COLLECTION FOLLE DU CUL. Douceur – Rudesse, Rudesse - Tendresse (3/3)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 02-03-2020 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION FOLLE DU CUL. Douceur – Rudesse, Rudesse - Tendresse (3/3)
Il y a trois ans que j’ai épousé Marc, jeune homme de 25 ans, venant de finir ses études.
Il a trouvé un poste d’instituteur à Marseille dans les quartiers nord, notre maison est à Aubagne.
C’est là que je reçois la visite d’un garçon plus vieux que mon mari.
Je découvre qui est cet homme, c’est le frère aîné qui sort de prison après un braquage à main armée à La Ciotat.
Il fait de moi sa maîtresse et va plus loin que ça.
Un braquage, un braquage certes seulement comme pilote de la première voiture volée puis une deuxième que nous avons récupérés dans une grange.
Georges le frère aîné de Marc est un vrai pro surtout quand je vois la grange exploser quand nous revenons vers la ville.
De retour sans encombre chez lui, dès la porte franchie nous nous étreignons.
Nos corps sont pleins d'adrénalines dégagées par nos glandes lors de la tension de notre braquage.
Avec Marc, je baise classique, là Georges me prend sous les bras me soulève et écartant ma culotte me plante directement.
Je sens mon corps se liquéfier non pas à cause de la chaleur mais par cette verge qui une nouvelle fois caresse mon utérus.
Je sais, je rentrais vers Marseille afin que Marc me retrouve sagement chez nous.
Cette porte franchie chez lui, c’est au retour de l’attaque d’un agent de change qu’il me prend et que j’ai une jouissance renforcée par l’action que nous venons de faire.
Il est onze heures, Marc est à son école et mange à la cantine.
Quand j’ai joui sans me lâcher, il me conduit sur son lit où nous recommençons alors que je suis en levrette.
Après ces actions, mon corps a besoin de ce sexe qui me subjugue, ma chatte coule et il entre en moi sans problème tellement ma cyprine sort de mon corps.
- Georges, j’ai senti ton feu quand tu me prenais derrière la porte, tu me le montres.
Mon homme, car l’homme, la bête c’est lui se penche et récupère dans son holster sa pétoire.
Je le prends en main, c’est lourd mais on sent toute sa puissance.
- C’est beau un revolver, mais c’est lourd.
- Non c’est un automatique 9 millimètres, un revolver c’est dans les films de cow-boys que tu en vois.
- Pan, dans ta bite.
Eunuque !
Pan dans ma chatte, ha !
Plaisir suprême quand la balle atteint mon utérus.
- Arrête de déconner avec cette arme, j’ai mis le cran de sécurité, théoriquement on n’a rien à craindre mais un coup est si vite parti.
- Georges, j’aime t’attendre au volant quand tu braques, tu l’as constaté quand tu m’as pris à notre retour, mais je veux plus, je veux être à tes côtés quand tu tires son coup de feu.
Si tu savais comme je l’attends, aujourd’hui quand tu as tiré j’ai été à deux doigts de jouir.
À côté de toi, je suis sûr que nous serons plus fusionnelles.
- Ma pauvre fille, ce que tu fais c’est déjà primordial pour moi, tu assures mes arrières.
- Tu as une arme moins lourde pour moi, je vais braquer une banque pour voir ce que tu ressens sur place.
- Tu es folle, des armes j’en ai dans le bas de cette armoire.
Ce sont celles de l’attaque de La Ciotat.
Il se lève prestement me montrant sa plastique parfaite d’un homme qui s’entretient comparé à son frère qui malgré qu’il soit plus jeune commence à s’empâter.
- Tiens, tu parlais de revolver, en voilà un.
Petit et mignon, il tire des balles qui peuvent faire aussi mal que mon Beretta.
Il vient se recoucher, je monte sur lui sa queue reposant sous mon sexe.
- Monte un coup comme tu sais faire, à deux, avec une échappatoire sans avoir besoin que nous repartions en voiture.
Voilà le fruit est dans le ver, j’ai mon arme que je cache chez moi.
- Juliette, je t’aime bien, tu es la première femme avec laquelle j’aurais envie de faire ma vie, mais tu es la femme de mon frère.
- Quand tu me baises, les scrupules tu les balayes par tes coups de bite.
- Tu as raison, une seule attaque de toute façon, ce sera le dernier coup, les flics sont cons mais ils savent enquêter.
J’avais décidé de quitter le coin.
C’est fait, j’ai définitivement basculé quand nous approchons du Crédit du Nord dans le centre de Marseille.
J’ai la parfaite panoplie du braqueur.
C’est moi qui bloque le sas pour que Georges entre avec moi.
- Tout le monde à terre c’est un hold-up.
