COLLECTION ÉTRANGE PHÉNOMÈNE. Les fantômes libertins (2/5)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION ÉTRANGE PHÉNOMÈNE.  Les fantômes libertins (2/5) Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-12-2018 dans la catégorie A dormir debout
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COLLECTION ÉTRANGE PHÉNOMÈNE. Les fantômes libertins (2/5)
Je viens d’épouser le Comte Edgar de la Motte, devenant par la même Anne Comtesse de la Motte, je viens d’avoir 20 ans.
Nous habitons son château en Vendée, terre de la chouannerie dont le Comte est l’un des descendants.
Depuis des jours après mon dépucelage lors de ma nuit de noce, je fais ce qu’il faut pour que sa semence lui donne un fils.
Hélas, celui-ci ne venant pas, je suis obligée de consulter mon gynécologue qui confirme que rien ne m’empêche de pouvoir enfanter.
Ce serait le Comte qui serait déficient.
Cette nuit alors que le Comte est resté près de moi pour la première fois, j’entends du bruit au rez-de-chaussée, principalement une valse.
J’essaye de réveiller le Comte qui se retourne, mais ne me répond pas.
Je me lève et je descends, devant moi une jeune femme entre dans notre salle de réception avec ses canapés et sa longue table sans me répondre.
Je la suis tremblante de peur.
La pièce est remplie de gens qui dansent ou qui forniquent, la petite jeune, venant s’agenouiller devant un vieux monsieur avachi dans le fauteuil où j’ai l’habitude de lire.
Elle dépose sa bouche sur la verge de cet homme et sans la moindre répulsion elle le met dans sa bouche.
C’est à ce moment qu’une femme entièrement nue vient vers moi, elle a des cheveux et une toison brune, des seins petits, mais fermes se terminant en poire comparées aux miens qui sont deux fois plus gros et terminés par deux grosses fraises.
C’est incroyable, comment Miss Adam, la directrice de l’école suisse où mes parents m’ont fait faire mon éducation peut-elle être dans mon château alors que mon mari dort ?

En réalité, il faut que je me réveille, je dois rêver.
Cette femme se présente à moi comme l’aïeul de la Miss Suisse et après m’avoir demandé de quelle année je viens, elle me certifie que nous sommes en 1602 sous le règne d'Henry IV.

- Je vois que tu es étonnée comme je l’avais été moi-même, il y a fort longtemps quand je me suis retrouvée dans ta situation.
Il faut savoir qu’il y a de très nombreuses années nos familles mariaient leurs enfants entre eux pour garder titres et terres.
Nos hommes sont devenus de plus en plus impuissants, c’est certainement le cas de celui que tu m’as dit s’appeler Edgar.
Pour sauver nos terres et nos châteaux, avec l’aide de sorciers très nombreux dans cette contrée, nous avons établi des connexions entre les années et les générations.
- Vous me faites peur, seriez-vous des fantômes ?
- Tu peux le dire, mais quand tu as répondu à l’appel de notre musique, tu as dû remarquer que le Comte ne réagissait pas.
Ce sera toujours le cas chaque fois que tu entendras nos musiciens, qui tu le vois, sont dans l’impossibilité de reconnaître l’un ou l’une d’entre nous.
Tous les hommes ici présents sont très fertiles, tu vas pouvoir baiser avec eux sans aucune retenue et ainsi dès le mois prochain le Comte apprendra que sa semence a fait merveille et que tu es enceinte.
Tu entendras notre musique même pendant ta grossesse, du moins jusqu’à quelques jours de mettre ton fils au monde, il sera hélas lui aussi infertile.

J’essaye de reprendre pied.

- Mais dites-moi, si je suis apte à procréer et que l’un de ces hommes me fasse un enfant, mon fils sera fertile lui aussi.
Je vois que le Comte t’a bien choisi, les sorciers quand ils ont accepté que vous veniez participer à nos soirées ont voulu que ces enfants soient frappés du même mal que leur papa, ton fils sera stérile. Deux choses encore, la première, tu vois cette porte à notre droite, regarde l’une de ces femmes va la franchir, quand tu te sentiras prête, tu feras pareil et tu découvriras les plaisirs ultimes qu’une femme peut ressentir.

C’est bizarre, je n’ai jamais vu aucune porte dans notre salle.
J’aurais dû la voir, elle est dans l’axe de mon fauteuil où en ce moment la jeune femme monte et descends sur la verge du vieux monsieur.
Quelle position indécente, est-il possible que des êtres humains aient de tels comportements dans cette année-là ?

- Je vois que tu regardes ces garçons et ces filles forniquer.
Si les écoles créées dans divers pays comme l’Allemagne, l’Angleterre et la Suisse fonctionnent comme il faut, tu dois connaître le minimum des pratiques sexuelles.
Dans les nuits où tu nous rejoindras, tout ce qui est possible sexuellement tu le feras avant de connaître la fin de cette aventure.
Ce sera toi qui un jour accueilleras une jeune femme venue d’une autre époque à qui tu diras ce que je viens de te dire.
- Alors je serais morte et je serais un fantôme comme vous !
- Tu as tout compris, ne m’as-tu pas dit que tu vis en 2018.
Qui pourrait avoir 416 ans ?
Maintenant tu sais tout, il reste de nombreuses heures avant que ton mari ne sorte de sa léthargie.
Je vais te présenter Gaston, c’est mon palefrenier.
Tu vas voir, il va t’apprendre autre chose que de te faire baiser dans la position du missionnaire comme le Comte doit te sauter espérant avoir une longue lignée.

