COLLECTION HISTOIRE COURTE. Le bâtard de d’Artagnan (1/1)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 15-12-2021 dans la catégorie A dormir debout
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COLLECTION HISTOIRE COURTE. Le bâtard de d’Artagnan (1/1)
L’histoire de mon père a retenu l’attention des gens. Elle a été retenue à cause d’un certain Alexandre Dumas.
On connaît les épopées de papa, à travers ce qui deviendra l’Europe, mais un peu moins des miennes, pourtant je suis bien vivant.
Papa est né vers 1610 sans que les livres puissent dire précisément la date, l’état civil étant très mal ficelé à cette époque.
Il se nommait Charles de Batz de Castelmore.
« De », je suis son bâtard, mais j’ai une particule.
Comment, moi, le petit Louis, c’est le nom que maman m’a donné à ma naissance ?
Je suis son bâtard, car elle seule a su qui était papa.
Elle cueillait des pissenlits pour les lapins de la ferme où elle travaillait en Gascogne.
La Gascogne premier indice, papa étant de cette région.
Il était encore seul lorsqu’elle l’a vu arriver sur son cheval.
• Cache-moi, je suis poursuivi !
Elle était gentille maman alors elle l’a caché dans une meule de foin.
• Nous sommes à la recherche d’un soudard que les gens d’ici ont surnommé D’Artagnan qui a déshonoré la femme du baron de la Motte du château voisin, l’as-tu vu ?
• Oui, il est parti par là.
• Léopold vérifie ce tas de foin, il est assez roué pour s’y être caché.
J’ai failli manquer ma naissance, ce soudard a fait le tour en plantant sa rapière tout autour de la meule.
Par chance, je suis né, cet homme a loupé son coup, à un poil prêt, les quatre cavaliers ayant suivi le chemin qu’elle leur avait montré, papa a pu se montrer.
Son bras saignait, la lame l’avait touché, mais seulement dans le gras.
Elle était la fille d’un couple travaillant eux aussi dans les champs.
Elle avait emmené papa dans leur masure pour le soigner, mais en plus lui a donné sa vertu.
Neuf mois après, j’étais né aux environs des années 1630 à quelques années prêtes et comme je l’ai dit, elle m’a appelé Louis.
J’ai été élevé dans cette ferme et c’est sur son lit de mort, que maman m’a avoué ce dont je viens de parler.
J’étais jeune lorsque ma vie a pris un coup d’accélérateur.
Je m’occupais principalement des chevaux du baron voisin cocu par papa.
La fermière était une grosse femme qui m’a dépucelé.
Ce que le fermier a ignoré le jour où il m’a trouvé chevauchant sa grosse truie, c’est qu’après sa femme, c’est moi qui ai dépucelé ses deux filles.
Deux filles banales, mais avec des seins comme des obus.
J’aime les femmes avec des seins et là j’étais servi.
Je trempais mon biscuit dans leur chatte gigantesque pour la mère et plus resserrée pour ses filles.
Je vivais heureux, car étant rapidement un baiseur invétéré, j’ai séduit la grosse cuisinière et j’avais droit à des petits suppléments alimentaires, c’est normal, baiser toutes ces salopes ça donne faim.
Un coup de queue et je gagne un gros morceau de pain.
Un après-midi, je chevauchais sa femme lorsqu’il est venu alors qu’il était censé être à la foire se tenant au château de monsieur le baron, qui venait d’être remplacé par son fils.
Le fermier avait toujours un gros bâton qui lui servait à nous tancer lorsqu’il pensait que nous avions mal fait notre tâche.
J’en avais ramassé quelques-uns, mais souple comme un des lièvres que je braconnais, j’ai souvent réussi à les esquiver.
J’ai remonté mon pantalon et le reste du corps nu, j’ai sauté par la fenêtre.
Je suis allé dans l’écurie, passant un licou à un cheval du baron, je suis parti à cru sur ce destrier comme ceux dont papa se servait.
J’ai trouvé refuge dans une vieille masure abandonnée par une famille sans que je sache pourquoi.
J’avais caché le cheval dans la petite grange, lorsque j’ai entendu le bruit d’un cheval.
J’ai cru que c’était le fermier qui me faisait poursuivre.
Par chance, pour moi, mais plus dur pour moi, c’est un homme couché sur son cheval qui est arrivé devant moi.
