COLLECTION FOLLE DU CUL. Économies d’énergie pour 1€ (2/2)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-05-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION FOLLE DU CUL. Économies d’énergie pour 1€ (2/2)
Depuis que Chris71 a créé cette collection, vous avez appris à me connaître.
Sans être une chaudasse, j’aime faire l’amour.
La plupart de l’année du haut de mes cinquante-huit ans, j’aime profiter des occasions qui s’offrent à moi.
Ce coup-ci, si j’aime décider des choses et surtout des amants jalonnant ma vie, là je suis un peu prise de court.
Quand Habib m’aide à aller jusqu’aux toilettes, suite à ma blessure au pied en me prenant dans les morceaux d’échafaudages montés tous autour de ma maison, je sens mon sein réagir à son attouchement.
C’est pour refaire l’isolation, me permettant de faire des économies et de profiter de la loi d’économies d’énergie à 1 €.
J’étais loin d’imaginer que je me retrouverais à lui faire une fellation.
Certes, j’aime les hommes très virils.
Des hommes de la terre, des hommes ayant du chien et rapidement je m’aperçois que mon Marocain en à.
J’ai un petit souci quand je l’aide à me conduire à ma chambre.
Si son frère revient ou si tout le temps de leur chantier j’ai des rapports avec celui qui vient de m’allonger et m’écarter les cuisses afin de plonger sa langue dans mon vagin.
Je veux éviter de me tromper envers l’un et l’autre.
Surtout qu’Amir est marié à Amira avec cinq enfants, volé un père à ses enfants et un mari à sa femme, c’est loin d’être mon genre.
Dans mon travail, dans ma société de transports j’ai contact avec bon nombre d’hommes, dont la plupart sont mariés.
Les voler à leur foyer, ça me vole au-dessus de ma tête.
Certains ont essayé, mais je les ai toujours rembarrés.
Sur mon lit, la langue du garçon tourbillonne sur mon bouton qui de suite est à la fête.
• Occupe-toi de mes seins, ils sont extrêmement sensibles, prends-les dans tes mains calleuses et donne-leur un maximum de plaisir.
Heureusement, que Christian est dans leur pays, non pas qu’il ignore que je le trompe, il sait mes besoins de sexe et l’impossibilité qu’il a à son âge pour tout le temps me satisfaire.
Nous vivons hors mariage, j’ai toujours tenu à mon indépendance, après avoir subi les difficultés du mariage de nombreuses années avec mon ex.
Garder une certaine indépendance a été l’un de mes facteurs de mon choix dans cette situation.
J’écarte mes cuisses au maxi de ce que je le peux, j’aime offrir mon abricot à mes amants, hélas, de plus en plus rare.
Il y a quelques jours, en manque avec Christian, je suis allée jusqu’au parking d’un club échangiste, j’ai vu entrer des couples, mais pas de femmes seules, j’ai fait demi-tour.
Quelle conne, je serais entrée, je suis sûr que j’aurais rencontré un ou deux couples pour former un bon trio.
C’est idiot, de penser à ce que j’ai refusé de faire alors que la verge d’Habib vient de présenter son énorme gland à ma chatte qui ruisselle de la recevoir.
Entré en moi, dès ce moment mon corps s’embrase, mes jambes se referment sur son dos malgré ma cheville, comme le ferait une plante carnivore attrapant une mouche venue la butiner.
J’ai été labouré depuis ma séparation par diverses verges, mais là ce sont les sommets que j’accède hurlant mon plaisir, au risque que mes voisins m’entendent vu le manque d’épaisseur de mes murs.
Il va de soi que c’est de l’humour, à ce jour, il me protégeait bien du peu de foi que Christian arrivait à me faire hurler comme mon étalon arrive à le faire.
Amir m’entraîne dans un tourbillon de sexe, au plus fort de ce que j’ai pu ressentir à ce jour.
Combien de temps, je me trouve dans sa lessiveuse, je l’ignore, mais lorsqu’il finit par décharger, j’ai eu plusieurs jouissances et deux orgasmes.
• Vous voilà, le patron est passé, je lui ai dit que tu étais parti commander les sacs de colle que j’ai déjà dans le camion.
Nous ressortons de ma maison, lorsque Habib s’est rajusté et moi aussi.
1 €, pour me faire baiser par ce beau Marocain, je commence sérieusement à faire des économies, certes, sexuelles, même si pour entrer dans le club échangiste, je savais que c’était gratuit pour les nanas.
