COLLECTION FOLLE DU CUL. Maryse au temps de sa jeunesse (1/1)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : COLLECTION FOLLE DU CUL. Maryse au temps de sa jeunesse  (1/1) Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-05-2021 dans la catégorie Pour la première fois
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COLLECTION FOLLE DU CUL. Maryse au temps de sa jeunesse (1/1)
Dans mes premiers textes suite à la demande de Maryse de mettre en forme l’histoire de sa vie, elle m’avait parlé de monsieur X !
Ce monsieur a marqué la suite de sa jeunesse, mais rapidement je me suis aperçu que les débuts de son ouverture au sexe ont été assez tumultueux.
Grand-mère comme je suis grand-père, les frasques sexuelles de notre nouvelle amie ont débuté de relativement bonne heure surtout à cette époque.
À notre époque, une jeune fille à dix ou onze ans a déjà vu un sexe mâle entrer dans un sexe femelle dans des vidéos pornos que des petits malins savent aller chercher sur Internet.
Pour ma part, ma connaissance de la sexualité, c’est à seize ans quand je suis rentré dans la marine que j’ai vue pour la première fois une chatte poilue.
La mode des vagins glabres était venue bien plus tard.
Mais je suis là pour Maryse, revenons à elle, qui a su très top devenir une salope comme les hommes les aiment et comme je les aime.

Merci Chris de me redonner la parole.
Dans mon histoire avec monsieur X, je vous ai démontré la jeune femme que j’étais capable d’être rapidement sexuellement.
Je vais vous parler des premières heures de celle que je devais devenir.

Mon premier baiser et flirt poussé, j'avais quinze ans et trois mois.
Vous voyez jeune, mais comme avec Tonio nous nous sommes contentés de la langue, jeune, mais sans plus.
Je dirais dans la moyenne pour ce premier baiser.
Bien que les seules pratiques de mon corps ou sur mon corps s’étaient la masturbation, je savais déjà comment on faisait des enfants.
Je sentais l’envie que Tonio avait de moi, mais ma copine Agnès, enfin copine de loin, enceinte à cet âge m’avait dissuadé de franchir l’étape suprême.
Perdre mon pucelage bien qu’en ces temps-là, mes envies m’y fassent songer de plus en plus souvent, mais élever un mioche qui m’aurait pourri ma vie, non merci.
Surtout que la suite va montrer que ma première pénétration était loin d’être pratiqué par un sexe masculin.
Tonio a tenu quelques semaines pour qu’il comprenne que ce serait touche-pipi comme nous le disions dans ces années-là et rien d’autre.
Nous venions de nous quitter quand j’ai rencontré, attendez un trou de mémoire.
Ça arrive, j’ai 67 ans, j’en avais quinze et cinq mois.
Ça, je m’en souviens, c’était juste deux mois après avoir connu Tonio et le lendemain de l’avoir quitté.
Ce garçon, ce dont je me souviens, était beau gosse, il m’a embrassé pendant nos vacances et a même réussi à me caresser la chatte.
J’étais à deux doigts de céder, mais la chance des pucelles a fait que du bruit nous a dérangés, l’a dérangé et ça en est resté à baisers et caresses.
Seulement, ce garçon avait un peu plus accéléré mes envies, j’avais de plus en plus besoin de pénétration.
C’est par le plus grand des hasards que là encore, deux mois plus tard, je rencontrais Claudio qui devait devenir mon premier amant.
Il m’a permis de devenir celle que je suis à ce jour.

