COLLECTION HISTOIRE COURTE. Dépucelée par mon vieux voisin répugnant (1/1)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 2408 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 4.2 • Cote moyenne attribuée par HDS : 10.6
- • L'ensemble des récits érotiques de CHRIS71 ont reçu un total de 12 029 927 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 04-05-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
Cette histoire de sexe a été affichée 4 326 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
COLLECTION HISTOIRE COURTE. Dépucelée par mon vieux voisin répugnant (1/1)
• Valentine, ce que je vais te demander est indigne de la mère que j’aurais voulu être.
Le sacrifice que je vais te demander est la conséquence des conneries que ton père a faites allant même par se mettre une balle dans la tête nous laissant dans une merde noire.
Il faut que tu ailles voir Séraphin, notre logeur pour qu’il continue à nous héberger gracieusement comme j’ai réussi à le faire depuis que Paul nous est parti.
• Maman, j’avais presque quinze ans lorsque je vous ai entendu vous disputer et qu’un coup de feu s’est fait entendre.
• Lorsque la police est venue, tu as été disculpé grâce aux angles du tir et les traces de poudre sur les mains de papa, les tiennes étant clean.
Depuis je sais aussi que tu couches avec Séraphin pour nous éviter l’expulsion.
• Ma fille, tu as raison, c’était ça ou le squat de la rue Marbeuf avec la promiscuité des clodos qui y passent.
En couchant avec notre logeur, je t’ai permis de devenir cette jeune fille sans penser qu’en grandissant ce serait sur toi que ce vieux salopard porterait son dévolu.
• Tu m’as toujours inculqué le respect de ma virginité afin de trouver un homme digne comme papa et à qui j’offrirais mon hymen la nuit de mes noces !
• Oui, ça s’était avant que Paul fasse tapis dans une partie de poker, chez ce vieux con, jouant sa fortune contre la sienne.
Il était persuadé qu’un carré de deux gagnerait contre un carré de dames.
• Maman, les dames ça aura été son talon d’Achille toute sa vie.
• Que veux tu dire, ton père m’a toujours été fidèle sauf lorsqu’il me trompait avec un jeu de cartes ?
• Maman, tu es naïve, il se méfiait de toi, mais de moi, il pensait que j’étais trop petite lorsque tu partais chez mamy puis chez papy avant qu’ils nous quittent tous les deux.
• Tu as découvert des choses que j’ignore !
• Sa soi-disant secrétaire qu’il baisait sur son bureau, comment crois-tu que j’ai fait mon éducation sexuelle tout en restant vierge.
• Quel salopard, s’il était encore vivant, je le tuerais immédiatement d’une balle dans la tête d’avoir trahi, notre serment de mariage.
• Maman évite les phrases creuses, toi aussi tu m’as aidé à me forger un caractère de salope lorsque tu te fais baiser dans sa voiture par Adrien, le frère de ta meilleure copine.
• Oui, mais lui c’est différent, depuis toute petite, j’étais amoureuse de lui, mais c’était mes parents qui refusait notre liaison sous couvert qu’il venait d’une famille sans le sou.
On voit où tout cela nous mène, j’ai vendu mon cul à ce vieux Séraphin pour un plat de lentilles.
• Et comme mon cul a fini par lui plaire plus que le tien, il a décidé que ce serait sur moi qu’il se payerait.
• C’est un peu, même beaucoup, cela, mais que faire, je suis certaine que tu seras assez forte pour m’aider dans cette épreuve.
Voilà comment je me retrouve à me présenter devant la porte de la maison voisine ou crèche Séraphin.
Il m’ouvre, comment maman a-t-elle pu coucher avec ce vieux débris et moi en aurais-je le courage.
Quel âge a-t-il soixante, soixante-dix, c’est difficile à dire, avec ses pantalons tenus par de larges bretelles sur une chemise à carreaux style bucheron canadien.
À ses pieds, une paire de chaussons éculée datant certainement de 1940 date de la dernière guerre mondiale et surtout son mégot éteint fiché au coin de ses lèvres qu’il enlève pour me parler.
Il put à quinze pas.
• Valentine, je vois que ta mère t’a dit de venir me voir, pour que vous continuiez à vivre à mes crochets.