Ça fait deux jours qu’Habib m’a fait partir au sommet du plaisir que je suis capable de supporter.
J’ai appris à me servir de mes béquilles et je suis dans ma cuisine à préparer mon petit déjeuner.
Il fait toujours un été indien, mais en mai au lieu de septembre.
Dans mon jardin, la nature explose, les forsythias nombreux ont terminé leur floraison.
À son retour Christian les tailleras pour éviter leur dégénérescence.
Ma fenêtre est entre ouverte et les ouvriers sont au-dessus de la fenêtre, à poser leurs plaques isolantes, je les entant parler sans qu’il me voie.
• Tu crois que je peux retourner voir Babeth, sans me faire rembarrer !
• T’es con mon frère, tu m’as dit que tu l’avais fait monter au rideau, retourne-la voir, le patron est parti pour dix jours en vacances.
Sauter une telle salope, pendant nos heures de travail, il va se passer des lustres avant que tu en rencontre une autre avec le même tempérament.
Si tu veux j’y vais, mais avant encule là, car tu sais que je trompe Amira sans toucher aux chattes des salopes que l’on peut rencontrer.
Alors vas-y et dit moi si j’ai une chance de là tirer avant la fin du chantier.
Je sais à quoi m’en tenir, je suis le jouet de ces deux étalons, mais si c’était moi qui tirais les ficelles de mes jeux amoureux.
Je sors sur le pas de ma porte.
• Habib, je peux te voir, j’aurais besoin d’un coup de main.
Je dois reconnaitre que ce que j’ai entendu, a réveillé ma libido et une partie de jambes en l’air me manque de nouveau.
Dans ma chambre, j’ai un placard avec dans les hauts une boîte dont avec le temps j’ignore ce qu’elle contient.
Je pourrais continuer à vivre sans le savoir, mais lorsqu’il se détend pour l’attraper, il l’a saisi, mais elle est cassée sur l’arrière et dizaines de photos, mais aussi des godes et autres plugs tombent au sol.
• Vous aimez jouer avec ces jouets intimes.
Incroyable, j’ignore qui a mis tout se fatras ici, les photos oui, ce sont celles de ma jeunesse trouvée chez mes parents à leur mort et dont j’avais oublié l’existence.
Christian, a-t-il anticipé ses pannes de plus en plus fréquentes, il aurait pu m’en parler, j’aurais l’air un peu moins bête lorsque je vois ces godes.
Pour me rattraper, je lui saute au paf.
• Dites-moi, la communiante avec sa robe blanche, c’est vous ?
Je lâche le morceau que j’ai de nouveau sortie de sa braguette.
• Oui, pourquoi ?
• Vous avez bien évolué dans votre vie intime, sur cette photo à cette époque, on vous donnerait le bon dieu sans confession.
Habib à raison, je me redresse et ma bouche de sa bite elle passe à sa bouche.
• Vous pouvez me faire voir, comment vous vous servez de ce gode, c’est le premier que je vois !
Je m’allonge sur mon lit, c’est le premier gode qui va me pénétrer après que j’ai démarré ses vibrations, je le frotte sur ma chatte, la sensation est tout autre que la bite de mon amant.
Il ôte sa cote de travail, beau et nu, il se place derrière moi, j’ai le temps de voir que son sexe porte à gauche sans pour autant me poser des questions.
Son gland vient caresser mon œillet, la sodomie, j’ai déjà pratiquée, j’ai même déjà joui par mon anus et c’est moi qui pousse pour qu’il entre en moi.
Ça vibre d’un côté, sa entre et ça sort de l’autre.
Prise en double pénétration par un Marocain d’un côté et par un gode vibrant de l’autre, alors qu’une photo de moi recevant un prix de fin d’année est sur le lit à côté de la communiante, je m’envoie en l’air.
Je sens que mon amant enlève mon gode, rapidement, il met sa verge à sa place.
J’ai déjà joui, mais lui a gardé sa rigidité sans décharger, je repars pour un deuxième voyage loin des idées que je devais avoir sur la sexualité dans les années des photos.
Il est vrai que j’ai fait bien du chemin depuis ce temps-là.
Sa tache devant continuer, Habib quitte ma couche pour rejoindre son frère sur l’échafaudage.
Pour ma part, revenue sur terre, la chaleur et le sexe m’ont donné soif, je me lève un peu difficilement, il y avait longtemps qu’une bite était venue dans mon anus surtout avec la grosseur de mon amant.
