COLLECTION HISTOIRE COURTE. Frustrée, puis ravie (1/1)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Récit libertin : COLLECTION HISTOIRE COURTE. Frustrée, puis ravie  (1/1) Histoire érotique Publiée sur HDS le 10-04-2021 dans la catégorie Plus on est
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COLLECTION HISTOIRE COURTE. Frustrée, puis ravie (1/1)
• Mélina, ma chérie, sais-tu qui j’ai rencontré aujourd’hui ?
• Tu as tellement connu de gens surtout pendant ton service militaire, que tu m’as certainement déjà parlé de ta rencontre.
• Oui, souvient toi, Alexander, le beau blond.
On l’appelait bite en bois, car il avait la bite en l’air dès que nous croisions un petit cul.
• Alors là, ta bite en bois, aucun souvenir.
Même Alexander, c’est un nom qui m’est parfaitement inconnu.
• Je l’ai invité dimanche soir à manger, c’est un vieux copain, mets les petits plats dans les grands comme tu sais le faire.
À oui, fais-toi belle, je veux qu’il soit impressionné par la beauté de ma femme.
Les fois où je l’ai vu avec une fille, malgré sa grosse bite, c’était toujours des filles sans envergure.
Je veux qu’il soit impressionné par ta magnifique plastique.
Je veux qu’il voie que c’est moi l’affreux petit canard qui ait épousé ce magnifique cygne.

Je suis frustrée, dimanche, c’est mon anniversaire, 30 ans, c’est un cap, surtout que notre fils de dix ans est chez mes beaux-parents et j’espérais que nous ferions un dîner en amoureux.
Jusqu’au samedi soir, je m’attends à ce qu’il me dise que je dois me préparer pour aller faire un repas à l’extérieur, bien qu’il sache que j’ai en horreur de fêter un anniversaire avant l’heure.
Je suis née le 18 février, je cacherai l’année !
Normal pour une dame, je suis née à 23 heures, je suis Verseau.
À une heure près je serais un Poisson, mais à part pour les fadas du Zodiac, peu d’intérêt dans ma vie, car étant chercheuse, je suis une femme pragmatique.

Dimanche, je veux faire honneur à Jean mon mari qui me suggère de mettre ma robe longue blanche qui met en valeur, le galbe de mon corps longiligne.
Je suis sportive et lui aussi, même ce matin nous avons fait nos dix kilomètres en ski de fond.
Nous avons les moyens, il est directeur de banque, je suis responsable de mon laboratoire de recherches fondamentales sur les virus.
Nous possédons un chalet à Courchevel et nous pourrions aller dans de très grands restaurants.
Je sais ce que Jean aime que je lui prépare, car dans ma jeunesse première partout j’aurais aimé devenir cheffe de cuisine.
Je fais de la cuisine, mais avec des virus qui pourraient décimer le monde s’ils nous échappaient.

C’est l’heure, tout est prêt.
J’ai hésité à mettre les chandeliers, toujours présent sur la cheminée où il a préparé puis renouveler le feu brulant de la première minute où nous arrivons jusqu’à la dernière lorsque nous repartons.
Chaque jour un serviteur vient remplir la réserve à bûches et tout nettoyer, il lui suffit d’en placer une de temps en temps dans l’âtre.

Ces chandeliers ont une histoire, c’est la source de notre rencontre et de notre amour.
J’avais 20 ans et au lieu du cygne dont il a parlé, j’étais une oie.
Blanche bien sûr et lorsqu’aux puces de Barbès.
Je sais, c’est un quartier mal famé, mais je sentais que ma vie était là-bas, qu’un jour elle basculerais et que je réliserais tous les rêves de ma vie.
Ces rêves, ce sont ces chandeliers qui me les ont apportés après que nous nous soyons chamaillés pour les acheter.
Il a gagné la vendeuse devait avoir un faible pour elle.
Mais j’ai gagné Corentin lorsque j’ai sonné chez lui manquant de perdre plusieurs fois l’amour de ma vie dans le métro quand je l’ai suivi.
Eh oui, j’ai fait ça, suivre un homme de Barbès jusqu’à la porte de Versailles dans le métro.
J’ai attendu deux jours séchant mes cours pour voir s’il vivait seul.
C’était le cas.
Par la suite, il devait m’avoué que ça faisait quelques jours qu’il s’était fait larguer par une blonde aux gros nibards.
Je vais un peu vite, mais j’ai commencé, je poursuis, c’est en perdant ma pantoufle classique, pas de verre, sous le lit que j’ai trouvé.
Une petite culotte rose, un string.
Un peu pitre je me suis redressée en la mettant sur ma tête.
Ça sentait bon, la chatte féminine l’ayant caressé, frotté, ayant laissé des traces de cyprine odorante.
Mais c’est la queue de Jean qui en a profité après m’avoir parlé de celle que je venais de remplacer.
Revenons donc au point de départ.
Il a ouvert la porte à mon coup de sonnette.

