COLLECTION FOLLE DU CUL. Les aventures d’Audrey. Son blog. Série 2 (2/2)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-11-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION FOLLE DU CUL. Les aventures d’Audrey. Son blog. Série 2 (2/2)
Chris, l’auteur de HDS qui semble avoir soumis Audrey, mon épouse, semble arrivé à faire d’elle une belle salope.
Timide côté sexe au début, elle en est rendue à écrire un blog protégé par un mot de passe, mais que j’arrive à casser.
Une pute à Amsterdam, c’est loin d’être banal.
Mais ce soir l’entraîner dans un gang bang avec trente hommes dans la plénitude de leur moyen, ça dépasse tout ce que je pouvais imaginer quand j’ai espéré qu’elle se dessale.
Gang bang alors qu’elle me dit aller la chatte à l’air, je l’ai vérifié au soi-disant anniversaire de Loubna ou Radia les deux belles salopes marocaines que je me sexerais volontiers.
Une fois bien installé au fond de mon canapé, nos filles dormant et en robe de chambre, je l'imagine arrivant sur les lieux où ces hommes l’attendent.
Rapidement, je me connecte, un escalier en colimaçon, des torches l’éclairant.
Ma femme, presque nue comme l’homme qui la tient au bout d’une laisse comme la chienne qu’elle veut être dans les blogs que j’ai lus.
Sur ces talons hauts, avec seulement les bas et le porte-jarretelle que je lui ai offert avant de l’enculer il y a trois semaines évitant de peu un incendie catastrophique, elle est plus que bandante.
Merde, elle m’échappe, peut-être que je me fourvoie en la voyant devant une porte se mettre à quatre pattes et qu’ils sont allés dans une simple salle des fêtes comme elle l’avait fait pour l’enterrement de vie de jeune fille d’une de ses copines.
Elles étaient avec un groupe de pompiers chippendales qui leur ont fait une démonstration de strips mais aussi de baise à grande échelle, normal pour des pompiers.
L’homme que je pense être Chris ouvre la porte.
Une musique douce doit lui parvenir malgré son bandeau.
La salope, ce sont bien des hommes nus, un masque de Scream sur la figure qui l’attendent queue en main.
Arrêtez, rendez-la-moi, elle doit être horrifiée quand elle voit toutes ces queues et surtout tous ces masques d’horreur.
Toujours à quatre pattes et tenue en laisse, dans cette atmosphère digne d’un film de Dracula, il lui fait faire le tour de cette pièce ronde et des hommes que je compte.
29, il en manque un, suis-je invité à les rejoindre, mais non suis-je bête, Chtis avec sa verge tenant certainement à profiter du cul aimé de ma femme.
Parmi eux, un noir, c’est à sa queue que ma femme s’attaque, je la vois comme si j’y étais rentrée dans sa bouche.........
• Tony, réveille-toi je suis de retour.
J’ouvre un œil, merde je me suis endormi alors que j’étais pleinement auprès d’Audrey commençant son gang bang.
Où j’en étais, à oui, le premier qu’elle venait de choisir était noir.
Ce noir, si elle l’a choisi en premier c’est qu’elle doit flasher sur les blacks.
Audrey est là pimpante, c’est incroyable pendant que j’ai dormi, s’est elle faite sauter par toutes ces verges ?
Sa bouche s’avance vers ma verge.
• Tu sembles en pleine forme, ça te réussit d’être allée faire ce gang bang ma chérie.
• Arrête de te fiche de moi Tony, j’ai répondu à tes insinuations hier au soir, j’ignorais ce qu’était un gang bang.
Pendant notre repas, j’ai demandé à Radia de me renseigner sur ces deux mots.
Tu me vois te tromper avec 30 hommes, tu viens de dire que je suis en pleine forme, même si nous avons dansé entre filles.
• 30 hommes, pourquoi ce chiffre, pourquoi pas 40 ?
• Tu m’embêtes, on pourrait croire que tu me prends pour une pute mon chéri.
