COLLECTION HISTOIRE COURTE. L’hôtel de la plage (1/1)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION HISTOIRE COURTE. L’hôtel de la plage (1/1) Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-07-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION HISTOIRE COURTE. L’hôtel de la plage (1/1)
• Mon chéri, ou as-tu mis les vélos, il fait beau, j’aimerais faire un tour le long de la lagune, tu viens avec moi, tu m’avais promis que nous sortirions tous les jours par beau temps.
• Je me suis réveillé ce matin avec une crampe au mollet, ce serait inconsidéré de risquer le claquage en faisant des kilomètres en vélo, mais vas-y, ils sont dans le garage de l’hôtel derrière notre voiture.

Sofian mon mari est un fainéant invétéré en vacances, chaque année il charge deux vélos à l’arrière de la voiture attaché sur le coffre.
Il les descend, les amène au fond de la remise de notre hôtel, les pieds dans l’eau et les vacances finies, le coffre rempli de mes valises, il les lave et il les range arrivé chez nous dans notre propre garage.
Ça leur permet une seule chose, la veille du départ il les dépoussière et au retour il a le courage de les laver pour enlever les insectes venus se suicider lors du voyage.
Cette année, je me suis regardée dans une glace, je commence à avoir un fessier qui a tendance à m’échapper et je compte bien le maitriser en faisant le plus de kilomètres possible.
Nous avons la chance, chaque année, de venir en Bretagne où les paysages du bord de mer sont extraordinaires surtout avec la petite brise venant de la mer en ces périodes de canicule.
J’emprunte un chemin en cailloux évitant la grande route où il y a de nombreuses voitures.
Bref les vélos font 600 kilomètres afin de prendre l’air vivifiant de la mer avant de se retrouver rangés pour une année.
Cette année, j’ai faite fort, pour Noël je nous ai offert deux vélos électriques.
Avec, nous allons pouvoir pédaler sans nous fatiguer dans les nombreuses bosses, qui dès la première année l’ont fait renoncer à nos promenades.
J’ai mis le casque et ma robe à fleurs, celle qui s’ouvre sur le devant et qui lorsque les premiers pans s’écartent doit montrer ma petite culotte rose.
Sans être exhibitionniste, j’aime le regard des hommes et même des femmes se retournant sur moi lorsque je croise des marcheurs avec leurs bâtons et leur sac à dos.
J’ai dit que la première fois, nous avions parcouru sept kilomètres avant que Sofian à bout de forces s’assoie sur une borne en pierre comme il en reste sur ce bord de mer, m’indiquant les kilométrages parcourus.
Nous étions rentrés et comme je l’ai dit, ce fut la seule fois où ils ont vu le soleil des vacances.
Aujourd’hui ayant récupéré mon vélo à col de cygne, sans trop forcé, il y a bien longtemps que j’ai dépassé le kilomètre sept très contente d’avoir battu notre record.
Douze, treize, je commence à penser à rentrer, de peur que la fatigue m’atteigne et que j’ai du mal à faire le retour.
Nos vélos ont beau être électrique, comme je l’ai dit, c’est une simple aide à la conduite et il faut toujours pédaler.
Je viens de faire retour en arrière lorsqu’une nouvelle sensation se fait jour.
Comme l’on dit, je pédale dans la semoule.
Rapidement, je constate que la roue avant est crevée, je m’arrête, à quelques mètres la borne dix-neuf.
Je descends et comme Sofian l’a fait il y a quatre ans bornes sept, j’en fais de même sur cette borne en m’assaillant dessus.
Le vélo est sur sa béquille avec le casque pendant par sa lanière et je prends conscience qu’une pauvre femme comme moi est peu de chose sans avoir pris mon portable, car je sais que le réseau est inexistant et ma robe est dépourvue de poche.
Une roue, un pneu et certainement un trou dans la chambre à air, je vois une petite boîte derrière la batterie.
Je l’ouvre, un tube de colle, des Rustines et des démonte pneus, ça me fait une belle jambe, étant incapable de simplement défaire la roue.
Dix-neuf d’un côté et certainement autant de l’autre du plus proche village.
Dix-neuf à marcher en poussant cet engin de malheur que j’aurais dû laisser au fond de son garage comme les autres années.
Le soleil commence à me chauffer les cuisses, c’est le seul moment de plaisir lorsque venant côté village, je vois arriver un vélo avec un homme dessus portant un casque. Par chance il vient vers moi, il aurait pu être sur la nationale longeant ce chemin de pierres à cet endroit.
Plus il se rapproche et plus je vois que c’est un cycliste avec un maillot FDJ et un cuissard noir.