J’ai été réglée vers douze ans.
J’étais à bonne école, mon père étant médecin et je pouvais avoir atteinte malgré ces années-là à une certaine littérature même si par moments j’avais du mal à en saisir certains termes.
Malgré ces décalages, j’ai rapidement compris, comment se faisaient les enfants et mieux qu’un sexe féminin hormis cette fonction de procréation se doublait d’une possibilité de plaisir.
À quelques semaines de là, à lire ces livres sous mes couvertures avec une lampe de poche, j’ai vu un sexe dessiné ou toutes les parties du mien étais différent.
Grande lèvres, petites lèvres, là ça a déjà bloqué avec en plus le pubis montré avec des poils, mon sexe était recouvert d’un duvet blond.
Que dire de l’urètre ou mon vagin que la nature m’avait semblé oublier ?
J’ai volontairement omis de parler de mon clitoris, que lorsque j’ai approché la glace grossissante de maman prise sur sa table à maquillage, je l’ai trouvé.
J’avais peur de me faire prendre et de recevoir le martinet que mon père me promettait dès que je déviais de la route qu’il me traçait.
Il me le promettait sans jamais pour autant le voir et bien sûr encore moins le sentir, mais dans ces âges-là, il était facile que je le crois.
Le clitoris des femmes, toutes celles de vous qui lisez ces lignes, savent l’importance, qu’il a tout au long de notre vie.
Clito ou vagi, impossible pour moi de dire dans quelle catégorie je peux entrer au crépuscule de ma vie.
Les deux fonctionnent ce qui a fait de moi la femme considérée comme une salope, par certains ou certaines ayant le cul froid.
Mais revenons à ma jeunesse vers mes 14 ans, mon père étant médecin, celles qui se disaient, mes copines évitaient de venir chez moi.
Un médecin, c’est l’homme des maladies et surtout des piqures !
Sans être riches, nous étions aisés et nous avions une gouvernante normande.
Normande dans tous ce que ce mot peut engendrer.
Comme leurs vaches, elle avait une croupe en rapport de la cuisine qu’elle aimait m’apprendre à faire.
Lait, crème, farine, œufs, nous faisions de bons gâteaux dont je m’empiffrais.
Si depuis que je la connaissais, sa croupe restait constante, la mienne a commencé à se développer.
Un matin ou mon père m’auscultait, il m’a parlé de pré-ado boulotte.
C’était l’été et il m’a inscrite à un club de natation.
Est-ce le régime strict qu’il m’a imposé ou du moins une nourriture plus équilibrée ajoutée aux heures de nages, ma silhouette se transformait.
Mon physique visible, mais aussi la partie invisible de mon être sauf sous ma douche.
Je pense à mes grandes lèvres et mes petites lèvres qui prenaient forme et ma toison qui devenait plus fournie.
Donc, ma puberté avançait normalement, j’avais minci.
Sur la bascule, je faisais 1 m 69 pour 52 kilos.
J’étais satisfait lorsque je me promenais au bord des bassins, de voir le regard des hommes se poser sur mes jambes devenues longilignes.
Je parle de mes jambes, à cette époque, connaissant mal la perfidie des hommes qui se posaient surement sur mon cul ou sur mes seins commençant à pointer.
14 ans, je me caressais tout le temps le clito, je jouissais chaque fois.
Je vais vous choquer, je me masturbais même en classe.
Dans mon lit, je me caressais et je m’enfilais des objets de plus en plus gros.
À notre époque on aurait dit que mon sexe était végétarien, car je me suis introduit des légumes de plus en plus gros.
Si l’on me demande si j’ai eu des douleurs, comme le disent la plupart des jeunes vierges, la réponse est non.
J’aimais les carottes surmontées de préservatif qui m’évitait des brisures qui m’auraient posé problème.
« Maman, j’ai une carotte dans la chatte et un morceau est cassé à l’intérieur.
Allo docteur, non, allo papa... »Carotte, capote, courgette, capote, concombre, capote, aubergine, capote.
Pour faire la ratatouille, l’aubergine, c’est bon, mais dans ma chatte j’ai reculé.
Les bananes avec leur peau, c’était bien, car rigide.
Par-dessus tout, espiègle, j’aimais les remettre au fond de la corbeille à fruits ou papa les dégustaient le matin suivant au petit déjeuner, en ôtant la peau bien sûr.
Je parle fréquemment de mon père médecin, il avait une particularité, il se baladait toujours nu chez nous.

À quinze ans, aucun garçon embrassé, mais mon vagin avait déjà connu ces légumes et fruits de plus en plus gros.
Il va sans le dire que mon pucelage était le dernier de mes soucis, mais à la première occasion j’espérais m’en débarrasser officiellement devant les copines.

L’année de mes quinze ans, donc, je suis partie avec Noémi notre gouvernante comme l’on disait dans ces années-là, dans sa famille en Normandie.
Là encore dans ces temps-là, c’est au bal du village que Tonio à la sortie d’un slow langoureux m’a mis la langue.
Premier baiser, baiser maladroit, en arrivant à en être émouvant.
À ce moment, j’ignorais que c’était le premier d’une longue série.
Comme on va le voir au fil de l’histoire de ma vie, conté par Chris71, le nombre d’amants en plus de Claudio celui que je vais très vite vous présenter ont été légion.
Un garçon qui saute des filles est un don Juan, une jeune femme faisant pareil est une salope.
J’ai aimé être une salope et à 67 ans, je revendique encore le droit d’en être une.
La nature m’a donné une chatte, comme on l’a vu, j’ai très vite découvert qu’un trou était fait pour être comblé et j’ai toujours trouvé un braquemard assez dur pour le faire.
Premier baiser avec Tonio et cinq jours plus tard, « couché dans le foin avec le soleil pour témoin » comme le chantait madame Mireille à la télé, il a commencé à me caresser la poitrine et les premiers bisous dessus.
Mes seins s’étant développés, à cette saison des fraises, mon copain aimait les déguster.
Je découvrais qu’étant titillé, elles devenaient dures à m’en faire mal.
Mon minou a connu ses premières caresses et c’est le sexe de Tonio que, pour la première fois je l’ai tenu en main.
Jusqu’à cette grange, en plus de mes végétaux et mes mains dans mon vagin, les doigts d’un garçon sont entrés en moi.
Je le masturbais tendrement quand comme un con, il a éjaculé sur mes doigts, ignorant qu’il venait de perdre une occasion d’être mon premier.
Un point positif, ce fut la première fois où j’ai goûté à du sperme masculin en me nettoyant les doigts en les suçant.

