COLLECTION FOLLE DU CUL. Dire que je suis mariée avec trois enfants (1/2)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 28-04-2022 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION FOLLE DU CUL. Dire que je suis mariée avec trois enfants (1/2)
• Chérie, j’ai parlé à mes patrons, ils ont bien une place disponible, mais ça va nous entraîner des séparations certains soirs de la semaine.
• Merci Pedro, ça va être un sacrifice, mais je suis prêt à bien des choses même la séparation de notre couple pour donner une parfaite et haute éducation à nos enfants.
Je m’appelle Luisa, trente-deux ans, fille d’une famille d’origine espagnole élevée dans la foi catholique jusqu’à ce que Pedro m’épouse.
Attention, évitons toute méprise, lorsque je parle de foi, c’est dans la pratique de ma religion que je m’exprime.
Depuis douze ans que je lui ai dit oui aussi bien devant le maire où surtout monsieur le curé, le même qui m’avait baptisé puis fait mes communions, aucun écart.
Pour preuve, moi qui voulais éviter d’avoir une famille nombreuse ayant quatre sœurs et trois frères, j’ai offert à Pedro deux filles et surtout son garçon.
Deux filles, onze et six ans et après bien des palabres, un troisième qui coup de bol est un garçon.
Jusqu’au moment où l’écographie a montré le petit sexe de mon bébé, j’avais des frayeurs, que ce soit une autre fille.
Il a lui-même deux sœurs qui ont elles-mêmes cinq filles.
Bref, j’ai élevé ma petite famille, chaque fois que mon mari voulait s’occuper de ma chatte, je lui offrais avec plaisir jusqu’à ce que nos finances nous rattrapent.
Certes, je suis dans un des rares pays au monde où les aides pour les familles sont nombreuses.
Hélas, prise par la mode, Agnella et surtout Camellia réclame de plus en plus de choses, surtout à la rentrée des classes.
Quel est le designer qui a eu l’idée de mettre des photos de la reine des neiges sur les trousses d’école, les cartables et même jusqu’au taille-crayon.
De mon temps, les trousses étaient en bois puis les premières en tissu, étant bleues ou rouges, voire marron, mais sans plus.
Il y a les trousses pour Camellia, mais les vêtements pour Agnella, l’a encore quel est le con, pardon, le couillon qui a dessiné des jeans avec des trous coutants plus chers que des jeans en parfait état.
Bien sûr, pour elle rajoutons le portable, car toutes ses copines en ont un.
Pour qui passerait-elle surement pour une ringarde si elle était obligée d’en emprunter un pour me dire de venir la chercher, car, ses profs sont en grève surprise.
Pour compléter le tableau, même si, Pedro est un mari très attentionné, il a ses défauts lui aussi.
Parlons de ses voitures, avant notre mariage, célibataire, il avait une voiture de sport placée dans la catégorie voiture ancienne, mais notre mariage et l’arrivée de notre fille l’ont obligé à devenir familiale.
Depuis le début de notre mariage, il en a eu quatre à se demander même si quelquefois la couleur avait simplement guidé son choix.
Ce fut le cas, il y a deux mois quand il a débarqué avec une Peugeot 3 008, avec comme motif qu’elle avait six places alors que notre 308 était largement suffisante pour aller chez ses parents en vacances.
J’aurais pu lui rétorquer la nécessiter, simplement de fixer un coffre de toit.
C’est à cause de tout ça que nous avons discuté du besoin que je reprenne du travail afin d’augmenter les revenus de notre ménage.
Il faut dire que Lucas, autre prénom choisi par Pedro et sa mère espagnole ont beaucoup d’influence sur lui.
Échapper aux contraintes, devoir et dîner le soir a été un enchantement pour moi.
Ça fait deux mois que je dors souvent dans les mêmes hôtels-restaurants dans le secteur où je dois prospecter pour prendre des commandes de produit que Pedro fabriquera avec son équipe.
C’est facile, le circuit est le même, même si ce soir un fait va faire gripper notre belle mécanique.
