COLLECTION FOLLE DU CUL. Mes premières vacances de rêve (9/10)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
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Récit libertin : COLLECTION FOLLE DU CUL. Mes premières vacances de rêve (9/10) Histoire érotique Publiée sur HDS le 24-03-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION FOLLE DU CUL. Mes premières vacances de rêve (9/10)
Hier, au retour du golf, j’ai fait travailler ses math à Valentine pendant l’heure prévue avec Pierre.
La petite de retour de l’institut de beauté où se rend Nadia, s’est fait épiler la chatte a acceptée de travailler, car son père était près de nous à préparer le barbecue.
Elle l’a fait avec son air renfrogné qu’on lui connaît refaisant d’elle le bébé à qui il sort de lait lorsqu’on lui appuie sur le nez.
L’épilation de sa chatte que je regardais subrepticement accentuait ce phénomène de petite fille tout juste sortie de la puberté.
Bien sûr, ses seins qu’elle me collait dans le dos cette nuit alors qu’elle était passée par les balcons au risque de tomber et sur lesquelles mes yeux tombaient pendant le cours, faisant disparaitre cette impression de jeune fille en fleur.

• Christian, installe-toi sur ces hautes chaises, je vais t’amener les pancakes que j’ai préparés aux enfants avant leur départ.
As-tu déjà mangé ces petites galettes que les Anglais dégustent au petit déjeuner avec du sirop d’érable ?

Me proposant cela Nadia, que je viens de trouver dans la cuisine lorsque je suis descendu, s’assied sur le siège haut voisin, en repliant une jambe sous elle.
Ce mouvement dégage sa chatte blonde qui semble me tendre les bras comme si elle me la donnait en offrande.

• Pierre m’a demandé de te prévenir qu’ils seront de retour pour dix-sept heures afin que tu donnes son cours à Valentine comme tu l’as fait hier à votre retour du golf.

Finissant ces mots, elle se relève me privant de la beauté de sa chatte seule chose que je sais inatteignable alors que je suis reçu par Pierre son mari.
Surtout que sa proposition d’être mon maître de stage me priverait de cet avantage, tellement il est difficile de trouver ces stages, les patrons étant frileux.
C’est son côté pile qu’elle me montre lorsqu’elle va jusqu’à la plaque chauffante chercher les pancakes qui m’attendent.
Ses mappemondes roulent de droite à gauche, m’obligeant à un effort surhumain pour éviter de bander.

• J’en ai mangé à Londres lors d’un voyage d’échange avec notre école et une de là-bas.
Les pancakes étaient ce qu’il y avait de plus mangeable dans la famille où j’avais été placé avec Abby la correspondante qui m’avait été attribuée.
• Était-elle mignonne ?
• Tu sais, il y a six ans, nous avions douze ans et à ce moment j’étais encore loin de laisser des cartes de France dans mes draps la nuit.
Nous continuons à correspondre avec Abby, il y a quelques jours elle m’a envoyé une photo de son mariage.
Elle semble avoir pris de nombreuses tailles pour ses vêtements et son mari, sa chevelure rousse, en plus il est en kilt, il est écossais.
Tient regarde les sur mon portable, elle m’a envoyé une photo.

Je suis descendu de mon siège et je suis près d’elle, je sens son parfum, « nuit intense, » parfum naturel émis par son corps aux sorties de la nuit.

• Je comprends pour les cartes postales et il est vrai que l’amour est mystérieux entre deux êtres tellement ils sont différents l’un de l’autre.
En plus d’être roux et en kilt, il est longiligne doit faire deux mètres alors qu’elle est petite et ronde, une véritable anglaise.
• Elle m’a dit qu’il faisait du rugby et était deuxième ligne de l’équipe juniors d’Écosse.

