COLLECTION HISTOIRE COURTE. Le goupillon (1/1)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 2408 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 4.2 • Cote moyenne attribuée par HDS : 10.6
- • L'ensemble des récits érotiques de CHRIS71 ont reçu un total de 12 029 054 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-09-2020 dans la catégorie Dans la zone rouge
Cette histoire de sexe a été affichée 3 392 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
COLLECTION HISTOIRE COURTE. Le goupillon (1/1)
• Mon père, puis-je vous poser une question ?
• Oui, Georgina, veux-tu que je t’endente en confession ?
• Pour avoir besoin de me confesser, il aurait fallu que j’aie commis, un péché or je suis tous les concepts de l’église surtout depuis que j’ai épousé Lulu, le fils de votre bedo.
Lulu est le fruit de Charles, mon bedeau avec sœur Lucette qui s’occupe de l’harmonium, mais ça c’était du temps de mon prédécesseur et c’est de l’histoire ancienne.
Les bonnes âmes étant peu nombreuses dans notre petit village, mon bedeau reste mon bedeau et Lucette ayant ôté sa cornette continue à nous abreuver de ses fausses notes tous les dimanches.
Pour sa part, Georgina est la rosière d’il y a cinq ans que nous avons marié avec Lulu, aussi con l’un comme l’autre.
Ses parents ont un avantage, ils sont aussi demeurés, mais ont les poches cousus de pièces d’or amassé par des générations de culs-terreux.
• Dans ces cas-là, viens dans la sacristie, il sera plus facile de parler ma fille.
• Ma fille, je croyais que j’étais la fille de Charles, votre bedeau !
• Quand je te dis ma fille, j’aurais pu dire, ma mère.
• Ma mère, c’est Lucette.
• Évite de chercher à comprendre, suis-moi.
• Oui, mon père.
J’aurais pu surenchérir sur, mon père, mais quand je vous dis que ces gens sont cons, ils sont cons.
• Ferme la porte derrière toi, et assied toi sur cette chaise, je t’écoute.
• Voilà, hier j’étais en grande conversation avec Florida sur le pas de ma porte ayant fini de passer le balai quand elle est passée.
J’ignore quand vous êtes arrivé dans la conversation, elle en raconte tellement !
Mais ce dont je me souviens, c’est qu’elle m’a dit qu’entre vos jambes vous aviez un sexe comme celui que d’après elle, Lulu en aurait un lui aussi.
• Ma fille, pardon Georgina, tu es mariée depuis quatre ans, un an après avoir été rosière.
• Oui, c’est exact.
• Que s’est-il passé le soir de tes noces et depuis ?
• Je suis allée dans la salle d’eau, je me suis lavé là où je fais pipi comme maman me l’avait dit.
J’ai mis ma belle chemise de nuit en pilou et je me suis couchée ayant éteint la lumière.
• Lulu, ou était-il ?
• Avec son père et son frère Ernest a picolé dans la cuisine.
• À quel moment est-il venu te rejoindre ?
• Je l’ignore, je dormais, j’ai seulement senti ma chemise en pilou se soulever et un bâton me faire horriblement mal.
Ce con, au matin j’ai été obligé de laver les draps afin d’éviter de me faire enguirlander par ma belle-mère.
• Et depuis ?
• C’est toujours pareil, mais sans le sang et le risque d’engueulade.
• Tu as du plaisir !
• De quoi parlez-vous père, il entre se secoue deux ou trois fois et me laisse une matière visseuse en moins de deux minutes.
Alors, vous aussi vous avez un sexe, elle m’a raconté des conneries !
• Oui, et en même temps non, les hommes, comme ton mari, ont un sexe et nous les curés, c’est un goupillon.
• Un goupillon comme celui que mon père vous passe pour les bénédictions les dimanches.
• C’est un peu ça !
• Je comprends, ou pour mettre sur les cercueils, comme celui ou avait été mise la mère Agate morte il y a huit jours.
• Tu as tout compris.
• Mais, dis-moi, tu m’as bien dit qu’il était inutile de te confesser, tu ignores peut-être que de parler du bâton de son mari est péché, je vais être obligé de te punir par mon goupillon.
• Oh, mon père, si j’ai péché, j’accepte votre punition et de subir votre goupillon.