• Vous, comment m’avez-vous retrouvé ?
• Je viens vous racheter mes chandeliers.
• Vous quand vous voulez quelque chose, vous savez l’obtenir.

Je les ai eus en passant par son lit où m’est arrivé l’épisode de la petite culotte.
J’étais vierge lorsqu’il m’a couché sur le lit de notre amour qui est encore le nôtre, car il était héritier d’une grosse famille de banquiers.
Ma spontanéité comparée aux filles qu’il connaissait, on fait qu’il est tombé amoureux de moi.
De moi et de Corentin que nous avons certainement conçus le jour de la petite culotte.
Nous nous marions comme des bossus en nous serrant dans les bras l’un de l’autre.
Nous étions jeunes et insouciants et quand j’ai senti la façon dont il avait envie de moi, j’ai oublié, nous avons oublié de nous protéger.
De là est partie notre nouvelle vie avec en point d’orgue de nombreux évènements.
Pour commencer, j’ai fini mes études enceintes, puis en étant une maman étudiante sans gros souci, car Corentin avait une nurse anglaise et nous avions une femme de service.
Les parents de Jean possédaient Courchevel qu’ils nous ont offert en cadeau de mariage.
Ils préféraient Biarritz où la mer et le soleil sont chauds à leur vieux os.
J’ai pu ouvrir mon laboratoire de recherche avec toutes les aides nécessaire.
Les chandeliers par notre mariage je les ai récupérés et placés sur cette cheminée.

C’est par nostalgie que je les laisse là où ils sont alors qu’ils auraient été si beaux comme les autres années éclairant notre table.
Je suis dans notre chambre lorsque dans la nuit, je vois monter la côte une magnifique Ferrari rouge.
Je vois la voiture malgré la nuit, car le chemin depuis la route jusque chez nous est bordé de lampadaires qui sont allumés.
Alexander, le copain de mon mari semble avoir bien réussi, comme nous bien que ce soit en crossover de haut luxe que nous nous déplaçons.
Jean vient de descendre dans son smoking blanc, j’entends la porte d’entrée s’ouvrir et se fermer.
Je descends l’escalier surplombant la pièce unique avec sa baie vitrer nous permettant de voir la vallée de la Tarantaise enneiger une grande partie de l’année.
Dès le premier soir où nous sommes venues, Jean m’a couché sur la peau de loup devant la cheminée et m’a fait l’amour jusqu’au matin.
Le lever de soleil était grandiose et avant un petit déjeuner des montagnes avec saucissons et café, il m’a pris une dernière fois en levrette.
Ce fut l’un des rares moments où nous nous sommes trouvés en opposition, j’ai senti qu’il plaçait son gland sur mon anus et je l’ai rembarré.
Gentiment, mais rembarré quand même.

• Vous êtes Alexander, je suis Mélina, la femme de Jean.
• Des amis communs m’avaient dit que Jean avait épousé une beauté, ils étaient loin du compte, Miss France doit bien se tenir si elle veut garder son titre.

Grand et blond, son smoking impeccable, je lui tends la main.
Il l’a saisi et alors que je m’attends à un baisemain l’effleurant simplement, je sens ses lèvres carrément me l’embrasser.
Ça me fait frissonner.
Je le regarde avec étonnement, ça devant mon mari.

• Alexander, merci d’avoir accepté notre invitation, Whisky ?
• Un jus de fruits se sera parfait, jamais d’alcool.
• C’est vrai, j’avais oublié.

