COLLECTION FOLLE DU CUL. Pourquoi je t’inflige cela (4/4)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION FOLLE DU CUL. Pourquoi je t’inflige cela (4/4) Histoire érotique Publiée sur HDS le 16-05-2022 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION FOLLE DU CUL. Pourquoi je t’inflige cela (4/4)
« Veux-tu y retourner ? »

C’est la phrase que Fredy me dit alors qu’un routier m’a fisté au bout de son bras et m’a enculé dans un même temps à l’intérieur de son camion.
Je suis une salope à qui il manque toujours à un moment ou un autre sa dose de sadisme lors de parties de baise.
Ce fut le cas, malgré le fait d’avoir voulu m’amender en me rendant dans une association pour fêlés du sexe.
Fredy, accro au sexe comme moi et qui place le vers dans le fruit lorsqu’il me donne l’adresse du restaurant de routiers à quelques kilomètres où il va de soi je décide de me rendre.
Un seul coup avec un Tchèque où je finis par tourner de l’œil avant d’être récupéré par Fredy m’évitant de subir un véritable gang bang de camionneurs des pays de l’Est.

• Je te ramène chez toi, ou alors nous passons par chez moi, ou habites-tu ?
• Allons chez toi, je veux rentrer propre à ma maison.

Je suis redevable envers Fredy et je veux savoir où il habite, j’ai nettement envie de gouter à un tel dépravé.
Qui enverrait une jeune femme se faire sauter par ces camionneurs hors du temps, mais qui la suivrait sous couvert de la protéger.
Chez lui, je me dénude, je prends une douche recroquevillée au sol alors qu’il attend tranquillement comme s’il était certain qu’à courte échéance je serais à lui.

• Je te ferais craquer, je veux que tu me baises.

Lorsque je prononce, cette phrase je suis de retour dans sa voiture.
Il m’a essuyé tout mon être étant à sa merci, mais il a pris soin d’éviter mon intimité, ce qui me frustre.
De nouveau habillé, il m’aide à remonter en voiture.
Il me dépose devant le routier afin que je récupère ma voiture.
Lorsque je tourne ma clef de contact, en repassant près du routier, trois camions sont là.
Je suis à deux doigts d’aller prendre un café et plus si affinités, mais un instinct familial me rattrape et je prends la route de ma maison.
Pierrot mérite-t-il tous le mal que je lui fais subir.

Lorsque je rentre, impossible de dire à Pierrot la salope que j’ai une nouvelle fois été, mes filles sont au salon et jouent avec lui.
Il est à quatre pattes Augustine à cheval sur son dos tenue par Susy.
Ils sont chou, je devrais craquer après la soirée et la nuit que j’ai passée, mais même ce spectacle enchanteur a du mal à estomper les images de ce poing me ravageant la chatte voire même la verge m’ayant défoncé.
J’en suis même à me demander si Fredy aurait mieux fait de me faire massacrer jusqu’au matin dans tous ces camions et pourquoi ai-je hésité à y retourner.
Quand je le peux et comme il semble éviter de me poser des questions, je lui tais ce que j’ai fait, je lui parle simplement de la réunion des accros du sexe anonyme.
Je lui mens en lui disant qu’à la fin de ces réunions, un repas entre amis était organisé et que c’est pour cela que je suis rentrée dans la matinée.
M’a-t-il cru, la ficelle était très grosse et mon nounours m’a embrassé sans plus me poser de questions.
Nous avons vécu une période de paix pendant quelques semaines.
Un mois après je retourne aux anonymes du sexe.

• Lorsque j’ai quitté votre réunion, le mois dernier, j’ai été tenté par l’un de vous et je me suis retrouvé sur un parking ou un routier Tchèque m’a défoncé.
Depuis je suis clean, j’ai résisté à y retourner.
• Pas bien, le parking, pas bien le parking.

Les douzaines de personnes présentes scandent en cœur, ces mots, même Fredy qui est présent et qui me regarde intensément.
J’ai mis une culotte et je sens que je mouille, j’ai l’impression qu’en venant ici, je fais une erreur, car de savoir cet homme ayant été sérial baiseur avant de venir ici me tente.
Il m’a fait connaitre l’extase sur ce parking, j’ai l’impression qu’il a bien d’autres choses à me montrer.
Lorsque la réunion se termine, j’ai la terrible impression, que Pierrot et Fredy sont les deux faces d’une même pièce et qu’à eux deux ils forment la vie parfaite à laquelle j’aspire.
C’est à ce moment que le destin me rattrape, comme ci ces deux faces de cette pièce se rassemblaient.

• Ma chérie, j’ai invité un copain qui m’a aidé à charger les affaires dans notre remorque, il va m’aider à agrandir la maison en attente de la naissance de Hugo.

Eh oui, je suis enceinte de nouveau, la dernière éco m’a montré le fils que Pierrot voulait si intensément.
Dans mon lit lorsque nous faisons l’amour, j’ai le plus gentil des maris.
Mais ma grossesse me pousse à faire ce que j’ai réussi à éviter depuis des mois et à une semaine d’avoir ma médaille dès un an d’abstinence, je découvre que tout peut basculer.