• À une seule condition, tout ceci doit rester strictement entre nous.
Si tu dis un simple mot, surtout à Florida cette pipelette, tu iras directement en enfer, sans possibilité de purgatoire.
• J’ai compris mon père, je serais muette à jamais.
J’ouvre ma soutane, il fait chaud et je sors ma verge.
• Mon Dieu, c’est gigantesque, si Lulu avait un machin comme ça, je serais déjà morte.
• Pas de panique Georgina, si tu savais le nombre de fois depuis que je suis ici que j’ai dû présenter mon goupillon à ta mère, il y aurait bien longtemps que je l’aurais tué.
• Je le savais, je lui ai dit que c’était anormal qu’elle s’enferme avec le boucher dans sa chambre froide.
Elle a dû vous le dire en confession, pour que vous lui présentiez le goupillon.
Et dire qu’elle était bonne sœur, mais je garde le reste pour moi, secret de la confession oblige.
• Tu sais que tout ce que j’entends en confession, il m’est impossible d’en parler.
• Oui, mon père, que dois-je faire ?
• Prends le goupillon dans ta main et secoue-le légèrement en le décalottant pour faire apparaître la boule comme celui du dimanche ou il y a de l’eau bénite.
• Il va en sortir de l’eau bénite !
Vous êtes fort monsieur le curé.
• Bien doucement, maintenant avance ta tête et place la tête du goupillon dans ta bouche.
• Vous m’apprenez bien des choses mon père.
Quand je disais que ces gens étaient des frustes, des cons, des résidus de capotes, on aurait pu croire que j’exagérais.
Elle est en train de me faire une fellation sans même savoir que ce mot existe.
Georgina finit par m’avaler jusqu’aux couilles en gorge profonde jusqu’à ce que je décharge.
• Avale, surtout fait ce qu’il faut pour qu’aucune goutte sorte de ta bouche.
C’est bien, tu es une bonne fille.
• Regardez, toute l’eau bénite un peu épaisse est en moi, le bon Dieu m’a pardonné mes mauvaises pensées avec Florida !
• C’est la moitié du chemin, voyons, que je réfléchisse.
Demain ?
Impossible Lucette vient à cinq heures se faire goupillonner.
Jeudi, c’est Florida, pour elle aussi, il a été possible de lui montrer mon goupillon, mais contrairement à Georgina, elle a compris très vite que j’étais une bête de sexe.
Mon goupillon, c’est partout que je lui mets, ce qu’elle adore c’est quand je l’encule.
Mince, il va falloir que je ralentisse de goupillonner les femmes de ma paroisse, je vais finir par tous les baisers, jeunes et vieilles.
• Dimanche matin après la messe, ils vont tous au bistrot pour l’apéro, trouve un motif et revient par la porte donnant directement dans la sacristie.
• J’ai hâte à y être mon père, vivre dans le pécher, s’il m’arrivait un malheur, j’ai trop peur du feu depuis que, j’étais dans la forêt et qu’elle a brûlé.
• Je te comprends, à dimanche.
Le dimanche arrive, je suis un peu fatigué, j’ai beaucoup donné d’extrême-onction.
• Vite, dépêchons-nous, l’apéro, ça dure, mais des fois certains pourraient se demander où tu es passée.
Soulève ta jupe et met toi à quatre pattes sur ce prie Dieu.
• Comme cela mon père !
• Très bien, je vois que comme toutes les femmes du village à qui je dois présenter le goupillon, vous vous promenez la chatte à l’air.
Laisse-moi opérer.
En moins de temps qu’il le faut pour le dire, je suis dans sa chatte certainement pénétrée par une petite bite, car j’ai l’impression de la déflorer tellement elle est serrée.
• Mon Dieu, mon père, que me faite vous, je sens que ça coule autour de votre goupillon, vous déversez déjà le liquide épais que j’ai dû avaler la première fois !
• Pas encore, c’est toi qui te liquéfies, c’est bon, c’est comme ça que ça doit fonctionner.
Hurle ton plaisir, le bon Dieu t’entendra de l’autre côté de cette porte menant à l’intérieur de l’église et tu éviteras les feux de l’enfer.
Je la pylône de plus en plus fort.
J’ai baisé sa mère Lucette hier, qui m’a vidé les burnes, ça me permet de la mettre et la faire jouir deux fois avant de lui donner ma divine semence.