Il avait reçu un coup d’épée dans le côté et perdait du sang.
Je l’ai porté dans la masure, mais dans la nuit, il est mort ayant perdu trop de sang.
Ma bonne étoile venait de m’apporter la survie.
J’ai récupéré et lavé ses affaires dans la source voisine et malgré le trou caché par le pourpoint.
J’ai pu redevenir présentable, changeant de ce que maintenant on appellerait une autre classe.
Cet homme devait avoir été loupé en partie par des brigands, avait encore sa rapière et sa bourse assez pleine qui comme je viens de le dire.
Ça m’a permis de me retrouver au niveau social qui aurait dû être le mien si j’avais connu et été élevé par D’Artagnan, mon père.
Au moment de quitter ce lieu dans ma nouvelle peau, j’ai eu à choisir le cheval.
Tornade que j’avais monté pour m’enfuir m’écoutait au doigt et à l’œil, j’ai simplement récupéré la selle et laissé partir l’autre.
Je suis parti à la ville voisine, où j'ai commencé par un bon repas dans l’auberge la plus présentable et où j'ai pris une chambre.
Lorsque je suis sorti pour profiter de ma nouvelle vie, une voiture tirée par un cheval est passée, un brigand peut être l’un de ceux qui avaient attaqué celui dont j’avais en parti pris la place.
Il venait de monter sur le marchepied une dague en main.
J’ai sorti mon épée et bondissant, je l’ai percé le tuant sur le coup.
L’homme dans la voiture était un marchand connu dans la ville où il possédait plusieurs boutiques de vêtements et de vente de tissus principalement en lin.
Le voleur en voulait à sa montre.
• Montez, jeune homme, vous m’avez sauvé la vie et si vous le voulez bien, je vous invite à dîner.
J’ai accepté et un mois après j’avais toujours ma chambre dans cette maison bourgeoise.
Dès le troisième jour, je baisais sa femme la quarantaine et dès que je le pouvais leur femme de service.
J’avais honte, mais c’était elles qui voulaient que je les baise, leurs maris n'étant plus enclins à faire du fric.
Combien de temps suis-je resté ?
Vous avez tous les moyens de connaître plus précisément le moment d’une vie.
Peut-être quelques mois, une année.
Condom, je me souviens, là encore, plusieurs femmes de Tisserand de lin, la principale une salope, qui voulait que je la baise en levrette, position que j’affectionne particulièrement.
Bourrer le cul de ses femmes, minaudant dans leur boudoir entre elles, j'affectionne particulièrement lorsqu’elles se font sauter comme des charretières.
Des charretières, j’en ai baisé, j’ai même failli prendre un coup de dague par un maquereau dont je sautais ses putes, bien sûr, sans les payer.
Mieux, Germaine, une de ses putes, m'a donné toutes ses passes au moment où j’ai fui cette ville.
Papa et moi nous sommes faits pour changer de lieu à grande vitesse, Tornade, mon cheval m’a souvent bien aidé dans ces moments-là.
Auch, je deviens porte rapière du sieur Lafont devant devenir un nom connu de la ville.
Lafont avait une fille, je m’étais juré d’être sage, j’avais un bon job comme là encore il se dit dans des temps plus modernes.
Mais Cunégonde avait un cul que j’avais plaisir à mordre chaque fois qu’elle le tendait vers ma queue.
J’ai une nouvelle fois fui, atterrissant à Saint-Gaudens et Tarbes.
Combien de femmes ai-je pu baiser, je l’ignore et si ma rapière a percé des corps, certains en duel, mais toujours gagnant, ma bite a pourfendu des vulves chaque fois que je le pouvais.
Pourtant, je suis un homme d’armes de pacotille comparé à papa, lorsque j’étais jeune à la ferme, avec le fils du fermier.
Fermier dont j’ai baisé la mère et la fille, nous faisions la guerre, dans la cour avec des épées en bois, la poignée tenue avec des cordes de lin.
Sans le savoir, celui qui m’a fait fuir me trouvant dans le lit de sa femme, m’a sauvé la vie grâce à son fils.
Et un jour, j’arrive au château de Castelmore, sans savoir qu’il existait et que c’est là que papa l’avait quitté précipitamment et rencontré maman.
