COLLECTION FANTASME. Tourné dans des pornos.

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION FANTASME. Tourné dans des pornos. Histoire érotique Publiée sur HDS le 05-03-2016 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION FANTASME. Tourné dans des pornos.
Au volant de ma voiture, je suis sur le périphérique de retour de chez mon amant moi la femme mariée ayant deux enfants qui à ce jour aient toujours été d’une fidélité exemplaire.
Comment moi Noémie ai-je pu être aussi bête pour céder ce soir alors que cela fait des mois qu’il me harcelait ?
Alain, mon mari l’homme qui est tout pour moi et qui m’a donné deux beaux-enfants méritait autre chose que les deux petites baises que j’ai acceptée ce soir après mon travail la première dans notre société à la défense.
Mon supérieur hiérarchique m’a pris dans son bureau, non sur son bureau après qu’il eut mis sa main sous ma jupe et que je l’ai laissé faire ayant un moment de faiblesse.
Il a souhaité continuer et une fois encore j’ai cédé, il m’a emmené dans son appartement ressemblant plus à une garçonnière qu’un logement d’honnête homme où sans me demander si j’étais d’accord, il m’a sodomisé, moi qui étais vierge de mon anus.

Voyant l’heure avancée je me sauve et retrouvant ma voiture je roule vers mon domicile.
Je roule avec du vague à l’âme, d’un côté j’ai honte et de l’autre le plaisir que j’ai ressenti m’incite à minimiser ce que j’ai fait même si quand je passe ma main sur ma chatte, elle est nue, ma petite culotte ayant été gardée pour la collection que doit tenir mon amant et que j’ai mal aux fesses de la sodomie subie.
Quand je serai à la maison, je promets de me racheter en faisant l’amour tendrement avec mon mari sans lui dire ce que je viens de faire.

• Madame, tenez bon, on s’occupe de vous, tout va bien, vous avez eu un gros choc à la tête, nous nous occupons de prévenir votre mari.

Quinze heures, c’est presque en pleurs que je sors du théâtre ou je viens de passer une audition pour jouer dans une troupe de ballet moderne qui est pour moi la dernière marche avant le trou sans fond où je suis en train de tomber.

• Bien, oui, rester les yeux ouverts tout va bien.

Mon mouchoir sur mes yeux, je pleure à gros sanglots après le refus de m’engager du chef de ballet qui a trouvé que même si je dansais divinement, mon cul et mes gros seins dépareillaient avec les filles qu’ils recherchaient.
Mon mouchoir m’échappe ramassé par un homme d’une quarantaine d’années encore très beau et qui a un regard empreint de gentillesse.
Rapidement voyant mon désarroi, il me propose de m’emmener dans ses bureaux à deux pas où il aura une proposition à me faire.
J’aurais pu me méfier, mais la panade où je me trouve oubli de déclencher des petits signaux quand il a parlé de proposition.
Dans l’acenseur, il me passe mon mouchoir sur les yeux pour essuyer les dernières larmes qui s’y trouvent.

• C’est bien, le docteur arrive, il va vous examiner, il faut avoir confiance, je découpe vos vêtements.

Dans son bureau, les affiches des films aux murs qu’il a produites m’obligent à prendre conscience de la légèreté que j’ai eu de suivre cet homme.

« Petite salope. » « La bourgeoise et son amant. » « J’en prends, j’en veux plus » « Met-la-moi » et deux ou trois autres du même topo avec les noms des acteurs et surtout d’une ou deux actrices déjà vues au journal du hard de Canal.

Bizarrement, les noms de ses filles connues me donnent confiance puisque à l’affiche du journal sur Canal.

• Regarde, encore une qui est habillée sélecte et qui est au volant sans culotte, elles sont toutes les mêmes ces bourges.
• Madame, laissez vos yeux ouverts.

Je vois que tu as compris que je suis producteur de films X, ta plastique impeccable va faire de toi la nouvelle égérie de ma production, j’aimerais te faire signer un contrat d’exclusivité pour quatre films d’un montant de 40 000 €.
40 000, moi qui étais prête à signer un contrat dans cette troupe pour 1000 € par mois.
Je prends le stylo qu’il me tend et les yeux fermés je dépose ma signature surtout que ce parafe me vos 5 000 € d’avance.

• Je te fais confiance, mercredi huit heures ici, prends ta valise, nous partirons sur la côte dans une villa que j’ai louée pour ce film.

Je suis à l’heure, nous arrivons dans la banlieue de Fréjus et Guy fait entrer la voiture dans une villa entourée de grands arbres.
La villa est magnifique en ce mois de septembre et la piscine me tend les bras avec son eau bleu azur.
Il faut tourner rapidement à ce que je comprends, car chaque minute coûte des fortunes, les techniciens sont prêts,
Mon producteur leur a téléphoné de mon arrivée et cela m’évite de gamberger,
Facile, je suis loin d’être une pucelle et quand je vois arriver les trois bites que dans le scenario lu en route que je dois les sucer, je le fais consciencieusement.
À ce jour, je faisais cela avec une, trois c’est bien plus marrant.

• Appelle le docteur, elle part, vite donne-moi la piqûre que j’ai préparée, vite je te dis.