Entre, je vais être direct, deux formules, trois mois à me sucer et à faire mon ménage, avec en prime 2 000 €, après on verra la suite.
Ou la deuxième solution, je te dépucelle tout de suite et deux fois par semaine je te baise pendant un an, avec là encore les 2 000 € et là encore après on verra la suite.
J’ai vite calculé, mais une chose m’étonnait, maman disposait-elle des mêmes formules et se faisait payer comme une pute.
Ou alors afin d’appâter mon petit cul, il est prêt à mettre du fric sur la table pour disposer de moi !
Trois mois, ça passe vite, bien que dès le premier jour, lorsqu’il sort sa queue noueuse à souhait, je manque de dégueuler lorsqu’il l’a sorti et mise dans ma bouche.
Le pantalon était à la hauteur de l’homme, crade, il sentait la pisse, car il le portait sans sous-vêtement.
La seule chose que j’ai découverte, c’est que maman a dû bien jouir avec Séraphin, elle est noueuse et monstrueusement développée.
Trois mois à avaler son sperme me disant que j’avais fait une connerie de choisir la formule la plus courte des deux.
Je faisais son ménage et suivant son humeur, je le suçais au début, ou pendant ou encore à la fin des trois heures qu’il m’était imposé.
Il était réglo, et pendant trois mois, j’ai touché les 2 000 €, maman était aux anges lorsque je lui ramenais les billets, me donnant l’impression que j’avais été élevée par une mère maquerelle.
Trois mois, ça passe vite donc, lorsqu’il m’a donné ma dernière paye de fille soumise à la limite d’être une pute moi aussi.
• Valentine, passons aux choses sérieuses, ça fait trois mois que tu promènes ton joli petit cul devant moi.
Ta bouche, j’en ai fait le tour.
Un an à te baiser dès demain matin avec les heures de ménage, mais avec maintenant 3 000 € par mois.
C’est là où Séraphin a montré tout le vice qu’il avait en lui, surtout en me disant que ce serait demain le jour où il m’ôterait mon hymen avec à la clef 1 000 € supplémentaires chaque mois.
• Autre chose, inutile de prétexter que tu as tes règles, ma bite adore patauger dans les menstruations des femmes, demande à ta mère, elle connaît bien tout ça.
J’avais bien compris que ma mère était une salope, inutile qu’il me le rappelle.
Toute la nuit, j’ai retourné dans ma tête que ce serait ce vieux débris qui allait enfoncer son manche en moi.
À une heure, je vais dans la cuisine, j’ai vu maman ramener un concombre avec l’argent que je lui donne.
Me dépuceler moi-même avant mon bourreau, je pense trouver là la solution.
Mais j’ai appris le vice de cet homme aussi au moment de l’enfoncer, je recule et je le ramène dans le légumier du frigo.
C’est l’heure, j’ai les clefs, il est là, mais avec un vieux, du moins plus vieux que lui.
• Enlève ton petit short, Gaston est un médecin radié de l’ordre après bien des déboires dans son métier à cause de l’alcool.
Il va voir si tu es vierge, sinon ce soir, ta mère et toi vous aurez quitté mon logement.
Je m’exécute, je repense au concombre, j’étais à deux doigts de faire une connerie, ce vieux con a réponse à tout.
Même si Gaston met un gant, me faire fouiller la chatte par ce vieux débris, me donne envie de gerber.
Où est mon prince charmant de mes contes de jeune fille, surtout lorsque le vieux médecin ajoute ?
• Je connais ta mère, je vous prendrais chez moi si Séraphin vous jette dehors.
Qu’ai-je à gagner, entre mon vieux connard et cet ivrogne, je me dénude ?
J’ai déjà vu ma gynécologue, lorsqu’il vérifie, ma pudeur en prend un coup, mais je suis déclaré apte à être dépucelé !
Voilà, c’est fait dès que le débris nous a quittés, je pourrais expliquer en détail lorsque cela se passe, cet inutile, je vous laisse imaginer comment une queue pour la première fois me fouille.
Ça fait deux mois que je suis la maîtresse de Séraphin.
Même son odeur proche du cadavre, je m’y suis habitué, maman est aux anges, elle peut se reposer sur sa fille qui l’héberge et la nourrit avec ses fesses.
Mes premières règles ont été une étape qui m’a marqué, car elles sont toujours un peu douloureuses.
