COLLECTION FOLLE DU CUL. La femme du consul. Fin de la saison III (9/9)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-06-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION FOLLE DU CUL. La femme du consul. Fin de la saison III (9/9)
« Hélas, les restos du cœur ont ouvert leurs portes.
Rendons-nous dans celui près de la place Clichy ? »
Je regarde le reportage, ça me donne des idées.
Je viens de rentrer de Pigalle ou après avoir admiré Cassy Strip-teaseuse américaine, elle m’amène chez elle près du cimetière du Père la chaise par le métro, ligne 2.
Ligne 2, par un fait du hasard avec une station place Clichy où se trouvent les restos du cœur.
Cassy, cette belle rousse, s’avère être bien française et s’appeler Gertrude originaire du Nord de la France.
Je me suis gouiné avec notre bonne espagnole à Tunis dans le précédent poste occupé par mon mari, mais avec elle, j’apprends bien des choses sur les amours saphiques.
Mon mari nouveau consul de Tanzanie me fait peur en me prévenant des risques d’enlèvements dans la capitale par des terroristes.
Au lieu de lui dire la vérité, je m’engage dans une série de mensonge, mais finissant par retomber sur mes pattes à la fin de mes élucubrations.
J’arrive à lui dire, comment je suis arrivée à Paris, mais elle croit que je suis une pauvre immigrée cherchant à se faire engager dans une ambassade pour un poste de secrétaire.
Si elle voyait que des papiers j’en ai dans mon sac, papiers diplomatiques de notre ambassade, elle me prendrait pour une folle.
Je mets un pantalon et une blouse qui me servait à Tunis lorsque je jardinais quand je m’ennuyais.
J’ai un petit sac à dos en cuir foncé que je me suis offert dans les souks de Meknès lors d’un voyage que Saïd avait fait avec moi pour notre pays depuis Tunis.
J’avais rencontré Loubna qui gérait une échoppe avec sa sœur.
C’est là que j’avais entendu le nom de Radia dont je me suis servi pour éviter de me dévoiler sous mon vrai nom devant Cassy.
À l’intérieur, il y a un petit compartiment où je range, carte de crédit et mon passeport, avec mon portable et un paquet de mouchoirs en papier.
Avec la clef de l’ambassade et diverses choses, je suis parée.
Je vais pour mettre un bâton de rouge à lèvres, mais je veux rester simple, je le laisse sur ma coiffeuse.
J’adore faire ressortir mes lèvres noires par ce rouge écarlate qui illumine mon visage.
Avec des escarpins, ça fait plus femme immigrée que mes vêtements achetés dans de grandes boutiques, je passe voir Jeanette, je toque.
• Entrez !
• Bonjour Jeanette, j’ai bien eu votre message, mon mari est rentré à quatre heures et s’est couché sans bruit.
Je la vois esquisser un bayement.
Elle me disait rejoindre son mari, si elle baye, c’est qu’elle a dû avoir une chaude nuit.
• Excusez,mon mari a été malade toute la nuit, j’ai peu dormi.
• Rentrez chez vous, je vais mettre un mot au consul, il le trouvera lorsqu’il se réveillera, je m’absente.
J’ai pris contact avec les restos du cœur, je me sentais inutile à simplement me promener dans votre belle capitale, je passais place Clichy et j’ai vu leurs bureaux.
• Si j’avais du temps, je m’engagerais aussi, mais entre les transports et le travail, sans compter ma famille, je me contente d’acheter le CD des enfoirés.
Partez sans crainte, je vais assumer, j’ai l’habitude.
Je devrais être offusquée qu’elle oublie de parler des heures supplémentaires qu’elle fait quand elle se fait sauter par Saïd.
Je me tais, car cela m’arrange pour m’évader sans grand risque de remontrance de la part de mon mari.
Bouche de métro ligne 2, Place Clichy.
