COLLECTION ESCORTE GIRL. Femme BCBG, escorte, non, pute… La suite (159)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Récit libertin : COLLECTION ESCORTE GIRL. Femme BCBG, escorte, non, pute… La suite (159) Histoire érotique Publiée sur HDS le 06-03-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION ESCORTE GIRL. Femme BCBG, escorte, non, pute… La suite (159)
À ma pogne, le Moché, patron des magasins « RECORD. »
Patron, oui, mais sous le contrôle de Rachel, son épouse grâce à un contrat de mariage ficelé aux petits oignons par Abraham, son beau-père avant sa disparition.
Je l’ai à ma pogne, j’avais devant moi un homme d’un fort caractère.
Sans être vraiment une baudruche, les arguments que je lui oppose concernant son fils et sa future belle fille le rendent doux comme un agneau.
Fini le mec arrogant, je vais pouvoir lui présenter mes exigences.

• Que veux-tu pour me faire pardonner ?
• Et surtout que je me taise devant ta femme sur tes débordements avec des putes.

Ces mots voilà pourquoi je dis que je l’ai à ma pogne.
Pardonner, si je le fais, dans mon souvenir, c’est reconnaître que l’on baisse les bras.
Comme je l’ai dit, Katia a été l’une des putes qu’il a rencontrées.
Hier nous avons eu une conversation et c’est elle qui m’a informé ou confirmer certaines choses dont Moché est friand et dont je me sers aujourd’hui.

• Tu as vu qu’au troisième étage, un appartement est en vente, il y a un panneau sur le balcon, j’ai joint Illy, une amie qui gère une agence immobilière.
Le fils vend l’appartement après le décès de son papa, quatre pièces à 650 000 €, tu l’achètes, ici ce logement étant devenu trop petit pour un couple.
Tu vas me dire que quatre pièces, c’est trop grand pour un jeune couple, mais s’ils décident de se marier, tu le mettras dans la corbeille de mariage.
• Tu te rends compte 650 000 €, je vais me faire taper sur les doigts, j’arrive à cacher des sommes, mais là ma femme sera mise au courant.
• Soit patient, j’ai une autre offre à te faire.
Illy m’a dit qu’à 550 000 ou au maxi 560 000 €, elle se fait fort de nous aider pour l’obtenir.
À cette heure, elle a dû déjà déposer une option.
Tu sais y faire en blanchiment d’argent, j’apporte 300 000 € en liquide avec un partage du titre de possession à cinquante, cinquante.
Tu gagnes sur le prix et tu gagnes en cas de revente.
Je vois ton œil qui s’allume, tu te vois déjà revendre dès que l’opération se sera réalisée, si par tes ancêtres tu as le sens des affaires, moi aussi pourtant je suis une goy.
Tu pourras revendre avec mon accord dans dix ans.
Seul ton fils pourra casser le contrat et empocher la plus value.

Avec Katia, nous avons vu l’opportunité de blanchir de l’argent, surtout que reprenant mes activités, je pense faire entrer un maximum de fric pour l’organisation.
Ai-je été la plus prolifique sans le savoir pour faire rentrer de l’argent depuis le premier soir ou je me suis connecté sur le système d’Ophélie ?

Connecté au système d’Ophélie, il faut que je cherche comment ça marche.
Encore une coupure de connexions.
Ça dure quelques minutes avant que les fils se reconnectent.
Je vais devoir reprendre rendez-vous avec Amandine, pour lui signaler ce nouveau phénomène.
Ai-je vraiment un problème ou mon cerveau m’aide-t-il à revoir mon amante ?
Je voudrais le croire, car sa petite chatte me manque déjà.
Eh ! mon cerveau arrête de déconner, même si elle me semble très occupée, si je l’appelle ses premières heures de liberté, c’est vers moi qu’elle se précipitera, son mot étant assez explicite.

Pour décider d’investir dans mon projet, cinq minutes ont suffi à Katia pour qu’elle approuve me montrant la très bonne femme d’affaires qu’elle est devenue.
J’ai des carences vues mon coma, Virginie semble plus tournée vers la récupération de son fils que de faire prospérer notre bien à toutes.
De nouveau j’entends Moché me parler.

• Moi, qu’est-ce que j’y gagne, je prends les risques avec les services financiers de l’état et toi tu blanchi 300 000 € dans la pierre.
Voir plus, car moi aussi j’ai des idées et votre fric, si je comprends bien gagner avec vos clients, c’est moi qui ai le moyen de vous aider.
• Je me doutais que la partie serait serrée, nous vivons de cul et toi tu aimes le cul en prenant des risques avec ta femme si elle apprend que tu la trompes.
Les douze prochains mois après signature, je te fournis gratuitement une fille pour un après-midi.
Tu les choisis comme tu le fais, tu appelles le numéro que je vais te donner, des signatures et elle viendra te rencontrer ici.
• Si tu me fais acheter cet appartement pour mon fils et sa goy, il est inutile de payer ce loyer, il y a des hôtels pour baiser.
• Tu vas l’acheter et là encore, je vais t’aider, veux-tu en plus tirer un coup.
• Tu veux baiser avec moi !
• Oui, mais une partouze à trois, ça t’intéresse !
• Deux femmes j’espère !
• Oui, fini tes profiteroles, je vais te présenter quelqu’un, nos filles sont jeunes, mais je pense que nous allons passer une bonne fin d’après-midi.

