COLLECTION ÉTRANGE PHÉNOMÈNE. Le parchemin diabolique (8/22)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION ÉTRANGE PHÉNOMÈNE.  Le parchemin diabolique (8/22) Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-11-2018 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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(8.0 / 10)

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COLLECTION ÉTRANGE PHÉNOMÈNE. Le parchemin diabolique (8/22)
COLLECTION ÉTRANGE PHÉNOMÈNE. Le parchemin diabolique (9/22)
Il faudra que j’essaye, Martine a subi une triple pénétration dont deux bites dans l’anus, elle a hurlé son plaisir au moment où j’ai joui en me caressant le bouton et où ses trois amants lui ont déversé leur sperme dans tous ses trous bien remplis.

Cette soirée une fois de plus a été mémorable, que cette boîte est étrange et formidable, elle semble sentir nos envies et nous aider à les atteindre.
Ce qui est sûr, c’est qu’elle nous a aidés à dépasser nos limites et surtout m’a fait voir que Benoît, mon époux, accepte que sa femme soit près de la perversité.
Dimanche, il est quatre heures quand nous nous levons, Benoît est de service depuis hier au soir et nous avons été sages.
Quelques moments de plaisir entre femmes et dodo, inutile d’appeler des bites à la rescousse, elles sont toutes consignées dans un hôtel près du club.
Une finale de la coupe inter-ligue contre une équipe de Lyon à Oyonnax, ça se prépare, le coach les a mis au vert.
Ayant revêtues nos tenues achetées ensemble, Martine nous conduit au lieu de départ du car, ils sont tous là.
Le chauffeur aidé de plusieurs dirigeants, charge leurs sacs de sport, ainsi que plusieurs glacières, une journée caniculaire est annoncé.
Nous garons notre voiture auprès d’une grosse cylindrée, quatre hommes sont à l’intérieur, l’un d’eux, costume impeccable, en descend en nous voyant.

• Bonjour mesdames, je suis le président du club, vous allez partir avec mes joueurs et leur entraineur, j’emmène les dirigeants en voiture, car nous devons aller préparer la journée.
• Alain, le car est chargé, on peut y aller, la fédé veut nous voir à 10 heures.
• Ok, Vincent on y va, mesdames, soyez sages, c’est vraiment parce que je tiens à respecter ma parole, la qualification à ce match de finale étant impossible, du moins, je le pensais, que vous montez avec eux.
Nous vous avons réservé le fond du car, les joueurs emmenant avec eux tout ce qu’il faut pour se reposer quand nous faisons de longs déplacements.

Alain c’est le nom du président et Vincent c'est l’entraîneur.
Je commence à comprendre les postes dans l’équipe, vu sa carrure, il devait être pilier ou talonneur.
Pour ce voyage, j’ai pris mes précautions, j’ai failli laisser le parchemin à la maison, mais par superstition, je l’ai emmené.
J’ai simplement mis la boîte dans une ancienne boîte en fer que je vendais dans ma boutique.
J’espère qu’il se tiendra tranquille.
Nous roulons depuis une demi-heure, chaque joueur ayant assez de place, peut se coucher sur deux sièges, certains ayant emmené leur oreiller.
Christian est venu nous en apporter deux et sur les six places de la banquette arrière, nous faisons le voyage allongé.
Quand je sens le car décélérer, le jour est levé, j’ai le temps de voir un grand panneau « Porte de Bourgogne – Franche Conté ».

• Aller les gars, pose pipi avant Oyonnax, nous sommes à Mâcon, nous repartons dans vingt minutes.

Nous nous levons, remettons nos baskets et nous descendons.
Au départ les joueurs encore à moitié endormis nous avaient saluées mollement, là ils veulent tous nous embrasser.
Aucune démangeaison du côté de ma chatte, je vais aux toilettes, accompagnée de Martine, la boîte en fer à l’air d’être efficace.
Nous avons une garde rapprochée. Christian, Corentin, Louis et Luc nous accompagnent, mais restent à l’extérieur.

• Je vous offre un café, ça va nous remettre d’aplomb.
• Inutile, dans ces restoroutes, c’est hors de prix, venez au bus, nous avons tout ce qu'il faut, offert par le président.

Il a raison, thermos de café, de thé, avec croissants au beurre nous attendent, le tout servi dans des gobelets à jeter, il faudra que je remercie Alain quand je le verrai.
Ils sont respectueux de l’environnement, tous les déchets sont réunis et mis dans une poubelle.
Nous reprenons la route, quant au moment de repartir, je vois des supporters de l’équipe qui arrivent.

• Les mecs, ce sont nos joueurs, Christian, nous venons vous supporter, Sylvain ouvre le coffre, ces dames doivent avoir l’écharpe des supporters que nous avons fait fabriquer pour cette journée exceptionnelle.

C’est affublé d’une écharpe aux couleurs du club où la finale avec la date du jour est rappelée que nous repartons, sous les klaxons des supporters qui arrivent dans leurs voitures les uns après les autres.
Je repense à ma promesse à Lison de parler de sa grossesse et de l’envie de se marier avant que son état ne soit trop visible.