• Une pute, allons, pourquoi pas une chienne.
J’ai dit 30 comme j’aurais dit 40, 50, pourquoi pas 100.
Si c’était ce que je suis allée faire, ma chatte à l’air t’ayant certainement interloqué alors qu’il y a une explication à tout cela.
• Laquelle, mais continue à me masturber.
• Pour ces soirées, celle qui organise doit mettre des petits papiers dans un chapeau et en tirer un.
• On doit se plier avec un risque de gage, si nous dérogeons.
Sur le papier, il était marquée «chatte à l’air », c’est toi qui es parti sur une histoire de gang bang, j’ai suivi ton délire.
Loubna a vérifié si nous avons joué le jeu, tu peux être tranquille, je suis hétéro et elle aussi.
J’ai juste soulevé ma robe, même si je peux douter que ce petit jeu soit un peu pervers.
• Alors suce mon bébé, tu m’as manqué.
• Viens dans la chambre, l’une de nos filles peut venir, que se serait-il passé si elles s’étaient levées avant que je revienne de ma soirée avec les filles.
Que leur aurais-tu dit si elles t’avaient posé la question sur ton sexe bandé ?
Attention, mon chéri, elles sont encore jeunes, mais tout à fait capables de poser des questions sur le sexe.
Ça été le cas l’autre mercredi, Anna à 7 ans m’a demandé pourquoi Aurélien son petit copain à l’école avait un zizi.
En bonne mère de famille, loin de faire des gangs bang, je lui ai répondu entre mère et fille, je suis sûr qu’elle a compris, elle est aussi intelligente que toi mon amour.
Nous rejoignons la chambre, je suis sûr qu’elle m’a bourré le mou, j’ai hâte de lire son blog, quand elle aura recommencé à l’écrire.
Je vais pouvoir voir jusqu’à où elle est allée avec ses 30 bonshommes, j’ai bandé hier en rêve, je risque de me masturber en le lisant.
Comment fait-elle, combien de litres de sperme ingurgités cette nuit ?
Je suis content de participer à la fête après coup lorsque, avant de m’endormir, elle avale les longues rasades que je lui déverse.
• Papa, je veux mon chocolat et Élisa aussi !
• Chut, Anna, j’arrive, maman est sortie avec des amies hier et elle dort pour récupérer, j’arrive, attendez-moi dans la cuisine, sort le lait.
Impossible, de me lever, même si la fellation d’Audrey lorsqu’elle est revenue m’a aidé à baisser ma tension.
Je suis un homme et en me réveillant je bande jusqu’au moment où je vais pisser.
La leçon de ma femme, sur l’âge de mes filles évoluant, me sert.
Par chance, j’avais un drap sur moi Audrey aussi et je pense avoir un plus gros zizi surtout bandé que son petit copain Aurélien lui en ait montré une aussi grosse que la mienne.
Mais là je me vante.
• Les filles, vous avez déjeuné, Anna, va dans ta chambre faire tes devoirs, je t’avais dit hier de les faire et tu as préféré regarder la télé.
Tu apprendras dans la vie, qu’il faut faire le jour même ce que l’on a à faire et éviter de le reporter au lendemain.
Je vais faire mon jogging, Élise tu joues avec tes poupées, si vous avez le moindre souci, maman est là, je vous fais confiance, vous êtes de grandes filles.
Je mets ma tenue, j’enfile mes chaussures de courses et je pars.
J’ai fait cinq kilomètres, l’air était déjà très lourd, un orage monte et nous rattrape.
Des trombes d’eau s’abattent sur moi.
Par chance, un abri pour attendre le bus me permet de me protéger des risques de foudres, car je dois longer une rangée de platanes de plusieurs mètres.
La foudre frappe dans le quartier, certainement sur le clocher de l’église à moins de
Cent mètres, mais dans une rue parallèle.
La règle de la distance et du bruit du tonnerre me confirme que la foudre est tombée très près de moi et de notre maison.
