COLLECTION HISTOIRE COURTE. L’orgasme (1/1)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 01-09-2019 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION HISTOIRE COURTE. L’orgasme (1/1)
- C’était bien, mais une nouvelle fois l’orgasme m’a fui.
Cette phrase depuis l’âge de 18 ans où un copain m’a dépucelé je l’ai dit des dizaines de fois.
Hommes, femmes, tous mes amants et amantes m’ont amené à 28 ans, dix ans la prononçant chaque fois.
Je ressens des sensations, des petits picotements mais le grand embrasement jamais.
Pourtant on me dit belle femme, 1 mètre 79, j’y tiens je refuse d’être trop grande.
Des amants ou amantes, j’en ai eu à travers le monde.
Je suis mannequin international.
C’est pour dire la classe que j’ai.
J’ai rencontré des hommes qui ont mis leur fortune à mes pieds, mais outrent le fait que je gagne magnifiquement ma vie, chaque fois que j’ai couché il m’a toujours manqué quelle chose.
L’embrasement, le feu de l’intérieur qui vous consume avant de paraître au grand jour comme dans les combles de Notre Dames, ça n’a jamais été pour moi.
À travers le monde sans être une pute, car je ne me fais pas payer, j’en ai vu des grandes, des petites, des grosses, des hypers grosses, des blanches jusqu’à des jaunes.
Une amie à qui je m’en ouvrais alors qu’elle venait de me sucer pendant des heures sans déclencher les vagues de plaisir m’a dit d’en essayer des noirs, les mecs sont bien montés et savent sans servir.
J’ai essayé avec un black lui-même mannequin qui défile de temps en temps avec nous suivant les modèles à présenter, certains créateurs travaillant de façon mixte.
Aucun résultat, je dirais bien au suivant.
Attention, je fais des efforts, je les mets en forme avec ma bouche, j’ai eu tellement d’amants et amantes que je suis devenue experte en fellation et broutage de minette.
Des efforts car il y a peu de passage à Paris, un soir j’ai vu un grand noir descendre sur les quais face à mon hôtel.
Je suis sortie et je suis allée voir où il était allé.
Il était là sous un pont, c’était un Somalien cherchant refuge en France.
Il m’a baisé derrière un tas de cartons et quand je l’ai quitté comme pour les autres la phrase fatidique prononcée, celle que je vous ai dit en préambule de mon histoire.
Sous le pont avec mon SDF s’était sympa, j’ai fait l’effort d’y retourner trois nuits.
Chaque fois j’étais au bord de l’orgasme mais hélas il n’a jamais été au rendez-vous.
Par compte, c’est le troisième jour qu’il y a eu une descente de police et que je me suis retrouvé au poste de police le plus proche.
Ils m’ont cueilli à 6 heures, je suis ressortie libre à 11 heures quand j’ai pu appeler mon avocat.
Je leur avais dit que je n’étais, ni pute, ni immigrée, ni SDF.
Ils se sont foutus de ma gueule mais comme c’était mon droit ils ont fini par l’appeler, il est allé chercher mon passeport et m'a fait sortir.
Je suis seulement passé pour ce que je suis mais contre mon gré une salope.
Une autre copine avec qui je venais de passer la nuit la faisant jouir et un et deux et trois zéros.
Elle aussi avec nos langues et nos clitos que nous nous sommes frottés comme savent le faire les lesbiennes jambes entrelacées moi marquant une nouvelle fois zéro.
Frustrée, j’ai décidé de consulter.
Je suis allée chez ma gynécologue.
Elle m’a mise dans cette position si inconfortable pour nous les femmes.
Elle m’a ausculté écartant mon vagin.
Elle m’a demandé la permission de me caresser avec ses doigts repliés pour soi-disant stimuler mon point G et mon clito.
Le clito sensation identique aux autres fois mais là-haut, il avait dû oublier de me mettre un point G.
Un sexologue, on a fini là encore dans une chambre malgré son alliance, il me disait qu’avec son expérience il arriverait à me faire monter au septième ciel.
J’ignore s’il voulait se faire un mannequin un peu célèbre, mais je n’ai jamais vu ne serait-ce qu’un premier ciel.
C’est là que j’ai mis une annonce sur Internet.
« Femme frigide cherche homme ou femme sachant lui apporter l’orgasme.
Le premier qui y arrive touchera 50 000 €.
Cet argent est déposé sur Maître Belle-Pine huissier de justice qui vous la remettra. »
Je venais de déclencher la Troisième guerre mondiale.
