COLLECTION ESCORTE - GIRL. La jolie petite Japonaise (4/6)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : COLLECTION ESCORTE - GIRL. La jolie petite Japonaise (4/6) Histoire érotique Publiée sur HDS le 22-04-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION ESCORTE - GIRL. La jolie petite Japonaise (4/6)
• Oui, viens, baises-moi.

C’est l’ordre que je donne au taré qui est venu de l’hôtel le Mandarin d’Orient qui croit qu’il va pouvoir me soumettre à sa volonté de faire de moi sa pute.
S’il croit que je vais l’entretenir, il se fourvoie, surtout si j’arrive à prendre naturellement mon portable.
Ça pisse à peine tout seul et ça a déjà des envies de jouer les petits macs.
Je m’amuse de la situation.
En temps normal, je suis le jouet de mon tonton Fujiko, grand maître au Japon d’une organisation de yakusa.
Pour ceux qui l’ignorent, les yakusas sont une organisation criminelle comme la mafia qui sévit en Italie.
Tonton fait des affaires et je suis le cadeau qu’il leur fait avec un séjour à Paris à ses frais.
Ce jeune serveur du roomservice tient à me soumettre alors je joue le jeu.

• Au Mandarin, les chambres sont belles, mais la tienne les dépasse toutes.

Il a voulu que je me mette en levrette.
Mon image et mes seins bougeants sont renvoyés à des milliers d’exemplaires.
Le nombre de mes clients ayant défilé ici, m’a montré notre image lorsqu’il me baisait, même au plafond, mais c’est la première fois que je remarque ma propre image.

• Tient, ton petit cul est magnifique, j’adore ton tatouage recouvrant tes pommes d’amour.
On serait à Tokyo, je pourrais croire que tu es une Yakusa.
Aucune chance pour toi, j’ai lu de nombreux bouquins sur eux et les femmes en sont exclues.

Depuis quelque temps, et au fur et à mesure que mon corps se couvre de tatouage, dernièrement mon bras et mon épaule gauche, je pense faire inverser les choses concernant les femmes.

Il me baise divinement, on dit que les putes doivent seulement jouir quand leur mac les honore.
Si Tonton est mon mac, à part quand je vais au Japon ou lors de ses courts séjours à Paris ou il s’occupe de sa petite-nièce, si j’attendais sur lui pour prendre mon pied, je serais une jeune femme frustrée.

Benoît est un bon amant comme il me l’a dit, mais loin derrière Gilles, mon cousin qui connaît tous les coins et recoins de mon corps m’apportant dénorme jouissance.
C’est normal pour mon amant attitré.
Je finis par prendre un peu de plaisir et m’écrouler sur ma couche.

• Petit déjeuner, je suis allé dans la cuisine où j’ai tout trouvé.
• Même des croissants dans ton congélateur que j’ai mis au four.

C’est la première fois depuis presque deux ans que je suis là que je sens l’odeur des croissants chauds.
Je m’étire comme une chatte.
Merde, je me suis endormie et Benoît se croit en terrain conquis.
Il faut que je réagisse.

• C’est gentil, mais j’ai une maladie qui m’empêche de manger des viennoiseries.
Le matin, je me fais toujours monter des sushis du restaurant japonais voisin.

Je prends mon portable en main.

• Non, laisse, je sais où il est, je vais descendre en chercher.
• Tu penses descendre dans mon déshabillé rose !
Je commande, tu en veux et après tu t’occupes de ma petite chatte.

J’ai repoussé mes draps de soie et j’ai écarté mes jambes montrant mon vagin, parfaitement entretenue par l’esthéticienne aux yeux bridés, elle aussi venant chaque mercredi matin.

• Commande pour toi, je vais manger les croissants.

Un, deux, poussé sur les touches et entrant dans le logiciel, je commande au hasard, le principal, c’est que les yakusas de Tonton viennent me débarrasser de cet objet encombrant.
Dans une heure, j’ai un client qui doit venir.
Ça sonne, dommage, la langue de celui qui voulait me dominer est très agile et je suis à deux doigts d’être rattrapé par un orgasme.

• On continuera après, va ouvrir, remet mon déshabillé.

Il le fait, je me caresse le bouton finissant le travail.

• Non.

Je me lève avec regret et nue, je vais vers la porte.
Benoît est tenu par les deux gars qui sont arrivés en sept minutes.

• Merci messieurs, d’être intervenue.
Ce petit con voulait faire de moi sa pute, débarrassez-m’en, mais juste ce qu’il faut pour qu’il comprenne que je suis loin d’être une femme seule.

Je m’approche d’eux fière dans ma nudité.
Le déshabillé est ouvert, je lui prends les couilles que je tords.