J’ai rarement vu un tel orage à Bondues sitôt le matin, il passe et je rentre chez nous.
Audrey est debout ses filles près d’elle.
• Tu es content de toi, d’avoir laissé les filles seules alors qu’un orage arrivait.
Par chance mon portable à sonner, c'était Radia qui voulait savoir si j’étais bien rentrée.
Je suis allée sur l’ordi pour leur montrer des éclaires et les rassurer, j’étais en train de chercher quand la foudre est tombée, le courant a sauté, tu peux regarder ?
La coupure est totale, il faut attendre que les services rétablissent le courant.
• Audrey, je vais prendre une douche, je ferme la porte, je repense à ce que tu m’as dit sur l’âge de mes filles, même si je suis pavillon bas quand je me douche.
J’ai appris la duplicité de ma femme, j’ai l’impression que les images des éclairs sont un alibi pour aller écrire sur son blog.
Je connecte mon portable, bingo, elle a écrit.
« Mon cher blog, je suis très pressée de venir te compter ma soirée.
Dès le départ, j’ai cru que tout était fichu quand Tony m’a accompagné à notre voiture.
Comme Chris me l’avait demandé, j’avais oublié de mettre une petite culotte.
Il m’a laissé partir et j’ai rejoint le parking de l’église de Bondues où Chris m’attendait avec sa voiture.
Il m’a bandé les yeux avant de me faire monter.
Nous avons roulé un certain temps sans que je sache où j’atterrissais.
Descendue, il m’a fait mettre nue, m’a mis un collier autour du cou.
Dans la nuit qui m’entourait, j’avais l’impression d’être une chose petite et méprisable surtout quand il m’a accroché une laisse au collier.
Cette petite chose vivait pleinement le moment surtout quand me déplaçant sur mes hauts talons, il m’a tiré pour que je descende un escalier en rond.
Par moments, je sentais la chaleur dégagée par des torches, une trentaine, de marches, mais pour moi un puits sans fond.
Étrange sentiment de peur et d’excitation.
Ou pouvais-je être, ou non loin de chez nous un tel escalier menant j’ignore où se trouve.
Est-ce au château de Boisvert qu’il m’a emmené et va-t-il me jeter dans des oubliettes.
Que va penser Tony lorsque la police viendra le prévenir que l’on a retrouvé notre voiture vers l’église !
Ouf, nous sommes arrivés au plus bas, Chris me demande de me mettre à quatre pattes, ce qui augmente mon excitation, mais aussi ma peur.
J’entends une porte certainement très lourde s’ouvrir et il me fait avancer.
Il m’ôte mon bandeau.
Quelques secondes pour que mes yeux s’habituent et je vois un cercle d’hommes tous nu, la queue à la main prête à me faire faire mon gang bang.
Chris me fait faire un tour toujours à quatre pattes.
Il me demande de faire mon choix sur celui que je vais sucer en premier.
Je m’approche d’un black fort bien monté et je le prends »
Tout s’arrête là, certainement au moment où la foudre a frappé ce qui a coupé le courant.
Audrey dans les jours prochains va-t-elle reprendre son récit, je l’ignore.
Je me douche et je vais les rejoindre.
Qui vivra verra !!!!!
Timide côté sexe au début, elle en est rendue à écrire un blog protégé par un mot de passe, mais que j’arrive à casser.
Une pute à Amsterdam, c’est loin d’être banal.
Mais ce soir l’entraîner dans un gang bang avec trente hommes dans la plénitude de leur moyen, ça dépasse tout ce que je pouvais imaginer quand j’ai espéré qu’elle se dessale.
Gang bang alors qu’elle me dit aller la chatte à l’air, je l’ai vérifié au soi-disant anniversaire de Loubna ou Radia les deux belles salopes marocaines que je me sexerais volontiers.
Une fois bien installé au fond de mon canapé, nos filles dormant et en robe de chambre, je l'imagine arrivant sur les lieux où ces hommes l’attendent.