Des Mails arrivaient du monde entier.
Des hardeurs, des gouines, même des PD qui voulaient m’enculer, pour eux je devais avoir des orgasmes avec mon anus et non ma chatte.
C’est Belle-Pine qui a profité de l’annonce quand je lui ai apporté l’argent.
Il a souhaité concourir hors de toute déontologie.
Mais bon, lui ou un autre.
Ça fait six mois que l’annonce est passée et que je me tortille dans toutes les positions sur les bites de ceux qui doivent m’amener vers le nirvana.
Le bronzage qu'il abhorrait comme tout sénateur doit l’être pour séduire ces connes d’Américaines.
Rien, nichts, nothing. شئ, 没有, nada, niente et même ל en Hébreu quand j’ai défilé à Jérusalem.
C’est à Marrakech que j’ai cru que la bénéficiaire devrait venir en France récupérer ses 50 000 €.
Je l’ai rencontré à un défilé que je donnais dans le plus grand hôtel de cette ville touristique.
Nous montrions des tenues traditionnelles.
Elle était elle-même habillée avec un cafetan marocain tenu de son pays.
Nos yeux se sont croisés et c’est lors du cocktail que je l’ai emmené dans sa chambre prenant tous les risques avec son mari.
Notre étreinte a été fusionnelle, surtout pour elle quand je l'ai amené à l’orgasme dès que mes doigts ont touché son clitoris.
Radia a joui mais moi-même si c’était bon, une nouvelle fois je suis restée sur le bord du chemin.
Après cette aventure marocaine, je suis retournée en France chez mes parents à quelques kilomètres du Château de Fontainebleau.
Mes parents sont épiciers dans cette ville.
Enlevés faux cils, coiffure faite tous les jours par ma coiffeuse.
Je retrouvais mon jean basket.
- Vous êtes bien la femme qui a mis sa photo sur Internet et qui cherche l’orgasme.
Je suis partant.
J’éclate de rire.
Quand j’entends que l’on m’interpelle, je me retourne sans voir personne dans un premier temps.
- Je suis là !
C’est là que j’ai rit.
1 mètre 40 voire moins.
Je me calme, il est voisin de mes parents et je vais chez lui fidèle à mon engagement par Internet.
Il monte sur son lit s’étant déshabillé.
La belle et le nain, ce pourrait être le titre de notre moment d’intimité.
Malgré qu’il soit sur le lit, je dois me baisser pour le sucer.
J’avais entendu dire que les nains étaient montés comme des taureaux.
Bradis est normal par rapport à sa taille donc bite de petite taille.
Pendant que je le suce sa main est à hauteur de ma chatte.
Ma chatte qui commence à s’échauffer.
Nouvelle sensation pour moi, jamais aucun des nombreux rapports que j’ai eu n’a commencé comme commencent mes rapports avec ce nabot.
- Monte sur le lit et met toi en levrette, je serais juste à la hauteur de ta chatte.
Tu vas voir je vais te faire faire l’avion.
C’était la première fois que j’entendais parler d’aéronautique.
Je me glisse sur le lit, il a raison debout derrière moi, il lui suffit de me prendre par les hanches pour d’un coup entrer son sexe en moi.
- Ah, ah, ah, ah.
Combien de ha ! dois-je mettre quand mon corps me quitte et que je meure comme ont dit dans les livres.
J’ai cherché l’orgasme partout dans le monde et c’est une moitié d’homme qui me l’apporte.
Si cet exploit se produisait une seule fois, je pourrais dire coup de pot, mais dans la soirée et toute la nuit il me lamine me faisant perdre le nord ou le Sud.
Il y avait 50 000 € en jeu.
Il refuse de les toucher les mettant dans notre bourse commune.
Un léger problème quand le curé a dit « embrasser la mariée. »C’est moi qui me suis cassé en deux, mais c’est avec plaisir que je lui ai donné mes lèvres.
J’ai refusé de me séparer de mon mari.
Avec les salaires que je percevais tous frais payés ajouter aux 50 000 € récupérés chez l’huissier et la vente de la petite boutique de mes parents partants en retraite.
Si dans la région de Fontainebleau vous connaissez un supermarché à la sortie d’une ville tenue par une grande dame et un petit monsieur, c’est nous.
Pas une seule fois mon mari ne m’a baisé sans m’apporter un bel orgasme.
