COLLECTION ESCORTE GIRL. Véronique, infirmière et pute (3/6)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-06-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION ESCORTE GIRL. Véronique, infirmière et pute (3/6)
Pourquoi, quand nous sommes sorties des boutiques où elle m’avait offert des tenues et des sous-vêtements aussi osés que ceux quelle a porté pour rejoindre un rendez-vous donné par téléphone ?
J’ai la certitude que sa chute était bien un accident.
Son portable ayant sonné de nouveau, elle me fait une étrange proposition.
• Je pense que tu peux me remplacer pour cette soirée et éviter la perte d’un client.
Nous sommes blondes toute les deux et nous avons un air de ressemblance.
Mes clients me choisissent souvent pour la couleur de mes cheveux.
Je connais ma mère, elle habite à Lyon où elle fait des ménages, mais mon père s’est tiré quand il a su qu’elle était enceinte.
Ton père, a-t-il traîné dans le coin à cette époque ?
Le blanc que je marque avant de lui répondre lui a fait sentir que j’étais prêt à l’aider.
Surtout pour mon père, il est allongé six pieds sous terre.
• J’ignore, comment il faut faire.
• Rien de plus facile, tu fais comme avec ton ancien copain, au début laisse-toi guider par ton client, lui sait quels sont ses désirs !
Chacun d’eux sait ce qu’ils veulent, car souvent c’est ce que leurs femmes leur refusent.
• Tu te laisses sodomiser.
• Quatre-vingts pour cent des clients viennent nous voir pour cela, mais si je perds de l’argent, moi, je refuse.
Le premier client, qui te le demande, si tu acceptes, ça te débarrassera de ce pucelage jusqu’à la fin de tes jours.
Tu verras rapidement, ton cerveau aura occulté l’avoir fait la première fois tellement, ce sera naturelle que l’on te prenne par ta rosette.
• Alors, tu attends que je te dise « oui » pour ce soir.
Tu tiens à ce que je me prostitue pour toi et que tu deviennes mon mac.
• Si tu penses cela, reste ici.
Tout ce que tu gagneras sera intégralement pour toi rien que pour toi et je garderais un bon client.
• Je rigole mon bébé, appelle-le, je vais assumer à ta place et garder ton client.
J’arrive au bar de l’hôtel près de la gare de Lyon où le client m’a donné rendez-vous par l’intermédiaire de Patricia.
• Bonsoir, Véronique, je suis satisfait, votre amie était au-dessous de la vérité, vous êtes très belle et votre tenue vous met en valeur.
Vous avez des formes parfaites, ce soir, je peux dire que j’ai de la chance.
• Vous êtes très bien aussi, j’ai moi aussi de la chance.
• Je comprends, je crois que je suis votre premier client, vous verrez, je suis très doux si vous acceptez mes fantasmes personnels.
Que veut-il dire, ce mot fantasme me fait un peu peur, mais j’ai confiance en Patricia qui m’aurait évité de rencontrer un satyre ?
Au plus je vais perdre ma rondelle, mais je m’y suis préparée pendant tout le temps passé dans le métro.
• On y va mon enfant, il faut battre le fer pendant qu’il est chaud.
Vous êtes si bandante que bientôt, l’ensemble des clients de notre hôtel vont voir que j’ai envie de vous.
C’est vrai lorsque je regarde son pantalon, une bosse significative se dessine.
Avant que Julien me prenne ma virginité et me trompe avec ma copine, jusqu’au moment où je les vire, mon sexe était prêt à être pris.
Depuis qu’il m’a défloré, je sens souvent monter en moi l’envie de recommencer d’avoir des rapports.
Surtout depuis que Pat m’a montré qu’un sexe de femme avait de l’intérêt.
Hélas, nous ayons été à la limite de nous brouter les chattes sans jamais franchir le pas.
Avec toutes ces pensées, je sens que mon entrejambe s’humidifie.
Arrivé devant la porte de la chambre, mon client sort de sa poche un grand foulard noir qu’il me demande d’attacher sur mes yeux.
• Acceptez-vous ce foulard sans crainte, cela fait partie de mon fantasme.
Votre copine a dû vous dire que j’étais un garçon simple.
Je le laisse faire, du moment que mes mains sont libres de toutes entraves.
