COLLECTION ESCORTE GIRL. Véronique, infirmière et pute (6/6)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION ESCORTE GIRL. Véronique, infirmière et pute (6/6) Histoire érotique Publiée sur HDS le 03-07-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION ESCORTE GIRL. Véronique, infirmière et pute (6/6)
Aujourd’hui, nous nous rendons à l’hôpital pour qu’elle enlève son plâtre.
L’interne qui nous a donné rendez-vous ignore que depuis notre dernière visite, je suis devenue une pute de luxe comme l’est ma copine Patricia.
Il nous fait entrer dans son bureau avec un cabinet pour faire les soins.
Je le regarde couper le plâtre en ayant la totale vision sur la chatte de Patricia qui a oublié de mettre sa culotte.
Lorsque sa jambe est libérée et qu’il l’a saisie pour contrôler sa cheville je passe ma main sur son pantalon de salle d’opération en tissu léger.
Il a bien vu la chatte de ma copine, le bougre, car sa queue est tendue à fond.

• Tu veux la prendre, depuis que tu lui as immobilisé la cheville, sa minette a vu ma langue, mais pas une bite, veux tu lui remettre le pied à l’étrier ?

Dans le même temps voulant battre le fer pendant qu’il est chaud et grâce à la position de Véronique, pour la première fois là encore je prends et je vois un sexe entrer dans un autre sexe sans l’œil d’une caméra.

• Merci chérie, je rêvais d’avoir une bite bien au fond de ma chatte, mais que ce soit toi qui me la fasses rentrer décuple mon plaisir.
Allez-y docteur, vous êtes un merveilleux médecin.
• Est-il bien utile de vous casser une cheville pour venir me voir et que je vous ausculte, Patricia !

C’est comme cela que je vois ma petite maîtresse avoir un orgasme avant que le toubib lui offre de longs jets de sperme.
Ça ravit ma poupée surtout lorsqu’elle me voit agenouillée, sortir de sa chatte la bite venant d’éjaculer et la nettoyer consciencieusement avec ma bouche.

Je suis devenue de plus en plus professionnelle et j’ai comme le souhaite Patricia, un carnet d’adresses personnelles presque aussi rempli que le sien.
J’ouvre un coffret avec de petites fiches pour éviter de nous mélanger les pédales entre tous ces clients.
Entre Patricia et moi chaque fois que nous recevons des appels c’est ensemble que nous les remplissons.

Un an s’écoule et je reçois un contrat pour me rendre à Deauville à l’hôtel Royal.
Je suis conduite de Paris dans une limousine blanche d’une longueur comme on en voit qu’au cinéma.
Je suis dirigé vers une suite où mes affaires sont déjà là, car le contrat prévoit un séjour de huit jours.
Je serais de mauvaise foi si je disais que j’ignore qui m’a envoyé cette limousine.
Abdalla vient d’avoir ses dix-huit ans et son père compte sur moi pour le faire basculer dans le monde des adultes.
Je tiens à tester la baignoire qui est à l’image du palace où je me trouve.

• C’est toi mon cadeau !

Le jeune homme qui entre dans la pièce est beau comme un dieu, mais très mal élevé, car il bafoue mon intimité en entrant comme s’il était chez lui en terrain déjà conquis.

• Es-tu Abdalla ?
• Oui, et toi tu es le cadeau de papa.
• Je suis peut-être ton cadeau, mais sur le lit, il y a une enveloppe que tu lui rapportes tout de suite, car je refuse ton sans gêne en entrant dans ma salle de bains sans avoir préalablement frappé.
Si tu laisses l’enveloppe, je serai demain midi au restaurant de l’hôtel où je t’attendrais à une table et à partir de ce moment, tu seras poli avec les dames.
As-tu lu Tintin ?
• J’ai toute la collection en arabe, j’ai plus de 2 000 albums dans une pièce.
• Dans l’un d’eux, il y a un jeune Abdalla aussi désagréable et mal élevé que toi.
• Si j’étais chez moi, je te ferais fouetter.
• Mais ici, c’est chez moi et tu vas apprendre à me respecter.