De plus, dans deux mois, nous aurons un petit homme de plus dans le logement au-dessus du supermarché.
Bref, je suis allée bien loin pour trouver mon bonheur.
Cette phrase depuis l’âge de 18 ans où un copain m’a dépucelé je l’ai dit des dizaines de fois.
Hommes, femmes, tous mes amants et amantes m’ont amené à 28 ans, dix ans la prononçant chaque fois.
Je ressens des sensations, des petits picotements mais le grand embrasement jamais.
Pourtant on me dit belle femme, 1 mètre 79, j’y tiens je refuse d’être trop grande.
Des amants ou amantes, j’en ai eu à travers le monde.
Je suis mannequin international.
C’est pour dire la classe que j’ai.
J’ai rencontré des hommes qui ont mis leur fortune à mes pieds, mais outrent le fait que je gagne magnifiquement ma vie, chaque fois que j’ai couché il m’a toujours manqué quelle chose.
L’embrasement, le feu de l’intérieur qui vous consume avant de paraître au grand jour comme dans les combles de Notre Dames, ça n’a jamais été pour moi.
À travers le monde sans être une pute, car je ne me fais pas payer, j’en ai vu des grandes, des petites, des grosses, des hypers grosses, des blanches jusqu’à des jaunes.
Une amie à qui je m’en ouvrais alors qu’elle venait de me sucer pendant des heures sans déclencher les vagues de plaisir m’a dit d’en essayer des noirs, les mecs sont bien montés et savent sans servir.
J’ai essayé avec un black lui-même mannequin qui défile de temps en temps avec nous suivant les modèles à présenter, certains créateurs travaillant de façon mixte.
Aucun résultat, je dirais bien au suivant.
Attention, je fais des efforts, je les mets en forme avec ma bouche, j’ai eu tellement d’amants et amantes que je suis devenue experte en fellation et broutage de minette.
Des efforts car il y a peu de passage à Paris, un soir j’ai vu un grand noir descendre sur les quais face à mon hôtel.
Je suis sortie et je suis allée voir où il était allé.
Il était là sous un pont, c’était un Somalien cherchant refuge en France.
Il m’a baisé derrière un tas de cartons et quand je l’ai quitté comme pour les autres la phrase fatidique prononcée, celle que je vous ai dit en préambule de mon histoire.
Sous le pont avec mon SDF s’était sympa, j’ai fait l’effort d’y retourner trois nuits.
Chaque fois j’étais au bord de l’orgasme mais hélas il n’a jamais été au rendez-vous.
Par compte, c’est le troisième jour qu’il y a eu une descente de police et que je me suis retrouvé au poste de police le plus proche.
Ils m’ont cueilli à 6 heures, je suis ressortie libre à 11 heures quand j’ai pu appeler mon avocat.
Je leur avais dit que je n’étais, ni pute, ni immigrée, ni SDF.
Ils se sont foutus de ma gueule mais comme c’était mon droit ils ont fini par l’appeler, il est allé chercher mon passeport et m'a fait sortir.
Je suis seulement passé pour ce que je suis mais contre mon gré une salope.
Une autre copine avec qui je venais de passer la nuit la faisant jouir et un et deux et trois zéros.
Elle aussi avec nos langues et nos clitos que nous nous sommes frottés comme savent le faire les lesbiennes jambes entrelacées moi marquant une nouvelle fois zéro.
Frustrée, j’ai décidé de consulter.
Je suis allée chez ma gynécologue.
Elle m’a mise dans cette position si inconfortable pour nous les femmes.
Elle m’a ausculté écartant mon vagin.
Elle m’a demandé la permission de me caresser avec ses doigts repliés pour soi-disant stimuler mon point G et mon clito.
Le clito sensation identique aux autres fois mais là-haut, il avait dû oublier de me mettre un point G.
Un sexologue, on a fini là encore dans une chambre malgré son alliance, il me disait qu’avec son expérience il arriverait à me faire monter au septième ciel.
J’ignore s’il voulait se faire un mannequin un peu célèbre, mais je n’ai jamais vu ne serait-ce qu’un premier ciel.
C’est là que j’ai mis une annonce sur Internet.
« Femme frigide cherche homme ou femme sachant lui apporter l’orgasme.
Le premier qui y arrive touchera 50 000 €.
Cet argent est déposé sur Maître Belle-Pine huissier de justice qui vous la remettra. »
Je venais de déclencher la Troisième guerre mondiale.
Des Mails arrivaient du monde entier.