Je sens qu’il m’entraîne dans la chambre et je suis bien obligée dans l’ignorance jusqu'à où il souhaite me conduire.
• Je vais vous déshabiller, soyer sans crainte ayez confiance.
• Faite de moi ce que vous voulez, c’est vous qui allez me payer.
• Excusez, vous me fait perdre la tête, je mets les billets dans votre sac, faite moi confiance.
Quelle gourde d’avoir oublié de toucher le prix de mon labeur avant d’avoir ce bandeau sur les yeux.
Patricia va me gronder, elle qui m’a bien dit d’éviter de faire quoi que ce soit avant de voir le pognon de mon client.
C’est une idée folle me traversant l’esprit, « je ferais mieux la prochaine fois. »
Je suis folle de penser à d’autres fois, ce remplacement sera le seul, je la dépanne sur ce rencard pour éviter la perte de son client et après je retourne à mes études d’infirmière.
Je sens mes vêtements me quitter et je l’entends enlever les siens.
• Venez, mettez-vous en levrette sur le lit.
Il me guide jusqu’au lit et je monte me mettre en position.
Rapidement il est derrière moi et les quelques secondes qu’il met à se placer me semblent une éternité.
Il doit avoir une vue imprenable sur mon intimité qui mouille comme jamais.
J’espère qu’il va me prendre par la chatte, car sinon, prendre son sexe dans mon petit trou sans que je l’aie sucé afin qu’il glisse plus facilement me fait un peu peur.
Non, ce sont bien mes fesses qui l’intéressent.
Je l’entends cracher sur sa main et me mettre sa salive sur l’endroit vierge de toute pénétration.
D’un coup, j’ai l’impression que l’on m’enfonce un fer rouge dans l’anus, une chose énorme me pénètre.
Je pousse un cri sans aucune retenu.
• Pardon, je vous ai fait mal, je suis entré, cela va aller mieux, j’évite de bouger.
• Pour la sentir passer, je l’ai senti passé, c’était la première fois.
• Première fois que l’on te sodomise, merci pour le cadeau, tu aurais dû me prévenir.
Lorsque je lui dis cela, il quitte mon fondement alors que mon petit trou doit être devenu un gros tunnel obscur pour aller s’occuper de ma chatte.
J’ai impression que l’on me remplit plus que de raison.
Avec Julien, la seule fois où il m’a prise en levrette, j’ai senti mon sexe distendu par sa bite, mais bien moins grosse que celle que mon client m’enfile.
Là c’est bien différent.
Il est impossible qu’un homme soit aussi bien monté ou alors son sexe à une longueur phénoménale et la grosseur d’un poing.
C’est cela, c’est automatiquement que c’est son poing que j’ai dans mon vagin.
Il aurait pu me demander avant de me déformer le sexe pour la vie en me faisant cela.
À bien regarder, le sentiment d’énormité passée, c’est même un peu agréable.
Lorsqu’il passe sa main sous mon corps et que ses doigts s’occupent de mon clitoris, je vais éviter de jurer, mais que cela devient bon.
Mon seul amant m’a procuré autant de plaisir et si même dans un film, j’ai vu qu’une pute évite de jouir avec son client, je m’en fiche royalement.
La pute, c’est Patricia, je suis son clone le temps qu’elle se remette alors quand la boule monte du fond de mon corps, je me laisse aller, mon ventre éclate comme jamais.
Je m’écroule sur le lit en même temps que le sexe qui me fouille lâche une quantité de sperme que l’intérieur de mon vagin a du mal à contenir.
Je sens le liquide chaud gicler et couler le long de mes cuisses.
À ce moment, j’enlève mon bandeau et quand je vois ce qui vient de sortir de mon sexe, c’est inimaginable pour une femme normalement constituée.
Le client à une verge de près de cinquante centimètres et d’un diamètre que j’évite d’évaluer de peur de me tromper, mais lorsque je parlais de poing, j’étais très près de la réalité.
Pat m’a dit qu’un homme qui paye pour la nuit doit recevoir de nous autant de plaisir qu’il en veut.
Je me penche vers ce sexe géant pour le prendre dans ma bouche.
J’ai beau écarté mes lèvres au maximum, il m’est impossible de le faire entrer.
Je me contente de le sucer sur toute sa longueur récupérant par là même le sperme et nos sécrétions mélangées.
