COLLECTION HISTOIRE COURTE. Inversion des rôles (1/1)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-09-2019 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION HISTOIRE COURTE. Inversion des rôles (1/1)
Je me présente Adeline chef d’entreprise avec mon mari Robert, chef d’entreprise lui aussi après que mon père étant parti à la retraite est décédé deux ans plus tard.
Tout a commencé quand il s’est retiré, Robert a eu les rennes de sa société et j'ai été réduit au rang de femme du patron.
Un jour, je me suis aperçue qu’il me trompait avec Odile sa secrétaire.
Tout était bon pour l’emmener à d'hypothétiques rendez-vous avec des clients qui la plupart du temps se terminaient à l’étage des auberges où ont lieu les fameux cinq-à-sept.
Avant sa mort, je suis allée voir mes parents à Montpellier, papa m’a reçu dans sa bibliothèque pour finir par me dire qu’il était normal qu’un patron baise sa secrétaire.
Il l’avait fait avec Georgette la sienne pendant les 30 ans qu’ils avaient travaillé ensemble.
Maman était dans la pièce voisine, il se permettait de parler la porte ouverte sans aucune pudeur.
Depuis deux ans elle a perdu toute notion du temps présent, mais parlé comme il le faisait, montrait l’irrespect qu’il avait eu pour elle.
Maman m’a toujours apparu comme une femme discrète, je pense qu’elle savait le salaud qu’il était, mais comme il avait l’argent elle était coincée.
Quand il m’a fait cet aveu, j’ai vu plus clair dans leur couple.
Quand dans ma jeunesse il la traitait comme une personne moins que rien, c’était un homme de pouvoir et pour lui pouvoir voulait dire tous les droits pour lui, aucun pour nous.
Un jour il m’a dit en plein repas qu’il avait trouvé l’homme qui allait partager ma vie.
Il m’a annoncé qu’il avait trouvé celui qui devait le remplacer cinq ans plus tard.
Moi, une femelle comme il disait de nous, devait me contenter d’être belle pour qu’il se promène à mon bras en faisant bander les autres hommes.
J’avais pourtant tous fait pour qu’il soit fier de moi ;J’ai un doctorat en génie mécanique et je parle couramment cinq langues.
Il y a un mois qu’il est décédé, aujourd’hui son notaire ouvre son testament.
Je m’attends à ce qu’il confirme qu’il donne la direction à Robert.
- Madame, votre père m’avait appelé, il y a deux jours pour me dire qu’il souhaite que je lui prépare des papiers pour donner à votre mari Robert ici présent la responsabilité de son entreprise après qu’il est vu qu’il était capable de tenir ce rôle.
Il voulait que vous restiez propriétaire en tant que fille unique de ses biens, mais que ce soit votre mari qui gère.
C’est fait, je suis définitivement reléguée au rang de faire valoir, jusqu’à ma retraite je vais devoir gérer ses cocufiages.
Il vient de renvoyer sa secrétaire maîtresse pour la remplacer par Agnès une jeunette de vingt ans toute fraîchement sortie d’un B.T.S en secrétariat.
Mais le notaire a continué.
- Madame, j’ai tous ces papiers devant moi, si vous voulez signer le voeu de votre père, vous donneriez à votre mari la gestion de ses biens conformément à sa demande par téléphone.
- Lisez-moi le dernier testament signé de sa main seul valable devant la loi maître.
- Adeline dépêche-toi de signer, tu sais ce que pensait ton père sur les femmes et sur toi particulièrement ?
Tu es incapable de gérer une boîte comme la nôtre, nous allons tout droit à la faillite.
- Maître lisez-moi le testament de mon père, sinon j’en référerais à votre conseil supérieur et vous serez radié de votre profession.
Il s’exécute, mon père parle de la situation de son épouse ayant le cerveau dérangé et me lègue tous ses biens ayant la tutelle de maman.
Rien de plus, j’hérite donc de tout.
Je me lève après avoir signé tous les papiers me donnant tous les droits.
Nous sortons de l’étude.
- Robert convoque tous les responsables des secteurs.
Soit là à l’heure toi aussi.