Vous ajoutez à cela ce mandrin venu me fouiller alors qu’il était derrière moi à me baiser sur la table de la cuisine pour une jeune fille, c’est une épreuve.
Mais je me dois d’être franche, rapidement j’y trouve plaisir, hier j’ai même eu un orgasme, il m’avait placé en levrette sous couvert qu’il me pénétrait plus profondément.
Ça c'était hier, aujourd’hui il est au téléphone avec son banquier, j’ai une oreille qui traine, mais surtout je fais le ménage lorsque je vois un dossier sur le meuble de la salle à manger.
Il est de dos en rapport de moi, aussi tout en le surveillant je l’ouvre.
Sur le dessus, est noté hôpital Saint-Hubert, celui de notre ville.
C’est un IRM de son cerveau.
Sans connaître le monde médical, la connerie de papa m’ayant obligé d’interrompre mes études, la lettre du praticien est explicite, « risque grave d’anévrisme », limitez les efforts physiques et cérébraux.
J’y vois là notre salut, car je sais que Séraphin est seul au monde.
Si nous avons eu des déboires, avec la connerie de papa, j’y vois là notre salut une heure plus tard lorsqu’il vient me baiser une nouvelle fois dans la cuisine.
Il me donne un grand coup de verge, lorsqu’elle semble vouloir se tromper de voie d’accès.
Tel un crotale, je me relève manquant de le foutre par terre.
• Tout doux Séraphin, j’ai appris le vicieux que tu es, on va changer les règles, mais c’est moi qui les fixes.
Je te laisse m’enculer, autant que tu le peux, mais avant tu m’épouses, ma rondelle sera mon cadeau de noces.
Sinon je te quitte en faisant ma valise, je ferais peut-être la pute pour m’en sortir, mais toi tu retrouveras la vieille chatte fripée de celle que j’ai définitivement renoncé de l’appeler « maman. »
Le tout bien sûr sans contrat de mariage, juste la communauté.
Les bans publiés, je deviens madame Séraphin, pour mon plus grand plaisir, du moins financier, le compte en banque semble un puits sans fond.
J’ai amené mes affaires, chez mon mari, je le suce, je me fais baiser, j’ai appris à me faire enculer essayant de provoquer un A.V.C profond, voire définitif de mon mari.
Ça arrive au bout de quatre mois, juste le jour de son soixante-deuxième anniversaire.
Avec une jeune femelle en chaleur comme moi, il a oublié les recommandations du médecin bien que je lui donne régulièrement ses médicaments.
• Baise-moi et après je te donnerais ton médicament, si tu savais comme je suis heureuse d’être ta femme.
Ça c’est pour flatter son égo et j’y arrive très bien, jusqu’à ce que le drame éclate.
Hôpital, le spécialiste qui avait fait son diagnostic venant me consoler.
• Je lui avais dit de faire attention à sa vie sexuelle, surtout lorsqu’il m’a dit qu’il allait vous épouser.
Vous savez la tête de cochon qu’il était et il en a fait qu’à sa tête.
Quelques semaines à le promener dans une chaise roulante dès que nous l’avons pu.
Lorsque nous sommes seules, je me balade à poil, provoquant un filet de bave tombant de sa bouche, son mégot ayant disparu.
• Condoléances.
Condoléances, vous sembliez si bien vous aimer lorsque vous le sortiez dans son fauteuil roulant !
Condoléances, ma fille !
• Quelle fille, tu vois une fille et surtout une pute, la pute que tu as faite de moi, pour garder ton confort.
Tu as huit jours pour quitter ma maison, sinon, les huissiers s’en chargeront.
En faisant cela je savais que je la condamnais au squat de la rue Marbeuf, mais elle a ce qu’elle a mérité.
Pour ma part, je suis à l’aéroport d’où je vais, partir pour un tour du monde de plusieurs mois.
• Les passagers pour Rio sont priés de se présenter porte deux pour l’embarquement.
Rio, première étape où je compte bien baiser de beaux Brésiliens puis des Argentins, des tahitiens et autres beaux gosses de Bora-bora, je l’ai bien mérité après tant d’abnégation.
Une dernière chose, on va dire que j’ai la dent longue, j’aimerais bien vous y voir lorsque je me faisais dépuceler puis baiser par Séraphin notre vieux voisin.