C’est moi qui crie cette phrase en dirigeant mon arme vers le plafond et en tirant un coup.
Pour tirer un coup, je tire un coup, mon dieu que la sensation de puissance que je ressens est grand.
Ma chatte est au sommet de ce qu’elle peut ressentir.
Un agent de sécurité met sa main à son pistolet, je tire.
J’ai le temps de voir que cet homme a un œil supplémentaire au milieu des deux autres.
Je continue comme prévu et je monte sur le comptoir.
J’aimerais que vous soyez à ma place quand je vois la caissière mettre des liasses de billets dans le sac que je lui ai envoyé.
Elle me le tend, je le saisi et je le balance à mon amant qui tient les clients en joue.
Prestement je saute au sol et nous ressortons.
Georges au moment où j’ai bondi pour investir la banque avait bloqué les portes et nous ressortons sans s’être fait piéger.
- Pauvre conne pourquoi as-tu tiré, on est dans la merde maintenant.
Viens, suis-moi.
Il s’approche d’une Mercedes et ouvre la porte.
Nous sommes à 50 mètres de la banque.
Encore une opération bien préparée il a dû voler la voiture et la placer là hier ou avant-hier.
Je le dis, c’est un pro.
- Tu m’en veux, il allait sortir son arme.
- Une simple menace verbale aurait suffi.
- Ce sont des pleutres, aucun de ceux que j’ai connus dans la même situation est allée jusqu’au bout de son geste.
- Tu m’en veux.
- Non, c’est ma faute, j’aurais dû te prévenir que ce vigile armé risquait d’être là.
Je lui pose ma main sur la braguette pendant qu’il conduit, il bande.
- Laisse-moi te sucer, ton sexe est à l’étroit.
Il ce dégrafe et sort le but de ce braquage, son sexe, nos sexes.
Quand on a goûté au plaisir qui monte en vous quand vous passez à l’action comme toute à l’heure votre sexe et votre cerveau sont alignés et la jouissance est décuplé.
J’ouvre moi aussi le jean que j’avais mis pour avoir plus de facilité pendant l’attaque.
Il lève le bras, je plonge sur sa verge alors que ses doigts viennent caresser ma chatte.
J’ignore où nous allons car la seule chose que j’ai devant les yeux le morceau qui a fait basculer ma vie.
Je suis sa salope et si demain dans la cavale que mon geste sur le vigile va entraîner, je suis prête à faire la pute pour lui.
- Dépêche on est arrivé !
Une dernière branlette, je sens son sperme monter vers ma bouche alors que ses doigts me font éclater comme jamais.
Il me dirait on y retourne, c’est en courant que je recommencerais ces moments divins de l’action.
Il me remplit la bouche, la voiture décélère.
Je lève la tête.
On se trouve au bas de chez lui.
- Mets-toi au volant, je reviens.
Il me quitte pendant que je remets mon jean et redescend rapidement.
- Ce sont les armes et le butin de nos braquages.
À cause de ce que tu as fait, il me reste une chose à faire alors que je pensais attendre encore quelques mois.
Conduis-nous chez mes parents, on a de la chance, ils sont au Portugal, j’ai les clefs.
Je connais bien le chemin, ils habitent non loin de chez nous.
- Attends, je reviens.
Pendant son absence, je sors mon arme, comment un si petit objet a-t-il pu faire cet oeil à ce vigile.
L’odeur de la poudre est encore là.
Je recommence à mouiller, vivement que nous soyons en tête à tête.
J’ai aimé le sucer et ses doigts dans mon con, mais j’en veux plus dès que nous serons là où il veut m’emmener.
Devant moi une camionnette est là, alors que je me caresse la poitrine avec mon arme.
Mes seins sont tout bandés à m’en faire mal.
Je vois Georges sortir de chez mes beaux-parents avec deux gros sacs de sport.
Il ouvre la portière arrière.
- C’est le butin du casse de La Ciotat.
Je l’avais caché chez mes parents avant d’être arrêté.
Je vois les portes de la camionnette s’ouvrir et deux hommes armés en sortir.
- Lève les mains Georges sinon on tire.
Ça va vite, Georges a dû sortir son 9 millimètres et tirer entrainant un tir de riposte des policiers qui planquait devant chez mes beaux-parents.
Sans ménagement il m'extrait de la voiture sans qu’ils me tirent dessus.
Je suis plaquée au sol mon visage est à 50 centimètres du visage de ce qui avait été mon amant.
Ses jolis yeux montrent qu’il a mangé son bulletin de naissance.
Voilà, combien ?
Combien pour des braquages à mains armés.
Combien pour la mort du vigile aux trois yeux.
Je l’ignore.