Je passe une nuit sereine sentant Robert un tantinet anxieux et dormant mal.
- Mesdames, messieurs, nous vous avons convoqué mon époux et moi pour vous mettre au courant des changements qui vont se produire dans notre entreprise à la suite du décès de mon père.
- Je peux dire un mot s’il te plaît ?
- À quel titre ?
- Responsable de l’entreprise.
- Jusqu’à hier où j’ai signé les papiers devant notre notaire, tu l’étais.
Commençons donc par moi, je prends la responsabilité et chacun de vous devra me rendre compte directement.
Ce point principal réglé, passons à ta situation Robert.
À ce jour tu devras prendre ton poste tous les jours à l’heure comme les autres personnes ici présentes.
Madame Lucile en tant que DRH vous veillerez personnellement à ce que mon mari soit à l’heure, vous m’en répondrez personnellement.
Robert je vais te faire aménager le petit bureau au fond du couloir de la direction, qui sert de remise.
Tu toucheras un salaire au SMIG à ne rien faire.
Je te fais une fleur, mademoiselle Agnès, si vous le désirez, je vous rattache à son service.
Lui qui n’aura rien à faire, sachez que s’il vous a embauchés c’est pour votre joli petit cul, mais certainement pas pour vos compétences.
Demandez à toutes les personnes autour de la table, ce qui est advenu de la femme qui tenait ce poste avant vous.
Il devait en avoir assez de la trombiner dans des auberges borgnes.
- Adeline !
- Tais-toi, dans ton nouveau poste, tu as perdu l’autorisation de parler.
- Mais, Adeline, ton père me payait 10 000 € par mois, que veux-tu que je fasse de ton aumône ?
- Rien à faire de tes futurs soucis financiers.
Quand j’avais besoin d’argent, il fallait que je t’en demande, avec moi tu as un fixe soit heureux.
Mademoiselle si vous le désirez vous pouvez rester à mon service !
J’ai regardé les C.V. que plusieurs candidats nous avais envoyés.
L’un d’eux, Manuel m’a particulièrement intéressé, je vais le convoquer.
La messe est dite, que chacun retourne à son travail.
Je vous recevrais individuellement pour vous donner de nouvelle directive.
Deux semaines se sont passées, j’ai embauché Manuel qui rapidement m’a montré son tempérament andalou.
On frappe à ma porte, c’est mon mari qui passe la tête.
- Adeline, il est onze heures, je pars faire mon jogging, Manuel est absent ?
- Je l’ai envoyé à la poste, court bien, prends ton temps.
Il sort après avoir fermé la porte, le jogging, c’est un effet de ma bonté.
- Manuel, continus à me passer ta langue sur la chatte.
J’étais à deux doigts de jouir quand mon cocu a frappé.
Manuel est sous mon bureau comme une bonne secrétaire faisant jouir sa patronne.
C’est dans cette position que j’ai su qu’Odile était le jour où je suis entrée sans frapper me considérant chez moi, elle était comme Manuel sous le bureau et lui suçait la queue.
Contrairement à lui, je me fiche royalement que Robert ait vu mon compas ouvert à 180° afin que mon secrétaire aille plus loin en moi.
Chaque fois qu’il va ramasser ma gomme tombée malencontreusement sous mon bureau, facilitant son broutage depuis que j’ai pris la place de mon cocu dans son très très grand bureau avec vue sur le parc de l’entreprise, le matin, je quitte notre maison sans aucune entrave lui facilitant son principal travail.
- Manuel, en début d’après-midi nous nous rendrons dans une société qui doit signer avec nous le contrat qui devait nous échapper du temps où mon époux gérait la boîte.
- Bien madame, il faut que j’aille acheter des capotes, vous êtes une grosse consommatrice, mais c’est loin d’être un reproche.
- Manuel, faite attention à ce que vous dites, j’ai vu un autre C.V. fort intéressant quand j’ai étudié le vôtre.
- Madame, je suis déjà à vos genoux.
- Vous avez cinq minutes avant que j’aille manger, faite moi jouir.
J’aime commander, et surtout je sais ce que je veux, je dois être tout de même discrète, je suis à mon travail.