• Dommage, tu t’y serais pris autrement, tu aurais pu, peut-être passer plus de temps dans mon lit.
Allez-y, emmenez-le !
Mais dans les limites que je vous ai données.

Le regard des deux yakusas, l’un identique au moment de l’essai lors de la présence de Gilles et Tonton, l’autre plus jeune nouveau pour moi.
Le regard vers mon corps des deux hommes aussi tatoué l’un que l’autre m’a donné une idée, il fallait que je pense à mon avenir.

Voilà comment dans ce milieu je me suis débarrassée de ce petit intrus.
Je suis revenue sur ce petit problème, qui m’a fait prendre conscience que je vaux bien mieux que la pute que mon tonton Fujiko ait voulu faire de moi.
J’ai parlé du regard de ses hommes de main, c’est par eux que mon envie de puissance doit passer.

Quelques jours et je décide de prendre du poids dans l’organisation.
Je prends mon portable.
« SUSHIS, SUSHIS. »
Au mince, c’est une erreur, je voulais commander mes préférés et j’ai appelé ma sécurité.

• Madame Hanabi, on est là.
Quelqu’un vous veut du mal ?
• C’était une erreur, heureux de vous voir, ça fait trois fois, vous êtes le chef de ces jeunes garçons !
Vous en avez combien sous vos ordres.
• Je dois garder cela pour moi.
• Oui, mais je suis Hanabi, la nièce de votre patron, renvoyez votre soldat et venez boire un saké avec moi.
• C’est impossible, nous devons rester toujours en présence l’un de l’autre.
• Alors quand il y en a pour un, il y en a pour deux.
Entrer, il y a assez de verre pour trois.

Tient c’est bizarre, mon peignoir, le même que celui que portait Benoît quand monsieur Fuyumi est venu me sauver, tombe au sol.

• Vous voyez, quand il y en a pour un, je suis sûr de pouvoir en satisfaire deux.

Code d’honneur chez les yakusas, mais hommes tous de même, je me dirige vers ma chambre suivie par deux gentils toutous entièrement tatoués.
Ils m’enlacent tous les deux, je les sens timide, je sais qu’ils bafouent leur code d’honneur, mais je dois reconnaître que même nue et surtout nue, je suis bandante.
Ils ouvrent leur pantalon et me sortent deux verges tatouées comme il se doit.
Le plus jeune que je vois pour la première fois à une vierge, tatoué dans toute sa splendeur.
Le chef a le conventionnel serpent, mais qui s’avère être un dragon, car il crache une flamme rouge.
Je les suce alternativement.
L’ange et le démon entrant l’un après l’autre dans ma bouche.
Je leur caresse les couilles, j’aime caresser les couilles à tous les hommes que je suce et si je regarde en arrière depuis mon dépucelage pour aider Tonton, j’ai sucé et masturbé de très nombreuses bites
La position que j’ai me fatigue, parmi les nombreuses bites que je viens d’avoir avoué avoir sucées, certaines se sont vidées sur mes amygdales.
Là pour une fois que j’en ai deux à ma disposition, je les veux dans mon intimité.
Je me cale dans mes oreillers,

• Hamy, redonne-lui ta bite à sucer, je vais lui bouffer la chatte.

Souvent avec mes clients, je même le jeu, là au milieu de deux hommes, c’est eux qui font de moi ce qu’ils veulent.
Le jeune vient me cacher ce que fait son chef en m’enjambant et me remettant sa verge au fond de ma gorge.
Comme bon nombre de femmes asiatiques, j’ai une petite bouche, on peut dire un trait alors je me concentre sur le gland qui lui entre difficilement.
J’ai une langue très agile qui le titille.
C’est ma main qui le masturbe afin de le maintenir bien tendu.
Pendant ce temps à l’autre bout de mon corps, Fuyumi lui aussi me fait sentir qu’il sait se servir de sa langue.
Il aurait pu me prendre comme un soudard, ce que j’aurais été loin de refuser, mais là il cherche et trouve mon clito.
Il le fait rouler et je sens que je me mets à mouiller.
Il est patient, mais pour lui le moment est venu de me sexer avec sa verge alors il se redresse et entre en moi.

• Hamy, viens mettre ta verge à côté de la mienne, la petite est assez large pour en supporter deux.

C’est ainsi que le jeune yakusa quitte ma main et ma bouche pour, avec des contorsions, me pénétrer, lui aussi.
J’ai bien fait d’accepter de m’occuper des deux pour les amadouer, je jouis comme jamais.
Je reste cependant lucide, je veux pouvoir lui faire une proposition servant mes intérêts...

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Histoire sexe : Une rose rouge
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