J’ai regardé sur mon portable que j’apprends à dompter et je trouve le local vu à la télé où les restos sont installés.
• Bonjour madame, oui nous avons besoin de bras, Coluche pensait que notre association qu’il installait serait de courte durée, hélas, ça fait 35 ans qu’ils ont ouverts.
Quand seriez-vous disponible.
J’ai pensé à beaucoup de choses, mais je suis prise de court, mais rapidement je vois la lumière au bout du tunnel.
• Je serais disponible à partir du mois prochain de 11 heures à 17 heures.
• C’est parfait 6 heures à préparer des colis pour distribuer au miséreux de notre pays, je vous inscris, sous quel nom ?
• Radia, madame !
Je suis partie à 8 heures 30 de l’ambassade par la porte arrière, quand je sors, il est à peine 9 heures.
Je viens de me donner du temps et surtout un motif pour sortir tous les jours du lundi au samedi.
Le dimanche je le réserverais à Saïd qui reste quoi qu’on en dise mon mari.
De plus, en disant à la responsable que je suis susceptible de commencer dans trois semaines, je vais pouvoir aller à la boîte de monsieur Léon, sans m’inquiéter des restos.
Il fait beau, Pigalle où j’espère m’éclater, est à deux pas, je risque d’être en avance pour 10 heures, je remonte à pied.
Je passe métro blanche, sur la porte de la boutique ou j’ai acheté mon gode, l’affichette « fermer » est en place, je suis presque déçu.
Les tenues sexys pouvant émoustiller Saïd me font envie.
Je marche et j’arrive dix minutes en avance.
Cassy arrive à 10 heures 10.
On s’embrasse, sur les joues, bien que dès que je la vois l’envie de lui prendre sa bouche me taraude.
• Excuse ce retard, j’ai trouvé ce paquet sur la table de ma salle et j’avais oublié de le prendre, j’allais descendre dans le métro, je suis retournée le chercher.
C’est le paquet que m’a fait le gérant de la boutique d’objets érotiques ou j’ai acheté mon gode qu’elle me rapporte.
J’ouvre mon sac à dos et je le range.
Elle ouvre la porte et nous entrons, une gazelle blonde et une noire, Léon a une veine de cocu.
• Montons, dépéchons nous.
• Entrez, vous avez dix minutes de retard, Cassy tu sais que pour moi la ponctualité est l’atout principal dans notre métier.
Vous voyez Fred annoncé au micro.
« Voici Cassy, attendez dix minutes qu’elle arrive. »
• C’est Radia, monsieur, elle s’était perdue, je vous ai dit qu’elle venait d’arriver à Paris quand je vous ai appelé hier au soir.
• Ça va pour cette fois, mais sachez Radia, si je vous embauche, la ponctualité pour moi est essentielle.
• Bien monsieur je serais m’en souvenir.
La salope, Cassy directe, vient de mentir me prenant à témoin pour se sortir d’embarras.
Ça me rassure sur mes propres mensonges.
À y rébléchir, pouvait-elle parler du paquet même ce qu’il contient lui est normalement inconnu.
Monsieur Léon s’installe dans son fauteuil, un peu bedonnant, si j’ai bien compris ce que mon amie m’a dit, je vais devoir lui faire des choses s’il m’engage.
Il est vrai que pour venir jusqu’à Paris, j’ai vécu tellement de choses et comme je l’ai dit, je finis par croire en mes mensonges.
• Tu aurais dû lui dire de mettre une robe, un pantalon, c’est dur de jouer avec.
J’ai peu de temps, déloque-toi en prenant ton temps.
J’ai peu de temps, en prenant ton temps, c’est bien là la complexité des hommes.
Je me tortille du mieux que je peux.
C’est vrai, le simple fait de défaire mon bouton de pantalon, j’ai du mal.
J’y arrive, j’enlève le haut montrant mes seins et le pantalon restant en petite culotte.
• J’en ai assez vu.