Je suis dans un hôtel à plus de cent kilomètres de chez nous.
Après un bain délassant, je suis nue sur mon lit pour parler à mes enfants et surtout mon mari.
Ma nudité lorsque je parle à mes filles pourrait être choquante surtout vu mon éducation, mais comme je suis seule dans cette pièce à part moi, qui le saura.
Ça devient plus hard avec Pedro quand il me dit que ma petite chatte lui manque et qu’il a hâte d’être à demain pour qu’il puisse m’en mettre un petit coup.
J’emploie ces mots, liés là encore à mon éducation, car entre nous c’est bien plus harde.
Quand mes doigts me font couler, ce qui est nouveau pour moi, lorsqu’il me quitte, à la limite d’avoir un orgasme, je me sens une nouvelle fois frustrée.
C’est dans cet état que je m’habille et que je descends dans la salle du restaurant.
Une pensée me vient, j’ai vu sur Internet qu’il était possible de s’acheter des godes, je vais y penser et quand je serais dans ce même état d’excitation, je pourrais me soulager sans avoir des pensées perverses.
• Puis-je vous déranger, ce journal est à vous !
Je suis à ma table et j’ai posé à mes côtés le journal que je lis chaque fois que je mange ici.
Ce journal est à la disposition des clients et il me fait passer un moment en attendant le premier plat du menu. « Étape hôtel ».
C’est la première fois que je suis apostrophée depuis que je mange seule dans ces restaurants.
Je regarde cet homme sans aucune arrière-pensée même si je dois reconnaitre qu’à environ quarante ans, il doit énormément plaire aux femmes.
• Non, c’est le journal de l’hôtel, vous pouvez le prendre.
Il me remercie et regarde comme moi je l’ai fait les titres du quotidien.
S’il m’avait entrepris comme le fond de gros lourdingue, par vous « habiter chez vos parents », je lui aurais fait comprendre que ses blagues à cent sous s’il savait là où je me les carrais.
• C’est dur d’être loin des siens.
• Comment voyez-vous cela ?
• Mon alliance et votre alliance, nous sommes deux personnes mariées qui assument notre serment à l’être que l’on aime !
Ça c’est la technique de celui qui assume alors qu’il a des envies secrètes et qui met vos familles en rempart au plaisir qu’il souhaite vous procurer.
Je dis cela au moment où il me dit ça, pour la deuxième partie, je le constaterais plus tard.
Bref pour la première fois au moment de me lever pour rejoindre la solitude de ma chambre, il me propose ce que j’aurais dû refuser.
• Je connais un bar sympa à quelques kilomètres d’ici, ma voiture est devant.
Je vous propose d’aller boire un verre avant de vous raccompagner ici pour que chacun d’entre nous retrouvions notre chambre.
Voilà comment un beau parleur sans trop en faire vous prend dans ses filets.
Le bar est tamisé, ce qui rend l’ambiance plus décontractée entre nous.
Je lui expose ma vie, lui la sienne.
Beaucoup de similitudes entre nous à part que c’est lui qui a la verge et moi la chatte.
• Il est temps de retourner à l’hôtel, demain j’ai trois clients à visiter.
• Tu as raison, Luisa, moi aussi demain j’ai du boulot.
Au fil de la soirée alimentée par deux ou trois verres de whisky coca pour moi, le tutoiement est naturellement venu ainsi que l’emploi de nos prénoms.
Luisa pour moi, Alexandre pour lui.
Galant il ouvre la portière comme à l’aller et me rejoint de l’autre côté.
• Alexandre, que fais-tu, tu as été galant tous le repas et toute la soirée et maintenant qu’il va être l’heure de retrouver nos vies mêmes très banales, tu me sautes dessus.
Regarde mon chemisier, il est tout déchiré.
• Si tu m’avais permis de t’embrasser, j’aurais été plus doux, qui es-tu, une salope.
• Une salope, que dis-tu et moi qui te prenais pour un gentleman.