• Martine, qu’est-ce que cela te ferait d’être grand-mère ?
• Pas de malheur, j’ai moi-même peur de l’être à mon âge.
• Pourtant, tu dois t’attendre à l’être à très court terme, Lison attend un bébé avec mon fils.
• C’est à toi qu’elle l'a dit en premier, je suis déçue.
• Non, si elle est venue me voir, c’est pour autre chose, Adrien doit avoir son diplôme, comme ta fille bientôt.
Ils ont une proposition pour reprendre un cabinet à Baume-les-Dames et mon fils rechigne à nous demander de l’aide, cela les endetterait pendant trente ans. Je l’ai rassurée, Benoit va parler à son fils, nous avons quelques avoir qui vient de ses grands-parents et qui lui reviennent de droit.
• Vu sous cet angle, je comprends qu’elle soit venue te voir.
J’ai une idée, on va faire des demandes pour que les mariages aient lieu le même jour, et en attendant, profitons de notre journée, nous en reparlerons.

Satisfaite, j’ai tenu parole envers Lison, je peux profiter du paysage, c’est une région que je connais mal.
Oyonnax se trouve sur les contreforts du Jura et nous nous élevons, les supporters seront nombreux vu le nombre de coups de klaxons qu'on entend. Il faut dire qu’avec des épingles que toutes femmes prévoyantes ont dans nos sacs, nous avons attaché les écharpes sur le siège arrière, visibles de toutes les voitures qui nous doublent.
Ouf, nous sortons de l’autoroute et nous nous présentons à l’entrée des artistes du stade Charles Mathon, illustre inconnu pour nous tous et ce qu’il y a de bien à voyager avec les joueurs, c’est que nous entrons sans payer.
Les joueurs sont réunis dans les vestiaires, on nous conduit dans la tribune d’honneur, partie visiteurs, la boîte en fer isolante fait son effet, je saurai maintenant comment la museler.
Alain est là, ils ont fini leur réunion avec les instances fédérales.

• Mesdames, vous avez fait bon voyage, je viens de voir Vincent qui m’a dit que les garçons vous avaient respecté et que le voyage s’était bien passé, nous avons le temps, le match commence dans une heure et demie.
• Pardon, laissez passer c’est chaud.

Et je me prends sur mes affaires, saucisses chaudes avec moutarde et ketchup, ma jupe est maculée.

• Mince, Madame, j’ai été bousculé, attendez, ils m’ont donné des serviettes.
• Que faites vous ? Vous étalez tout sur les vêtements de madame, reprenez vos sandwichs, je vais vous aider Véronique.

Mon sauveur, il connaît même mon nom, c’est Alain le président qui vient de prendre les choses en main.

• Venez, nous avons le temps avant le début du match, je dois rester après la finale pour l’assemblée générale et je couche à l’hôtel tout à côté, suivez-moi nous allons arranger les dégâts dans ma chambre.

Je connaissais le coup de la panne, mais le coup du chien chaud à la tomate sur les vêtements pas encore.

• Vas-y Véro, je te garde ta place, regarde, le gars m’a laissé de quoi manger.

Quand nous la quittons, je la vois manger une grosse bouchée de son hot-dog.
Conduite dans la chambre, le président reste sagement assis sur la chaise qui est près de son lit, le temps que j’aille dans la salle de bains défaire et laver mes affaires.
Heureusement, ce sont des vêtements pouvant se laver sans les apporter au pressing. Je les lave à l’eau et au savon et je commence à les sécher avec le sèche-cheveux présent dans cet hôtel de standing.
C’est à ce moment là que ma chatte commence à s’échauffer, je saute sur mon sac. Dans la bousculade, la boîte en fer s’est ouverte et j’ai le temps de voir le parchemin sorti de la boîte en cuir.
Je referme cette maudite boîte espérant arrêter le processus, c’est à ce moment que tel un homme politique, il y a quelques années, Alain me rejoint nu comme s’il venait de naître.

• Véronique, j’ai envie de vous.
• Moi aussi, vite, le match va commencer.

Il me prend par les hanches et m’assoit sur le bord du meuble lavabo.
Notre étreinte est bestiale, il vient directement en moi sans aucune fioriture.
Le parchemin une nouvelle fois, fait son œuvre !
Quelle œuvre, il me pilonne pendant un long moment, je hurle de plaisir.
Si des personnes dorment à cette heure dans les chambres voisines, ils savent que la salope que je suis, s’envoie en l’air.
Un sexe mâle, une chatte très chaude et vous avez un couple qui tire son coup. Divinement, il sort, me fait descendre, me retourne et m’écarte les jambes avec sa jambe gauche.
Il me reprend aussi fort que dans l’autre position, la sensation est meilleure, surtout lorsqu’il passe sa main et vient me titiller le clito.
Je vois mon visage dans la glace devant moi, il m’appuie sur la nuque, me plaquant les seins sur le faux marbre froid.
Sa main contourne nos corps et vient caresser mon bouton, je vois mon visage avec mon rimmel qui a coulé à cinq centimètres.
Je me fais peur tellement mes traits sont déformés par la puissance de l’orgasme qui déferle en moi, quand dans un dernier coup de ventre, il me remplit de son foutre.
Comme d’habitude, inutile de regarder dans mon sac, la peau est retournée dans son écrin de cuir.
Combien de temps restons-nous soudés par nos sexes, je ne saurais le dire, mais nous voulons prolonger ce moment qui vient de se passer…

Merci à Anne

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