COLLECTION ESCORTE. L’étudiante (3/3)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-07-2019 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION ESCORTE. L’étudiante (3/3)
C’est fait, je suis une vraie pute, une escorte, une call-girl, je suis en train d’embrasser mon premier garçon étant mon premier client.
Client par le pognon que son père m’a donné pour que je couche avec ce gentil garçon que j’ai enfin fini par piéger.
- Je me laisse aller, j’avais envie de toi dès que je t’ai croisé.
Je sens que toi aussi tu as autant envie que moi.
À partir de ces mots, celui que son père prenait pour un puceau sans connaissances sexuelles, me montre l’étendue de son savoir.
Mes seins pour commencer qu’il suce méticuleusement l’un après l’autre, s’il passait ses doigts sur ma chatte, à travers mon string, je ne suis pas une salope.
Pute mes pas salope, il verrait que je mouille.
Même pour six mois et 20 000 €, j’espère en plus prendre du plaisir.
Pour éviter de fiche le plan de Jean par terre, il est inutile de chercher un autre garçon pour le moment, il faut tout de même faire attention.
Après mes seins, et un nouveau long baisé, je me lève et en me tortillant j’arrive à faire glisser mon pantalon.
Quelle idiote d’avoir mis ce truc me collant même s’il fait ressortir mon cul.
C’est un coup à ce qu’il débande.
Antoine libéré ouvre son pantalon sortant sa verge.
- Je bande déjà mais je voudrais que tu me suces, je fantasme sur ta bouche depuis que nous nous sommes rencontrés.
Un bref instant, je me demande si le père n’est pas de mèche avec le fils, il m’avait bien dit que le sexe et lui ça faisait deux.
Il va débarquer dans quelques instants et ils vont me prendre l’un devant l’autre derrière, ils vont me faire subir les derniers outrages.
Même pour tout ce pognon faire le sandwich entre la bite du père et du fils, c’est à ce moment que je prends conscience que le boulot de pute, n’est pas fait pour moi.
Je suis programmée pour épouser un gentil garçon, lui faire de beaux enfants et vivre une vie heureuse comme avocate.
Pas de chance, le pognon est là et c’est en le prenant par la main que je l’entraîne vers ma chambre.
Une chanteuse chantait, ce qui est normal, elle chantait « le tourbillon de la vie. »J’étais censée apprendre à ce garçon, les choses de la vie comme l’on dit.
Là c’est lui qui fait de moi sa chose dans la nuit quand il est arrivé chez moi.
Non seulement son sexe est long et fin atteignant le font de mon vagin et touchant même mon utérus.
Le nombre de fois où je jouis et où l’orgasme me dévaste je ne les compte plus, jusqu’au matin ou après un dernier baisé, nous décidons de sécher la fac.
Le moment le plus drôle de la journée, c’est après m’avoir mangé ma chatte me tirant des plaisirs que je souhaite à toute femme de connaître un jour, c’est le moment où j’ai amené les gâteaux.
Une vraie bataille de tarte à la crème, j’en ai partout, il y en a partout.
Nous passons presque deux heures à tout nettoyer.
Quand nous avons terminés, il me pénètre en levrette, là encore c’est moi qui apprends que c’est ma position favorite.
Bref ayant appelé Jean dès que son fils est parti, il est très satisfait de ma prestation.
Les jours passent me rapprochant de mon premier versement de 2 000 €, je sais tout du Kama-Sutra.
Un soir, ou je me suis retrouvé en haut de l’Empire State building, j’ose lui demander ou il a appris tout ce qu’il sait faire avec son sexe.
- Tu sais bébé, j’ai si souvent entendu mon père baiser ses salopes comme un lapin, que ma distraction favorite, c’était d’aller sur Internet, regarder les mecs baiser des filles, mais surtout beaucoup lire sur l’orgasme féminin, le point G que je t’ai fait découvrir ainsi que les seins des femmes qu’il faut savoir privilégier.
Trop d’hommes dans ce que j’ai lu, les ignorent c’est pour ça que je passe des heures à m’en occuper.
Je veux que la femme de ma vie soit entièrement comblée.
Je le suis mon amour.