Sur mon dernier propos, sa nudité lui semblant naturel à la manière dont elle se déplace, elle me frôle son plat à la main.
J’aurais bien tenté quelque chose, mais les mergez et les saucisses sont loin et l’odeur de ces pancakes me fait bougrement envie.
Surtout que sur la table, je vois cette pâte à tartiner que j’adore encore plus que les femmes qui semblent vouloir de moi comme amant depuis quelque temps.
Nous nous replaçons sur nos sièges, lorsque je tourne la tête, elle s’est repositionnée sa jambe repliée et je peux de nouveau voir la belle femme qu’elle est.
C’est la femme parfaite, blonde, seins en forme de poires et chatte où je peux voir un joli clito sortant de son petit capuchon.
Pour la pâte à tartiner, nous verrons demain pour éviter de finir aussi ronde qu’Abby.

• Pendant que tu dévores, s’est beau d’avoir de l’appétit, je peux te parler d’une chose qui s’est produite samedi à notre arrivée vers le voilier et dont nous avons discuté dans notre lit le soir avec Pierre ?
• Sans problème, je t’écoute !
• Lorsque Éloise est descendue du voilier et que nous l’avons croisé, elle venait de faire l’amour avec Pierre.
Il la raccompagnait quand il nous a vu, oubliant la capote qu’il avait retirée et posée sur le petit lavabo de la salle d’eau du voilier dans la chambre.
Il l’a vu quand il te l’a fait visiter.
Lorsque je t’ai dit au Riviera que la vie était plus complexe qu’il parait, je t’ai un peu menti sur ma rencontre avec Pierre.
Mes parents étaient des naturistes doublés de libertins.
Naturiste, c’était normal pour moi de vivre nue, chez nous dans notre appartement sans vis-à-vis et l’été dans un camping naturiste ou bien sûr ici protégé par les hauts murs.
Ce que j’ignorais lorsqu’ils me confiaient à une baby-sitter, c’est qu’ils sortaient comme nous samedi soir pour se rendre dans des clubs échangistes ou des soirées entre amis libertins comme eux.
Je l’ai su, j’étais plus vieille lorsque j’étais dans ma chambre et qu’une dénommé Florence est venue prendre le thé à la maison.
Je les ai entendues parler de leur dernière soirée avant que maman l’entraine dans sa chambre.
Comme Annie l’a dit, je sortais d’une période iroquoise avec une crête de coq.
J’avais des copains du même genre et je venais de découvrir le sexe.
Un soir où il m’avait confié à une vieille voisine, ignorant que je me doutais de ce qu’il se passait dans notre appartement, j’ai attendu qu’elle dorme dans son fauteuil pour prendre mes clefs et remonter à notre appartement.
J’ai vu une douzaine d’hommes et de femmes dont certains de connaissance qui partouzaient allègrement.
Je te l’ai dit, je connaissais le sexe et lorsqu’un beau gosse inconnu est venu vers moi pensant certainement que j’étais de la partie, je l’ai sucé et nous avons baisé.
Je te dis bien baisé, car autant avec les copains il y avait un peu de sentiment mais là c’était purement des rencontres juste pour le plaisir.
Le beau gosse m’a dit s’appeler Yvon, mes parents ont vu que je baisais avec lui lorsqu’ils ont changé de partenaires et sont revenus dans la salle où je me trouvais.
Je suis sortie avec Yvon, jusqu’à une soirée cochonne où nous étions allés et que j’ai vu un homme, cheveu grisonnant, poivre et sel avec une petite moustache à la Clark Gable.
Contrairement à mes amants de partouze, il est resté sage, sans essayer de me sauter.
Plus loin de moi dans la villa où nous étions, je voyais Yvon, sauter une pétasse en levrette.
Ce soir-là, je suis resté chaste, apprenant que sa femme s’était barrée avec un autre, à ce moment j’ignorais qu’il était noir américain et qu’elle vivait à New York.
Je vais être un peu grivoise, c’est à ce moment où il s’épanchait me disant que c’était un copain qui l’avait invité connaissant le maître de maison, c’était Pierre.
Yvon ayant ses couilles vides est venu me chercher et j’ai quitté Pierre, le cœur lourd.
C’est ce qu’on appelle un coup de foudre malgré notre différence d’âge.

