COLLECTION FOLLE DU CUL. Maryse la femme salope. L’Allemand (1/1)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Récit libertin : COLLECTION FOLLE DU CUL. Maryse la femme salope. L’Allemand (1/1) Histoire érotique Publiée sur HDS le 14-11-2021 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION FOLLE DU CUL. Maryse la femme salope. L’Allemand (1/1)
J’ai du mal à suivre Maryse dans ses explications et lorsque je relie mes notes, ses amants sont si nombreux, que j’aurais tendance à m’égarer.
À bien y regarder, si Maryse s’était prostituée, elle aurait fait fortune.
Lorsque je la regarde, je comprends les hommes qui la draguent et qui veulent l’emmener dans leur lit, car elle répond facilement à leur sollicitation.
Ça m’interpelle, le marin que j’ai été à baiser de nombreuses femmes de par le monde.
Une, deux, trois...dix, onze, merde, j’en ai oublié une à Houston au Texas.
Tient, je vais écrire cette histoire dans la collection, le marin, j’ai failli bouleverser ma vie dans cette escale lors d’un de mes deux tours du monde.
Bon, je suis un homme, mais j’abandonne, car la mémoire est sélective et j’en oublierais quelques-unes, sans pour autant être un sérial baiseur, surtout avec mon pompon sur la tête, ça aidait.
Revenons à l’Allemand de Maryse, redonnons-lui la parole.

Le jour de mes 18 ans, je couchais depuis trois mois avec Roberto, l'ami de mon père, monté comme un âne.
Lorsque je suis ressortie avec Claudio à 18 ans plus une moitié, en le comptant j'avais eu treize amants, parfois d'un jour, parfois plus.

Certains d’entre eux étaient des vieux entrecoupés d'amants ayant environ mon âge.
Ensuite, il y a eu Ricardo, l'italien à 17 ans plus là encore une moitié au mois d'août et puis pendant une semaine au jour de l’An.
Je vous en ai parlé dans l’épisode précédent de ma vie.

En juillet, je suis parti en vacances en Allemagne chez un ami de mon père qui avait une fille de mon âge, Gertrude.
Les deux premières semaines on a visité énormément d'endroits.
Les deux dernières, avec mon amie, on est parti au bord de la mer Baltique faire un stage d'équitation en pension complète.
Claudio me manquait, faire l'amour aussi.
Les filles à cette époque, sexuellement elles m’étaient encore inconnues.
Gert était ce que, maintenant on dirait un joli petit lot, mais j’ignorais le plaisir que l’on prend à bouffer la chatte d’une de nos congénères.
Mais revenons à notre voyage en mer baltique.
Il faut comprendre que j’avais pris des libertés avec mon corps et en l’absence de bite, j’aimais me masturber fréquemment, ma chatte bayant d’envie.

Quelques jours après notre arrivée, mon amie Gertrude était déjà branchée avec un stagiaire.
Une nuit, gagnée par l’insomnie je me suis aperçue qu’elle passait ses nuits hors de notre chambre double.
Nous sortions le soir et un allemand de 25 ans, très beaux, souriants et gentils, parlant parfaitement l'anglais ma vraiment plus.
Rapidement il était dans mon lit.
J'ai fait l'amour avec lui sans scrupule, j'aimais Claudio, mais il brillait par son absence, j'avais envie et ça a été mon seul motif.
En neuf mois, avec mon chéri, on avait fait l'amour souvent avec de nombreuses caresses.
Avec Hans, je devais passer une étape de ce que Chris appellerait ma vie de salope.
J’ignorais que l’on pouvait sucer un garçon, j’ignorais même le mot de fellation.
Depuis il m’est familier et comme pour le nombre de mes amants, j’ignore, le nombre de verges étant entré dans ma bouche.
Fellation et aussi en gorge profonde, quelle situation dans mes jeux de l’amour ont rendu tous leurs secrets à ce jour.
Nous étions nus sur mon lit, Hans m’a guidé en faisant descendre ma bouche sous son nombril.
Je le repoussais pourtant j'en mourais d'envie ce premier soir.
Il a été gentleman et j’ai gardé ma bouche inviolée autrement que par sa langue.
Dans la journée, j’en parlais à Gertrude qui étant de retour avait vu que je baisais avec un de ses congénères.
C’est elle qui m’a dit que les hommes aimaient particulièrement se faire faire des fellations et qu’elle-même avait sucé goulument celle de son amant.