Ce que je sais c’est que pendant de nombreuses années il va falloir que j’apprenne à remplacer les bites par des chattes à sucer.
Mais ce moment de vie valait bien ce sacrifice.
Il a trouvé un poste d’instituteur à Marseille dans les quartiers nord, notre maison est à Aubagne.
C’est là que je reçois la visite d’un garçon plus vieux que mon mari.
Je découvre qui est cet homme, c’est le frère aîné qui sort de prison après un braquage à main armée à La Ciotat.
Il fait de moi sa maîtresse et va plus loin que ça.
Un braquage, un braquage certes seulement comme pilote de la première voiture volée puis une deuxième que nous avons récupérés dans une grange.
Georges le frère aîné de Marc est un vrai pro surtout quand je vois la grange exploser quand nous revenons vers la ville.
De retour sans encombre chez lui, dès la porte franchie nous nous étreignons.
Nos corps sont pleins d'adrénalines dégagées par nos glandes lors de la tension de notre braquage.
Avec Marc, je baise classique, là Georges me prend sous les bras me soulève et écartant ma culotte me plante directement.
Je sens mon corps se liquéfier non pas à cause de la chaleur mais par cette verge qui une nouvelle fois caresse mon utérus.
Je sais, je rentrais vers Marseille afin que Marc me retrouve sagement chez nous.
Cette porte franchie chez lui, c’est au retour de l’attaque d’un agent de change qu’il me prend et que j’ai une jouissance renforcée par l’action que nous venons de faire.
Il est onze heures, Marc est à son école et mange à la cantine.
Quand j’ai joui sans me lâcher, il me conduit sur son lit où nous recommençons alors que je suis en levrette.
Après ces actions, mon corps a besoin de ce sexe qui me subjugue, ma chatte coule et il entre en moi sans problème tellement ma cyprine sort de mon corps.
- Georges, j’ai senti ton feu quand tu me prenais derrière la porte, tu me le montres.
Mon homme, car l’homme, la bête c’est lui se penche et récupère dans son holster sa pétoire.
Je le prends en main, c’est lourd mais on sent toute sa puissance.
- C’est beau un revolver, mais c’est lourd.
- Non c’est un automatique 9 millimètres, un revolver c’est dans les films de cow-boys que tu en vois.
- Pan, dans ta bite.
Eunuque !
Pan dans ma chatte, ha !
Plaisir suprême quand la balle atteint mon utérus.
- Arrête de déconner avec cette arme, j’ai mis le cran de sécurité, théoriquement on n’a rien à craindre mais un coup est si vite parti.
- Georges, j’aime t’attendre au volant quand tu braques, tu l’as constaté quand tu m’as pris à notre retour, mais je veux plus, je veux être à tes côtés quand tu tires son coup de feu.
Si tu savais comme je l’attends, aujourd’hui quand tu as tiré j’ai été à deux doigts de jouir.
À côté de toi, je suis sûr que nous serons plus fusionnelles.
- Ma pauvre fille, ce que tu fais c’est déjà primordial pour moi, tu assures mes arrières.
- Tu as une arme moins lourde pour moi, je vais braquer une banque pour voir ce que tu ressens sur place.
- Tu es folle, des armes j’en ai dans le bas de cette armoire.
Ce sont celles de l’attaque de La Ciotat.
Il se lève prestement me montrant sa plastique parfaite d’un homme qui s’entretient comparé à son frère qui malgré qu’il soit plus jeune commence à s’empâter.
- Tiens, tu parlais de revolver, en voilà un.
Petit et mignon, il tire des balles qui peuvent faire aussi mal que mon Beretta.
Il vient se recoucher, je monte sur lui sa queue reposant sous mon sexe.
- Monte un coup comme tu sais faire, à deux, avec une échappatoire sans avoir besoin que nous repartions en voiture.
Voilà le fruit est dans le ver, j’ai mon arme que je cache chez moi.
- Juliette, je t’aime bien, tu es la première femme avec laquelle j’aurais envie de faire ma vie, mais tu es la femme de mon frère.
- Quand tu me baises, les scrupules tu les balayes par tes coups de bite.
- Tu as raison, une seule attaque de toute façon, ce sera le dernier coup, les flics sont cons mais ils savent enquêter.
J’avais décidé de quitter le coin.
C’est fait, j’ai définitivement basculé quand nous approchons du Crédit du Nord dans le centre de Marseille.
J’ai la parfaite panoplie du braqueur.
C’est moi qui bloque le sas pour que Georges entre avec moi.
- Tout le monde à terre c’est un hold-up.
C’est moi qui crie cette phrase en dirigeant mon arme vers le plafond et en tirant un coup.
Pour tirer un coup, je tire un coup, mon dieu que la sensation de puissance que je ressens est grand.
