COLLECTION ÉTRANGE PHÉNOMÈNE. Le parchemin diabolique (10/22)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION ÉTRANGE PHÉNOMÈNE.  Le parchemin diabolique (10/22) Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-11-2018 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION ÉTRANGE PHÉNOMÈNE. Le parchemin diabolique (10/22)
• Véronique, j’ignore ce qui m’a pris, d’un coup, j’ai arraché mes affaires et je vous ai rejoint.
N’allez pas à la police, je suis marié, j’ai deux enfants et j’aime ma femme, vous resterez un merveilleux souvenir.
• Aucune crainte, je suis française et j’aime baiser.
Moi aussi je suis mariée et mon mari n’est pas jaloux, s’il avait été là, ce sont deux bites que j’aurais eues à ma disposition.

J’évite de lui parler de ses joueurs mes autres amants, et encore moins du parchemin qui a tout déclenché.
Nous entrons dans la baignoire, je le savonne, il me savonne, sa queue se retend, nous sommes à deux doigts, sans l’aide du parchemin, de remettre le couvert.

• Non, Véronique, ce ne serait pas raisonnable, il est sûr que nous louperions le coup d’envoi.
Je suis le président, je dois présenter mes joueurs aux officielles de la région, qui profitent de ces occasions pour faire leur publicité.
Mais je n’y tiens plus, je bande encore, je peux vous faire l’amour une nouvelle fois.
Viens dans la chambre, tu as raison, nous avons encore le temps, nous y serons à temps, je te le promets.

Ma chatte n’est pas rassasiée, je sens la chaleur parcourir mon corps.
Je ne sais pas comment les choses se passeraient si je ne répondais pas à son appel, il serait capable de me punir et de se mettre en marche dans la tribune du stade.
Le parchemin veut que je me fasse baiser, je me fais baiser en levrette.
Le président me tenant par les hanches et me mettant de grands coups de rein bien au fond de mon vagin avant de finir par m’apporter le calme et des giclées de sperme bien au fond de moi.
Ouf, le parchemin semble avoir sa dose, le président et moi aussi.

Remaquillée, ma jupe très froissée, mais plus propre, la chatte rassasiée, nous retournons au stade où une nouvelle fois nous entrons par la porte des artistes.
Je remonte dans la tribune, lui part vers la pelouse.

• Véro, je me languissais de te revoir, les joueurs se sont échauffés, plusieurs d’entre eux semblaient te chercher dans la tribune.
Je vois que tu es plus propre, dit-moi, c’est un bon coup ?
• Martine, j’ai faim.
• Veux-tu que j’aille te chercher un hot-dog !

Nous éclatons de rire.
La présentation des équipes se fait, mon nouvel amant tourne fréquemment sa tête vers moi.
Tous, dont le député de la circonscription, retournent vers le bord du terrain, le match va pouvoir commencer.
Il monte jusqu’à nous. Alain, je vais l’appeler comme ça malgré qu’il me vouvoie, Alain donc fait les présentations.

• Poussez-vous merde, c’est le coup d’envoi.

Je pense merde, n’oubliant pas d'avoir les honneurs de la tribune officielle, surtout après que la balle tapée par Christian, dès le début du match, tombe dans les bras d’un blanc.
Je parle de son maillot, pas de sa peau, les nôtres jouant en bleu.
C’était le député qui m’empêchait de voir le coup d’envoi, mettant des plombes à s’installer.
Le blanc reçoit la balle directement dans ses bras.
Je vois simplement le gars courir, éviter trois, non quatre, non, cinq de nos joueurs et plonger sous les drôles de barres en forme de H, ça ne sent pas bon pour nos joueurs, car les dirigeants de l'autre équipe placés de l’autre côté de l’allée sautent de joie.
Ils recommencent une deuxième fois quand le gars qui, comme Christian, a le numéro 10 dans le dos, tape et qu’ils lèvent de nouveau les bras.
Au tableau d’affichage, le préposé inscrit 7 à 0.
Deux minutes de jeu, je sens que cela ressemble à une déroute.
À ce rythme, même si j’ignore le temps d’une partie, les blancs vont marquer 100 à 0 pour mes joueurs.
Une nouvelle fois, Christian tape.
Le même joueur doit tricher, car il se trouve à la tombée du ballon, mais à l’opposé. Il avance jusqu’à nos joueurs, leur fait un passement de jambes, passe la balle à son voisin qui recommence et va plonger entre le H.