Dans la cuisine, de nouveau j’entends les frères parler de mes intimités.
• Tu vois, j’ai eu raison de te faire signe de rester ici pendant que j’allais l’aider.
Elle m’a sucé et grâce à un gode, je l’ai enculé, si tu savais, cette salope jouit du cul.
• Tu l’as seulement enculé !
• Comment peux-tu penser que j’ai trahi Amira, maintenant il faut que l’on trouve un truc pour la baiser ensemble.
La vache, je me suis fait pigeonner, c’était Amir que j’ai eu dans mon lit.
À quel jeu joue-t-il avec son frère, il m’a bien baisé dans ma chatte.
Certains moments et certaines visions me reviennent à l’esprit.
Habib après m’avoir sauté me tutoyait et là chaque fois il me vouvoyait.
Habib a une bite bien droite alors que celle que je viens de sucer portait à gauche.
Je me suis fait manœuvrer, mais Amir cache à son frère qu’il enfile des salopes dans leur chatte.
Je pourrais prendre ombrage de la supercherie, si j’ai bien compris, je vais profiter de l’absence de leur patron pour quelques jours.
• Habib, Amir, avant de partir, venez prendre un verre de citronnade bien fraiche, j’espère que vous avez tout votre temps ce soir, car personne pour vous attendre ç ce que je sais.
Double pénétration, double vaginale, ils veulent une double sodomie, je suis une salope, mais se faire défoncer le cul par deux verges de leur calibre, j’ai peur de finir, estropier de l’anus.
Lorsque leur patron revient pour me faire signer mes papiers pour l’administration, une pensée me vient.
Tout ça pour 1€ grâce aux économies d’énergie.
A oui, j’oubliais, Habib et Amir vont avoir des chantiers dans la région et après leur travail, ils m’ont promis de passer me voir.
J’ignore si Habib a posé des questions chaque fois qu’Amir me prenait dans mon vagin, mais peu importe c’est leur problème.
Moi la seule chose qu’il me tient à coeur c’est d’avoir leur queue à ma disposition même s’ils aiment me baiser en regardant la communiante et la première de classe recevant un prix.
Pour les godes, j’attends le retour de Christian, il a prolongé d’une quinzaine au Maroc, pour lui poser des questions.
Sans être une chaudasse, j’aime faire l’amour.
La plupart de l’année du haut de mes cinquante-huit ans, j’aime profiter des occasions qui s’offrent à moi.
Ce coup-ci, si j’aime décider des choses et surtout des amants jalonnant ma vie, là je suis un peu prise de court.
Quand Habib m’aide à aller jusqu’aux toilettes, suite à ma blessure au pied en me prenant dans les morceaux d’échafaudages montés tous autour de ma maison, je sens mon sein réagir à son attouchement.
C’est pour refaire l’isolation, me permettant de faire des économies et de profiter de la loi d’économies d’énergie à 1 €.
J’étais loin d’imaginer que je me retrouverais à lui faire une fellation.
Certes, j’aime les hommes très virils.
Des hommes de la terre, des hommes ayant du chien et rapidement je m’aperçois que mon Marocain en à.
J’ai un petit souci quand je l’aide à me conduire à ma chambre.
Si son frère revient ou si tout le temps de leur chantier j’ai des rapports avec celui qui vient de m’allonger et m’écarter les cuisses afin de plonger sa langue dans mon vagin.
Je veux éviter de me tromper envers l’un et l’autre.
Surtout qu’Amir est marié à Amira avec cinq enfants, volé un père à ses enfants et un mari à sa femme, c’est loin d’être mon genre.
Dans mon travail, dans ma société de transports j’ai contact avec bon nombre d’hommes, dont la plupart sont mariés.
Les voler à leur foyer, ça me vole au-dessus de ma tête.
Certains ont essayé, mais je les ai toujours rembarrés.
Sur mon lit, la langue du garçon tourbillonne sur mon bouton qui de suite est à la fête.
• Occupe-toi de mes seins, ils sont extrêmement sensibles, prends-les dans tes mains calleuses et donne-leur un maximum de plaisir.
Heureusement, que Christian est dans leur pays, non pas qu’il ignore que je le trompe, il sait mes besoins de sexe et l’impossibilité qu’il a à son âge pour tout le temps me satisfaire.