Mince, j’ai franchi la ligne blanche, il faut que je me reprenne, inutile de tomber amoureuse, dans quatre mois, c’est fini entre nous et à moi les 20 000 plus la prime que son père m’a promiseJe ne dors pas, je suis devenue une parfaite salope, ou ai passé mon envie de princesse dans ma vie, elle s’est envolée le jour ou j’ai accepté de devenir escorte et ou j’ai pris en main les enveloppes.
C’est le moment des premiers 2 000 €, je les ai bien gagnés.
Pour éviter de faire un imper, nous mettons au point la façon qu’il me passe l’argent sans qu’on ait besoin de me rencontrer.
Ils sont là dans ma main.
Depuis que j’ai mis Antoine dans mon lit, c’est plus que l’argent de son père que j’économise, il paye tout, me fait découvrir les meilleurs restaurants de Paris.
J’aime de plus en plus le luxe sans que l’on oublie nos études qui seront à terme notre porte de sortie m’éloignant des risques de devenir entièrement une putain.
Chaque mois, à la date de notre premier coït, Antoine m’offre une rose.
J’ai envie de lui parler du langage des fleurs, une rose offerte à une dame « Mon cœur à jamais ».
J’ai pris conscience que ce serait lui ouvrir la porte de mon cœur et plus le temps avance plus il nous rapproche de notre séparation.
Simplement d’y penser, ma chatte s’assèche, la raison a raison du cœur et le mien commence à saigner.
- Chérie, j’ai eu une discussion ce matin avec mon père, je passe plus de temps chez nous ici qu’à la maison.
Il sait que je vois quelqu’un et voudrait te connaître, j’ai accepté que nous allions y manger demain soir.
J’ai compris qu’il ne serait pas opposé à ce que tu couches dans ma chambre, il m’a fait livrer un grand lit.
Coincé, j’espérais toucher mon argent jusqu’à la fin sans le revoir, c’est peine perdue.
- Rencontrer le grand Jean de Touraine moi la petite étudiante en droit français, ce sera un grand honneur.
Encore une nuit presque blanche avec seulement une envie nouvelle d’Antoine me faisant mal aux fesses.
Il a voulu me sodomiser et comme de bien entendu, j’ai accepté, je suis payée pour tout lui apprendre.
Je passe sur le repas, Jean ne me connaît pas, je ne le connais pas.
Je devrais jouer au théâtre car j’arrive à lui faire croire que je suis amoureuse sans pour autant lui donner l’impression que je suis accro à l’amour de son fils qui lui déborde de passion pour moi.
Dans deux mois, son déchirement va être maximum, il va le récupérer à la petite cuillère et traumatiser à vie.
C’est au matin Antoine parti car il a cour moi seulement l’après-midi que l’on frappe à la porte de ce qui a été notre chambre pour la première nuit chez mon commanditaire.
- Véronique, c’est moi, je t’apporte ton enveloppe, tu sembles l’avoir bien gagné.
J’ai envie de m’amuser un peu.
- Jean, tu m’as demandé un jour si j’étais une vraie blonde.
J’étais rasée, depuis ton fils préfère que je les laisse pousser.
Regarde ma chatte, je suis nue sous mon drap.
Je découvre mon intimité, les poils ont bien repoussé, il ne prend pas le temps de contrôler, il quitte la chambre l’enveloppe restant sur mon lit.
Je rentre chez moi, les 2 000 € vont rejoindre le reste de l’argent.
Trois jours plus tard, je travaille mes cours avec Antoine, pour une fois on est sage.
- Véro, mon bloc est fini, tu en as un à me prêter.
Je travaille un texte très compliqué, je ne lève même pas la tête étant très concentrée.
- Qu’est-ce que tout cela, cette photo, ces enveloppes et cet argent ?
Je lève la tête, Antoine a ouvert le mauvais tiroir ou j’ai laissé les preuves de ma forfaiture.
Bien sûr c’est la photo c’est la sienne.
- Antoine, je vais tout t’expliquer.
C’est ton père qui m’a payé pour que je devienne ta maîtresse et que tu deviennes un homme sachant bien t’occuper des femmes, lui en changeant régulièrement ne sachant pas y faire avec elle.
Non, ne part pas.
- Je ne resterais pas plus longtemps avec une pute.
Je comprends que tu étais bonne au lit, tu réagissais comme je le voulais sous ma queue.
Et la fois une tu as reçu un coup de téléphone de ton tonton, c’est l’un de tes client qui te demandait de venir te baiser.
T’es une vraie salope.