• Catastrophe, deux essais entre les poteaux, on va prendre une branlée.

Même frappe du numéro 10 et le tableau marque 14 à 0.
À cette vitesse, c'est le double des cent points qu’ils vont ramasser.
Je viens de progresser dans mon langage rugbystique, les H de chaque côté sont des poteaux, j’ai bien fait de venir.

• Véronique, j’espérais que tu serais une aiguillon pour nos joueurs, si ça continue, je vais avoir la honte de ma vie.

C’est Alain à mon côté qui me place sa main sur la cuisse, je sens qu’il faut que je fasse quelque chose.
Le stade est médusé, les Lyonnais se taisent et nos supporters aussi.
Je me lève, brandis l’écharpe que j’ai récupérée en arrivant dans le car, je crie de tous mes poumons.

• Allez Dijon, rentrez-leur dedans.

Je suis le point de mire de tout le stade, surtout que les supporters de notre équipe reprennent en cœur « rentrez-leur dedans », il y en a même un qui se croit le droit d’ajouter.

• Mordez-leur les couilles.

Christian se tourne vers moi, me voit debout les bras dépliant leur couleur et se met à parler à ses joueurs.
Tous se donnent de grands coups d'épaule en me regardant et en applaudissant, Christian retape, Louis ou Luc, un des jumeaux, arrive sur ce même joueur qui doit une nouvelle fois tricher, car il est au centre devant ses poteaux, ce coup-ci et le couche au sol.
J’entends l’arbitre, crier.

• Lâcher.

J’ignore une nouvelle fois pourquoi, mais il siffle et lève le bras.

• Pénalité pour nous, bravo Luc, bien joué.
• Comment vois-tu que c’est Luc ?
• Le 5 c’est Luc, le 4 c’est Louis, c’est Luc qui a plaqué l’arrière lyonnais.

Je progresse, le 15 dans chaque équipe c’est l’arrière, j’ignore pourquoi l’arrière, mais je vous dis que c’est l’arrière.
Christian pose le ballon sur un morceau de plastique qu’une voiture radio guidée a apporté.
Il place son ballon, se recule, met bizarrement son joli petit cul en arrière, joint ses mains et tape.
Je vois nettement le ballon passer en plein entre les poteaux.

• Il tape comme Jonny Wilkilson, le meilleur 15 du monde qui joue à Toulon.

Qui est ce Jonny ?
Jamais entendu parler, c’est le 15 donc un arrière, il faut dire que je regarde rarement la télé et encore moins le sport que dire du rugby que je considère comme un sport de brute.
Je n’aime, et de plus en plus, que le sport en chambre.
Chaque fois que Benoît est à la maison et que la télé est allumée, il est allongé en tenue décontractée.
Que peut faire une honnête femme dans ces cas-là, s’agenouiller, baisser le slip qui protège sa bite et lui faire une fellation avant de se faire prendre dans la position qu’il choisit.
La dernière fois, c’était à la cuillère avant que je ne m’asseye sur sa bite !
Nous avons fini dans la bonne position du missionnaire.
Je plains les filles qui font du porno, j’avais mal aux cuisses et aux bras d’être dans cette position.
Mais revenons à notre match.
À avoir des pensées lubriques, je risque de réveiller la source de mes plaisirs achetée à Martine !
Je saute au cou d’Alain quand je vois le tableau où trois points sont marqués.
Une année, j’ai joué à la pétanque et ces trois points me vont droit au cœur, car avec Benoît, nous avions pris 13 à 0 et nous avions embrassé le cul à Fanny.
Que dire après, ah oui, bagarre générale, surtout les plus gros et les plus grands, ceux qui forment comme une tortue.
L'un des blancs balance un coup de poing vers nos joueurs, c’est Corentin qui ramasse, il se retrouve sur les fesses, Louis venant à son aide, l’arbitre siffle et relève le bras !
14 à 6 après que Christian eut tapé, mais j’ignore pourquoi l’arbitre a sorti un carton rouge au 5 qui a tapé mon petit Corentin.