J’ai appris que je possédais le squat de la rue Marbeuf, j’ai donné l’ordre de l’abattre avant mon retour.
Que ma, marate, aille se faire pendre, non, enculer ailleurs.
Le sacrifice que je vais te demander est la conséquence des conneries que ton père a faites allant même par se mettre une balle dans la tête nous laissant dans une merde noire.
Il faut que tu ailles voir Séraphin, notre logeur pour qu’il continue à nous héberger gracieusement comme j’ai réussi à le faire depuis que Paul nous est parti.
• Maman, j’avais presque quinze ans lorsque je vous ai entendu vous disputer et qu’un coup de feu s’est fait entendre.
• Lorsque la police est venue, tu as été disculpé grâce aux angles du tir et les traces de poudre sur les mains de papa, les tiennes étant clean.
Depuis je sais aussi que tu couches avec Séraphin pour nous éviter l’expulsion.
• Ma fille, tu as raison, c’était ça ou le squat de la rue Marbeuf avec la promiscuité des clodos qui y passent.
En couchant avec notre logeur, je t’ai permis de devenir cette jeune fille sans penser qu’en grandissant ce serait sur toi que ce vieux salopard porterait son dévolu.
• Tu m’as toujours inculqué le respect de ma virginité afin de trouver un homme digne comme papa et à qui j’offrirais mon hymen la nuit de mes noces !
• Oui, ça s’était avant que Paul fasse tapis dans une partie de poker, chez ce vieux con, jouant sa fortune contre la sienne.
Il était persuadé qu’un carré de deux gagnerait contre un carré de dames.
• Maman, les dames ça aura été son talon d’Achille toute sa vie.
• Que veux tu dire, ton père m’a toujours été fidèle sauf lorsqu’il me trompait avec un jeu de cartes ?
• Maman, tu es naïve, il se méfiait de toi, mais de moi, il pensait que j’étais trop petite lorsque tu partais chez mamy puis chez papy avant qu’ils nous quittent tous les deux.
• Tu as découvert des choses que j’ignore !
• Sa soi-disant secrétaire qu’il baisait sur son bureau, comment crois-tu que j’ai fait mon éducation sexuelle tout en restant vierge.
• Quel salopard, s’il était encore vivant, je le tuerais immédiatement d’une balle dans la tête d’avoir trahi, notre serment de mariage.
• Maman évite les phrases creuses, toi aussi tu m’as aidé à me forger un caractère de salope lorsque tu te fais baiser dans sa voiture par Adrien, le frère de ta meilleure copine.
• Oui, mais lui c’est différent, depuis toute petite, j’étais amoureuse de lui, mais c’était mes parents qui refusait notre liaison sous couvert qu’il venait d’une famille sans le sou.
On voit où tout cela nous mène, j’ai vendu mon cul à ce vieux Séraphin pour un plat de lentilles.
• Et comme mon cul a fini par lui plaire plus que le tien, il a décidé que ce serait sur moi qu’il se payerait.
• C’est un peu, même beaucoup, cela, mais que faire, je suis certaine que tu seras assez forte pour m’aider dans cette épreuve.
Voilà comment je me retrouve à me présenter devant la porte de la maison voisine ou crèche Séraphin.
Il m’ouvre, comment maman a-t-elle pu coucher avec ce vieux débris et moi en aurais-je le courage.
Quel âge a-t-il soixante, soixante-dix, c’est difficile à dire, avec ses pantalons tenus par de larges bretelles sur une chemise à carreaux style bucheron canadien.
À ses pieds, une paire de chaussons éculée datant certainement de 1940 date de la dernière guerre mondiale et surtout son mégot éteint fiché au coin de ses lèvres qu’il enlève pour me parler.
Il put à quinze pas.
• Valentine, je vois que ta mère t’a dit de venir me voir, pour que vous continuiez à vivre à mes crochets.
Entre, je vais être direct, deux formules, trois mois à me sucer et à faire mon ménage, avec en prime 2 000 €, après on verra la suite.
Ou la deuxième solution, je te dépucelle tout de suite et deux fois par semaine je te baise pendant un an, avec là encore les 2 000 € et là encore après on verra la suite.
J’ai vite calculé, mais une chose m’étonnait, maman disposait-elle des mêmes formules et se faisait payer comme une pute.