Rapidement, je me connecte, un escalier en colimaçon, des torches l’éclairant.
Ma femme, presque nue comme l’homme qui la tient au bout d’une laisse comme la chienne qu’elle veut être dans les blogs que j’ai lus.
Sur ces talons hauts, avec seulement les bas et le porte-jarretelle que je lui ai offert avant de l’enculer il y a trois semaines évitant de peu un incendie catastrophique, elle est plus que bandante.
Merde, elle m’échappe, peut-être que je me fourvoie en la voyant devant une porte se mettre à quatre pattes et qu’ils sont allés dans une simple salle des fêtes comme elle l’avait fait pour l’enterrement de vie de jeune fille d’une de ses copines.
Elles étaient avec un groupe de pompiers chippendales qui leur ont fait une démonstration de strips mais aussi de baise à grande échelle, normal pour des pompiers.
L’homme que je pense être Chris ouvre la porte.
Une musique douce doit lui parvenir malgré son bandeau.
La salope, ce sont bien des hommes nus, un masque de Scream sur la figure qui l’attendent queue en main.
Arrêtez, rendez-la-moi, elle doit être horrifiée quand elle voit toutes ces queues et surtout tous ces masques d’horreur.
Toujours à quatre pattes et tenue en laisse, dans cette atmosphère digne d’un film de Dracula, il lui fait faire le tour de cette pièce ronde et des hommes que je compte.
29, il en manque un, suis-je invité à les rejoindre, mais non suis-je bête, Chtis avec sa verge tenant certainement à profiter du cul aimé de ma femme.
Parmi eux, un noir, c’est à sa queue que ma femme s’attaque, je la vois comme si j’y étais rentrée dans sa bouche.........
• Tony, réveille-toi je suis de retour.
J’ouvre un œil, merde je me suis endormi alors que j’étais pleinement auprès d’Audrey commençant son gang bang.
Où j’en étais, à oui, le premier qu’elle venait de choisir était noir.
Ce noir, si elle l’a choisi en premier c’est qu’elle doit flasher sur les blacks.
Audrey est là pimpante, c’est incroyable pendant que j’ai dormi, s’est elle faite sauter par toutes ces verges ?
Sa bouche s’avance vers ma verge.
• Tu sembles en pleine forme, ça te réussit d’être allée faire ce gang bang ma chérie.
• Arrête de te fiche de moi Tony, j’ai répondu à tes insinuations hier au soir, j’ignorais ce qu’était un gang bang.
Pendant notre repas, j’ai demandé à Radia de me renseigner sur ces deux mots.
Tu me vois te tromper avec 30 hommes, tu viens de dire que je suis en pleine forme, même si nous avons dansé entre filles.
• 30 hommes, pourquoi ce chiffre, pourquoi pas 40 ?
• Tu m’embêtes, on pourrait croire que tu me prends pour une pute mon chéri.
• Une pute, allons, pourquoi pas une chienne.
J’ai dit 30 comme j’aurais dit 40, 50, pourquoi pas 100.
Si c’était ce que je suis allée faire, ma chatte à l’air t’ayant certainement interloqué alors qu’il y a une explication à tout cela.
• Laquelle, mais continue à me masturber.
• Pour ces soirées, celle qui organise doit mettre des petits papiers dans un chapeau et en tirer un.
• On doit se plier avec un risque de gage, si nous dérogeons.
Sur le papier, il était marquée «chatte à l’air », c’est toi qui es parti sur une histoire de gang bang, j’ai suivi ton délire.
Loubna a vérifié si nous avons joué le jeu, tu peux être tranquille, je suis hétéro et elle aussi.
J’ai juste soulevé ma robe, même si je peux douter que ce petit jeu soit un peu pervers.
• Alors suce mon bébé, tu m’as manqué.
• Viens dans la chambre, l’une de nos filles peut venir, que se serait-il passé si elles s’étaient levées avant que je revienne de ma soirée avec les filles.