Dis-moi Cassy, tu t’es assuré que si je l’engage elle sera susceptible de venir aux soirées que nous organisons.
Je vous verrais bien faire un numéro d’entrée avec une tigresse et une dompteuse blanche.
Le contraste ouvrira des possibilités à nos clients.
Qu’est-ce que sont ces soirées, je dois être rentrée à 18 heures au plus tard, c’est pour ça que j’ai dit 17 heures aux restos du cœur ?
Nous verrons cela après.
Je le vois faire ce que Cassy m’a dit être le signal en tirant sur sa fermeture de son pantalon.
• Voyons déjà si elle est docile.
• Elle le sera, patron, surtout si comme vous l’avez proposé je devrais dompter cette tigresse.
Il sort sa verge, recouverte de grosses veines saillantes.
J’ai compris, il veut se faire sucer.
J’ignore pourquoi, mais je m’agenouille.
Certains vous signent des contrats, certains vous tapent dans la main.
Pour Monsieur Léon, se faire sucer semble son propre contrat d’embauche.
Je le prends en main, je le masturbe comme Saïd aime que je fasse et je sors ma langue pour le lécher.
Je vois une ombre me rejoindre, c’est la tête de Cassy qui veut participer à mon engagement.
Ensemble, chacune de notre côté et chacune notre tour sur le gland bien plus gros que ceux jamais vus.
Je suis prête à recevoir son sperme ou Cassy, mais monsieur Léon prend un mouchoir en papier pour éjaculer dedans.
Il rentre sa verge, nous nous relevons.
Je remets mes vêtements.
• C’est bon, donne-moi ta carte d’identité, pour les contrats officiels.
Là, c’est la tuile, que va-t-il se passer si je sors mon passeport de mon sac à dos posé sur la chaise près de moi...
Que va-t-il se passer pour notre belle Tanzanienne, pardon, Rwandaise !
Mon dieu, c’est dur pour moi, de suivre tous les pays ou Victoria, non, Radia, par où elle est passée.
Nous la retrouverons dans la saison IV, dans quelques jours.
Rendons-nous dans celui près de la place Clichy ? »
Je regarde le reportage, ça me donne des idées.
Je viens de rentrer de Pigalle ou après avoir admiré Cassy Strip-teaseuse américaine, elle m’amène chez elle près du cimetière du Père la chaise par le métro, ligne 2.
Ligne 2, par un fait du hasard avec une station place Clichy où se trouvent les restos du cœur.
Cassy, cette belle rousse, s’avère être bien française et s’appeler Gertrude originaire du Nord de la France.
Je me suis gouiné avec notre bonne espagnole à Tunis dans le précédent poste occupé par mon mari, mais avec elle, j’apprends bien des choses sur les amours saphiques.
Mon mari nouveau consul de Tanzanie me fait peur en me prévenant des risques d’enlèvements dans la capitale par des terroristes.
Au lieu de lui dire la vérité, je m’engage dans une série de mensonge, mais finissant par retomber sur mes pattes à la fin de mes élucubrations.
J’arrive à lui dire, comment je suis arrivée à Paris, mais elle croit que je suis une pauvre immigrée cherchant à se faire engager dans une ambassade pour un poste de secrétaire.
Si elle voyait que des papiers j’en ai dans mon sac, papiers diplomatiques de notre ambassade, elle me prendrait pour une folle.
Je mets un pantalon et une blouse qui me servait à Tunis lorsque je jardinais quand je m’ennuyais.
J’ai un petit sac à dos en cuir foncé que je me suis offert dans les souks de Meknès lors d’un voyage que Saïd avait fait avec moi pour notre pays depuis Tunis.
J’avais rencontré Loubna qui gérait une échoppe avec sa sœur.
C’est là que j’avais entendu le nom de Radia dont je me suis servi pour éviter de me dévoiler sous mon vrai nom devant Cassy.