Sans le savoir je revenais aux sources, c’est bien plus tard en lisant les exploits des quatre mousquetaires racontés par Dumas que du ciel, j’ai su quel homme était mon papa.
Au château de Castelmore, c’est un baron qui y vivait, il était le fils de celui dont mon père avait baisé la femme, comme j’ai baisé la sienne en digne fils de ce papa.
Père mort en 1673 dans une ville très connue là encore par les Européens, mais qui a été rejeté par bien des pays lors de ce qui va s’appeler des référendums.
Maastricht ville des Pays-bas pendant ce qui devait s’appeler la guerre de Hollande déclenchée par Louis le XIVe.
Je baisais la femme de ce jeune baron dont je m’étais mis à son service et qui avait une tête de cocu.
Le cocu, ce fut moi lorsque plusieurs rapières me réveillèrent pointées vers mon ventre nu et ma verge couverte de mon sperme et des liqueurs de cette jolie femme.
Par chance, je venais de décharger laissant peut-être derrière moi à titre d’adieu, un petit bâtard comme moi à ce cocu de baron.
Ces connards m’ont traduit devant un juge aussi pourri qu’il était possible d’être pourri.
Le vieux paysan chez qui j’avais été élevé est venu témoigner non pas de son infortune, mais du vol d’un des chevaux qu’il avait en garde.
Sa femme ainsi que sa fille était là aussi venue soutenir le patriarche alors que je leur avais donné plus que du plaisir.
Tout était cousu de fil blanc et le verdique a été irrémédiable, je devais être pendu jusqu’à ce que la mort s’en suive.
C’est devant une foule hurlant à ma mort que j’ai été conduit les mains liées dans mon dos, vers l’échafaud où je devais rendre l’âme.
• Bande de minables, vous m’avez lié les mains, mais mes jambes sont encore libres.
J’ai donné un coup de sifflet, Tornade a surgi et comme Cartouche ou Zorro, j’ai sauté sur sa croupe le lançant au galop simplement guidé par mes chausses.
Je galopais lorsqu’à un tournant, je vis une jeune femme, ratissant les blés qui venaient d’être coupés et les mettant en bottes.
• Cache-moi !
Caché au milieu de ces blés, je me rendais compte que la vie était un éternel recommencement.
J’avais certainement un grand moment de vie faite de sexe à écrire, je suis le digne bâtard de D’Artagnan.
On connaît les épopées de papa, à travers ce qui deviendra l’Europe, mais un peu moins des miennes, pourtant je suis bien vivant.
Papa est né vers 1610 sans que les livres puissent dire précisément la date, l’état civil étant très mal ficelé à cette époque.
Il se nommait Charles de Batz de Castelmore.
« De », je suis son bâtard, mais j’ai une particule.
Comment, moi, le petit Louis, c’est le nom que maman m’a donné à ma naissance ?
Je suis son bâtard, car elle seule a su qui était papa.
Elle cueillait des pissenlits pour les lapins de la ferme où elle travaillait en Gascogne.
La Gascogne premier indice, papa étant de cette région.
Il était encore seul lorsqu’elle l’a vu arriver sur son cheval.
• Cache-moi, je suis poursuivi !
Elle était gentille maman alors elle l’a caché dans une meule de foin.
• Nous sommes à la recherche d’un soudard que les gens d’ici ont surnommé D’Artagnan qui a déshonoré la femme du baron de la Motte du château voisin, l’as-tu vu ?
• Oui, il est parti par là.
• Léopold vérifie ce tas de foin, il est assez roué pour s’y être caché.
J’ai failli manquer ma naissance, ce soudard a fait le tour en plantant sa rapière tout autour de la meule.
Par chance, je suis né, cet homme a loupé son coup, à un poil prêt, les quatre cavaliers ayant suivi le chemin qu’elle leur avait montré, papa a pu se montrer.
Son bras saignait, la lame l’avait touché, mais seulement dans le gras.
Elle était la fille d’un couple travaillant eux aussi dans les champs.
Elle avait emmené papa dans leur masure pour le soigner, mais en plus lui a donné sa vertu.
Neuf mois après, j’étais né aux environs des années 1630 à quelques années prêtes et comme je l’ai dit, elle m’a appelé Louis.
J’ai été élevé dans cette ferme et c’est sur son lit de mort, que maman m’a avoué ce dont je viens de parler.