• Comment veux-tu que je sois un gentleman avec une salope qui m’a mis ses jarretelles toute la soirée sous les yeux, ta jupe remontant à un tel point que j’ai vu ta culotte blanche.
C’est vrai, je suis à l’ancienne, j’ai horreur des collants, je porte même des bas résille.
Comme mon mari aime que je me promène dans notre chambre seulement à cause des enfants avec des dessous affriolants, avec ma jupe qui remontait, il a pu tout voir.
Il me prend la main et la pose sur sa verge.
Il ouvre sa braguette et là sort.
Elle me brûle la main, mais est-ce les verres, je vois un peu trouble et ma bouche fait seule le trajet pour le sucer.
Dites-moi que c’est moi qui suce un mec devant un bar de nuit dans sa voiture.
Il m’arrive d’avoir des fantasmes.
Lorsqu’il décharge, pour la première fois, le goût acidulé du sperme empli, ma bouche débordant même tellement les jets qu’il éjacule, sont abondants.
C’est à ce moment que nous nous trouvons pris dans les phares d’une voiture ayant un gyrophare bleu.
• Sortez de la voiture, dans l’état où vous êtes.
J’ai peur et je m’exécute, Alexandre en faisant autant.
• Voilà un magnifique flagrant délit, une pute et son mac.
On nous a signalé qu’une nouvelle prostituée se ferait des clients ce soir amené par son maquereau.
• Mais je suis une honnête femme, je suis à l’hôtel non loin d’ici.
• Tu as refusé de te faire des clients, ton Mac t’a un peu secoué pour que tu tapines, tu as même fini par lui sucer la queue.
• Comment pouvez-vous penser qu’Alexandre est mon Mac et qu’il m’a un peu bousculé ?
• Ton chemisier déchiré, voilà la preuve de ce que j’affirme.
Alexandre à mon côté a encore sa queue sortie.
Je vois même une goutte de sperme sortant de son gland et qui tombe au sol.
• Montez dans ma voiture, je vous emmène au poste pour enregistrer vos déclarations.
Nous nous exécutons, mais chacun de nous se retrouve menotté.
Comment cela va-t-il se finir, je tombe en larmes...
• Merci Pedro, ça va être un sacrifice, mais je suis prêt à bien des choses même la séparation de notre couple pour donner une parfaite et haute éducation à nos enfants.
Je m’appelle Luisa, trente-deux ans, fille d’une famille d’origine espagnole élevée dans la foi catholique jusqu’à ce que Pedro m’épouse.
Attention, évitons toute méprise, lorsque je parle de foi, c’est dans la pratique de ma religion que je m’exprime.
Depuis douze ans que je lui ai dit oui aussi bien devant le maire où surtout monsieur le curé, le même qui m’avait baptisé puis fait mes communions, aucun écart.
Pour preuve, moi qui voulais éviter d’avoir une famille nombreuse ayant quatre sœurs et trois frères, j’ai offert à Pedro deux filles et surtout son garçon.
Deux filles, onze et six ans et après bien des palabres, un troisième qui coup de bol est un garçon.
Jusqu’au moment où l’écographie a montré le petit sexe de mon bébé, j’avais des frayeurs, que ce soit une autre fille.
Il a lui-même deux sœurs qui ont elles-mêmes cinq filles.
Bref, j’ai élevé ma petite famille, chaque fois que mon mari voulait s’occuper de ma chatte, je lui offrais avec plaisir jusqu’à ce que nos finances nous rattrapent.
Certes, je suis dans un des rares pays au monde où les aides pour les familles sont nombreuses.
Hélas, prise par la mode, Agnella et surtout Camellia réclame de plus en plus de choses, surtout à la rentrée des classes.
Quel est le designer qui a eu l’idée de mettre des photos de la reine des neiges sur les trousses d’école, les cartables et même jusqu’au taille-crayon.
De mon temps, les trousses étaient en bois puis les premières en tissu, étant bleues ou rouges, voire marron, mais sans plus.
