COLLECTION HISTOIRE COURTE. La seule fois, lors de leur sortie en mer (1/1)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Récit libertin : COLLECTION HISTOIRE COURTE. La seule fois, lors de leur sortie en mer (1/1) Histoire érotique Publiée sur HDS le 21-02-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION HISTOIRE COURTE. La seule fois, lors de leur sortie en mer (1/1)
• Tante Sissy, je te téléphone pour te dire que papa est décédé dans la nuit, il s’est endormi sans jamais se réveiller.
• Merci Lola prévient moi du jour et de l’heure de la cérémonie.
• Mais ma tante, tu es dans l’impossibilité de venir.
• Je suis d’accord Lola, mais je prierais pendant toute la durée de son enterrement.
Je lui dois bien ça après les nombreuses années où nous avons passé des vacances ensemble.

Gustave est mort !
Gustave, mon seul remord, mais aussi mon seul regret dans toute ma vie d’épouse fidèle.
Remords, car ce fut la seule fois en cinquante ans de vie commune avec Paul, mon mari qu’une autre verge que la sienne est entrée en moi.
Regret, car cette journée où je l’ai trompé, est marqué en bleu dans ma mémoire.
Regret, car ce jour-là, qui fut donc le seul, j’ai joui à un point-elle qu’à soixante-dix ans, je sens ma vieille chatte s’humecter.

Gustave, le mari de ma sœur plus jeune de deux ans que moi.
Gustave marié avec elle depuis un peu plus d’un an quand notre aventure nous est arrivée.
Une seule fois, je le rappelle, j’ai été infidèle ce jour-là, mais loin d’être une salope, lorsqu’un an après Lily à son tour a été enceinte, il a voulu remettre le couvert avec moi.
Lily, elle l’avait rencontré au ministère des Affaires étrangères ou depuis un mois, elle était secrétaire.
Gustave, venu du Rwanda chercher refuge en France, cherchait un bureau pour des papiers.
Elle l’a conduit, il l’a attendu à la sortie de son travail et tout c’est fini par un mariage, mais plus tard, car il a fallu qu’il ait ses papiers définitifs.
Gustave avait des principes, même s’il m’a dévergondé, il voulait éviter que les gens puissent dire qu’ils avaient fait un mariage blanc.
Mais les souvenirs se bousculent dans mon vieux cerveau et je vais trop vite.

Parlons de moi, comme je l’ai dit, je m’appelle Sissy.
Mes parents ont été influencés par le film Sissy impératrice.
J’avais épousé Paul, quelques mois plus tôt et quand nous sommes parties en vacances dans cette grande maison en Bretagne près de Concarneau, j’étais enceinte de mon fils Jules qui naitra trois mois plus tard.

Lilly, Gustave, chambre bleue.
Adeline et Georges, chambre verte.
Georges est un ami d’enfance de Paul, mon mari et c’est lui qui connaissait cette grande bâtisse que nous louons depuis deux ans.
Et donc Paul et moi, chambre rouge.
Nous étions six à avoir débarqué avec armes et bagages, avec pour moi mon ventre devenant de plus en plus rond.
Petit ponton ou Georges a amarré le bateau que nous réservions, lui aussi tous les ans et qui nous permettait par beau temps d’aller pêcher en mer de magnifiques bars ou maquereaux que Gustave faisait griller sur le barbecue en pierre à notre disposition.

Six heures, ce jour-là, tous debout pour le petit déjeuner pris en commun avant de les voir embarquer et démarrer, le bateau barré par Georges.
Le soleil commence à pointer, mais encore trop froid pour que je m’installe sur la terrasse sur un transt pour les voir s’éloigner et disparaître à l’horizon.

Je suis dans la salle, mais avec Gustave resté, lui aussi, car il avait un colis à aller chercher à la poste.
Plus tard, j’ai supputé que ce grand noir avait peur de la mer, car chaque fois qu’il le pouvait, il évitait nos sorties.
Il venait de revenir du village, je sommeillais encore en peignoir sur le canapé.
Je dormais nue malgré ma grossesse et afin de voir partir la bande, j’avais seulement revêtu mon peignoir rouge comme notre chambre.