Je réveille la bête qui dort en lui et maintenant que je vois l’engin, deux sentiments se mélangent en moi.
Sentiments de peur au premier abord comme toute femme le ressentiraient devant un tel engin.
Mais aussi de plaisir quand mon corps à vibré comme jamais.
Je me place sur le dos les cuisses bien écartées l’attirant à moi.
Il entre plus facilement, mon corps ayant compris à quoi il avait affaire malgré le gigantisme de l’objet.
Nous faisons l’amour deux fois encore.
Comme il me l’a dit avant de monter, il est assez compréhensif pour éviter de retourner vers mon anus très endolori.
À deux heures, je m’habille et je reçois une gratification que je glisse dans mon sac à côté des premiers billets que mon client m’a bien mis.
Dans le taxi qu’il a commandé, je compte mes billets.
Deux mille euros pour une nuit de plaisir, même pour m’être fait casser le cul.
Il y a de quoi faire perdre la tête à une jeune femme sans argent.
Je retrouve Patricia qui m’accueille avec un sourire hilare.
• Tu as de la chance d’être blessé, sinon je te donnerai une fessée.
Il t’a fait peur.
• Il m’avait bandé les yeux, ce qui m’a empêché de voir son engin surtout qu’il a commencé par me sodomiser.
Je me déshabille et je m’approche d’elle.
• Regarde si mon petit trou, c’est bien refermé.
La coquine prend ses doigts et m’en place deux à l’intérieur de mon anus.
• Regarde, ils rentrent tout seuls, c’est foutu, tu vas être obligé de vivre avec un trou des fesses complètement dilatées.
Tu vas devoir vivre avec un anus artificiel qui va refermer tout cela.
• Tu te fiches de moi.
• Bien sûre, grosse bétasse, tout est normal, notre corps à des ressources insoupçonnables.
Regarde, ce client je le rencontre tous les mois chaque fois qu’il vient rendre compte à ses patrons à Paris et mon anus est normal.
Elle profite de ce que je suis de dos pour mettre une main sur ma chatte.
• Sais-tu y faire avec les filles.
• J’ai des clientes féminines et des couples ou l’homme regarde sa femme faire l’amour avec une autre femme sans qu’il me touche.
• Des malades.
• Non, des personnes concevant l’amour en passant par ce genre de fantasme.
C’est drôle, elle me parle tout en me caressant sans donner l’impression qu’elle se rend compte que me font ses mains…
J’ai la certitude que sa chute était bien un accident.
Son portable ayant sonné de nouveau, elle me fait une étrange proposition.
• Je pense que tu peux me remplacer pour cette soirée et éviter la perte d’un client.
Nous sommes blondes toute les deux et nous avons un air de ressemblance.
Mes clients me choisissent souvent pour la couleur de mes cheveux.
Je connais ma mère, elle habite à Lyon où elle fait des ménages, mais mon père s’est tiré quand il a su qu’elle était enceinte.
Ton père, a-t-il traîné dans le coin à cette époque ?
Le blanc que je marque avant de lui répondre lui a fait sentir que j’étais prêt à l’aider.
Surtout pour mon père, il est allongé six pieds sous terre.
• J’ignore, comment il faut faire.
• Rien de plus facile, tu fais comme avec ton ancien copain, au début laisse-toi guider par ton client, lui sait quels sont ses désirs !
Chacun d’eux sait ce qu’ils veulent, car souvent c’est ce que leurs femmes leur refusent.
• Tu te laisses sodomiser.
• Quatre-vingts pour cent des clients viennent nous voir pour cela, mais si je perds de l’argent, moi, je refuse.
Le premier client, qui te le demande, si tu acceptes, ça te débarrassera de ce pucelage jusqu’à la fin de tes jours.
Tu verras rapidement, ton cerveau aura occulté l’avoir fait la première fois tellement, ce sera naturelle que l’on te prenne par ta rosette.
• Alors, tu attends que je te dise « oui » pour ce soir.
Tu tiens à ce que je me prostitue pour toi et que tu deviennes mon mac.
• Si tu penses cela, reste ici.
Tout ce que tu gagneras sera intégralement pour toi rien que pour toi et je garderais un bon client.
• Je rigole mon bébé, appelle-le, je vais assumer à ta place et garder ton client.