Le soir suivant, je retrouvais Hans, en sortant du café où nous nous étions donné rendez-vous, dans une ruelle sombre, je lui ai mis la main au sexe.
J’ai ouvert sa ceinture et ses boutons un par un.
Je sentais ma chatte s’humidifier à ce que j’allais faire.
Je me suis penchée et j'ai fait ma première fellation.
Je sais que dès le premier coup de langue, j'ai adoré.
Au fond de moi, j'ai su que j'allais le faire souvent et au oui, je l’ai fait sans modération.
Je peux même dire que je le ferais encore souvent même si mon âge avance, jusqu’au bout de ma vie, je sucerais des bites seulement si elles me plaisent.
L'après-midi, en faisant du cheval, mon nouvel amant s'est blessé aux lèvres avec une branche.
Les patins nous étaient impossibles, je suçais et j’aimais qu’il me suce dans de très bons 69, les cunnis eux aussi nous étaient impossibles.
Par chance, ces pratiques nous étant refusé, il était doué avec son sexe et je suis dans l’incapacité de dire comme pour mon nombre d’amants, la quantité d’orgasme que la mer Baltique a pu entendre.
Jusqu'à mon départ pour la France, nous avons couché tous les deux.
C’est le lendemain de la nuit où ça s’est passé que Gertrude m’a dit que j’avais loupé en direct le premier pas de l'homme sur la Lune.
Depuis la lune, beaucoup de mes amants l’ont vu et l’ont même foulée de nombreuses fois.

Tout ayant une fin, je suis rentrée en France forte d’une expérience enrichie en de nombreux points.
Claudio m'attendait à l'aéroport, j'étais heureuse de le retrouver.
Sans aucun remords, une fois dans sa chambre on a fait l'amour, j’ai retrouvé mes habitudes.
Est-ce là que ma frénésie de sexe s’est déclenchée, car j’ai pu comparer des façons de faire arrivant au même résultat, je m’éclatais la chatte.
Ensuite, dans ses bras, je lui ai dit que j'avais couché avec un type un soir seulement. J’ai oublié de lui parler des fellations, j’avais un peu peur d’avoir fait un acte hors nature et que Claudio me quitte.
Au lieu de se mettre en colère, il m'a dit me comprendre, que je devais faire mes expériences et que c'était normal que j'aie eu envie d'aller voir ailleurs.

À cet instant il ouvrait la porte à ma vie de salope, là encore comme le dit et l’écrit Chris.
Nous avons refait l'amour.
Août approchait, je partais trois jours plus tard en vacances avec ma mère et ma sœur.
Pendant ces vacances, j'ai couché avec un autre garçon à peine plus vieux que moi.
Comme bien d’autres, j’en ai oublié le nom.
Il aimait se faire sucer et me baiser, mais les cunnis, monsieur était contre, il aimait que je lui fasse des gorges profondes, me baiser en levrette principalement, mais les 69 c’était hors de question.
De retour, après avoir fait l'amour avec Claudio, je lui ai dit que j'avais à nouveau couché avec un autre type.
J’ajoute tout de même que c’était lui que j'aimais, mais que je me sentais beaucoup trop jeune pour me caser.
Je lui proposais une séparation en douceur en restant des amis.
Pendant les deux ans de notre moitié de séparation, nous nous écrivions, on se voyait et on baisait régulièrement ensemble.
Je rentrais en première, nous étions une classe de quinze garçons et douze filles. Durant cette année scolaire, j'ai couché avec cinq d'entre eux dont trois une seule fois.
Les deux autres cinq ou six fois.
Le dernier, c'était le dernier jour d'école.
Une ou deux fois par semaine, ça a duré pendant tout le mois de juillet.
Deux jours avant mon départ pour Nice, on a baisé route la journée, j’étais devenue très douée pour les pipes, il faisait bien l'amour, mais lui aussi ignorait les cunnis.
À notre époque, les films pornos étant vu par les jeunes dès onze ans, à ce que disent les reportages sur la sexualité, ils sont moins retissant que ceux du temps où les hommes ont marché sur la Lune.
Heureusement, pendant l'hiver, j'étais sortie avec le patron de la boîte de nuit que je fréquentais le samedi.
Mais là je vous en ai déjà parlé.

Voilà, je reprends la main, Gilbert, ce sera le suivant suivi de monsieur X et les remboursements du prêt qu’il lui a consenti contre ses fesses et que vous connaissez, là encore déjà.
Je vais me diriger vers d’autres aventures de mes personnages, retrouvant très vite les vicissitudes de notre belle salope Maryse.

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