Que leur aurais-tu dit si elles t’avaient posé la question sur ton sexe bandé ?
Attention, mon chéri, elles sont encore jeunes, mais tout à fait capables de poser des questions sur le sexe.
Ça été le cas l’autre mercredi, Anna à 7 ans m’a demandé pourquoi Aurélien son petit copain à l’école avait un zizi.
En bonne mère de famille, loin de faire des gangs bang, je lui ai répondu entre mère et fille, je suis sûr qu’elle a compris, elle est aussi intelligente que toi mon amour.
Nous rejoignons la chambre, je suis sûr qu’elle m’a bourré le mou, j’ai hâte de lire son blog, quand elle aura recommencé à l’écrire.
Je vais pouvoir voir jusqu’à où elle est allée avec ses 30 bonshommes, j’ai bandé hier en rêve, je risque de me masturber en le lisant.
Comment fait-elle, combien de litres de sperme ingurgités cette nuit ?
Je suis content de participer à la fête après coup lorsque, avant de m’endormir, elle avale les longues rasades que je lui déverse.
• Papa, je veux mon chocolat et Élisa aussi !
• Chut, Anna, j’arrive, maman est sortie avec des amies hier et elle dort pour récupérer, j’arrive, attendez-moi dans la cuisine, sort le lait.
Impossible, de me lever, même si la fellation d’Audrey lorsqu’elle est revenue m’a aidé à baisser ma tension.
Je suis un homme et en me réveillant je bande jusqu’au moment où je vais pisser.
La leçon de ma femme, sur l’âge de mes filles évoluant, me sert.
Par chance, j’avais un drap sur moi Audrey aussi et je pense avoir un plus gros zizi surtout bandé que son petit copain Aurélien lui en ait montré une aussi grosse que la mienne.
Mais là je me vante.
• Les filles, vous avez déjeuné, Anna, va dans ta chambre faire tes devoirs, je t’avais dit hier de les faire et tu as préféré regarder la télé.
Tu apprendras dans la vie, qu’il faut faire le jour même ce que l’on a à faire et éviter de le reporter au lendemain.
Je vais faire mon jogging, Élise tu joues avec tes poupées, si vous avez le moindre souci, maman est là, je vous fais confiance, vous êtes de grandes filles.
Je mets ma tenue, j’enfile mes chaussures de courses et je pars.
J’ai fait cinq kilomètres, l’air était déjà très lourd, un orage monte et nous rattrape.
Des trombes d’eau s’abattent sur moi.
Par chance, un abri pour attendre le bus me permet de me protéger des risques de foudres, car je dois longer une rangée de platanes de plusieurs mètres.
La foudre frappe dans le quartier, certainement sur le clocher de l’église à moins de
Cent mètres, mais dans une rue parallèle.
La règle de la distance et du bruit du tonnerre me confirme que la foudre est tombée très près de moi et de notre maison.
J’ai rarement vu un tel orage à Bondues sitôt le matin, il passe et je rentre chez nous.
Audrey est debout ses filles près d’elle.
• Tu es content de toi, d’avoir laissé les filles seules alors qu’un orage arrivait.
Par chance mon portable à sonner, c'était Radia qui voulait savoir si j’étais bien rentrée.
Je suis allée sur l’ordi pour leur montrer des éclaires et les rassurer, j’étais en train de chercher quand la foudre est tombée, le courant a sauté, tu peux regarder ?
La coupure est totale, il faut attendre que les services rétablissent le courant.
• Audrey, je vais prendre une douche, je ferme la porte, je repense à ce que tu m’as dit sur l’âge de mes filles, même si je suis pavillon bas quand je me douche.
J’ai appris la duplicité de ma femme, j’ai l’impression que les images des éclairs sont un alibi pour aller écrire sur son blog.
Je connecte mon portable, bingo, elle a écrit.