• Alors voisine, on a des soucis, je vois, vous avez crevé de l’avant !
Ça arrive sur cette petite route longeant la mer, on y est bien, mais les petits cailloux sont des fois traites.
• Voisine ?
Nous connaissons-nous ?
• On s’est vu deux fois, vous rentriez dans votre chambre avec votre mari, du moins je le suppose et au restaurant où j’étais avec ma fiancée.

J’ai un vague souvenir d’un couple sans pour autant essayer de les côtoyer.
C’est vrai qu’au restaurant où je mangeais mon premier plateau de fruits de mer, Sofian regardait une jolie black près de la fenêtre.
J’ai failli être à deux doigts de lui dire d’aller directement la draguer tellement il la matait.
Je reconnais que je suis justement jalouse, j’ai de quoi, après un an de mariage il m’a quitté deux mois avec une pétasse rousse d’un plus mauvais genre.
Il était revenu la queue basse me jurant fidélité à jamais.
Il s’était laissé griser par ses cheveux roux, sans me dire pour autant que l’odeur de sa chatte avait agi sur lui.
S’il l’avait fait, je serais divorcée et c’est avec un garçon tel que celui qui m’explique comment sortir la roue avec qui peut être je serais.
Surtout que cette nuit, les palourdes, bulots, huitres et bigorneaux m’ont travaillé et que j’ai mis bien du temps à trouver le sommeil.
Ce gentil voisin me montrant un joli paquet sous son cuissard a baisé avec sa jolie négresse, pardon noir.
Je les entendais à travers la cloison à plusieurs reprises, me frustrant, Sofian ronflant dans le lit jumeau dont notre chambre est pourvue.
Sans être un vieux couple, les passions débordantes, comme le vélo, je sais qu’elles sont loin de moi, Sofian me baisant comme l’on baise une simple habitude.
Je soupçonne qu’il doit se dire, « tient, ça fait huit jours que ma queue est au repos et si j’allais la tremper dans la chatte de ma femme ! »
Je dis huit jours, mais c’est plus, la dernière fois s’était sous la douche où il était venu me rejoindre, combien ?
À y bien y compter, ça fait à peu près autant de jours que les kilomètres que j’ai réussi à parcourir avant de crever.

• Sabrina, vous voyez pourquoi je fais du VTT sur ces routes, les pneus sont conçus pour ces chemins de terre, couverts de petits cailloux coupants.
• Vous connaissez mon prénom !
• Comme je vous l’ai dit, nous sommes arrivés en même temps que vous et j’ai entendu ton mari t’appeler lorsque tu te dirigeais vers l’ascenseur.

Je constate le tutoiement sans m’en offusquer, je sais que de nombreuses personnes passent rapidement au tutoiement.

• Moi, c’est Édouard, c’est loin d’être un prénom sexy comme Sofian celui de ton mari !

Édouard, j’aurais pu le dire, Véronique le gueulait régulièrement certainement lorsqu’un orgasme la traversait, mais en parler c’est lui dire que je l’ai entendu faire l’amour à sa fiancée.
Mais comment connaît le prénom de mon mari, il aurait été possible qu’il l’entende si nous avions baisé, ce qui est loin d’être le cas ?

• Avant de démonter la roue afin de récupérer la chambre à air, il serait bien que nous ayons de l’eau pour voir ou les petites bulles sortent pour y mettre une petite Rustine.
De l’eau même salée, nous en avons de millions de litres voire des milliards, si je descends les vélos par ce petit chemin nous faisant rejoindre la plage.
Tu me suis et je te montrerais comment réparer une chambre, ça te sera utile si un jour le même problème t’arrive, tu verras c’est enfantin.