Ou alors afin d’appâter mon petit cul, il est prêt à mettre du fric sur la table pour disposer de moi !
Trois mois, ça passe vite, bien que dès le premier jour, lorsqu’il sort sa queue noueuse à souhait, je manque de dégueuler lorsqu’il l’a sorti et mise dans ma bouche.
Le pantalon était à la hauteur de l’homme, crade, il sentait la pisse, car il le portait sans sous-vêtement.
La seule chose que j’ai découverte, c’est que maman a dû bien jouir avec Séraphin, elle est noueuse et monstrueusement développée.
Trois mois à avaler son sperme me disant que j’avais fait une connerie de choisir la formule la plus courte des deux.
Je faisais son ménage et suivant son humeur, je le suçais au début, ou pendant ou encore à la fin des trois heures qu’il m’était imposé.
Il était réglo, et pendant trois mois, j’ai touché les 2 000 €, maman était aux anges lorsque je lui ramenais les billets, me donnant l’impression que j’avais été élevée par une mère maquerelle.
Trois mois, ça passe vite donc, lorsqu’il m’a donné ma dernière paye de fille soumise à la limite d’être une pute moi aussi.
• Valentine, passons aux choses sérieuses, ça fait trois mois que tu promènes ton joli petit cul devant moi.
Ta bouche, j’en ai fait le tour.
Un an à te baiser dès demain matin avec les heures de ménage, mais avec maintenant 3 000 € par mois.
C’est là où Séraphin a montré tout le vice qu’il avait en lui, surtout en me disant que ce serait demain le jour où il m’ôterait mon hymen avec à la clef 1 000 € supplémentaires chaque mois.
• Autre chose, inutile de prétexter que tu as tes règles, ma bite adore patauger dans les menstruations des femmes, demande à ta mère, elle connaît bien tout ça.
J’avais bien compris que ma mère était une salope, inutile qu’il me le rappelle.
Toute la nuit, j’ai retourné dans ma tête que ce serait ce vieux débris qui allait enfoncer son manche en moi.
À une heure, je vais dans la cuisine, j’ai vu maman ramener un concombre avec l’argent que je lui donne.
Me dépuceler moi-même avant mon bourreau, je pense trouver là la solution.
Mais j’ai appris le vice de cet homme aussi au moment de l’enfoncer, je recule et je le ramène dans le légumier du frigo.
C’est l’heure, j’ai les clefs, il est là, mais avec un vieux, du moins plus vieux que lui.
• Enlève ton petit short, Gaston est un médecin radié de l’ordre après bien des déboires dans son métier à cause de l’alcool.
Il va voir si tu es vierge, sinon ce soir, ta mère et toi vous aurez quitté mon logement.
Je m’exécute, je repense au concombre, j’étais à deux doigts de faire une connerie, ce vieux con a réponse à tout.
Même si Gaston met un gant, me faire fouiller la chatte par ce vieux débris, me donne envie de gerber.
Où est mon prince charmant de mes contes de jeune fille, surtout lorsque le vieux médecin ajoute ?
• Je connais ta mère, je vous prendrais chez moi si Séraphin vous jette dehors.
Qu’ai-je à gagner, entre mon vieux connard et cet ivrogne, je me dénude ?
J’ai déjà vu ma gynécologue, lorsqu’il vérifie, ma pudeur en prend un coup, mais je suis déclaré apte à être dépucelé !
Voilà, c’est fait dès que le débris nous a quittés, je pourrais expliquer en détail lorsque cela se passe, cet inutile, je vous laisse imaginer comment une queue pour la première fois me fouille.
Ça fait deux mois que je suis la maîtresse de Séraphin.
Même son odeur proche du cadavre, je m’y suis habitué, maman est aux anges, elle peut se reposer sur sa fille qui l’héberge et la nourrit avec ses fesses.
Mes premières règles ont été une étape qui m’a marqué, car elles sont toujours un peu douloureuses.
Vous ajoutez à cela ce mandrin venu me fouiller alors qu’il était derrière moi à me baiser sur la table de la cuisine pour une jeune fille, c’est une épreuve.
Mais je me dois d’être franche, rapidement j’y trouve plaisir, hier j’ai même eu un orgasme, il m’avait placé en levrette sous couvert qu’il me pénétrait plus profondément.