À l’intérieur, il y a un petit compartiment où je range, carte de crédit et mon passeport, avec mon portable et un paquet de mouchoirs en papier.
Avec la clef de l’ambassade et diverses choses, je suis parée.
Je vais pour mettre un bâton de rouge à lèvres, mais je veux rester simple, je le laisse sur ma coiffeuse.
J’adore faire ressortir mes lèvres noires par ce rouge écarlate qui illumine mon visage.
Avec des escarpins, ça fait plus femme immigrée que mes vêtements achetés dans de grandes boutiques, je passe voir Jeanette, je toque.
• Entrez !
• Bonjour Jeanette, j’ai bien eu votre message, mon mari est rentré à quatre heures et s’est couché sans bruit.
Je la vois esquisser un bayement.
Elle me disait rejoindre son mari, si elle baye, c’est qu’elle a dû avoir une chaude nuit.
• Excusez,mon mari a été malade toute la nuit, j’ai peu dormi.
• Rentrez chez vous, je vais mettre un mot au consul, il le trouvera lorsqu’il se réveillera, je m’absente.
J’ai pris contact avec les restos du cœur, je me sentais inutile à simplement me promener dans votre belle capitale, je passais place Clichy et j’ai vu leurs bureaux.
• Si j’avais du temps, je m’engagerais aussi, mais entre les transports et le travail, sans compter ma famille, je me contente d’acheter le CD des enfoirés.
Partez sans crainte, je vais assumer, j’ai l’habitude.
Je devrais être offusquée qu’elle oublie de parler des heures supplémentaires qu’elle fait quand elle se fait sauter par Saïd.
Je me tais, car cela m’arrange pour m’évader sans grand risque de remontrance de la part de mon mari.
Bouche de métro ligne 2, Place Clichy.
J’ai regardé sur mon portable que j’apprends à dompter et je trouve le local vu à la télé où les restos sont installés.
• Bonjour madame, oui nous avons besoin de bras, Coluche pensait que notre association qu’il installait serait de courte durée, hélas, ça fait 35 ans qu’ils ont ouverts.
Quand seriez-vous disponible.
J’ai pensé à beaucoup de choses, mais je suis prise de court, mais rapidement je vois la lumière au bout du tunnel.
• Je serais disponible à partir du mois prochain de 11 heures à 17 heures.
• C’est parfait 6 heures à préparer des colis pour distribuer au miséreux de notre pays, je vous inscris, sous quel nom ?
• Radia, madame !
Je suis partie à 8 heures 30 de l’ambassade par la porte arrière, quand je sors, il est à peine 9 heures.
Je viens de me donner du temps et surtout un motif pour sortir tous les jours du lundi au samedi.
Le dimanche je le réserverais à Saïd qui reste quoi qu’on en dise mon mari.
De plus, en disant à la responsable que je suis susceptible de commencer dans trois semaines, je vais pouvoir aller à la boîte de monsieur Léon, sans m’inquiéter des restos.
Il fait beau, Pigalle où j’espère m’éclater, est à deux pas, je risque d’être en avance pour 10 heures, je remonte à pied.
Je passe métro blanche, sur la porte de la boutique ou j’ai acheté mon gode, l’affichette « fermer » est en place, je suis presque déçu.
Les tenues sexys pouvant émoustiller Saïd me font envie.
Je marche et j’arrive dix minutes en avance.
Cassy arrive à 10 heures 10.
On s’embrasse, sur les joues, bien que dès que je la vois l’envie de lui prendre sa bouche me taraude.
• Excuse ce retard, j’ai trouvé ce paquet sur la table de ma salle et j’avais oublié de le prendre, j’allais descendre dans le métro, je suis retournée le chercher.
C’est le paquet que m’a fait le gérant de la boutique d’objets érotiques ou j’ai acheté mon gode qu’elle me rapporte.
J’ouvre mon sac à dos et je le range.