Enfin voilà Claudio, Coco pour ses copains.
C’est le mois suivant qu’un ami, oui, je dis bien un ami, pas assez encore dessalée pour faire plus avec lui.
Il m’a présenté à ce que je croyais être un vieux.
Il avait vingt ans et de retour chez mes parents, j’ai dit à ma sœur que je venais de rencontrer le garçon avec lequel je me marierais.
Il va sans dire qu’elle m’a pris pour une folle, il faut ce souvenir que j’avais quinze ans et quelques mois.

J’étais à quelques jours de mes quinze ans et six mois lorsque en juillet, je suis partie en séjour linguistique en Angleterre.
J'ai flirté avec Pierre-Albert, un Parisien comme moi en séjour avec nous et qui m’attirait, mais sans passer certains seuils le premier soir.
La veille de notre départ, rebelote, nous étions nus tous les deux et je comptais bien ce coup-ci perdre ma virginité.
Ce soir-là, je suis allée très loin, à un moment ma bouche s’est trouvée à quelques centimètres de sa queue.
Je le masturbais et j’allais faire ma première fellation quand, même cause, même effet, il a éjaculé dans ma main.
J’ai pensé que j’allais devoir finir bonne sœur.

Par chance trois mois plus tard en septembre soirée couscous chez des copains.
Claudio était avec sa copine Aline.
Nous étions assis sur un canapé, moi d’un côté elle de l’autre.
La salope avait trop picolé.
Je parle de salope comme j’aurais dit pute, il faut se souvenir que j’avais dit à ma sœur que je l’épouserais.
Un copain serviable pour moi sans le savoir l’a accompagné prendre un grand bol d’air.
Le préposé au tourne-disque a démarré un slow.
En ces temps-là, les platines et les DJ étaient inexistants et nous amenions tous nos disques.
Claudio m’a invité à danser et en moins d'une minute on s'embrassait.
Loin du petit bisou de copain, la galoche du siècle.
J'étais aux anges, Claudio m'embrassait.
Lorsque Aline est revenue j'étais vautrée sur le canapé avec l’amour de ma vie.
Vu l'heure, tous les copains partaient.
Les amis qui nous recevaient sont partis dans leur chambre, j’étais seule sur le canapé.
J’aurais pu me demander où était passée Aline, mais je m’en foutais et même plus que ça.
Adieu, la pétasse, Claudio m'embrassa sans arrêt, sa main était déjà sous mon pull.
Je le laissai faire comptant bien me donner à lui et éviter de rater ce 3e essai.
J'étais en jupe, un petit kilt très court.
D’autres diraient ras la moule.
Lorsque sa main a passé sous mon pull, j’ai laissé faire.
Ce soir-là, loin de moi l’idée de me faire dépuceler, j'avais un affreux collant très gênant.
Après avoir caressé mon entrejambe par-dessus, sa main est arrivée à passer sous mon collant et ma culotte.
Car y était, Claude me caressait le sexe, fantastique le contact d'un doigt appartenant à l'homme dont j'étais amoureuse depuis quelques mois.
Lorsqu'il a entrepris de descendre mes sous-vêtements, j'ai soulevé les fesses pour lui faciliter le travail.
J'avais le pull remonté, le soutien-gorge au-dessus des seins, les cuisses ouvertes, nos langues emmêlées et sa main qui explorait mon sexe.
Lorsque j'ai senti sa bite bien raide appuyé sur ma cuisse, j'ai pensé que ce coup-ci serais le bon.
Il s'est mis sur moi, j'ai écarté les jambes au maximum, au moment où j’ai senti son grand à l'entrée de mon vagin, je lui ai dit que j'étais vierge.
Il a eu l’air de s’en foutre.
Enfin !!!
Une bite me pénétrait et surtout celle de Claudio.
Je pensais souffrir, aucune douleur, mon hymen avait dû céder avec une courgette ou un concombre.
Lors de ce premier rapport complet ce qu’il m’a manqué c’est le plaisir et l’orgasme, mais quelle sensation de sentir ce sexe bien raide s'enfoncer en moi, j'ai adoré.
Ça y était, ma jeunesse se terminait, Claudio avait fait de moi une femme.
C’est de cette femme dont je vous parlerais dans un prochain chapitre, « Maryse la femme. »

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