J’arrive au bar de l’hôtel près de la gare de Lyon où le client m’a donné rendez-vous par l’intermédiaire de Patricia.
• Bonsoir, Véronique, je suis satisfait, votre amie était au-dessous de la vérité, vous êtes très belle et votre tenue vous met en valeur.
Vous avez des formes parfaites, ce soir, je peux dire que j’ai de la chance.
• Vous êtes très bien aussi, j’ai moi aussi de la chance.
• Je comprends, je crois que je suis votre premier client, vous verrez, je suis très doux si vous acceptez mes fantasmes personnels.
Que veut-il dire, ce mot fantasme me fait un peu peur, mais j’ai confiance en Patricia qui m’aurait évité de rencontrer un satyre ?
Au plus je vais perdre ma rondelle, mais je m’y suis préparée pendant tout le temps passé dans le métro.
• On y va mon enfant, il faut battre le fer pendant qu’il est chaud.
Vous êtes si bandante que bientôt, l’ensemble des clients de notre hôtel vont voir que j’ai envie de vous.
C’est vrai lorsque je regarde son pantalon, une bosse significative se dessine.
Avant que Julien me prenne ma virginité et me trompe avec ma copine, jusqu’au moment où je les vire, mon sexe était prêt à être pris.
Depuis qu’il m’a défloré, je sens souvent monter en moi l’envie de recommencer d’avoir des rapports.
Surtout depuis que Pat m’a montré qu’un sexe de femme avait de l’intérêt.
Hélas, nous ayons été à la limite de nous brouter les chattes sans jamais franchir le pas.
Avec toutes ces pensées, je sens que mon entrejambe s’humidifie.
Arrivé devant la porte de la chambre, mon client sort de sa poche un grand foulard noir qu’il me demande d’attacher sur mes yeux.
• Acceptez-vous ce foulard sans crainte, cela fait partie de mon fantasme.
Votre copine a dû vous dire que j’étais un garçon simple.
Je le laisse faire, du moment que mes mains sont libres de toutes entraves.
Je sens qu’il m’entraîne dans la chambre et je suis bien obligée dans l’ignorance jusqu'à où il souhaite me conduire.
• Je vais vous déshabiller, soyer sans crainte ayez confiance.
• Faite de moi ce que vous voulez, c’est vous qui allez me payer.
• Excusez, vous me fait perdre la tête, je mets les billets dans votre sac, faite moi confiance.
Quelle gourde d’avoir oublié de toucher le prix de mon labeur avant d’avoir ce bandeau sur les yeux.
Patricia va me gronder, elle qui m’a bien dit d’éviter de faire quoi que ce soit avant de voir le pognon de mon client.
C’est une idée folle me traversant l’esprit, « je ferais mieux la prochaine fois. »
Je suis folle de penser à d’autres fois, ce remplacement sera le seul, je la dépanne sur ce rencard pour éviter la perte de son client et après je retourne à mes études d’infirmière.
Je sens mes vêtements me quitter et je l’entends enlever les siens.
• Venez, mettez-vous en levrette sur le lit.
Il me guide jusqu’au lit et je monte me mettre en position.
Rapidement il est derrière moi et les quelques secondes qu’il met à se placer me semblent une éternité.
Il doit avoir une vue imprenable sur mon intimité qui mouille comme jamais.
J’espère qu’il va me prendre par la chatte, car sinon, prendre son sexe dans mon petit trou sans que je l’aie sucé afin qu’il glisse plus facilement me fait un peu peur.
Non, ce sont bien mes fesses qui l’intéressent.
Je l’entends cracher sur sa main et me mettre sa salive sur l’endroit vierge de toute pénétration.
D’un coup, j’ai l’impression que l’on m’enfonce un fer rouge dans l’anus, une chose énorme me pénètre.
Je pousse un cri sans aucune retenu.
• Pardon, je vous ai fait mal, je suis entré, cela va aller mieux, j’évite de bouger.
• Pour la sentir passer, je l’ai senti passé, c’était la première fois.
• Première fois que l’on te sodomise, merci pour le cadeau, tu aurais dû me prévenir.
Lorsque je lui dis cela, il quitte mon fondement alors que mon petit trou doit être devenu un gros tunnel obscur pour aller s’occuper de ma chatte.
J’ai impression que l’on me remplit plus que de raison.