Je quitte la chambre, dommage, s’il récupère l’enveloppe, l’épaisseur semblait très intéressante.
Je sors visiter Deauville.
En revenant dans la chambre, l’enveloppe est là.
Je me fais porter un petit repas et je me couche en étalant sur mon lit la liasse de billets de 500 €.
Certains comptent des moutons pour m’endormir, je compte des billets, c’est nettement plus jouissif.
Le lendemain, je descends dans la salle de restaurant, il est là.

• Vous êtes Véronique !
• Et vous Abdalla !
• Oui, excusez-moi pour hier, j’ai été impoli, vous avez eu raison de me remettre à ma place.
Depuis que je suis petit, on m’a passé tous mes caprices et j’ai pris de très vilaines habitudes.

Je vais pour m’asseoir, il a un peu d’éducation ou il a vu les hommes galant le faire.
Il vient pour me pousser ma chaise au moment où je pose mes fesses dessus.
Depuis un an, ma rosette a été sollicitée par bon nombre de bites, mais sans la moindre douleur et se refermant chaque fois.
Ce que j’aime particulièrement ce sont les lavements que je me fais à l’aide d’une poire, on comprendra pourquoi.
Une fois installé près d’une grande baie vitrée, le repas qu’il a souhaité concocter est divin.

• Alors comme me l’a dit ton père, tu aimes rouler vite.
• Oui, je voulais devenir pilote de course, je rêve de courir les 24 heures du Mans !
Mais il paraît que je dois être émir comme papa et apprendre à vendre du pétrole.
• Et si tu faisais les deux, t’occuper du pétrole pour faire plaisir à ton père et courir pour ton plaisir.
• Demande à mon père, si tu y arrive, je t’épouse.

J’aime les défis mais celui-là est de taille, c’est au dessert qu’il m’étonne.

• Je peux te faire une confidence, tu m’inspires de la confiance, comme je te l’ai dit, tu es la première femme qui m’ait tenu tête.
Mon père croit qu’il me fait un beau cadeau en m’offrant une jolie femme pour mes dix-huit ans, surtout avec de l’expérience.
J’en ai certainement autant que toi, je suis l’amant de plusieurs des femmes de mon père dans son harem.
Il en a douze, la douzième a un an de moins que moi, c’est celle qui me donne le plus de plaisir.
C’est fou douze femmes, moi j’en aurais qu’une et comme ici en Occident je lui jurerais fidélité.
Si j’ai accepté son cadeau, c’est qu’elles ont toutes des chattes noires alors qu’il m’a dit que tu étais blonde.
On va dans ta chambre, tu vas me montrer.

C’est demandé si gentiment qu’il est difficile de refuser, surtout que j’ai dans mon petit sac la grosse enveloppe, la plus grosse jamais gagnée.
Pour être doué, il est doué, j’ai dit qu’une pute devait s’abstenir de jouir, mais après deux heures au moins à me défoncer, j’ai eu trois orgasmes dont un interminable lorsqu’il me prenait en levrette.
Je pense que j’ai fait contentieusement mon travail surtout au début où il m’a fait jouir pour la première fois sa bouche sur ma chatte blonde.
Il me quitte et je peux enfin profiter de ce lit de princesse à la limite de m’y perdre sevrer de sexe.
Quelle heure est-il, lorsque la porte de ma chambre s’ouvre.
Ce que je sais c’est qu’il fait jour.
Je comprends pourquoi Abdalla a de si mauvaise manière, l’émir entre sans frapper et encore moins s’annoncer.

• J’ai vu mon fils, partir avec sa voiture, a-t-il été à la hauteur ?
• Une vraie bête, il m’a défoncée, mais si vous voulez faire l’amour avec moi, il me reste encore quelques petites forces.

