COLLECTION ESCORTE. Je croyais avoir saisi l’opportunité. Fin de la saison II (6/8)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : COLLECTION ESCORTE. Je croyais avoir saisi l’opportunité. Fin de la saison II (6/8) Histoire érotique Publiée sur HDS le 27-02-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION ESCORTE. Je croyais avoir saisi l’opportunité. Fin de la saison II (6/8)
J’ai toujours craint, lorsque j’ai suivi Corinne vers la prostitution, qu’un jour je tomberais sur une personne de connaissance dans mon autre vie celle de prof des écoles.
Certes, je suis une prostituée qui se vend au plus offrant depuis quelques mois grâce à madame Claudette qui gère nos rendez-vous.
J’en ai eu aux quatre coins de la France et du monde, limitant le risque d’en rencontrer un.
Pourtant, c’est ce qui est arrivé, au bord de l’océan atlantique sur l’île de la Jamaïque.
J’ai la malchance d’avoir attendu mon client à l’aéroport Charles de Gaulle, étant dans l’incapacité de partir avec moi.
Il a brillé par son absence au moment du départ, retardé par un problème à régler à son travail.
C’est du moins ce que m’a dit madame Claudette ayant réussi à me joindre et me demandant de partir seule, mon client qui semble avoir des moyens devant me rejoindre dès le lendemain.
Payer 30 000 € pour avoir une salope dans son lit, je savais que ce devait être un homme friqué, bedonnant certainement.
Tous ceux qui ont payé cher souvent l’étaient.
J’ai eu un peu de mal les premières fois, mais depuis, seul le chiffre qui m'a été donné par madame Claudette, m'a motivée à partir.
C’est là ma malchance, si j’avais vu Paul, le papa de Clarisse, une élève nous ayant quittés en cours d’année, car frappé d’une maladie orpheline à l’aéroport.
Je me serais sauvé et manquant moi aussi mon vol pour le soleil.
Quand Paul m’a vue sur cette plage, il était trop tard surtout qu’un client de l’hôtel s’en est mêlé ce qui a envenimé la situation.
Ça fait quatorze jours que nous faisant semblant d’être un jeune couple amoureux, elle plutôt jeune femme réservée pour éviter tout contact.
Il fait nuit, demain nous rentrons, je suis sur la terrasse en chemise de nuit affriolante en soie que j’avais dans mes valises avec pour but d’exister celui qui aurait dû me baiser pendant cette quinzaine.
Je regarde le reflet de la lune sur la mer, lorsque j’entends que l’on me parle.
C’est Paul qui m’apporte une coupe de champagne, grâce aux rayons, je vois qu’il a l’air apaisé alors que tout le long de notre séjour, il avait l’air d’un bulldog renfrogné.

• Je voulais m’excuser de la façon dont j’ai réagi lorsque j’ai compris que celle que je portais au pinacle en s’occupant d’enfant était à ces moments de liberté une escorte qui se vendait au plus offrant.
J’ai beaucoup réfléchi, pendant ces quinze jours et certaines nuits où je t’ai regardé dormir.
Je pense que si tu es tombée dans ce milieu, c’est lié à des problèmes de fric.
Peut-être, peux-tu me dire que tu as commencé comme certaines jeunes filles à te prostituer pour payer tes études et que le fric t’a tourné la tête ?
J’aurais dû le comprendre et passer ces deux semaines comme nous avions prévu de le faire.
• Veux-tu que je sois franche, je suis loin d’être Causette dans les misérables ?
Je me suis prostituée entraînée par mon amie Corinne et un peu de ta faute.
• Ma faute, nous nous sommes à peine parlé lors des conseils de classe, les pères semblaient t’accaparer !
Mais il y avait surtout les mardis où tu amenais Clarisse à l’école en tenue de joggeur.
• Ma tenue de sport, qu’a-t-elle à voir avec ce que tu es devenue ?
• Tu as raison pour le fric, c’est le principal vecteur qui m’a fait basculer, mais avant je me suis mis à regarder l'entre-jambe de vous les hommes.
J’avais eu trois aventures sans lendemain et le paquet que tu m’as montré sous ton collant, m’a fait appeler le numéro que Corinne mon amie, elle aussi prof de fac, m'avait donné.
Elle, par rapport à moi, s’est prostituée pour payer ses études et c’est le luxe dans lequel elle navigue qui m'a fait basculer.

Nous trinquons, le vin de Champagne coulant dans ma gorge, je sais que je dois faire attention à l’alcool, j’ai tendance à avoir des réactions bizarres lorsque j’ai un peu bu.

• Merci de me dire la vérité, si j’avais su, j’aurais mis un pantalon de survêtement pour accompagner ma fille.
• Oui, mais cette nuit au clair de lune aurait été impossible.
• Tu as raison, c’est un bien pour un mal.
Dans mes réflexions, j’ai aussi pensé à moi, je te reprochais de te vendre, alors que de mon côté, c’est moi qui payais pour coucher avec des filles comme toi.
Pardon pour le « comme toi », je comprends que la vie est loin d’être facile pour chacun d’entre nous et que l’argent fait des fois tourner la tête.
Moi j’ai eu plusieurs chances dans ma vie, deux principalement.
Ma fille que je chéris malgré son problème de santé et le ticket d’euro millions que j’ai acheté et où j’en ai gagné 220, pour une mise de 10 €.
J’ai eu ce que l’on appelle une veine de cocu, ma femme m’ayant trompé avec mon patron, propriétaire du garage de voiture de marque allemande où je travaillais.
Je venais de signer mon divorce quand je suis allé avec mon avocat, boire un verre où il vendait des tickets de la Française des jeux.
C’était la première fois que je jouais, 10 € et j’ai pu constater la vérité du dicton « cocu, mais heureux. »J’ai racheté son garage à mon patron, le mettant sur la paille ainsi que mon ex.
Je connaissais les carambouilles qu’ils faisaient, surtout derrière le dos du fisc.
Il a accepté le peu de fric que je lui ai donné pour me vendre sa concession en échange de sa liberté.