Il y a les trousses pour Camellia, mais les vêtements pour Agnella, l’a encore quel est le con, pardon, le couillon qui a dessiné des jeans avec des trous coutants plus chers que des jeans en parfait état.
Bien sûr, pour elle rajoutons le portable, car toutes ses copines en ont un.
Pour qui passerait-elle surement pour une ringarde si elle était obligée d’en emprunter un pour me dire de venir la chercher, car, ses profs sont en grève surprise.
Pour compléter le tableau, même si, Pedro est un mari très attentionné, il a ses défauts lui aussi.
Parlons de ses voitures, avant notre mariage, célibataire, il avait une voiture de sport placée dans la catégorie voiture ancienne, mais notre mariage et l’arrivée de notre fille l’ont obligé à devenir familiale.
Depuis le début de notre mariage, il en a eu quatre à se demander même si quelquefois la couleur avait simplement guidé son choix.
Ce fut le cas, il y a deux mois quand il a débarqué avec une Peugeot 3 008, avec comme motif qu’elle avait six places alors que notre 308 était largement suffisante pour aller chez ses parents en vacances.
J’aurais pu lui rétorquer la nécessiter, simplement de fixer un coffre de toit.
C’est à cause de tout ça que nous avons discuté du besoin que je reprenne du travail afin d’augmenter les revenus de notre ménage.
Il faut dire que Lucas, autre prénom choisi par Pedro et sa mère espagnole ont beaucoup d’influence sur lui.
Échapper aux contraintes, devoir et dîner le soir a été un enchantement pour moi.
Ça fait deux mois que je dors souvent dans les mêmes hôtels-restaurants dans le secteur où je dois prospecter pour prendre des commandes de produit que Pedro fabriquera avec son équipe.
C’est facile, le circuit est le même, même si ce soir un fait va faire gripper notre belle mécanique.
Je suis dans un hôtel à plus de cent kilomètres de chez nous.
Après un bain délassant, je suis nue sur mon lit pour parler à mes enfants et surtout mon mari.
Ma nudité lorsque je parle à mes filles pourrait être choquante surtout vu mon éducation, mais comme je suis seule dans cette pièce à part moi, qui le saura.
Ça devient plus hard avec Pedro quand il me dit que ma petite chatte lui manque et qu’il a hâte d’être à demain pour qu’il puisse m’en mettre un petit coup.
J’emploie ces mots, liés là encore à mon éducation, car entre nous c’est bien plus harde.
Quand mes doigts me font couler, ce qui est nouveau pour moi, lorsqu’il me quitte, à la limite d’avoir un orgasme, je me sens une nouvelle fois frustrée.
C’est dans cet état que je m’habille et que je descends dans la salle du restaurant.
Une pensée me vient, j’ai vu sur Internet qu’il était possible de s’acheter des godes, je vais y penser et quand je serais dans ce même état d’excitation, je pourrais me soulager sans avoir des pensées perverses.
• Puis-je vous déranger, ce journal est à vous !
Je suis à ma table et j’ai posé à mes côtés le journal que je lis chaque fois que je mange ici.
Ce journal est à la disposition des clients et il me fait passer un moment en attendant le premier plat du menu. « Étape hôtel ».
C’est la première fois que je suis apostrophée depuis que je mange seule dans ces restaurants.
Je regarde cet homme sans aucune arrière-pensée même si je dois reconnaitre qu’à environ quarante ans, il doit énormément plaire aux femmes.
• Non, c’est le journal de l’hôtel, vous pouvez le prendre.
Il me remercie et regarde comme moi je l’ai fait les titres du quotidien.
S’il m’avait entrepris comme le fond de gros lourdingue, par vous « habiter chez vos parents », je lui aurais fait comprendre que ses blagues à cent sous s’il savait là où je me les carrais.
• C’est dur d’être loin des siens.
• Comment voyez-vous cela ?