Elle ouvre la porte et nous entrons, une gazelle blonde et une noire, Léon a une veine de cocu.
• Montons, dépéchons nous.
• Entrez, vous avez dix minutes de retard, Cassy tu sais que pour moi la ponctualité est l’atout principal dans notre métier.
Vous voyez Fred annoncé au micro.
« Voici Cassy, attendez dix minutes qu’elle arrive. »
• C’est Radia, monsieur, elle s’était perdue, je vous ai dit qu’elle venait d’arriver à Paris quand je vous ai appelé hier au soir.
• Ça va pour cette fois, mais sachez Radia, si je vous embauche, la ponctualité pour moi est essentielle.
• Bien monsieur je serais m’en souvenir.
La salope, Cassy directe, vient de mentir me prenant à témoin pour se sortir d’embarras.
Ça me rassure sur mes propres mensonges.
À y rébléchir, pouvait-elle parler du paquet même ce qu’il contient lui est normalement inconnu.
Monsieur Léon s’installe dans son fauteuil, un peu bedonnant, si j’ai bien compris ce que mon amie m’a dit, je vais devoir lui faire des choses s’il m’engage.
Il est vrai que pour venir jusqu’à Paris, j’ai vécu tellement de choses et comme je l’ai dit, je finis par croire en mes mensonges.
• Tu aurais dû lui dire de mettre une robe, un pantalon, c’est dur de jouer avec.
J’ai peu de temps, déloque-toi en prenant ton temps.
J’ai peu de temps, en prenant ton temps, c’est bien là la complexité des hommes.
Je me tortille du mieux que je peux.
C’est vrai, le simple fait de défaire mon bouton de pantalon, j’ai du mal.
J’y arrive, j’enlève le haut montrant mes seins et le pantalon restant en petite culotte.
• J’en ai assez vu.
Dis-moi Cassy, tu t’es assuré que si je l’engage elle sera susceptible de venir aux soirées que nous organisons.
Je vous verrais bien faire un numéro d’entrée avec une tigresse et une dompteuse blanche.
Le contraste ouvrira des possibilités à nos clients.
Qu’est-ce que sont ces soirées, je dois être rentrée à 18 heures au plus tard, c’est pour ça que j’ai dit 17 heures aux restos du cœur ?
Nous verrons cela après.
Je le vois faire ce que Cassy m’a dit être le signal en tirant sur sa fermeture de son pantalon.
• Voyons déjà si elle est docile.
• Elle le sera, patron, surtout si comme vous l’avez proposé je devrais dompter cette tigresse.
Il sort sa verge, recouverte de grosses veines saillantes.
J’ai compris, il veut se faire sucer.
J’ignore pourquoi, mais je m’agenouille.
Certains vous signent des contrats, certains vous tapent dans la main.
Pour Monsieur Léon, se faire sucer semble son propre contrat d’embauche.
Je le prends en main, je le masturbe comme Saïd aime que je fasse et je sors ma langue pour le lécher.
Je vois une ombre me rejoindre, c’est la tête de Cassy qui veut participer à mon engagement.
Ensemble, chacune de notre côté et chacune notre tour sur le gland bien plus gros que ceux jamais vus.
Je suis prête à recevoir son sperme ou Cassy, mais monsieur Léon prend un mouchoir en papier pour éjaculer dedans.
Il rentre sa verge, nous nous relevons.
Je remets mes vêtements.
• C’est bon, donne-moi ta carte d’identité, pour les contrats officiels.
Là, c’est la tuile, que va-t-il se passer si je sors mon passeport de mon sac à dos posé sur la chaise près de moi...
Que va-t-il se passer pour notre belle Tanzanienne, pardon, Rwandaise !
Mon dieu, c’est dur pour moi, de suivre tous les pays ou Victoria, non, Radia, par où elle est passée.
Nous la retrouverons dans la saison IV, dans quelques jours.
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