- C’est bien, vous avez été à la hauteur, dite à Agnès de venir me voir.
- Vous allez la renvoyer, dommage elle était bien sympa.
- Non, qui vous fait penser ça, j’ai quelque chose à lui proposer, allez dit lui de venir, après, prenez-moi rendez-vous à l’auberge des deux cerfs dans la vallée de chevreuse !
En général ce sont les hommes qui baisent leur secrétaire femelle, dans mon entreprise les rôles sont inversés, c’est la patronne qui baisse ses secrétaires mâles.
Aujourd’hui, pour la première fois, je l’ai demandé à Agnès de venir me voir, elle m’accompagne chez notre expert-comptable.
Il me fait les yeux doux depuis des mois, c’est pour cela que nous serons deux.
Je serais capable de craquer.
J’ai appris quelque chose de mon père, je peux baiser avec mes secrétaires, mais éviter de le faire avec ceux ou celle que vous ne gérer pas directement.
Il en va de même avec les clients même pour obtenir un contrat, vous y prendriez du plaisir, mais vous seriez perdante à long terme.
Après ce rendez-vous et après le repas, dans l’auberge des deux cerfs, pourquoi les deux cerfs, certainement deux fois plus de cocu.
La patronne me remet discrètement la clef de la chambre où j’entraîne Agnès sans qu’elle montre le moindre signe de refus.
Il faut dire que pendant le repas, j’ai pris sa main qu’elle ne m’a pas refusée.
C’est la première fois que je vais avoir des rapports féminins.
Le jour où je me suis assise dans mon grand bureau dans le fauteuil de papa, je me suis promis de tous essayer comme lui le faisait tout le long de son règne.
J’adore sentir sous moi cette jolie fille à qui je lèche la chatte pendant que ses lèvres titillent mon clito de plus en plus sensible depuis que j’ai lâché les chevaux.
Plus je baise et plus mon entreprise marche.
Faire l’amour avec une femme m’apporte des plaisirs différents, mais au combien passionnant.
Agnès sous ses airs de petite fille modèle s’avère une maîtresse ayant beaucoup de connaissances des plaisirs lesbiens, ayant fait une partie de ses études dans un couvent.
Elle me met la main entièrement en moi, m’apprenant ce que se fister veut dire.
Elle va plus loin sur elle, elle sort de son sac à main une fiole d’huile pour adoucir le passage me met un gant de chirurgien et m’apprend à lui fister l’anus.
Elle hurle de plaisir, elle veut m’en faire de même, mais je recule le moment où nous le ferons.
C’est comme avec Manuel pour la sodomie, je vais me laisser prendre l’anus, mais un plaisir à la fois, la vie est longue.
Je suis dans mon bureau, je lis une lettre.
Aujourd’hui c’est Agnès qui vient d’aller chercher ma gomme au-dessous de mon bureau mon compas toujours ouvert à 180°.
Je lis une lettre de Robert.
« Madame, je viens par la présente vous présenter ma démission comme employé et comme mari, mon avocat vous contactera. »
Il l’a fait, comme employé, il m’a traîné au prud'homme.
Il a perdu, deux de mes employés ont témoigné qu’il était toujours en retard à son travail et qu’il restait à ne rien faire, préférant faire du jogging.
Ces deux employés s’appellent Agnès et l’autre Manuel.
Licencié sans indemnité.
Comme mari, il m’a traîné au tribunal.
J’avais des preuves de son infidélité, il me doit 30 000 € avec une pension de 800 € par mois.
Il a disparu de la circulation.
Ma société ayant économisé un SMIG, c’est Manuel qui est dans mon lit.
- Manuel, je suis satisfaite de vos services.
J’ai beaucoup aimé que vous m’ayez sodomisé, je vous augmente de 500 € par mois.
- Merci madame, toujours à votre service.
Le lendemain dans la même chambre.
- Agnès, je suis satisfaite de vos services.
J’ai beaucoup aimé quand vous m’avez fisté l’anus, je vous augmente de 500 € par mois.
- Merci madame, toujours à votre service.