• Je viens de rentrer et je nous ai préparé du thé, je sais que tu aimes en boire des tasses dans la journée.

Il m’a servi et prenant sa tasse, il s’est assis à côté de moi.
Nos thés finis, nous les avons posés sur la table basse.
Il me collait de si près que lorsqu’il s’est légèrement tourné sa bouche aux lèvres lippues s’est retrouvé tout contre la mienne.
Il a essayé de me prendre la bouche, j’ai tourné ma tête.

• Tu es fou.

Fou oui, mais persévérant, car ses lèvres sont venues dans mon cou.
J’ai frissonné, première pierre à ma défaite.
Au fil des années, j’ai eu le temps d’analyser ma défaite.
Six mois de gros ventre avec un mari refusant de me toucher.
J’ai lu que la sexualité des femmes étaient inversement proportionnelles à celles des hommes dans cette période-là.
Son souffle chaud et les petits baisers qu’il a commencé à me prodiguer, je les acceptais de plus en plus.
Ma chatte a contribué à ma déchéance, si déchéance il y a eu, en s’échauffant de plus en plus.
Un autre souvenir me revient dans la foulée de ces baisers.
Sa main sur ma cuisse, mais la mienne qui comme par magie, je l’ai posé sur sa verge.
Oh ! mon dieu, quel machin.
Ma sœur avait trouvé un engin deux fois plus gros que celle qui m’avait mise enceinte après quelques mois plus tôt m’avoir défloré.
C’est à ce moment que Gustave m’a demandé l’impensable pour moi femme mariée ignorante qu’une verge pouvait se mettre dans ma bouche.

• Suce salope.

Deux mots qui résonnent en moi presque cinquante ans plus tard, car je l’ai fait et aussi à Paul quelques jours plus tard buvant son sperme pour la première fois.
Cinquante ans où les litres bus sont certainement phénoménaux, mon mari ayant aimé ce moment divin pour notre couple m’évitant de me retrouver de nouveau enceinte.
J’ai donc sucé cette verge noire, en le masturbant.
Quand il m’a aidé à m’allonger, je savais déjà que j’avais rendu les armes, car j’étais chaude bouillante, une vraie cocotte minutes prête à exploser.
C’est quand j’ai senti son gland sur mes lèvres vaginales déjà très transformé par ma grossesse que j’ai enfin eue ce moment de recul.
Oh ! non pas de refus d’adultère, mais de sentir son ventre sur mon gros ventre.
Il a dû comprendre, car il m’a aidé à me mettre en levrette et a glissé directement au fond de mon vagin.
À peine au fond, j’ai joui.
Joui, ce fut un doux euphémisme
Raz de marée, quand j’ai eu un nombre d’orgasme me laissant pantelante.
Quand nos cris se sont confondus, j’étais une chienne ayant fauté, mais que ce fut bon.

Nous avons mangé sans un mot de reste de la veille avant que je me réfugie dans ma chambre me douchant et m’allongeant.
J’ai dormi enroulé dans mon peignoir jusqu’à ce que je sente des lèvres sur les miennes.

• Gus...
Mon chéri, c’est toi, vous êtes rentré.
Ça a mordu.
• Pourquoi as-tu commencé d’appeler ton beau-frère quand je t’ai réveillé.
• Avant de m’endormir, j’ai pensé à demander à Gustave de me ramener le journal Télé 7 jours, car il allait au village.
Quand tu m’as réveillé, j’ai failli dire son nom avant de voir que c’était toi, j’ai cru que c’était lui qui me l’apportait.

Ce fut le seul moment où j’ai failli avouer à mon mari mon infidélité.
Comme je l’ai dit, un an après, Gustave a essayé de remettre le couvert.
J’ai dû mon salut au bateau, car je profitais de chaque sortie pour éviter d’être seule avec lui.

Voilà, cette folle journée ayant pu faire basculer mon couple, je m’en souviens comme si c’était hier.
La mort de Gustave efface définitivement les frasques de ce moment d’égarement.

Trois jours plus tard, ma nièce m’appelle, Gustave aura sa messe à 15 heures.
Je récupère mon chapelet sur ma table de nuit.

« Notre père, qui... »

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merci olga

Belle histoire!



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