J’étais jeune lorsque ma vie a pris un coup d’accélérateur.
Je m’occupais principalement des chevaux du baron voisin cocu par papa.
La fermière était une grosse femme qui m’a dépucelé.
Ce que le fermier a ignoré le jour où il m’a trouvé chevauchant sa grosse truie, c’est qu’après sa femme, c’est moi qui ai dépucelé ses deux filles.
Deux filles banales, mais avec des seins comme des obus.
J’aime les femmes avec des seins et là j’étais servi.
Je trempais mon biscuit dans leur chatte gigantesque pour la mère et plus resserrée pour ses filles.
Je vivais heureux, car étant rapidement un baiseur invétéré, j’ai séduit la grosse cuisinière et j’avais droit à des petits suppléments alimentaires, c’est normal, baiser toutes ces salopes ça donne faim.
Un coup de queue et je gagne un gros morceau de pain.
Un après-midi, je chevauchais sa femme lorsqu’il est venu alors qu’il était censé être à la foire se tenant au château de monsieur le baron, qui venait d’être remplacé par son fils.
Le fermier avait toujours un gros bâton qui lui servait à nous tancer lorsqu’il pensait que nous avions mal fait notre tâche.
J’en avais ramassé quelques-uns, mais souple comme un des lièvres que je braconnais, j’ai souvent réussi à les esquiver.
J’ai remonté mon pantalon et le reste du corps nu, j’ai sauté par la fenêtre.
Je suis allé dans l’écurie, passant un licou à un cheval du baron, je suis parti à cru sur ce destrier comme ceux dont papa se servait.
J’ai trouvé refuge dans une vieille masure abandonnée par une famille sans que je sache pourquoi.
J’avais caché le cheval dans la petite grange, lorsque j’ai entendu le bruit d’un cheval.
J’ai cru que c’était le fermier qui me faisait poursuivre.
Par chance, pour moi, mais plus dur pour moi, c’est un homme couché sur son cheval qui est arrivé devant moi.
Il avait reçu un coup d’épée dans le côté et perdait du sang.
Je l’ai porté dans la masure, mais dans la nuit, il est mort ayant perdu trop de sang.
Ma bonne étoile venait de m’apporter la survie.
J’ai récupéré et lavé ses affaires dans la source voisine et malgré le trou caché par le pourpoint.
J’ai pu redevenir présentable, changeant de ce que maintenant on appellerait une autre classe.
Cet homme devait avoir été loupé en partie par des brigands, avait encore sa rapière et sa bourse assez pleine qui comme je viens de le dire.
Ça m’a permis de me retrouver au niveau social qui aurait dû être le mien si j’avais connu et été élevé par D’Artagnan, mon père.
Au moment de quitter ce lieu dans ma nouvelle peau, j’ai eu à choisir le cheval.
Tornade que j’avais monté pour m’enfuir m’écoutait au doigt et à l’œil, j’ai simplement récupéré la selle et laissé partir l’autre.
Je suis parti à la ville voisine, où j'ai commencé par un bon repas dans l’auberge la plus présentable et où j'ai pris une chambre.
Lorsque je suis sorti pour profiter de ma nouvelle vie, une voiture tirée par un cheval est passée, un brigand peut être l’un de ceux qui avaient attaqué celui dont j’avais en parti pris la place.
Il venait de monter sur le marchepied une dague en main.
J’ai sorti mon épée et bondissant, je l’ai percé le tuant sur le coup.
L’homme dans la voiture était un marchand connu dans la ville où il possédait plusieurs boutiques de vêtements et de vente de tissus principalement en lin.
Le voleur en voulait à sa montre.
• Montez, jeune homme, vous m’avez sauvé la vie et si vous le voulez bien, je vous invite à dîner.
J’ai accepté et un mois après j’avais toujours ma chambre dans cette maison bourgeoise.
Dès le troisième jour, je baisais sa femme la quarantaine et dès que je le pouvais leur femme de service.
J’avais honte, mais c’était elles qui voulaient que je les baise, leurs maris n'étant plus enclins à faire du fric.
Combien de temps suis-je resté ?
Vous avez tous les moyens de connaître plus précisément le moment d’une vie.
Peut-être quelques mois, une année.