Avec Julien, la seule fois où il m’a prise en levrette, j’ai senti mon sexe distendu par sa bite, mais bien moins grosse que celle que mon client m’enfile.
Là c’est bien différent.
Il est impossible qu’un homme soit aussi bien monté ou alors son sexe à une longueur phénoménale et la grosseur d’un poing.
C’est cela, c’est automatiquement que c’est son poing que j’ai dans mon vagin.
Il aurait pu me demander avant de me déformer le sexe pour la vie en me faisant cela.
À bien regarder, le sentiment d’énormité passée, c’est même un peu agréable.
Lorsqu’il passe sa main sous mon corps et que ses doigts s’occupent de mon clitoris, je vais éviter de jurer, mais que cela devient bon.
Mon seul amant m’a procuré autant de plaisir et si même dans un film, j’ai vu qu’une pute évite de jouir avec son client, je m’en fiche royalement.
La pute, c’est Patricia, je suis son clone le temps qu’elle se remette alors quand la boule monte du fond de mon corps, je me laisse aller, mon ventre éclate comme jamais.
Je m’écroule sur le lit en même temps que le sexe qui me fouille lâche une quantité de sperme que l’intérieur de mon vagin a du mal à contenir.
Je sens le liquide chaud gicler et couler le long de mes cuisses.
À ce moment, j’enlève mon bandeau et quand je vois ce qui vient de sortir de mon sexe, c’est inimaginable pour une femme normalement constituée.
Le client à une verge de près de cinquante centimètres et d’un diamètre que j’évite d’évaluer de peur de me tromper, mais lorsque je parlais de poing, j’étais très près de la réalité.
Pat m’a dit qu’un homme qui paye pour la nuit doit recevoir de nous autant de plaisir qu’il en veut.
Je me penche vers ce sexe géant pour le prendre dans ma bouche.
J’ai beau écarté mes lèvres au maximum, il m’est impossible de le faire entrer.
Je me contente de le sucer sur toute sa longueur récupérant par là même le sperme et nos sécrétions mélangées.
Je réveille la bête qui dort en lui et maintenant que je vois l’engin, deux sentiments se mélangent en moi.
Sentiments de peur au premier abord comme toute femme le ressentiraient devant un tel engin.
Mais aussi de plaisir quand mon corps à vibré comme jamais.
Je me place sur le dos les cuisses bien écartées l’attirant à moi.
Il entre plus facilement, mon corps ayant compris à quoi il avait affaire malgré le gigantisme de l’objet.
Nous faisons l’amour deux fois encore.
Comme il me l’a dit avant de monter, il est assez compréhensif pour éviter de retourner vers mon anus très endolori.
À deux heures, je m’habille et je reçois une gratification que je glisse dans mon sac à côté des premiers billets que mon client m’a bien mis.
Dans le taxi qu’il a commandé, je compte mes billets.
Deux mille euros pour une nuit de plaisir, même pour m’être fait casser le cul.
Il y a de quoi faire perdre la tête à une jeune femme sans argent.
Je retrouve Patricia qui m’accueille avec un sourire hilare.
• Tu as de la chance d’être blessé, sinon je te donnerai une fessée.
Il t’a fait peur.
• Il m’avait bandé les yeux, ce qui m’a empêché de voir son engin surtout qu’il a commencé par me sodomiser.
Je me déshabille et je m’approche d’elle.
• Regarde si mon petit trou, c’est bien refermé.
La coquine prend ses doigts et m’en place deux à l’intérieur de mon anus.
• Regarde, ils rentrent tout seuls, c’est foutu, tu vas être obligé de vivre avec un trou des fesses complètement dilatées.
Tu vas devoir vivre avec un anus artificiel qui va refermer tout cela.
• Tu te fiches de moi.
• Bien sûre, grosse bétasse, tout est normal, notre corps à des ressources insoupçonnables.
Regarde, ce client je le rencontre tous les mois chaque fois qu’il vient rendre compte à ses patrons à Paris et mon anus est normal.
Elle profite de ce que je suis de dos pour mettre une main sur ma chatte.
• Sais-tu y faire avec les filles.
• J’ai des clientes féminines et des couples ou l’homme regarde sa femme faire l’amour avec une autre femme sans qu’il me touche.
• Des malades.
• Non, des personnes concevant l’amour en passant par ce genre de fantasme.
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