Comment avez-vous décidé que cela se terminerait ?
- Si tu m’écoutes, je vais tout t’expliqué de A à Z, tout a commencé quand j’ai eu un rapport dans une voiture avec le garçon qui a été le seul à qui j’ai cédé avant toi…
Épilogue :
- Alors, Jean de Touraine qu’est-ce que cela te fait d’avoir à ton bras une pute que tu conduis devant l’hôtel ou ton ex-femme nous attend avec ton fils.
Qu’est-ce que cela te fait d’accompagner cette pute sans parents à la demande de ton ex tout au long de cette église sous les yeux de tes amis qui admirent la jolie mariée que je suis ?
Dans quelques minutes, je serais la nouvelle madame Véronique de Touraine ex escorte sans jamais n’avoir couché avec le moindre client !
Comme je te l’ai dit quand j’ai accompagné mon futur mari venu te casser la figure, je t’ai fait croire que j’étais une pute expérimentée.
Un dernier point, nous sommes à cinq mètres de mon futur.
Quand tu m’as engagé, je t’ai parlé d’amour et de mariage.
Tu m’as dit que tes petits-fils ou filles ne sortiraient pas de la chatte d’une prostituée.
Soit rassuré, ton petit-fils que je porte est le fruit de notre amour à Antoine et moi.
Je dois te dire que depuis le début, il baise comme un dieu, il n’avait nul besoin que je lui apprenne quoi que ce soit.
Merci de me mettre la main dans celle de l’homme de ma vie.
Antoine, dit à ton père ce que nous allons faire concernant son cabinet maintenant que nous avons ouvert le nôtre.
- Oui, ma chérie, papa, nous allons te couler, tu vas finir sur la paille.
- Monsieur Jean de Touraine, tu peux garder le reste des 20 000 € que tu m’avais promis ainsi que la prime que tu devais me donner, tu en aura besoin quand tes caisses seront vides.
- Bravo les enfants, depuis que ton père a pourri ma vie, j’espérais un jour assister à ce que je vois aujourd’hui, quelqu’un qui lui rabaisse son caquet.
- C’est bien, les réunions de famille, mais il est temps d’unir ces trois enfants.
Même le curé sait que je suis enceinte, mais aussi qu’à un poil près j’ai failli basculer dans le pécher.
Confesse avant un mariage, ça sert à ça.
Client par le pognon que son père m’a donné pour que je couche avec ce gentil garçon que j’ai enfin fini par piéger.
- Je me laisse aller, j’avais envie de toi dès que je t’ai croisé.
Je sens que toi aussi tu as autant envie que moi.
À partir de ces mots, celui que son père prenait pour un puceau sans connaissances sexuelles, me montre l’étendue de son savoir.
Mes seins pour commencer qu’il suce méticuleusement l’un après l’autre, s’il passait ses doigts sur ma chatte, à travers mon string, je ne suis pas une salope.
Pute mes pas salope, il verrait que je mouille.
Même pour six mois et 20 000 €, j’espère en plus prendre du plaisir.
Pour éviter de fiche le plan de Jean par terre, il est inutile de chercher un autre garçon pour le moment, il faut tout de même faire attention.
Après mes seins, et un nouveau long baisé, je me lève et en me tortillant j’arrive à faire glisser mon pantalon.
Quelle idiote d’avoir mis ce truc me collant même s’il fait ressortir mon cul.
C’est un coup à ce qu’il débande.
Antoine libéré ouvre son pantalon sortant sa verge.
- Je bande déjà mais je voudrais que tu me suces, je fantasme sur ta bouche depuis que nous nous sommes rencontrés.
Un bref instant, je me demande si le père n’est pas de mèche avec le fils, il m’avait bien dit que le sexe et lui ça faisait deux.
Il va débarquer dans quelques instants et ils vont me prendre l’un devant l’autre derrière, ils vont me faire subir les derniers outrages.
Même pour tout ce pognon faire le sandwich entre la bite du père et du fils, c’est à ce moment que je prends conscience que le boulot de pute, n’est pas fait pour moi.
Je suis programmée pour épouser un gentil garçon, lui faire de beaux enfants et vivre une vie heureuse comme avocate.
Pas de chance, le pognon est là et c’est en le prenant par la main que je l’entraîne vers ma chambre.