« Mon cher blog, je suis très pressée de venir te compter ma soirée.
Dès le départ, j’ai cru que tout était fichu quand Tony m’a accompagné à notre voiture.
Comme Chris me l’avait demandé, j’avais oublié de mettre une petite culotte.
Il m’a laissé partir et j’ai rejoint le parking de l’église de Bondues où Chris m’attendait avec sa voiture.
Il m’a bandé les yeux avant de me faire monter.
Nous avons roulé un certain temps sans que je sache où j’atterrissais.
Descendue, il m’a fait mettre nue, m’a mis un collier autour du cou.
Dans la nuit qui m’entourait, j’avais l’impression d’être une chose petite et méprisable surtout quand il m’a accroché une laisse au collier.
Cette petite chose vivait pleinement le moment surtout quand me déplaçant sur mes hauts talons, il m’a tiré pour que je descende un escalier en rond.
Par moments, je sentais la chaleur dégagée par des torches, une trentaine, de marches, mais pour moi un puits sans fond.
Étrange sentiment de peur et d’excitation.
Ou pouvais-je être, ou non loin de chez nous un tel escalier menant j’ignore où se trouve.
Est-ce au château de Boisvert qu’il m’a emmené et va-t-il me jeter dans des oubliettes.
Que va penser Tony lorsque la police viendra le prévenir que l’on a retrouvé notre voiture vers l’église !
Ouf, nous sommes arrivés au plus bas, Chris me demande de me mettre à quatre pattes, ce qui augmente mon excitation, mais aussi ma peur.
J’entends une porte certainement très lourde s’ouvrir et il me fait avancer.
Il m’ôte mon bandeau.
Quelques secondes pour que mes yeux s’habituent et je vois un cercle d’hommes tous nu, la queue à la main prête à me faire faire mon gang bang.
Chris me fait faire un tour toujours à quatre pattes.
Il me demande de faire mon choix sur celui que je vais sucer en premier.
Je m’approche d’un black fort bien monté et je le prends »
Tout s’arrête là, certainement au moment où la foudre a frappé ce qui a coupé le courant.
Audrey dans les jours prochains va-t-elle reprendre son récit, je l’ignore.
Je me douche et je vais les rejoindre.
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5 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Que de bla bla pour rien !
Oui, mais Tony cherche t il justement les écrits de ses tromperies ?
Chris la domine par ses textes ou Les récits relatent ce qu’elle fait dans ses sorties Donc
elle le trompe réellement si je comprends bien vu qu’elle suit tous les travers que Chris
lui impose comme dominant . Exact Chris ?
elle le trompe réellement si je comprends bien vu qu’elle suit tous les travers que Chris
lui impose comme dominant . Exact Chris ?
J'ai moi même un problème avec Audrey, qui a tendence à suivre à la lettre tous les travers
sexuels que je lui imposse.
Ce que je sais c'est que chaque fois son mari est au firmament de sa propre exitation
Tous les deux aimmes l'une que je la domine et lui de la voir être amené plus bas que terre
Dans ce cadre, un nouveau bloc va arriver dans les semaines prochaines
sexuels que je lui imposse.
Ce que je sais c'est que chaque fois son mari est au firmament de sa propre exitation
Tous les deux aimmes l'une que je la domine et lui de la voir être amené plus bas que terre
Dans ce cadre, un nouveau bloc va arriver dans les semaines prochaines
A l’auteur. Je suis avec intérêt cette histoire je l’ai même relu mais je n’arrive
toujours pas à comprendre si Audrey trompe réellement son mari suite à ses propos écrit
avec Chris ou si c’est un accord secret entre elle et l’auteur lors de ses récits pour
exciter son époux quand elle relate ses exploits sexuels.Routard
toujours pas à comprendre si Audrey trompe réellement son mari suite à ses propos écrit
avec Chris ou si c’est un accord secret entre elle et l’auteur lors de ses récits pour
exciter son époux quand elle relate ses exploits sexuels.Routard