En plus ma société gagne encore les charges sociales dues à l’état pour celui qui voulait me voler ma vie.
Étant seule actionnaire, je gagnerais cet argent en fin d’exercice.
Il faut savoir gérer une entreprise, c’est le cas pour nous les femmes.
Tout a commencé quand il s’est retiré, Robert a eu les rennes de sa société et j'ai été réduit au rang de femme du patron.
Un jour, je me suis aperçue qu’il me trompait avec Odile sa secrétaire.
Tout était bon pour l’emmener à d'hypothétiques rendez-vous avec des clients qui la plupart du temps se terminaient à l’étage des auberges où ont lieu les fameux cinq-à-sept.
Avant sa mort, je suis allée voir mes parents à Montpellier, papa m’a reçu dans sa bibliothèque pour finir par me dire qu’il était normal qu’un patron baise sa secrétaire.
Il l’avait fait avec Georgette la sienne pendant les 30 ans qu’ils avaient travaillé ensemble.
Maman était dans la pièce voisine, il se permettait de parler la porte ouverte sans aucune pudeur.
Depuis deux ans elle a perdu toute notion du temps présent, mais parlé comme il le faisait, montrait l’irrespect qu’il avait eu pour elle.
Maman m’a toujours apparu comme une femme discrète, je pense qu’elle savait le salaud qu’il était, mais comme il avait l’argent elle était coincée.
Quand il m’a fait cet aveu, j’ai vu plus clair dans leur couple.
Quand dans ma jeunesse il la traitait comme une personne moins que rien, c’était un homme de pouvoir et pour lui pouvoir voulait dire tous les droits pour lui, aucun pour nous.
Un jour il m’a dit en plein repas qu’il avait trouvé l’homme qui allait partager ma vie.
Il m’a annoncé qu’il avait trouvé celui qui devait le remplacer cinq ans plus tard.
Moi, une femelle comme il disait de nous, devait me contenter d’être belle pour qu’il se promène à mon bras en faisant bander les autres hommes.
J’avais pourtant tous fait pour qu’il soit fier de moi ;J’ai un doctorat en génie mécanique et je parle couramment cinq langues.
Il y a un mois qu’il est décédé, aujourd’hui son notaire ouvre son testament.
Je m’attends à ce qu’il confirme qu’il donne la direction à Robert.
- Madame, votre père m’avait appelé, il y a deux jours pour me dire qu’il souhaite que je lui prépare des papiers pour donner à votre mari Robert ici présent la responsabilité de son entreprise après qu’il est vu qu’il était capable de tenir ce rôle.
Il voulait que vous restiez propriétaire en tant que fille unique de ses biens, mais que ce soit votre mari qui gère.
C’est fait, je suis définitivement reléguée au rang de faire valoir, jusqu’à ma retraite je vais devoir gérer ses cocufiages.
Il vient de renvoyer sa secrétaire maîtresse pour la remplacer par Agnès une jeunette de vingt ans toute fraîchement sortie d’un B.T.S en secrétariat.
Mais le notaire a continué.
- Madame, j’ai tous ces papiers devant moi, si vous voulez signer le voeu de votre père, vous donneriez à votre mari la gestion de ses biens conformément à sa demande par téléphone.
- Lisez-moi le dernier testament signé de sa main seul valable devant la loi maître.
- Adeline dépêche-toi de signer, tu sais ce que pensait ton père sur les femmes et sur toi particulièrement ?
Tu es incapable de gérer une boîte comme la nôtre, nous allons tout droit à la faillite.
- Maître lisez-moi le testament de mon père, sinon j’en référerais à votre conseil supérieur et vous serez radié de votre profession.
Il s’exécute, mon père parle de la situation de son épouse ayant le cerveau dérangé et me lègue tous ses biens ayant la tutelle de maman.
Rien de plus, j’hérite donc de tout.
Je me lève après avoir signé tous les papiers me donnant tous les droits.
Nous sortons de l’étude.
- Robert convoque tous les responsables des secteurs.
Soit là à l’heure toi aussi.
Je passe une nuit sereine sentant Robert un tantinet anxieux et dormant mal.