• Que fais-tu là, tu me harcèles, dans notre groupe, il y a de jolies salopes qui te regardent avec envies, prends-en toi à elles ?

Je suis dans ma cuisine, Pierrot est parti coucher les filles et je mets la vaisselle dans notre lave-vaisselle.

• C’est de toi que j’ai envie, ça fait un an que je lutte, mais je te veux.
Ça fait des jours que je suis ton mari et j’ai saisi son besoin d’aide pour me rapprocher de toi.

Nous entendons Pierrot redescendre de l’étage, Fredy reprend une position plus appropriée alors qu’il avait posé ses mains sur mes fesses.

• Fredy, tu m’as bien dit habité dans le quartier Boucicaut à l’autre bout de la ville !
En passant devant la chambre d’ami, je me suis dit que si tu restais ici cette nuit, demain matin à la fraîche, nous pourrions attaquer les fondations de l’extension que je veux faire.

J’étais piégé, je sentais ma cyprine couler de savoir cet homme sous mon toit à deux pas de notre chambre.

• C’est faisable, je dors nu et dans ma voiture, j’ai une combinaison de travail.
Je sens que commence à naître entre nous une complicité comme j’en ai connu lors de mon service militaire.
• Viens laisse Colombine finir de préparer son lave-vaisselle, j’ai du rhum quinze ans d’âge dont tu me diras des nouvelles.

Quelle heure est-il lorsque je quitte le lit conjugal, nous dormons dans la chambre au rez-de-chaussée alors que Fredy est dans la chambre d’amis à l’étage.

• Dors, j’ai entendu Augustine pleurer, je monte voir si tout va bien.

Il se retourne, je quitte la chambre, arrivé à l’étage, je vais dans la chambre des filles.
L’extension a deux utilités, construction d’un deuxième garage où Pierrot aura un atelier, en homme parfait il bricole très bien.
Ma fille a dû se rendormir, mais je vois Fredy nu dans la chambre, lui caressant la joue.
Je comprends pourquoi il était un grand baiseur, sa verge relance mes envies de me faire prendre par cet homme.
Je lui prends la main et sans me poser plus de question je le tire jusqu’à sa chambre.
Je le pousse sur le lit, tombant à ses pieds.
Ma bouche s’avance, la folle de sexe que je suis depuis mon adolescence se met en marche, même si Pierrot est dans notre chambre sous moi.
Il est super-monté et lorsque je suis sur son gland, ses mains se posent sur ma tête, pour me faire aller plus loin dans le fond de ma gorge.
Combien de temps, je le suce avant qu’il fasse attention à ma grossesse en me prenant à quatre pattes sur son lit.
Une glace est placée sur le mur, je me vois en posture indécente mon gros ventre et mes seins pointant vers le sol.
Il est en moi et les coups qu’il me donne m’apportent toute la satisfaction que je souhaitais.
Les claques sur mon postérieur chauffent mon cul, ce qui me fait hurler hors de toute mesure.
Ma bouche exprime ce que mon corps ressent oubliant que mon mari est placé sous moi à l’étage inférieur.
Lorsque je m’écroule de fatigue sevrée de coups de bite dont à certains moments des coups comme si je recevais des décharges de mitraillette.
Combien de coup de fouet mon corps ressent se finissant de manière hors du commun par un orgasme qui irradie mon ventre pendant de longues minutes.

Je sens que l’on bouge, je vais pour prononcer le nom de Pierrot, mais mon cerveau recommence à fonctionner.
Que va penser mon mari de la salope qu’il a sous son toit !
Nous descendons, Pierrot est dans la cuisine et a préparé le petit déjeuner.

• Café ou thé, Fredy, dans dix minutes on va commencer, j’ai fait cuire des viennoiseries.

Je parlais de ces deux hommes étant les faces de deux pièces que j’aurais aimé réunir sur une seule dans ma maison.
C’est fait, j’ai deux lits et deux façons dont mes hommes me font l’amour pour mon plus grand plaisir.
Je partage mes week-ends surtout le samedi soir.
Pierrot m’emmène au resto et ciné avant de rejoindre notre lit et de faire l’amour à sa façon.
Avec Fredy, le samedi opposé, il me conduit dans une boîte sadomaso à une vingtaine de kilomètres de chez nous.
Bien sûr, mon fils est né, j’ai eu mon retour de couches et la fureur des mâles qui me prennent dans ce club m’apportant la plénitude de mon corps.
Il va sans dire que j’ai arrêté, tout comme Fredy, d’aller aux anonymes du sexe, vivant pleinement notre sexualité.
Un petit point noir, l’œil des femmes de notre village, ayant compris que j’ai une double vie et bavant d’envie d’en faire autant.

Je vous laisse, j’ai raconté mon histoire, nous sommes avec Fredy à l’intérieur du Belzébuth, la boîte de mes plaisirs et face à moi, deux mecs bien membrés me montrant qu’ils ont envie de se faire une salope.
Vous comprendrez que je m’inflige tout ça, avec l’aval de mon mari.

Voilà, Chris a écrit mon histoire, deux hommes, une femme, deux hommes bien différents qui me comblent.

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