Nous vivons hors mariage, j’ai toujours tenu à mon indépendance, après avoir subi les difficultés du mariage de nombreuses années avec mon ex.
Garder une certaine indépendance a été l’un de mes facteurs de mon choix dans cette situation.
J’écarte mes cuisses au maxi de ce que je le peux, j’aime offrir mon abricot à mes amants, hélas, de plus en plus rare.
Il y a quelques jours, en manque avec Christian, je suis allée jusqu’au parking d’un club échangiste, j’ai vu entrer des couples, mais pas de femmes seules, j’ai fait demi-tour.
Quelle conne, je serais entrée, je suis sûr que j’aurais rencontré un ou deux couples pour former un bon trio.
C’est idiot, de penser à ce que j’ai refusé de faire alors que la verge d’Habib vient de présenter son énorme gland à ma chatte qui ruisselle de la recevoir.
Entré en moi, dès ce moment mon corps s’embrase, mes jambes se referment sur son dos malgré ma cheville, comme le ferait une plante carnivore attrapant une mouche venue la butiner.
J’ai été labouré depuis ma séparation par diverses verges, mais là ce sont les sommets que j’accède hurlant mon plaisir, au risque que mes voisins m’entendent vu le manque d’épaisseur de mes murs.
Il va de soi que c’est de l’humour, à ce jour, il me protégeait bien du peu de foi que Christian arrivait à me faire hurler comme mon étalon arrive à le faire.
Amir m’entraîne dans un tourbillon de sexe, au plus fort de ce que j’ai pu ressentir à ce jour.
Combien de temps, je me trouve dans sa lessiveuse, je l’ignore, mais lorsqu’il finit par décharger, j’ai eu plusieurs jouissances et deux orgasmes.
• Vous voilà, le patron est passé, je lui ai dit que tu étais parti commander les sacs de colle que j’ai déjà dans le camion.
Nous ressortons de ma maison, lorsque Habib s’est rajusté et moi aussi.
1 €, pour me faire baiser par ce beau Marocain, je commence sérieusement à faire des économies, certes, sexuelles, même si pour entrer dans le club échangiste, je savais que c’était gratuit pour les nanas.
Ça fait deux jours qu’Habib m’a fait partir au sommet du plaisir que je suis capable de supporter.
J’ai appris à me servir de mes béquilles et je suis dans ma cuisine à préparer mon petit déjeuner.
Il fait toujours un été indien, mais en mai au lieu de septembre.
Dans mon jardin, la nature explose, les forsythias nombreux ont terminé leur floraison.
À son retour Christian les tailleras pour éviter leur dégénérescence.
Ma fenêtre est entre ouverte et les ouvriers sont au-dessus de la fenêtre, à poser leurs plaques isolantes, je les entant parler sans qu’il me voie.
• Tu crois que je peux retourner voir Babeth, sans me faire rembarrer !
• T’es con mon frère, tu m’as dit que tu l’avais fait monter au rideau, retourne-la voir, le patron est parti pour dix jours en vacances.
Sauter une telle salope, pendant nos heures de travail, il va se passer des lustres avant que tu en rencontre une autre avec le même tempérament.
Si tu veux j’y vais, mais avant encule là, car tu sais que je trompe Amira sans toucher aux chattes des salopes que l’on peut rencontrer.
Alors vas-y et dit moi si j’ai une chance de là tirer avant la fin du chantier.
Je sais à quoi m’en tenir, je suis le jouet de ces deux étalons, mais si c’était moi qui tirais les ficelles de mes jeux amoureux.
Je sors sur le pas de ma porte.
• Habib, je peux te voir, j’aurais besoin d’un coup de main.
Je dois reconnaitre que ce que j’ai entendu, a réveillé ma libido et une partie de jambes en l’air me manque de nouveau.
Dans ma chambre, j’ai un placard avec dans les hauts une boîte dont avec le temps j’ignore ce qu’elle contient.
Je pourrais continuer à vivre sans le savoir, mais lorsqu’il se détend pour l’attraper, il l’a saisi, mais elle est cassée sur l’arrière et dizaines de photos, mais aussi des godes et autres plugs tombent au sol.
• Vous aimez jouer avec ces jouets intimes.
Incroyable, j’ignore qui a mis tout se fatras ici, les photos oui, ce sont celles de ma jeunesse trouvée chez mes parents à leur mort et dont j’avais oublié l’existence.