Nous quittons la mansarde, un étage et nous sommes devant la porte d’Agathe et Quiqui, je sonne.

• Oh ! non encore vous, je pense que vous abusez !
• Pas le moins du monde, j’ai appris de nouvelles choses et j’ai besoin tu me donnes des explications.
• Mais qui êtes-vous pour me tutoyer.

Quiqui est dans mes pieds et essaye de me mordre, je suis à deux doigts de lui balancer un coup de talon et le faire valser à l’autre bout du couloir.

• Quiqui laisse la dame, je sais, elle est méchante, va te coucher, je viendrais te cajoler lorsqu’ils seront partis.

Je vois le chien quitter ma jambe et partir vers le couloir ou semble se trouver les chambres.
Agathe semble plus vieille, certainement, car elle est démaquillée, de gros bigoudis dans les cheveux et dans une affreuse robe de chambre à brandebourg sur le dos.
Il lui manque simplement le masque de beauté blanc, genre Scream qui ferait avorter une couvée de singes.
Je sens qu’elle me craint, je dois garder l’initiative, je travaille en terrain hostile, surtout que j’ignore les réactions de la dame.

• C’est tout ce que tu as à mettre sur toi, même chez toi !
Quel âge as-tu cinquante, cinquante-deux.
Moché, si tu rencontrais Agathe au détour des escaliers, tu aurais l’idée de la baiser.
Tiens, regarde par toi-même, même sa chatte semble d’un autre âge.

Je prends la main de Moché et comme je l’ai fait en arrivant et en montant dans l’ascenseur et je la glisse dans les pans de l’affreuse robe de chambre.
Agathe a une drôle de réaction, elle tombe en sanglots, je me sens dans l’obligation de la prendre dans mes bras.

• J’ignore comment, snif, tu t’appelles, moi, tu sais que c’est Agathe, car mon nom est au-dessus de, snif, la sonnette.
Ah ! arrêtez, enlevez votre main, je sens, snif, que je vais défaillir.
Lorsque Paul est mort après avoir trop, snif, fumé, il y a trois ans, il m’a fait jurer, snif, de lui rester fidèle.
Ce peignoir à brandebourg, c’est, snif.

Un grand sanglot lui sort du fond du cœur, je sens que ses larmes sont sincères, mère Teressa, mais aussi un peu psy, lorsque l’on rencontre nos clients, souvent, il vous fond des confidences.
Exemple, si Moché lorsqu’il était avec Katia et qu’il lui a fait des confidences, c’est grâce à ça que j’ai eu un angle d’attaque afin de régler le problème de son fils et de sa goy.

• À Paul, il était capitaine dans les gardes républicains, il était règlement jusqu’au bout des ongles.
• J’ai compris, enlève-moi ça, tu vas te sentir tout de suite beaucoup mieux.

Moché recule sa main, je défais les brandebourgs un à un et je fais tomber cette horreur vers le sol.
Dessous, chemise de nuit en pilou à fleurs.
Je profite de mon avantage et de l’espèce de stupéfaction qui a frappé Agathe, ces sanglots ayant cessé, je défais lentement un à un les quelques boutons et elle aussi je lui fais rejoindre le plancher des vaches.

• Moché emmène Agathe dans sa chambre et fait lui voir qu’elle est toujours une femme désirable, malgré son affreuse toison, dont il va falloir s’occuper.

Je quitte l’appartement, voyant Moché prendre la main d’Agathe et partir dans le couloir où Quiqui est entré.
Il y a des clefs sur la porte, je les récupère, ça m’évitera de sonner quand je vais revenir.
Je vais faire des courses, je ramasse les horreurs tombées au sol et j’appelle l’ascenseur.
Une poubelle, j’espère que le passé morbide de celle qui doit déjà retrouver la bite d’un homme et je trouve la boutique que je cherchais très rapidement dans ce quartier assez commerçant.
Une heure depuis mon départ, j’ouvre la porte sans faire de bruit.

• Greee.
• Couché Quiqui, à la niche.

J’ai pensé à tous sauf à Quiqui qui entendant la porte s’ouvrir vient aux nouvelles.
Il a l’air toujours aussi con, mais mon injonction et mon pied que je mets en avant semblent le dissuader de continuer à m’emmerder.
Il retourne vers le couloir d’où proviennent les bruits caractéristiques de cris de femme qui jouit.
Parfait ça a marché, Moché a su m’aider dans l’opération sauvetage de vieille dame aigri que j’ai entamé.

Je passe devant une pièce à ma droite, Quiqui est là assis sur ses pattes dans un petit lit, type poupard, il a sa chambre, comme s’il était un être humain à part entier.
Lorsqu’il me voit, il se couche comme le ferait un enfant pris en flagrant délit de transgresser les règles de la maison.
La porte de la chambre de l’autre côté du couloir est entrouverte.
Le spectacle devant moi est inespéré...

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