Ma chatte est au sommet de ce qu’elle peut ressentir.
Un agent de sécurité met sa main à son pistolet, je tire.
J’ai le temps de voir que cet homme a un œil supplémentaire au milieu des deux autres.
Je continue comme prévu et je monte sur le comptoir.
J’aimerais que vous soyez à ma place quand je vois la caissière mettre des liasses de billets dans le sac que je lui ai envoyé.
Elle me le tend, je le saisi et je le balance à mon amant qui tient les clients en joue.
Prestement je saute au sol et nous ressortons.
Georges au moment où j’ai bondi pour investir la banque avait bloqué les portes et nous ressortons sans s’être fait piéger.
- Pauvre conne pourquoi as-tu tiré, on est dans la merde maintenant.
Viens, suis-moi.
Il s’approche d’une Mercedes et ouvre la porte.
Nous sommes à 50 mètres de la banque.
Encore une opération bien préparée il a dû voler la voiture et la placer là hier ou avant-hier.
Je le dis, c’est un pro.
- Tu m’en veux, il allait sortir son arme.
- Une simple menace verbale aurait suffi.
- Ce sont des pleutres, aucun de ceux que j’ai connus dans la même situation est allée jusqu’au bout de son geste.
- Tu m’en veux.
- Non, c’est ma faute, j’aurais dû te prévenir que ce vigile armé risquait d’être là.
Je lui pose ma main sur la braguette pendant qu’il conduit, il bande.
- Laisse-moi te sucer, ton sexe est à l’étroit.
Il ce dégrafe et sort le but de ce braquage, son sexe, nos sexes.
Quand on a goûté au plaisir qui monte en vous quand vous passez à l’action comme toute à l’heure votre sexe et votre cerveau sont alignés et la jouissance est décuplé.
J’ouvre moi aussi le jean que j’avais mis pour avoir plus de facilité pendant l’attaque.
Il lève le bras, je plonge sur sa verge alors que ses doigts viennent caresser ma chatte.
J’ignore où nous allons car la seule chose que j’ai devant les yeux le morceau qui a fait basculer ma vie.
Je suis sa salope et si demain dans la cavale que mon geste sur le vigile va entraîner, je suis prête à faire la pute pour lui.
- Dépêche on est arrivé !
Une dernière branlette, je sens son sperme monter vers ma bouche alors que ses doigts me font éclater comme jamais.
Il me dirait on y retourne, c’est en courant que je recommencerais ces moments divins de l’action.
Il me remplit la bouche, la voiture décélère.
Je lève la tête.
On se trouve au bas de chez lui.
- Mets-toi au volant, je reviens.
Il me quitte pendant que je remets mon jean et redescend rapidement.
- Ce sont les armes et le butin de nos braquages.
À cause de ce que tu as fait, il me reste une chose à faire alors que je pensais attendre encore quelques mois.
Conduis-nous chez mes parents, on a de la chance, ils sont au Portugal, j’ai les clefs.
Je connais bien le chemin, ils habitent non loin de chez nous.
- Attends, je reviens.
Pendant son absence, je sors mon arme, comment un si petit objet a-t-il pu faire cet oeil à ce vigile.
L’odeur de la poudre est encore là.
Je recommence à mouiller, vivement que nous soyons en tête à tête.
J’ai aimé le sucer et ses doigts dans mon con, mais j’en veux plus dès que nous serons là où il veut m’emmener.
Devant moi une camionnette est là, alors que je me caresse la poitrine avec mon arme.
Mes seins sont tout bandés à m’en faire mal.
Je vois Georges sortir de chez mes beaux-parents avec deux gros sacs de sport.
Il ouvre la portière arrière.
- C’est le butin du casse de La Ciotat.
Je l’avais caché chez mes parents avant d’être arrêté.
Je vois les portes de la camionnette s’ouvrir et deux hommes armés en sortir.
- Lève les mains Georges sinon on tire.
Ça va vite, Georges a dû sortir son 9 millimètres et tirer entrainant un tir de riposte des policiers qui planquait devant chez mes beaux-parents.
Sans ménagement il m'extrait de la voiture sans qu’ils me tirent dessus.
Je suis plaquée au sol mon visage est à 50 centimètres du visage de ce qui avait été mon amant.
Ses jolis yeux montrent qu’il a mangé son bulletin de naissance.
Voilà, combien ?
Combien pour des braquages à mains armés.
Combien pour la mort du vigile aux trois yeux.
Je l’ignore.
Ce que je sais c’est que pendant de nombreuses années il va falloir que j’apprenne à remplacer les bites par des chattes à sucer.
Mais ce moment de vie valait bien ce sacrifice.
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