Depuis que j’ai remplacé ma copine, j’ai appris que les hommes aimaient les femmes provocantes, je laisse glisser le drap et je lui propose ma féminité blonde.
Il la connaît, mais, il semble aimer y retourner surtout un an après.
Il jouit, je jouis et nous allons dans la baignoire plus grand ou presque qu’une piscine.

Je suis dans ses bras, mon dos sent sa verge, mais bien mole, je lui ai bien vidé les couilles comme à son fils, ils en ont eu pour leur argent.

• Vous avez été parfaite, que voulez-vous que je vous offre !
Je vous promets ce que vous voulez, un cheval, avec son haras ou tout autre chose, un homme du désert tient toujours parole.
• J’ai bien une idée, mais ça va vous déplaire !
• J’ai promis !
• Je voudrais que vous autorisiez Abdalla à faire de la course automobile, il voudrait courir les 24 heures du Mans.

Il a accepté, c’est normal, c’est un homme du désert.
Abdalla, à sa propre écurie de courses, il faut trois pilotes pour courir au Mans en endurance.
Deux de ses cousins avec qui il jouait petit sont embauchés reste à Abdalla à tenir parole sur sa proposition de mariage.
Mais j’ai un problème, Patricia, je m’ouvre à lui, il a la solution.

• Je t’épouse et contrairement à ce que je t’ai promis, j’épouse aussi ta copine, vous pourrez rester ensemble.

Nous rentrons dans leur palais, au pays du pétrole, pour cette course, ils ont gagné leur catégorie, inutile de me demander laquelle, depuis que je me prostitue.
Je suis bien plus callé en bites qu’en voiture de course, même si lorsqu’il court il nous paye le voyage pour que ses deux cousins et lui, s’occupent de nous avant et après la course.
Le mariage, avec l’aide de l’émir son père qui nous a aidé à jouer la carte de la liberté des femmes de notre époque.
Même si pour son compte personnel il vient de faire entrer dans son harem une 13ème femme aussi rousse que je suis blonde.

Nous avons aussi revu, les deux hommes que Patricia avait vus avec l’assistance sociale.
Il s’agissait du fils de mamy qui hélas nous a quitté.
C’était son mari qui était avec lui, ils ont profité de la nouvelle législation comme nous en profitons avec Patricia, quand je deviens son épouse, car dans notre couple, c’est elle qui porte la culotte.
Pourquoi changer une équipe qui marche ?
Ce jour, nous retrouvons Abdalla, lui aussi a évolué après que nous ayons refusé de l’épouser, même si nous le rejoignons à travers le monde quand il pilote.
À l’hôtel véritable palace chaque fois, comme son père un étage est réservé.
Après les deux palais des mille et une nuits que son père lui a fait construire à chaque bout de son autoroute, il y a des harems qu’il commence à remplir.
Trois femmes dans chacun d’eux.
Nous les avons rencontrés, dans chaque harem, une blonde, une rousse et une fille du soleil levant.
Ces filles, les brunes originaires de leur émirat sont des filles de tribus dont les pères possèdent des puits de pétrole.

Bref, pour conclure mon histoire à Patricia et à moi, pute, oui, mais aussi avec de nouvelles ambitions.
J’ai monté le niveau de mes études entre mes clients, je vais à la fac espérant avoir mes diplômes de sexologue.
Qui miens qu’une péripatéticienne pour comprendre les mots qui déchirent les couples, lorsque le sexe fonctionne mal.
Je vous laisse, Abdalla vient de rentrer dans notre chambre avec ses cousins, il me faut continuer à me vendre avant d’installer mon cabinet, seul le choix du pays nous reste à faire.
Il serait mal venu qu’un de nos clients vienne se faire soigner avec sa femme, car madame refuse la sodomie.

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DU PUR CHRIS, merci



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