêter ces découvertes, dont j’en découvre ou redécouvre certaines, même dans cette nuit.
Virginie qui chaque fois qu’elle me rejoignait dans ma couche avait ce geste de possession en me prenant la chatte.
Il est vrai que c’est elle qui a su éveiller ma sexualité et quelle sexualité si j’en crois tout ce que je redécouvre.

Il fait encore nuit lorsque j’entends des sortes de sanglots.
Il y a un radio-réveil qui diffuse une douce lumière verte, me permettant de voir suffisamment marraine qui s’est retournée et qui sanglote à l’autre bout du lit.
Je me rapproche et je la prends dans mes bras.
J’aime tenir cette forte femme le long de mon corps.

• Virginie, pourquoi pleures-tu ?
• C’est à cause de mon fils, il me manque.
• Quand le retrouves-tu ?
• Je te l’ai dit, en juillet pour un mois, en attendant c’est son père qui l’élève à Berlin, en Allemagne !

Virginie redouble de pleurs, je la prends dans mes bras et je la cajole.

• J’ai perdu la notion du temps, Wiliam ramassait des feuilles dans le parc de la maison de remise en forme, nous sommes en quelle...
• Saison, ma chérie, j’ai compris que tu butais sur certains mots, snif.

Ces mots, elle me les dits d’une toute petite voix, elle qui à chaque fois que je la vois, j’ai en partie le souvenir d’une femme forte.
J’allume la lumière le bouton étant au-dessus du lit.

• Regarde-moi, Virginie, sèche tes larmes, si je me souviens bien du temps de ma scolarité, il y a bientôt des vacances ?
• Oui, celles de la Toussaint entre octobre et novembre en France !
Ça c’est pour les enfants qui sont scolarisés, mais pour Grégorie, la rentrée se fera l’an prochain, à quelques jours près il était trop jeune pour celle de 2023.

Grégorie, ce nom me dit vaguement quelque chose, pour le moment, ça m’échappe.

• C’est son père qui a voulu lui donner ce prénom, il était à Moscou lorsque ce nom a fait scandale en France.
Pour Vladimir, c’était le nom de son grand-père et c’était une tradition d’appeler le premier garçon de ce nom.
Pour moi, je voulais que nous l’appelions Jules.
• Était le nom de ton grand-père ?
• Non, j’ai toujours aimé les noms anciens, Jules, Gorges, Léon, mais Grégorie, ça me faisait penser à l’affaire du même nom où un enfant a été retrouvé mort dans la Vologne.
Surtout qu’à ce jour, l’affaire est toujours non élucidée, je crois que c’est au milieu des années 80 que cette affaire a éclaté.

Je suis née, heu, je dois chercher, à oui, 1990, cet enfant est mort quelques mois après ma naissance.
Comme le meurtre est resté non élucidé, ils devaient en parler de temps en temps, c’est pour cela que ce nom me disait quelque chose.

• Valérie, regarde-moi et si nous partions quelques jours à Berlin, je me rendrais au domicile de Vladimir, mes souvenirs me revenant.
Je me souviens que j’avais des bonnes relations avec lui, il accepterait peut-être de nous confier ton fils pour quelques heures.
Avec Katia, tu as continué à faire tourner notre affaire, nous avons les moyens de nous payer quelques heures de bon temps, ma chérie.

Valérie me tombe dans les bras, nos lèvres se retrouvent ainsi que nos langues.
Prendre une initiative, ça remet les idées en place.
Voyager avec celle qui a fait de moi ce que je suis et l’aider au bonheur de retrouver son fils, si j’y arrive, cela me redonnera goût à la vie...

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