Condom, je me souviens, là encore, plusieurs femmes de Tisserand de lin, la principale une salope, qui voulait que je la baise en levrette, position que j’affectionne particulièrement.
Bourrer le cul de ses femmes, minaudant dans leur boudoir entre elles, j'affectionne particulièrement lorsqu’elles se font sauter comme des charretières.
Des charretières, j’en ai baisé, j’ai même failli prendre un coup de dague par un maquereau dont je sautais ses putes, bien sûr, sans les payer.
Mieux, Germaine, une de ses putes, m'a donné toutes ses passes au moment où j’ai fui cette ville.
Papa et moi nous sommes faits pour changer de lieu à grande vitesse, Tornade, mon cheval m’a souvent bien aidé dans ces moments-là.
Auch, je deviens porte rapière du sieur Lafont devant devenir un nom connu de la ville.
Lafont avait une fille, je m’étais juré d’être sage, j’avais un bon job comme là encore il se dit dans des temps plus modernes.
Mais Cunégonde avait un cul que j’avais plaisir à mordre chaque fois qu’elle le tendait vers ma queue.
J’ai une nouvelle fois fui, atterrissant à Saint-Gaudens et Tarbes.
Combien de femmes ai-je pu baiser, je l’ignore et si ma rapière a percé des corps, certains en duel, mais toujours gagnant, ma bite a pourfendu des vulves chaque fois que je le pouvais.
Pourtant, je suis un homme d’armes de pacotille comparé à papa, lorsque j’étais jeune à la ferme, avec le fils du fermier.
Fermier dont j’ai baisé la mère et la fille, nous faisions la guerre, dans la cour avec des épées en bois, la poignée tenue avec des cordes de lin.
Sans le savoir, celui qui m’a fait fuir me trouvant dans le lit de sa femme, m’a sauvé la vie grâce à son fils.
Et un jour, j’arrive au château de Castelmore, sans savoir qu’il existait et que c’est là que papa l’avait quitté précipitamment et rencontré maman.
Sans le savoir je revenais aux sources, c’est bien plus tard en lisant les exploits des quatre mousquetaires racontés par Dumas que du ciel, j’ai su quel homme était mon papa.
Au château de Castelmore, c’est un baron qui y vivait, il était le fils de celui dont mon père avait baisé la femme, comme j’ai baisé la sienne en digne fils de ce papa.
Père mort en 1673 dans une ville très connue là encore par les Européens, mais qui a été rejeté par bien des pays lors de ce qui va s’appeler des référendums.
Maastricht ville des Pays-bas pendant ce qui devait s’appeler la guerre de Hollande déclenchée par Louis le XIVe.
Je baisais la femme de ce jeune baron dont je m’étais mis à son service et qui avait une tête de cocu.
Le cocu, ce fut moi lorsque plusieurs rapières me réveillèrent pointées vers mon ventre nu et ma verge couverte de mon sperme et des liqueurs de cette jolie femme.
Par chance, je venais de décharger laissant peut-être derrière moi à titre d’adieu, un petit bâtard comme moi à ce cocu de baron.
Ces connards m’ont traduit devant un juge aussi pourri qu’il était possible d’être pourri.
Le vieux paysan chez qui j’avais été élevé est venu témoigner non pas de son infortune, mais du vol d’un des chevaux qu’il avait en garde.
Sa femme ainsi que sa fille était là aussi venue soutenir le patriarche alors que je leur avais donné plus que du plaisir.
Tout était cousu de fil blanc et le verdique a été irrémédiable, je devais être pendu jusqu’à ce que la mort s’en suive.
C’est devant une foule hurlant à ma mort que j’ai été conduit les mains liées dans mon dos, vers l’échafaud où je devais rendre l’âme.
• Bande de minables, vous m’avez lié les mains, mais mes jambes sont encore libres.
J’ai donné un coup de sifflet, Tornade a surgi et comme Cartouche ou Zorro, j’ai sauté sur sa croupe le lançant au galop simplement guidé par mes chausses.
Je galopais lorsqu’à un tournant, je vis une jeune femme, ratissant les blés qui venaient d’être coupés et les mettant en bottes.
• Cache-moi !
Caché au milieu de ces blés, je me rendais compte que la vie était un éternel recommencement.
J’avais certainement un grand moment de vie faite de sexe à écrire, je suis le digne bâtard de D’Artagnan.
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