C’est debout devant la baie admirant la vallée au-dessus de Courchevel que les deux hommes commencent à se remémorer leurs souvenirs de soldat en Algérie.
La guerre, les fellagas, la peur, chaque fois qu’ils montaient la garde ou lorsqu’ils entraient dans un village du fond de l’Algérie.
Je m’y croyais tout en dégustant la tartiflette traditionnelle dans nos montagnes.
Nous vin blanc de Savoie, lui de l’eau, il a refusé le reste du coca que je mets dans mon whisky.
Jean lui parlait d’un endroit et il surenchérissait sur une anecdote, je m’y croyais, je refais la guerre de leur jeunesse.
Il est presque 23 heures, je vois Jean se lever.
Il fait l’impensable, il allume mes chandeliers, pardon nos chandeliers.
Pour moi c’est presque un crime, je vais atteindre ma trentaine et alors que j’aurais voulu être seule avec lui, même s’il est parfait, ce garçon me dérange.
Jean démarre un slow, Love Me Tender, mon slow celui qu’il me met chaque fois que mes chandeliers sont allumés et que je passe une année.
Il va au bar, se sert un digestif et va s’assoir dans son fauteuil.
Alexander se lève à son tour, contourne la table et me présente sa main.

• Voulez-vous danser jolie Mélina ?

Je prends sa main et il m’aide à me lever, lui montrant ma cuisse dénudée sortant de ma robe fendue.
Je veux me tenir à distance, je sais ce qu’Elvis représente pour moi quand je l’entends chanter.
Il me colle sans vergogne surtout devant mon mari.
De suite je comprends pourquoi dans ses copains dans le bled, l’appelait « Bite en bois ».
Je devrais me reculer, mais je sens que ma robe blanche risque d’être tachée.

• Chérie, joyeux anniversaire.
Te souviens-tu de l’an passé où nous avions fantasmé pour ton anniversaire sur nos envies secrètes.
Tu m’avais dit en rigolant.
« Faire l’amour devant toi sur notre peau de loup avec un autre homme ».
Cet homme, c’est Alexander.
Lorsqu’il est arrivé et que j’ai ouvert notre porte, c’était la première fois que je le voyais en chair et en os.
Il est l’escorte que j’ai fait venir pour toi en cadeau d’anniversaire.
C’est pour cela que j’ai allumé tes chandeliers, prends du plaisir ma chérie, la nuit est à nous.
Une dernière chose, mon fantasme à moi c’est de te voir te faire prendre par un homme, c’est lui que j’ai choisi.
• Si je peux me permettre Mélina.

Il me guide, jusque devant l’âtre ou la chaleur doit rougir mes joues.
Est-ce bien les bûches ou la main d’Alexander détachant ma robe et la faisant tomber à mes pieds qui me consument de l’intérieur ?
Est-ce Love Me qui fait son effet comme à chaque fois que je l’écoute.
Sa bouche vient au bord de mes lèvres, sans aller plus loin, mais en descendant sur mon sein où la fraise est entièrement sortie comme chaque fois que la chaleur monte en moi.
Par-dessus son épaule, je vois Jean ayant défait ses boutons de braguette et ayant sorti sa verge, ma verge.
Je descends ma main et je défais le bouton de la braguette de celui que mon mari m’a payé pour mon anniversaire alors que je pensais qu’il l’avait oublié.
J’aime sa bouche et sa langue sur mon téton, mais je veux découvrir ce qu’est une bite en bois.
Je pourrais être déçu, mais quand je la sors, elle est bandée à son maxi et quand je m’agenouille, elle entre juste dans ma bouche.
Jean aime mes fellations, Alexander semble apprécier quand il me met ses mains sur ma tête.
Grande et belle, juste comme j’en révais dans mes fantasmes, car, s’est vraie que je fantasmais sur ce genre d’engin malgré mon amour pour mon mari.
Qui d’entre vous, mesdames, pouvez me reprocher d’aimer mon cadeau.
Même si le père de mon fils est l’homme de ma vie, ce coup d’un soir, je le savoure avec délice quand il me couche sur notre peau de bête.
Ma chatte s’adapte rapidement à sa longueur et son volume et plusieurs fois un orgasme me traverse.
Une heure, deux heures, en levrette, de nouveau missionnaire jusqu’au lever du jour sur nos montagnes ou le soleil les éclaires féériquement.
Les chandelles sur mon chandelier sont presque entièrement consumées.
Je suis sur Alexander qui bande toujours, je vois Jean seule qui bande toujours.
Je sais que je viens de réaliser l’un de ses fantasmes.
Je sais qu’il en a un autre que dès le premier soir, je refusais qu’il satisfasse.

• Mon chéri vient réaliser ton fantasme, vient m’enculer.
Prenez-moi tous les deux.

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