Elle appelle ce garçon que j’avais remarqué dans son dos.
Il a un corps aussi bien dessiné que les statues grecques que j’ai vues dans mes livres dans mon école suisse avec Miss Adam et ses professeurs.

- Madame Anne, que faites vous encore avec cette chemise de nuit, votre corps est si beau, regardez l’effet que vous me faites, je bande déjà pour vous.

J’ignore si ce sont des spectres des fantômes ou des êtres en chair et en os que j’ai devant moi.
Je sais que lorsque sa main virile arrache ma chemise de nuit mon vagin semble se mettre en marche et j’ai une envie irrésistible à ce qu’il me prenne dans ses bras.

- Madame Anne, venez, nous allons valser, vous verrez je suis le meilleur danseur de notre soirée.

Avez-vous déjà valsé dans les bras d’un fantôme qui bande et dont la queue vient s’insinuer entre vos jambes ?
Je coule littéralement de plaisir sans que pour autant il soit déjà en moi.
Quand la musique s’arrête, je manque de défaillir.
Il me conduit jusqu’à un canapé dont le couple s’est dirigé vers cette porte qui a disparu dans notre monde.
Je voudrais qu’il me prenne, mais il me prend la tête pour conduire ma bouche jusqu’à sa verge.

- Pompe-moi bien, j’adore que de jeunes pucelles comme toi me fasse une bonne fellation avant de venir t’empaler sur mon pieu.
- Comme tous nos maîtres, ton mari doit te baiser dans la position du missionnaire !

En quelques minutes, mon vocabulaire vient de s’enrichir des mots « missionnaires » dont je comprends le sens car il fait référence au Comte.
Du mot « fellation », là encore je comprends que c’est ce que fait ma bouche et mes mains qui s’accrochent à ce « pieu » donc verge dans leur langage.
Ce que je constate, c’est qu’entre ce que j’ai touché le soir de mon dépucelage et maintenant Gaston, ce simple palefrenier, qui va me mettre le double de longueur dans le vagin, il y a une belle différence.

- Assez pompée ma belle, je vais te prendre la chatte.

Au moment où il me relève pour me placer à genoux sur notre canapé, j’ai le plaisir de connaître ce mot "chatte" apprise à l’école des bonnes manières.
Je trouve charmant que pour lui mon vagin est une chatte.
C'est bien vrai car depuis de nombreuses minutes elle ronronne de plaisir.

Comment fais-je pour sentir sa verge venir par-derrière moi avant de me pénétrer comme j’ai vu l’un de nos chevaux engrosser une de nos juments avec son sexe disproportionné ?
Comment fais-je pour reculer mon cul pour qu’il entre plus profondément en moi, le chemin ayant été préparé par son mari ?
Comment j’accepte qu’il se couche sur mon dos me prenant mes seins qu’il malaxe et qu’il tire à m’en faire mal, mais oh combien j’apprécie ?
Je regarde à droite et à gauche, la musique joue un morceau donnant le tempo aux sexes qui sont en nous.
Je hurle quand pour la première fois le plaisir m’atteint comme il atteint la plupart des filles dans ma salle à manger.
J’ai lu deux ou trois histoires de vampires et fantômes, principalement Dracula, mais être au milieu d’eux, je devrais prendre peur, alors que je suis aux anges même s’ils sont noirs.

La queue en moi a un soubresaut avant de me remplir, faisant exploser la boule qui montait en moi.

- Quel orgasme, je savais que tu étais faite pour que ta chatte rencontre mon mandrin en levrette, j’ignore si nous nous reverrons, mais chaque fois fais-moi signe.

Après ces derniers mots, des quantités de semence entrent en moi.
Est-ce celui qui va me féconder et être le père de mon fils ?
Ai-je vraiment participé à une orgie en 1602 dans notre grande salle ?
Je l’ignore, je viens de me réveiller, le Comte toujours à mes côtés semble se réveiller, il se retourne.

- Ma mie, je me réveille en pleine forme.

Venez que je vous honore, mais dites-moi, vous êtes nue, vous avez anticipé mon envie ?

Il vient sur moi, je voudrais le sucer et me mettre en levrette, mais il me pénètre directement.
Il vaut mieux que je le subisse sans lui montrer qu’en une nuit, j’ai plus que progressé sexuellement.

- Madame, je sens que votre vagin est très lubrifié, je vois que vous appréciez que je vous honore, je suis sûr ce matin de vous faire notre enfant.

S’il savait qu’il nage dans le sperme de Gaston, je crois qu’il ferait une syncope !
Ai-je vraiment vécu cette nuit magnifique pour moi, même si ce sont des fantômes avec lesquels j’ai baisé ?
Les quelques gouttes de semence de mon mari viennent se mélanger avec les flots de celles qu’il a lui-même sentis en, moi.
Quand ma servante m’apporte mon petit déjeuner, le Comte ayant quitté ma couche, je me demande si dans les nuits prochaines, la musique synonyme de nuit libertine me sera reproposée…

Corriger par Anne ma muse.

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