Première scène, aucun sperme sur mon visage, car nous sommes là trois jours et il faut que les garçons gardent des réserves.
Après le repas sodomie de nuit après une course-poursuite dans les chemins environnant les pieds dénudés.
Quand le premier me rattrape, il me coince au sol et sans me prévenir, il me prend le cul.
Les techniciens sont des pros, car j’en vois un qui filme mon visage crispé en gros plan pendant que l’autre saisi la pénétration anale qui me fait plaisir en quelques secondes.
Toucher du fric baisé dans un cadre idyllique, cela vaut bien d’avoir un petit peu mal sous les pieds.
Pour la première fois, Guy ayant engagé la pub sur sa nouvelle égérie me fait rencontrer des journalistes qui me demandent mon parcours ?
Guy répond, à ma place, je dois être trop nunuche pour savoir leur parler.

• Docteur, c’est bon, je gère, elle a repris des couleurs, retournez-vous occuper de cet homme qui semble plus amoché.
Madame, il faut rester immobile, pourquoi toucher vous vos pieds, pourquoi voulez-vous les attraper.
Bon, je regarde, oui vous avez raison, cette petite épine doit vous gêner.

Le troisième jour de tournage arrive et j’ai tout fait comme ils m’ont dit et comme il faut, je me suis laissé baiser par tous les trous qu’ils ont pu trouver jusqu’au moment, où pour les scènes de sperme les trois garçons décharge sur mon visage.
Une petite goutte me tombe dans l’œil qui m’aveugle m’obligeant à me le frotter.

• Véro, je crois que notre piqûre a été efficace, elle s’agite de plus en plus.
Qu’avez-vous madame, pourquoi vous frottez vous l’œil ?

Nous sommes de retour à Paris mon compte en banque très bien garni.
Dans trois semaines départ pour Dakar, je pense que je vais tâter de la bite noire et bien grosse, mais comme tout est frais payé, cinq jours de vacances là-bas c’est tout bénef difficile de refuser.

• Demande au brancardier de venir, le médecin veut la garder en observation.
• J’appelle les infirmières du service pour lui rebrancher sa ventilation rapidement.

Dakar comme je le prévoyais, j’ai le droit à deux armoires à glace avec des bites comme des bras.
Je peux dire qu’il m’en place dans la chatte et dans le cul largement sur ce tournage.
Le plus désagréable c’est le sable qui s’insinue partout et qui me gratte zau moment de la double pénétration sur la plage.

• Agnès vient voir, qu’est-ce qu’ils ont fichu au bloc, elle se tortillait, il y a du sable sous elle, ils l’ont emmené en vacances à la plage avant de nous la monter ?
Viens, on va changer les draps.

Dès le retour quel plaisir d’aller déposer mon chèque à la banque.
Alors qu’il y a peu, il voulait me virer, je suis la meilleure de leurs clientes.
Aujourd’hui, je tourne le troisième porno de mon contrat dans les studios que Guy a loués avec deux actrices spécialistes des scènes lesbiennes.
Pour la première fois, je suce des chattes pendant qu’elles en font de même sur la mienne par rapport aux scènes avec les hommes souvent arrêtés et qui m’ont empêché de prendre mon plaisir à part une fois quand le mieux membré des deux noirs m’a sodomisé à m’en éclater l’anus, les scènes lesbiennes me permettent de jouir à jet continu pendant tout le tournage.
Ces trois jours de tournage sont épuisants, j’ai la chatte qui chauffe à force de me faire sucer ainsi que mon clito.
La grande rousse qui a un goût très épicé, voire poivré m’a littéralement mordu mon excroissance à me faire peur qu’elle me l’ait coupé.

• Elle a des drôles de manières, je lui fais sa toilette et sa main vient de passer sous ma blouse heureusement que j’ai ma culotte, elle m’aurait caressé la chatte.
Entrée les enfants, maman va bien, oui il est possible de lui faire un bisou, elle est sortie d’affaire.
• Papa, pourquoi maman a un pansement avec un tube sous la figure.
• On lui enlève demain, elle pourra te parler en attendant refait lui un bisou et ton papa va vous emmener pour éviter de la fatiguer.

Dernier film du contrat, c’est à la défense dans des bureaux que je suis séduite par mon chef de service le soir après le travail.
Il me prend sur son bureau et Rocco qui joue avec moi se permet de me faire jouir moi qui joue une bourgeoise mariée avec deux enfants trompant son mari pour la première fois.
Une deuxième scène est tournée dans le studio que Guy possède dans ses bureaux.
Rocco me prend par l’anus et je retrouve les sensations ressenties à Dakar avec le noir aussi bien monté.
La scène qui suit est la scène où je suis sur le périphérique où je pleure en conduisant en prenant conscience que si ma culotte est restée chez mon amant, c’est parce que j’ai trompé Alain, mon mari.
Dans un moment de folie les yeux complètement en pleurent au lieu de freiner en voyant les feux des voitures s’allumer, j’accélère.

• Au revoir madame, remettez-vous bien, attention les enfants, évitez de fatiguer votre maman, elle a eu beaucoup de chance.

Pour la première fois, alors que je monte dans la voiture d’Alain pour retourner chez moi, nous remontons le boulevard près de chez nous.
Place de Clichy, nous longeons plusieurs sexes-shops qui font de la publicité pour,

« L’intégral des perversions de Noémie. »

Bizarre, l’actrice qui est en pied sur l’affiche à une grande ressemblance avec moi…

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