Des hardeurs, des gouines, même des PD qui voulaient m’enculer, pour eux je devais avoir des orgasmes avec mon anus et non ma chatte.
C’est Belle-Pine qui a profité de l’annonce quand je lui ai apporté l’argent.
Il a souhaité concourir hors de toute déontologie.
Mais bon, lui ou un autre.
Ça fait six mois que l’annonce est passée et que je me tortille dans toutes les positions sur les bites de ceux qui doivent m’amener vers le nirvana.
Le bronzage qu'il abhorrait comme tout sénateur doit l’être pour séduire ces connes d’Américaines.
Rien, nichts, nothing. شئ, 没有, nada, niente et même ל en Hébreu quand j’ai défilé à Jérusalem.
C’est à Marrakech que j’ai cru que la bénéficiaire devrait venir en France récupérer ses 50 000 €.
Je l’ai rencontré à un défilé que je donnais dans le plus grand hôtel de cette ville touristique.
Nous montrions des tenues traditionnelles.
Elle était elle-même habillée avec un cafetan marocain tenu de son pays.
Nos yeux se sont croisés et c’est lors du cocktail que je l’ai emmené dans sa chambre prenant tous les risques avec son mari.
Notre étreinte a été fusionnelle, surtout pour elle quand je l'ai amené à l’orgasme dès que mes doigts ont touché son clitoris.
Radia a joui mais moi-même si c’était bon, une nouvelle fois je suis restée sur le bord du chemin.
Après cette aventure marocaine, je suis retournée en France chez mes parents à quelques kilomètres du Château de Fontainebleau.
Mes parents sont épiciers dans cette ville.
Enlevés faux cils, coiffure faite tous les jours par ma coiffeuse.
Je retrouvais mon jean basket.
- Vous êtes bien la femme qui a mis sa photo sur Internet et qui cherche l’orgasme.
Je suis partant.
J’éclate de rire.
Quand j’entends que l’on m’interpelle, je me retourne sans voir personne dans un premier temps.
- Je suis là !
C’est là que j’ai rit.
1 mètre 40 voire moins.
Je me calme, il est voisin de mes parents et je vais chez lui fidèle à mon engagement par Internet.
Il monte sur son lit s’étant déshabillé.
La belle et le nain, ce pourrait être le titre de notre moment d’intimité.
Malgré qu’il soit sur le lit, je dois me baisser pour le sucer.
J’avais entendu dire que les nains étaient montés comme des taureaux.
Bradis est normal par rapport à sa taille donc bite de petite taille.
Pendant que je le suce sa main est à hauteur de ma chatte.
Ma chatte qui commence à s’échauffer.
Nouvelle sensation pour moi, jamais aucun des nombreux rapports que j’ai eu n’a commencé comme commencent mes rapports avec ce nabot.
- Monte sur le lit et met toi en levrette, je serais juste à la hauteur de ta chatte.
Tu vas voir je vais te faire faire l’avion.
C’était la première fois que j’entendais parler d’aéronautique.
Je me glisse sur le lit, il a raison debout derrière moi, il lui suffit de me prendre par les hanches pour d’un coup entrer son sexe en moi.
- Ah, ah, ah, ah.
Combien de ha ! dois-je mettre quand mon corps me quitte et que je meure comme ont dit dans les livres.
J’ai cherché l’orgasme partout dans le monde et c’est une moitié d’homme qui me l’apporte.
Si cet exploit se produisait une seule fois, je pourrais dire coup de pot, mais dans la soirée et toute la nuit il me lamine me faisant perdre le nord ou le Sud.
Il y avait 50 000 € en jeu.
Il refuse de les toucher les mettant dans notre bourse commune.
Un léger problème quand le curé a dit « embrasser la mariée. »C’est moi qui me suis cassé en deux, mais c’est avec plaisir que je lui ai donné mes lèvres.
J’ai refusé de me séparer de mon mari.
Avec les salaires que je percevais tous frais payés ajouter aux 50 000 € récupérés chez l’huissier et la vente de la petite boutique de mes parents partants en retraite.
Si dans la région de Fontainebleau vous connaissez un supermarché à la sortie d’une ville tenue par une grande dame et un petit monsieur, c’est nous.
Pas une seule fois mon mari ne m’a baisé sans m’apporter un bel orgasme.
De plus, dans deux mois, nous aurons un petit homme de plus dans le logement au-dessus du supermarché.
Bref, je suis allée bien loin pour trouver mon bonheur.
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