Je suis contente de ces révélations, pas du gain, mais qu’il redevienne humain lorsqu’il parle de Clarisse.
J’ai une réaction surprenante à l’alcool, je pose mon verre sur la rambarde et je me coule dans ses bras.
Il pose le sien près du mien et nous nous embrassons.
Qui de l’un ou de l’autre nous rapproche du lit.
Qui de l’un ou de l’autre fait tomber ma chemise de nuit, là c’était facile, il a suffi de faire glisser l’unique bretelle de mon épaule et lui son caleçon.
Il l’avait remis pour me rejoindre, comme je l’ai dit, j’avais eu le temps de voir qu’il dormait nu.
Qui de la pute ou de la jeune fille respectable que j’ai été comme prof des écoles, lui suce la bite, qui comme je le présumais à du mal à rentrer tellement elle est imposante.
Il me redresse, me couche sur le lit et me prend d’une seule poussée me faisant hurler de plaisir.
Mes rapports avec mes clients m’ont donné une certitude, nul besoin qu’elle soit grosse pour vous faire jouir, mais le manque de sexe depuis quinze jours me permet d’apprécier.
J’ai dans mes clients plus ou moins réguliers, un gnome qui me fait monter au rideau chaque fois que je vais le voir à Bordeaux.
La bite qu’il possède est plus petite que toutes celles que j’ai pu voir.
À la fin des week-ends que je passe avec lui, il me demande régulièrement, les lundis, devant ma classe, il faut que je fasse des efforts surhumains pour récupérer et éviter de m’endormir devant eux.
Ces soirs-là c’est en courant que je rentre chez moi m’enfermant à double tour afin de récupérer.
Mon corps s’embrase, si c’était la pute qui parlait, je dirais que je prends une bourre d’enfer.
Mais dans ces circonstances, je dirais que la femme pouvant tomber amoureuse, à une jouissance hors du commun.
Quelle heure est-il lorsque Paul me parle ?
La lune s’est cachée, il fait presque nuit noire.

• Tu dors !
• Non, je somnole.
• Tu sais Clarisse te regrette, de plus la professeur qui est venue fournie par l’association a trouvé un poste dans une école privée.
Je voulais une éducation suivie pour ma fille.
Sans savoir que je te retrouverais ici, avant de partir, j’ai payé un détective pour m’apporter ton adresse et aller te rencontrer à mon retour.
Je voulais que tu viennes chez moi, avec mon loto j’ai acheté une grande maison et tu aurais vécu avec elle en faisant son éducation.
Je veux que tu me crois, je t’aurais retrouvé, je t’aurais promis deux à trois fois ton salaire de prof pour t’occuper d’elle.
Je pense que c’est encore possible bien que je sache ce que ta vie parallèle te rapporte.
10 000 € par mois pour que ma fille soit heureuse, je pourrais aller jusque-là.
• Tais-toi, fais-moi l’amour, tu es un divin amant, profitons de ces derniers moments.

Nous étions sur mon lit dans cette chambre, il se met sur moi, il bande de nouveau, je suis contente et un peu vacharde, lui aussi a manqué de baise pendant cette quinzaine.

• Et si je t’épousais !

Nous nous endormons sur cette promesse, je me garde bien de lui répondre.
Au matin, pas un mot de ce qui s’est passé cette nuit, seule preuve que tout ceci a été réel, outre ma chemise de nuit et son caleçon unit par terre, les deux coupes de champagne se réchauffant sur la terrasse.
Nous sommes dans l’avion du retour, je suis à côté du hublot essayant de voir si mon corps va vieillir de 6 heures jusqu’en France.
À un moment sa main vient se poser sur ma main, je frissonne malgré que la température soit agréable dans l’Airbus.

• Paul, tu m’as posé une question cette nuit, depuis nous sommes muets sauf pour les formalités.
Il est impossible que j’accepte ta proposition.
Si tu m’épouses même si tu m’aimes, un jour ou l’autre, dans chaque couple, il arrive de s’engueuler, tu me ressortiras la pute que j’ai été et tout sera terminé entre nous.
Je préfère refuser ta demande avec toutes les peines du monde, j’aimais beaucoup Clarisse lorsqu’elle était dans ma classe.
Notre aventure aura tout de même servi à quelque chose, même si je vais te rendre ton argent, tu auras été mon dernier client.
Je vais appeler madame Claudette de retirer mon profil de son site internet, j’ai l’idée de ce que je vais faire...

C’est la fin de cette saison II, la saison III dans quelques jours montrera ou notre amie a continué sa vie et sortir de la prostitution.

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Histoire sexe : Une rose rouge
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