Me parlant, Nadia s’est relevée et est venue se mettre près de moi.
Je voyais la veine dans son cou battre au rythme du récit qu’elle me faisait de sa rencontre avec Pierre et de sa vie de libertine.
J’avais une folle envie de la sucer, mais mes scrupules m’en empêchaient.

« C’est une libertine, tu peux y aller, tu vas voir, tu vas passer un bon moment.
Elle te raconte ça pour que tu lui fasses l’amour et toi depuis la première heure où tu l’as vue tu rêves de la prendre sur le sol de cette cuisine comme une bête.
Reconnais que toi aussi tu as eu un coup de foudre lorsque Gabriel te l’a présenté.
Merde, vas-y, fait en ta chienne, même si après tu devras reprendre le train pour Paris.
Tes parents sont en Andalousie et tu as les clefs évitant de te retrouver à la rue. »

Bien sûr, on est con lorsqu’on est jeune et je sens que je laisse passer ma chance, je laisse mon rêve de luxure pour écouter la suite de son récit.

• C’est trois jours plus tard, que l’on a sonné à la porte de chez mes parents où j’habitais encore en pourparlers avec Yvon pour m’installer chez lui.
36 roses blanches connais-tu le langage de fleurs et particulièrement des roses surtout les blanches ?
• Non !
• Dans le langage des roses, la blanche et surtout offerte au nombre de 36, c’est comme une demande de fiançailles.
Il y avait une carte, « si vous êtes libre ce soir vingt heures... »
Ce fut notre premier rendez-vous, lorsque je lui ai dit que j’avais un ami celui qui était venu me chercher pour rentrer, il m’a avoué son amour et m’a dit qu’il m’attendrait le temps qu’il faudrait.
Il m’a donné son numéro de portable où je devais l’appeler si j’acceptais d’être à lui.
Coup de foudre, coup de sang, trois jours plus tard moi la libertine, je quittais Yvon prétextant que je l’avais senti trop amoureux de sa partenaire sur la pelouse.
Nous sommes fourbes nous les femmes, quand nous désirons changer d’air.
Dire à Yvon qu’il avait été trop loin avec sa pouffe, c’était délirant, moi qui baisais à tous va avec autant de partenaires que je voulais en avoir.
Nous nous sommes retrouvés au même restaurant où il m’avait invité, au dessert il s’est agenouillé et m’a ouvert un écrin.

Nadia me montre son doigt, diamant et alliance, je la prends, me rendant compte que je la touchais pour la première fois alors qu’elle m’avait déjà touché la queue dans la cabine d’essayage.

• Il y avait un obstacle, comment dire aux gens que nous allions nous marier et là tu vas comprendre ce que je t’ai déjà dit sur son argent durement gagné en se tuant à la tache dans son entreprise.
Il avait besoin d’une secrétaire et c’est ainsi qu’il m’a embauché avant d’annoncer à tous qu’il m’épousait.
Tu connais tout le reste, je suis passé pour une arriviste évitant de dire que nous sommes des libertins.
Mais dit moi, ce que je t’ai dit était si excitant que je vois que tu bandes.

Nous disons, voulant bien le croire que c’est nous qui amenons les femmes à baiser, elle m’avait déjà jaugé dans la cabine d’essayage et elle savait déjà que sa bouche aurait du mal à m’avaler.
Baisser devant moi, elle se met à me lécher tout le long de ma queue me tâtant ma grosse paire de couilles.
Je sais qu’à son retour, Nadia dira à Pierre que nous avons baisé, mais essayez d’arrêter un cheval fou lancer au galop, ma main va jusqu’à sa chatte que je trouve dégoulinante.
Que feriez-vous à ma place ?...

Les avis des lecteurs

Nous verrons dès le prochain chapitre

Histoire Erotique
La même chose que toi mon cher Christian



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