Christian, a-t-il anticipé ses pannes de plus en plus fréquentes, il aurait pu m’en parler, j’aurais l’air un peu moins bête lorsque je vois ces godes.
Pour me rattraper, je lui saute au paf.
• Dites-moi, la communiante avec sa robe blanche, c’est vous ?
Je lâche le morceau que j’ai de nouveau sortie de sa braguette.
• Oui, pourquoi ?
• Vous avez bien évolué dans votre vie intime, sur cette photo à cette époque, on vous donnerait le bon dieu sans confession.
Habib à raison, je me redresse et ma bouche de sa bite elle passe à sa bouche.
• Vous pouvez me faire voir, comment vous vous servez de ce gode, c’est le premier que je vois !
Je m’allonge sur mon lit, c’est le premier gode qui va me pénétrer après que j’ai démarré ses vibrations, je le frotte sur ma chatte, la sensation est tout autre que la bite de mon amant.
Il ôte sa cote de travail, beau et nu, il se place derrière moi, j’ai le temps de voir que son sexe porte à gauche sans pour autant me poser des questions.
Son gland vient caresser mon œillet, la sodomie, j’ai déjà pratiquée, j’ai même déjà joui par mon anus et c’est moi qui pousse pour qu’il entre en moi.
Ça vibre d’un côté, sa entre et ça sort de l’autre.
Prise en double pénétration par un Marocain d’un côté et par un gode vibrant de l’autre, alors qu’une photo de moi recevant un prix de fin d’année est sur le lit à côté de la communiante, je m’envoie en l’air.
Je sens que mon amant enlève mon gode, rapidement, il met sa verge à sa place.
J’ai déjà joui, mais lui a gardé sa rigidité sans décharger, je repars pour un deuxième voyage loin des idées que je devais avoir sur la sexualité dans les années des photos.
Il est vrai que j’ai fait bien du chemin depuis ce temps-là.
Sa tache devant continuer, Habib quitte ma couche pour rejoindre son frère sur l’échafaudage.
Pour ma part, revenue sur terre, la chaleur et le sexe m’ont donné soif, je me lève un peu difficilement, il y avait longtemps qu’une bite était venue dans mon anus surtout avec la grosseur de mon amant.
Dans la cuisine, de nouveau j’entends les frères parler de mes intimités.
• Tu vois, j’ai eu raison de te faire signe de rester ici pendant que j’allais l’aider.
Elle m’a sucé et grâce à un gode, je l’ai enculé, si tu savais, cette salope jouit du cul.
• Tu l’as seulement enculé !
• Comment peux-tu penser que j’ai trahi Amira, maintenant il faut que l’on trouve un truc pour la baiser ensemble.
La vache, je me suis fait pigeonner, c’était Amir que j’ai eu dans mon lit.
À quel jeu joue-t-il avec son frère, il m’a bien baisé dans ma chatte.
Certains moments et certaines visions me reviennent à l’esprit.
Habib après m’avoir sauté me tutoyait et là chaque fois il me vouvoyait.
Habib a une bite bien droite alors que celle que je viens de sucer portait à gauche.
Je me suis fait manœuvrer, mais Amir cache à son frère qu’il enfile des salopes dans leur chatte.
Je pourrais prendre ombrage de la supercherie, si j’ai bien compris, je vais profiter de l’absence de leur patron pour quelques jours.
• Habib, Amir, avant de partir, venez prendre un verre de citronnade bien fraiche, j’espère que vous avez tout votre temps ce soir, car personne pour vous attendre ç ce que je sais.
Double pénétration, double vaginale, ils veulent une double sodomie, je suis une salope, mais se faire défoncer le cul par deux verges de leur calibre, j’ai peur de finir, estropier de l’anus.
Lorsque leur patron revient pour me faire signer mes papiers pour l’administration, une pensée me vient.
Tout ça pour 1€ grâce aux économies d’énergie.
A oui, j’oubliais, Habib et Amir vont avoir des chantiers dans la région et après leur travail, ils m’ont promis de passer me voir.
J’ignore si Habib a posé des questions chaque fois qu’Amir me prenait dans mon vagin, mais peu importe c’est leur problème.
Moi la seule chose qu’il me tient à coeur c’est d’avoir leur queue à ma disposition même s’ils aiment me baiser en regardant la communiante et la première de classe recevant un prix.
Pour les godes, j’attends le retour de Christian, il a prolongé d’une quinzaine au Maroc, pour lui poser des questions.
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