Une chanteuse chantait, ce qui est normal, elle chantait « le tourbillon de la vie. »J’étais censée apprendre à ce garçon, les choses de la vie comme l’on dit.
Là c’est lui qui fait de moi sa chose dans la nuit quand il est arrivé chez moi.
Non seulement son sexe est long et fin atteignant le font de mon vagin et touchant même mon utérus.
Le nombre de fois où je jouis et où l’orgasme me dévaste je ne les compte plus, jusqu’au matin ou après un dernier baisé, nous décidons de sécher la fac.
Le moment le plus drôle de la journée, c’est après m’avoir mangé ma chatte me tirant des plaisirs que je souhaite à toute femme de connaître un jour, c’est le moment où j’ai amené les gâteaux.
Une vraie bataille de tarte à la crème, j’en ai partout, il y en a partout.
Nous passons presque deux heures à tout nettoyer.
Quand nous avons terminés, il me pénètre en levrette, là encore c’est moi qui apprends que c’est ma position favorite.
Bref ayant appelé Jean dès que son fils est parti, il est très satisfait de ma prestation.
Les jours passent me rapprochant de mon premier versement de 2 000 €, je sais tout du Kama-Sutra.
Un soir, ou je me suis retrouvé en haut de l’Empire State building, j’ose lui demander ou il a appris tout ce qu’il sait faire avec son sexe.
- Tu sais bébé, j’ai si souvent entendu mon père baiser ses salopes comme un lapin, que ma distraction favorite, c’était d’aller sur Internet, regarder les mecs baiser des filles, mais surtout beaucoup lire sur l’orgasme féminin, le point G que je t’ai fait découvrir ainsi que les seins des femmes qu’il faut savoir privilégier.
Trop d’hommes dans ce que j’ai lu, les ignorent c’est pour ça que je passe des heures à m’en occuper.
Je veux que la femme de ma vie soit entièrement comblée.
Je le suis mon amour.
Mince, j’ai franchi la ligne blanche, il faut que je me reprenne, inutile de tomber amoureuse, dans quatre mois, c’est fini entre nous et à moi les 20 000 plus la prime que son père m’a promiseJe ne dors pas, je suis devenue une parfaite salope, ou ai passé mon envie de princesse dans ma vie, elle s’est envolée le jour ou j’ai accepté de devenir escorte et ou j’ai pris en main les enveloppes.
C’est le moment des premiers 2 000 €, je les ai bien gagnés.
Pour éviter de faire un imper, nous mettons au point la façon qu’il me passe l’argent sans qu’on ait besoin de me rencontrer.
Ils sont là dans ma main.
Depuis que j’ai mis Antoine dans mon lit, c’est plus que l’argent de son père que j’économise, il paye tout, me fait découvrir les meilleurs restaurants de Paris.
J’aime de plus en plus le luxe sans que l’on oublie nos études qui seront à terme notre porte de sortie m’éloignant des risques de devenir entièrement une putain.
Chaque mois, à la date de notre premier coït, Antoine m’offre une rose.
J’ai envie de lui parler du langage des fleurs, une rose offerte à une dame « Mon cœur à jamais ».
J’ai pris conscience que ce serait lui ouvrir la porte de mon cœur et plus le temps avance plus il nous rapproche de notre séparation.
Simplement d’y penser, ma chatte s’assèche, la raison a raison du cœur et le mien commence à saigner.
- Chérie, j’ai eu une discussion ce matin avec mon père, je passe plus de temps chez nous ici qu’à la maison.
Il sait que je vois quelqu’un et voudrait te connaître, j’ai accepté que nous allions y manger demain soir.
J’ai compris qu’il ne serait pas opposé à ce que tu couches dans ma chambre, il m’a fait livrer un grand lit.
Coincé, j’espérais toucher mon argent jusqu’à la fin sans le revoir, c’est peine perdue.
- Rencontrer le grand Jean de Touraine moi la petite étudiante en droit français, ce sera un grand honneur.
Encore une nuit presque blanche avec seulement une envie nouvelle d’Antoine me faisant mal aux fesses.
Il a voulu me sodomiser et comme de bien entendu, j’ai accepté, je suis payée pour tout lui apprendre.
Je passe sur le repas, Jean ne me connaît pas, je ne le connais pas.
Je devrais jouer au théâtre car j’arrive à lui faire croire que je suis amoureuse sans pour autant lui donner l’impression que je suis accro à l’amour de son fils qui lui déborde de passion pour moi.