Ça c'était hier, aujourd’hui il est au téléphone avec son banquier, j’ai une oreille qui traine, mais surtout je fais le ménage lorsque je vois un dossier sur le meuble de la salle à manger.
Il est de dos en rapport de moi, aussi tout en le surveillant je l’ouvre.
Sur le dessus, est noté hôpital Saint-Hubert, celui de notre ville.
C’est un IRM de son cerveau.
Sans connaître le monde médical, la connerie de papa m’ayant obligé d’interrompre mes études, la lettre du praticien est explicite, « risque grave d’anévrisme », limitez les efforts physiques et cérébraux.
J’y vois là notre salut, car je sais que Séraphin est seul au monde.
Si nous avons eu des déboires, avec la connerie de papa, j’y vois là notre salut une heure plus tard lorsqu’il vient me baiser une nouvelle fois dans la cuisine.
Il me donne un grand coup de verge, lorsqu’elle semble vouloir se tromper de voie d’accès.
Tel un crotale, je me relève manquant de le foutre par terre.
• Tout doux Séraphin, j’ai appris le vicieux que tu es, on va changer les règles, mais c’est moi qui les fixes.
Je te laisse m’enculer, autant que tu le peux, mais avant tu m’épouses, ma rondelle sera mon cadeau de noces.
Sinon je te quitte en faisant ma valise, je ferais peut-être la pute pour m’en sortir, mais toi tu retrouveras la vieille chatte fripée de celle que j’ai définitivement renoncé de l’appeler « maman. »
Le tout bien sûr sans contrat de mariage, juste la communauté.
Les bans publiés, je deviens madame Séraphin, pour mon plus grand plaisir, du moins financier, le compte en banque semble un puits sans fond.
J’ai amené mes affaires, chez mon mari, je le suce, je me fais baiser, j’ai appris à me faire enculer essayant de provoquer un A.V.C profond, voire définitif de mon mari.
Ça arrive au bout de quatre mois, juste le jour de son soixante-deuxième anniversaire.
Avec une jeune femelle en chaleur comme moi, il a oublié les recommandations du médecin bien que je lui donne régulièrement ses médicaments.
• Baise-moi et après je te donnerais ton médicament, si tu savais comme je suis heureuse d’être ta femme.
Ça c’est pour flatter son égo et j’y arrive très bien, jusqu’à ce que le drame éclate.
Hôpital, le spécialiste qui avait fait son diagnostic venant me consoler.
• Je lui avais dit de faire attention à sa vie sexuelle, surtout lorsqu’il m’a dit qu’il allait vous épouser.
Vous savez la tête de cochon qu’il était et il en a fait qu’à sa tête.
Quelques semaines à le promener dans une chaise roulante dès que nous l’avons pu.
Lorsque nous sommes seules, je me balade à poil, provoquant un filet de bave tombant de sa bouche, son mégot ayant disparu.
• Condoléances.
Condoléances, vous sembliez si bien vous aimer lorsque vous le sortiez dans son fauteuil roulant !
Condoléances, ma fille !
• Quelle fille, tu vois une fille et surtout une pute, la pute que tu as faite de moi, pour garder ton confort.
Tu as huit jours pour quitter ma maison, sinon, les huissiers s’en chargeront.
En faisant cela je savais que je la condamnais au squat de la rue Marbeuf, mais elle a ce qu’elle a mérité.
Pour ma part, je suis à l’aéroport d’où je vais, partir pour un tour du monde de plusieurs mois.
• Les passagers pour Rio sont priés de se présenter porte deux pour l’embarquement.
Rio, première étape où je compte bien baiser de beaux Brésiliens puis des Argentins, des tahitiens et autres beaux gosses de Bora-bora, je l’ai bien mérité après tant d’abnégation.
Une dernière chose, on va dire que j’ai la dent longue, j’aimerais bien vous y voir lorsque je me faisais dépuceler puis baiser par Séraphin notre vieux voisin.
J’ai appris que je possédais le squat de la rue Marbeuf, j’ai donné l’ordre de l’abattre avant mon retour.
Que ma, marate, aille se faire pendre, non, enculer ailleurs.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par CHRIS71
2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Merci cher lecteur
Très bonne histoire qui fini bien pour Valentine.