- Mesdames, messieurs, nous vous avons convoqué mon époux et moi pour vous mettre au courant des changements qui vont se produire dans notre entreprise à la suite du décès de mon père.
- Je peux dire un mot s’il te plaît ?
- À quel titre ?
- Responsable de l’entreprise.
- Jusqu’à hier où j’ai signé les papiers devant notre notaire, tu l’étais.
Commençons donc par moi, je prends la responsabilité et chacun de vous devra me rendre compte directement.
Ce point principal réglé, passons à ta situation Robert.
À ce jour tu devras prendre ton poste tous les jours à l’heure comme les autres personnes ici présentes.
Madame Lucile en tant que DRH vous veillerez personnellement à ce que mon mari soit à l’heure, vous m’en répondrez personnellement.
Robert je vais te faire aménager le petit bureau au fond du couloir de la direction, qui sert de remise.
Tu toucheras un salaire au SMIG à ne rien faire.
Je te fais une fleur, mademoiselle Agnès, si vous le désirez, je vous rattache à son service.
Lui qui n’aura rien à faire, sachez que s’il vous a embauchés c’est pour votre joli petit cul, mais certainement pas pour vos compétences.
Demandez à toutes les personnes autour de la table, ce qui est advenu de la femme qui tenait ce poste avant vous.
Il devait en avoir assez de la trombiner dans des auberges borgnes.
- Adeline !
- Tais-toi, dans ton nouveau poste, tu as perdu l’autorisation de parler.
- Mais, Adeline, ton père me payait 10 000 € par mois, que veux-tu que je fasse de ton aumône ?
- Rien à faire de tes futurs soucis financiers.
Quand j’avais besoin d’argent, il fallait que je t’en demande, avec moi tu as un fixe soit heureux.
Mademoiselle si vous le désirez vous pouvez rester à mon service !
J’ai regardé les C.V. que plusieurs candidats nous avais envoyés.
L’un d’eux, Manuel m’a particulièrement intéressé, je vais le convoquer.
La messe est dite, que chacun retourne à son travail.
Je vous recevrais individuellement pour vous donner de nouvelle directive.
Deux semaines se sont passées, j’ai embauché Manuel qui rapidement m’a montré son tempérament andalou.
On frappe à ma porte, c’est mon mari qui passe la tête.
- Adeline, il est onze heures, je pars faire mon jogging, Manuel est absent ?
- Je l’ai envoyé à la poste, court bien, prends ton temps.
Il sort après avoir fermé la porte, le jogging, c’est un effet de ma bonté.
- Manuel, continus à me passer ta langue sur la chatte.
J’étais à deux doigts de jouir quand mon cocu a frappé.
Manuel est sous mon bureau comme une bonne secrétaire faisant jouir sa patronne.
C’est dans cette position que j’ai su qu’Odile était le jour où je suis entrée sans frapper me considérant chez moi, elle était comme Manuel sous le bureau et lui suçait la queue.
Contrairement à lui, je me fiche royalement que Robert ait vu mon compas ouvert à 180° afin que mon secrétaire aille plus loin en moi.
Chaque fois qu’il va ramasser ma gomme tombée malencontreusement sous mon bureau, facilitant son broutage depuis que j’ai pris la place de mon cocu dans son très très grand bureau avec vue sur le parc de l’entreprise, le matin, je quitte notre maison sans aucune entrave lui facilitant son principal travail.
- Manuel, en début d’après-midi nous nous rendrons dans une société qui doit signer avec nous le contrat qui devait nous échapper du temps où mon époux gérait la boîte.
- Bien madame, il faut que j’aille acheter des capotes, vous êtes une grosse consommatrice, mais c’est loin d’être un reproche.
- Manuel, faite attention à ce que vous dites, j’ai vu un autre C.V. fort intéressant quand j’ai étudié le vôtre.
- Madame, je suis déjà à vos genoux.
- Vous avez cinq minutes avant que j’aille manger, faite moi jouir.
J’aime commander, et surtout je sais ce que je veux, je dois être tout de même discrète, je suis à mon travail.
- C’est bien, vous avez été à la hauteur, dite à Agnès de venir me voir.