Descendre un petit chemin, ou est la malice, je suis Édouard qui en quelques minutes a descendu les deux vélos.
Je passe le démontage, ça parait facile, mais je préfère que cette crevaison soit la seule si je dois ressortir seule avec mon vélo.
La marée est descendante et au bas des rochers a fait une cuvette pleine d’eau ou il me montre ou est la fuite.

• Voilà, le trou est rebouché grâce à la Rustine, je place la chambre entre deux pierres, il faut attendre quelques minutes pour que la pression soude parfaitement la Rustine et la chambre à air.
En attendant, si nous allions nous baigner, avec cette canicule qui frappe même la Bretagne cette année, elle doit être à bonne température, allez, viens !

Avant que j’aie le temps de lui rétorquer que sous ma robe j’ai simplement ma petite culotte, Édouard enlève son maillot FDJ et son cuissard se montrant nu.

• Fait comme moi, nous sommes seules et j’ai déjà vu une femme nue, pas plus tard que la nuit dernière.

Sans plus de question, il court vers l’eau ou il entre provoquant de grandes gerbes d’eau.
Mon vélo est démonté et sur la plage, comme ferais-je pour repartir, même si j’arrivais à remonter roue et vélo, je me déshabille montrant ma chatte pour la première fois à un autre homme que Sofian, car j’enlève ma petite culotte, j’ai peur de la mouiller.
Comme lui, je cours vers l’eau, une grosse vague me bouscule et je manque de me noyer, enfin je bois ce que l’on appelle une tasse.
Des bras vigoureux me sauvent et j’ignore comment les choses s’enchainent, je me retrouve dans les vaguelettes du bord de l’eau à sucer une bite qui se détend sur toute sa longueur.
J’ai retrouvé mon souffle lorsqu’il me prend me faisant d’entrer hurler le plaisir que je ressens à ce bel engin au fond de moi.
L’orgasme que je connais, Sofian lorsqu’il me baise, me le fait connaitre chaque fois où comme avec mon amant sa verge frotte mon clito.
En me retrouvant sur le chemin vélos remontés et nous rhabiller, je pédale vers l’hôtel.
Mon amant a sa main sur mon épaule, mon moteur étant assez puissant pour nous tirer tous les deux.
Nous rejoignons nos chambres, la mienne est vide, je vais sur le balcon, Édouard est sur le sien.

• Regarde, ils sont sur la plage, nous les rejoignons !

C’est ainsi que le soir ayant pris du bon temps sur la plage, au restaurant où nous avons demandé à l’aubergiste de nous mettre sur une table de quatre sans oublier le soir au clair de lune le long de la plage, nous rentrons vers nos chambres.

• Sofian et si nous nous trompions de chambre, qu’en penses-tu ?
• Tu as raison, Sabrina, je pense qu’Édouard appréciera lui aussi de se tromper de chambre, qu’en penses-tu Véronique !
• Je connais mon fiancé, il aime à se tromper de chambre comme moi j’aime moi aussi me tromper !

Voilà, chacun de nous quatre, nous passons de très très très bonnes vacances, à entendre sa moitié se faire baiser par l’autre moitié de nos couples.
Chaque jour, Véronique aimant faire du VTT tous les quatre, les hommes descendent nos vélos afin de nous envoyer en l’air sur cette plage toujours vide où j’ai failli me noyer.
Voir la queue de mon homme, entré dans cette chatte rose à l’intérieur et à l’extérieur noir, décuple le plaisir que je prends en me faisant baiser comme la salope que je suis devenue.

Les avis des lecteurs

J'adore les écrire, c'est cour et on en vois vite la fin

Histoire Erotique
J'adore tes histoires courtes mais très intense mon cher Chris

Cyrille



Texte coquin : COLLECTION HISTOIRE COURTE. L’hôtel de la plage (1/1)
Histoire sexe : Une rose rouge
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