Dans deux mois, son déchirement va être maximum, il va le récupérer à la petite cuillère et traumatiser à vie.
C’est au matin Antoine parti car il a cour moi seulement l’après-midi que l’on frappe à la porte de ce qui a été notre chambre pour la première nuit chez mon commanditaire.
- Véronique, c’est moi, je t’apporte ton enveloppe, tu sembles l’avoir bien gagné.
J’ai envie de m’amuser un peu.
- Jean, tu m’as demandé un jour si j’étais une vraie blonde.
J’étais rasée, depuis ton fils préfère que je les laisse pousser.
Regarde ma chatte, je suis nue sous mon drap.
Je découvre mon intimité, les poils ont bien repoussé, il ne prend pas le temps de contrôler, il quitte la chambre l’enveloppe restant sur mon lit.
Je rentre chez moi, les 2 000 € vont rejoindre le reste de l’argent.
Trois jours plus tard, je travaille mes cours avec Antoine, pour une fois on est sage.
- Véro, mon bloc est fini, tu en as un à me prêter.
Je travaille un texte très compliqué, je ne lève même pas la tête étant très concentrée.
- Qu’est-ce que tout cela, cette photo, ces enveloppes et cet argent ?
Je lève la tête, Antoine a ouvert le mauvais tiroir ou j’ai laissé les preuves de ma forfaiture.
Bien sûr c’est la photo c’est la sienne.
- Antoine, je vais tout t’expliquer.
C’est ton père qui m’a payé pour que je devienne ta maîtresse et que tu deviennes un homme sachant bien t’occuper des femmes, lui en changeant régulièrement ne sachant pas y faire avec elle.
Non, ne part pas.
- Je ne resterais pas plus longtemps avec une pute.
Je comprends que tu étais bonne au lit, tu réagissais comme je le voulais sous ma queue.
Et la fois une tu as reçu un coup de téléphone de ton tonton, c’est l’un de tes client qui te demandait de venir te baiser.
T’es une vraie salope.
Comment avez-vous décidé que cela se terminerait ?
- Si tu m’écoutes, je vais tout t’expliqué de A à Z, tout a commencé quand j’ai eu un rapport dans une voiture avec le garçon qui a été le seul à qui j’ai cédé avant toi…
Épilogue :
- Alors, Jean de Touraine qu’est-ce que cela te fait d’avoir à ton bras une pute que tu conduis devant l’hôtel ou ton ex-femme nous attend avec ton fils.
Qu’est-ce que cela te fait d’accompagner cette pute sans parents à la demande de ton ex tout au long de cette église sous les yeux de tes amis qui admirent la jolie mariée que je suis ?
Dans quelques minutes, je serais la nouvelle madame Véronique de Touraine ex escorte sans jamais n’avoir couché avec le moindre client !
Comme je te l’ai dit quand j’ai accompagné mon futur mari venu te casser la figure, je t’ai fait croire que j’étais une pute expérimentée.
Un dernier point, nous sommes à cinq mètres de mon futur.
Quand tu m’as engagé, je t’ai parlé d’amour et de mariage.
Tu m’as dit que tes petits-fils ou filles ne sortiraient pas de la chatte d’une prostituée.
Soit rassuré, ton petit-fils que je porte est le fruit de notre amour à Antoine et moi.
Je dois te dire que depuis le début, il baise comme un dieu, il n’avait nul besoin que je lui apprenne quoi que ce soit.
Merci de me mettre la main dans celle de l’homme de ma vie.
Antoine, dit à ton père ce que nous allons faire concernant son cabinet maintenant que nous avons ouvert le nôtre.
- Oui, ma chérie, papa, nous allons te couler, tu vas finir sur la paille.
- Monsieur Jean de Touraine, tu peux garder le reste des 20 000 € que tu m’avais promis ainsi que la prime que tu devais me donner, tu en aura besoin quand tes caisses seront vides.
- Bravo les enfants, depuis que ton père a pourri ma vie, j’espérais un jour assister à ce que je vois aujourd’hui, quelqu’un qui lui rabaisse son caquet.
- C’est bien, les réunions de famille, mais il est temps d’unir ces trois enfants.
Même le curé sait que je suis enceinte, mais aussi qu’à un poil près j’ai failli basculer dans le pécher.
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