- Vous allez la renvoyer, dommage elle était bien sympa.
- Non, qui vous fait penser ça, j’ai quelque chose à lui proposer, allez dit lui de venir, après, prenez-moi rendez-vous à l’auberge des deux cerfs dans la vallée de chevreuse !
En général ce sont les hommes qui baisent leur secrétaire femelle, dans mon entreprise les rôles sont inversés, c’est la patronne qui baisse ses secrétaires mâles.
Aujourd’hui, pour la première fois, je l’ai demandé à Agnès de venir me voir, elle m’accompagne chez notre expert-comptable.
Il me fait les yeux doux depuis des mois, c’est pour cela que nous serons deux.
Je serais capable de craquer.
J’ai appris quelque chose de mon père, je peux baiser avec mes secrétaires, mais éviter de le faire avec ceux ou celle que vous ne gérer pas directement.
Il en va de même avec les clients même pour obtenir un contrat, vous y prendriez du plaisir, mais vous seriez perdante à long terme.
Après ce rendez-vous et après le repas, dans l’auberge des deux cerfs, pourquoi les deux cerfs, certainement deux fois plus de cocu.
La patronne me remet discrètement la clef de la chambre où j’entraîne Agnès sans qu’elle montre le moindre signe de refus.
Il faut dire que pendant le repas, j’ai pris sa main qu’elle ne m’a pas refusée.
C’est la première fois que je vais avoir des rapports féminins.
Le jour où je me suis assise dans mon grand bureau dans le fauteuil de papa, je me suis promis de tous essayer comme lui le faisait tout le long de son règne.
J’adore sentir sous moi cette jolie fille à qui je lèche la chatte pendant que ses lèvres titillent mon clito de plus en plus sensible depuis que j’ai lâché les chevaux.
Plus je baise et plus mon entreprise marche.
Faire l’amour avec une femme m’apporte des plaisirs différents, mais au combien passionnant.
Agnès sous ses airs de petite fille modèle s’avère une maîtresse ayant beaucoup de connaissances des plaisirs lesbiens, ayant fait une partie de ses études dans un couvent.
Elle me met la main entièrement en moi, m’apprenant ce que se fister veut dire.
Elle va plus loin sur elle, elle sort de son sac à main une fiole d’huile pour adoucir le passage me met un gant de chirurgien et m’apprend à lui fister l’anus.
Elle hurle de plaisir, elle veut m’en faire de même, mais je recule le moment où nous le ferons.
C’est comme avec Manuel pour la sodomie, je vais me laisser prendre l’anus, mais un plaisir à la fois, la vie est longue.
Je suis dans mon bureau, je lis une lettre.
Aujourd’hui c’est Agnès qui vient d’aller chercher ma gomme au-dessous de mon bureau mon compas toujours ouvert à 180°.
Je lis une lettre de Robert.
« Madame, je viens par la présente vous présenter ma démission comme employé et comme mari, mon avocat vous contactera. »
Il l’a fait, comme employé, il m’a traîné au prud'homme.
Il a perdu, deux de mes employés ont témoigné qu’il était toujours en retard à son travail et qu’il restait à ne rien faire, préférant faire du jogging.
Ces deux employés s’appellent Agnès et l’autre Manuel.
Licencié sans indemnité.
Comme mari, il m’a traîné au tribunal.
J’avais des preuves de son infidélité, il me doit 30 000 € avec une pension de 800 € par mois.
Il a disparu de la circulation.
Ma société ayant économisé un SMIG, c’est Manuel qui est dans mon lit.
- Manuel, je suis satisfaite de vos services.
J’ai beaucoup aimé que vous m’ayez sodomisé, je vous augmente de 500 € par mois.
- Merci madame, toujours à votre service.
Le lendemain dans la même chambre.
- Agnès, je suis satisfaite de vos services.
J’ai beaucoup aimé quand vous m’avez fisté l’anus, je vous augmente de 500 € par mois.
- Merci madame, toujours à votre service.
En plus ma société gagne encore les charges sociales dues à l’état pour celui qui voulait me voler ma vie.
Étant seule actionnaire, je gagnerais cet argent en fin d’exercice.
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