• Mon alliance et votre alliance, nous sommes deux personnes mariées qui assument notre serment à l’être que l’on aime !
Ça c’est la technique de celui qui assume alors qu’il a des envies secrètes et qui met vos familles en rempart au plaisir qu’il souhaite vous procurer.
Je dis cela au moment où il me dit ça, pour la deuxième partie, je le constaterais plus tard.
Bref pour la première fois au moment de me lever pour rejoindre la solitude de ma chambre, il me propose ce que j’aurais dû refuser.
• Je connais un bar sympa à quelques kilomètres d’ici, ma voiture est devant.
Je vous propose d’aller boire un verre avant de vous raccompagner ici pour que chacun d’entre nous retrouvions notre chambre.
Voilà comment un beau parleur sans trop en faire vous prend dans ses filets.
Le bar est tamisé, ce qui rend l’ambiance plus décontractée entre nous.
Je lui expose ma vie, lui la sienne.
Beaucoup de similitudes entre nous à part que c’est lui qui a la verge et moi la chatte.
• Il est temps de retourner à l’hôtel, demain j’ai trois clients à visiter.
• Tu as raison, Luisa, moi aussi demain j’ai du boulot.
Au fil de la soirée alimentée par deux ou trois verres de whisky coca pour moi, le tutoiement est naturellement venu ainsi que l’emploi de nos prénoms.
Luisa pour moi, Alexandre pour lui.
Galant il ouvre la portière comme à l’aller et me rejoint de l’autre côté.
• Alexandre, que fais-tu, tu as été galant tous le repas et toute la soirée et maintenant qu’il va être l’heure de retrouver nos vies mêmes très banales, tu me sautes dessus.
Regarde mon chemisier, il est tout déchiré.
• Si tu m’avais permis de t’embrasser, j’aurais été plus doux, qui es-tu, une salope.
• Une salope, que dis-tu et moi qui te prenais pour un gentleman.
• Comment veux-tu que je sois un gentleman avec une salope qui m’a mis ses jarretelles toute la soirée sous les yeux, ta jupe remontant à un tel point que j’ai vu ta culotte blanche.
C’est vrai, je suis à l’ancienne, j’ai horreur des collants, je porte même des bas résille.
Comme mon mari aime que je me promène dans notre chambre seulement à cause des enfants avec des dessous affriolants, avec ma jupe qui remontait, il a pu tout voir.
Il me prend la main et la pose sur sa verge.
Il ouvre sa braguette et là sort.
Elle me brûle la main, mais est-ce les verres, je vois un peu trouble et ma bouche fait seule le trajet pour le sucer.
Dites-moi que c’est moi qui suce un mec devant un bar de nuit dans sa voiture.
Il m’arrive d’avoir des fantasmes.
Lorsqu’il décharge, pour la première fois, le goût acidulé du sperme empli, ma bouche débordant même tellement les jets qu’il éjacule, sont abondants.
C’est à ce moment que nous nous trouvons pris dans les phares d’une voiture ayant un gyrophare bleu.
• Sortez de la voiture, dans l’état où vous êtes.
J’ai peur et je m’exécute, Alexandre en faisant autant.
• Voilà un magnifique flagrant délit, une pute et son mac.
On nous a signalé qu’une nouvelle prostituée se ferait des clients ce soir amené par son maquereau.
• Mais je suis une honnête femme, je suis à l’hôtel non loin d’ici.
• Tu as refusé de te faire des clients, ton Mac t’a un peu secoué pour que tu tapines, tu as même fini par lui sucer la queue.
• Comment pouvez-vous penser qu’Alexandre est mon Mac et qu’il m’a un peu bousculé ?
• Ton chemisier déchiré, voilà la preuve de ce que j’affirme.
Alexandre à mon côté a encore sa queue sortie.
Je vois même une goutte de sperme sortant de son gland et qui tombe au sol.
• Montez dans ma voiture, je vous emmène au poste pour enregistrer vos déclarations.
Nous nous exécutons, mais chacun de nous se retrouve menotté.
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