• Ils vont jouer toute la deuxième mi-temps à 14, nos chances remontent, je n’y crois pas, les filles vous êtes vraiment nos porte-bonheurs.
Allez Dijon.

À une fraction de seconde près, j’ai failli gueuler comme le supporter lyonnais « mordez leur les couilles », mais j’ai appris à me tenir, je hurle.

• Bourrez-leur le pif.

Les joueurs du banc des lyonnais qui ne jouent pas regardent vers-moi qui a crié, je me fais toute petite, ce n’est pas Alain qui est en mesure de leur résister.

• Venez les filles, c’est la mi-temps.

Après avoir été invitée à boire une coupe de champagne dans une salle derrière nous, le match reprend.
Deux autres fois Christian marquent 14 à 12 à six minutes de la fin, nos joueurs arrêtent les blancs sous les poteaux, mais d’après ce que je comprends ils ne marquent pas.
Les joueurs font une nouvelle fois la tortue et la balle revient vers les blancs.
Le joueur lâche le ballon, nouvelle tortue.
La sirène sonne, je suis déçue, ils vont perdre de 2 points, j’ai envie de pleurer.
Je suis inculte, mais tel le phénix renaissant de ses cendres, Corentin prend la balle entre les jambes de Gaston, le numéro 8, le lance à Christian, qui le fait tomber au sol et qui tape vers les poteaux.
L’arbitre suit le ballon des yeux comme tout le stade.
Au moment où la balle passe entre les poteaux, il lève les bras et siffle.
Tous nos joueurs sautent sur Corentin et Christian, Alain est affalé sur son siège, je ne sais pas ce qui se passe, mais j’ai peur d’être obligée de le ranimer.
Dans la salle de bains, nous avons tellement baisé intensément que nous ne nous sommes même pas embrassés !
Le tableau affiche 15 contre 14, je comprends qu’on a gagné.

• Impensable, un drop à la dernière seconde, un drop à la dernière seconde, merci les filles, on est champion interrégional contre toute attente.

Nous descendons sur la pelouse, Martine me suit, les joueurs nous sautent au cou.

• Merci mes Reines, c’est grâce à vous que nous avons gagné, nous allons recevoir la coupe.

C’est Christian qui le premier me serre dans ses bras, je suis à deux doigts de l’embrasser.
J’ai peur d’une chose, l’ambiance est tellement électrique que je crains que le parchemin ne sorte de sa boîte.
Les gars viennent me prendre dans leurs bras, ce qui échauffe ma chatte.
Martine me tombe elle aussi dans les bras, nous nous embrassons sans aucun scrupule, mélangeant nos salives.
Elle s’écarte et me parle à l’oreille.

• Véro, je mouille, je n’ai jamais été autant excitée.

J’ouvre mon sac que je n’ai pas lâché malgré les effusions, la boîte en fer est fermée. Je contrôle, le parchemin est bien au repos, je referme tout.
Les gars sont assez chauds, inutile d’en rajouter, surtout que plusieurs fois des mains baladeuses se posent sur mon fessier.
Après cette victoire inespérée, grâce à leurs marraines, que va-t-il nous arriver…
Merci à Anne

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Texte coquin : COLLECTION ÉTRANGE PHÉNOMÈNE.  Le parchemin diabolique (10/22)
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