• Va en paix, ma fille, pardon Georgina, passe régulièrement me voir, pour m’expliciter tes pensées.
Je suis sûr que j’aurais encore l’occasion de me servir de mon goupillon.
Je l’ai goupillonné deux fois avant que dans le village, il se dise que Lulu, il allait être père, ce qui fait la fierté des parents, Charles et Lucette ainsi que des parents de Georgina surtout que c’est un fils.
Mon fils, comment je le sais sans analyse ADN !
Le seul blond du village, c’est le curé alors que dans cette vallée profonde de France, tous son brun.
À oui, j’oubliais, Florida vient de nous annoncer qu’elle aussi attendait un enfant.
J’espère deux choses, que ce soit un brun et non un blond.
Que ce soit, lui aussi un garçon pour éviter dans une vingtaine d’années des consanguinités par leur père, si les enfants décident de se marier.
La seule chose qui me rassure, c’est que mon évêque satisfait de mon engagement avec mes paroissiens, m’a déjà parlé d’une possibilité d’être nommé dans une grande ville française où mon goupillon pourrait faire merveille.
• Oui, Georgina, veux-tu que je t’endente en confession ?
• Pour avoir besoin de me confesser, il aurait fallu que j’aie commis, un péché or je suis tous les concepts de l’église surtout depuis que j’ai épousé Lulu, le fils de votre bedo.
Lulu est le fruit de Charles, mon bedeau avec sœur Lucette qui s’occupe de l’harmonium, mais ça c’était du temps de mon prédécesseur et c’est de l’histoire ancienne.
Les bonnes âmes étant peu nombreuses dans notre petit village, mon bedeau reste mon bedeau et Lucette ayant ôté sa cornette continue à nous abreuver de ses fausses notes tous les dimanches.
Pour sa part, Georgina est la rosière d’il y a cinq ans que nous avons marié avec Lulu, aussi con l’un comme l’autre.
Ses parents ont un avantage, ils sont aussi demeurés, mais ont les poches cousus de pièces d’or amassé par des générations de culs-terreux.
• Dans ces cas-là, viens dans la sacristie, il sera plus facile de parler ma fille.
• Ma fille, je croyais que j’étais la fille de Charles, votre bedeau !
• Quand je te dis ma fille, j’aurais pu dire, ma mère.
• Ma mère, c’est Lucette.
• Évite de chercher à comprendre, suis-moi.
• Oui, mon père.
J’aurais pu surenchérir sur, mon père, mais quand je vous dis que ces gens sont cons, ils sont cons.
• Ferme la porte derrière toi, et assied toi sur cette chaise, je t’écoute.
• Voilà, hier j’étais en grande conversation avec Florida sur le pas de ma porte ayant fini de passer le balai quand elle est passée.
J’ignore quand vous êtes arrivé dans la conversation, elle en raconte tellement !
Mais ce dont je me souviens, c’est qu’elle m’a dit qu’entre vos jambes vous aviez un sexe comme celui que d’après elle, Lulu en aurait un lui aussi.
• Ma fille, pardon Georgina, tu es mariée depuis quatre ans, un an après avoir été rosière.
• Oui, c’est exact.
• Que s’est-il passé le soir de tes noces et depuis ?
• Je suis allée dans la salle d’eau, je me suis lavé là où je fais pipi comme maman me l’avait dit.
J’ai mis ma belle chemise de nuit en pilou et je me suis couchée ayant éteint la lumière.
• Lulu, ou était-il ?
• Avec son père et son frère Ernest a picolé dans la cuisine.
• À quel moment est-il venu te rejoindre ?
• Je l’ignore, je dormais, j’ai seulement senti ma chemise en pilou se soulever et un bâton me faire horriblement mal.
Ce con, au matin j’ai été obligé de laver les draps afin d’éviter de me faire enguirlander par ma belle-mère.
• Et depuis ?
• C’est toujours pareil, mais sans le sang et le risque d’engueulade.
• Tu as du plaisir !
• De quoi parlez-vous père, il entre se secoue deux ou trois fois et me laisse une matière visseuse en moins de deux minutes.
Alors, vous aussi vous avez un sexe, elle m’a raconté des conneries !
• Oui, et en même temps non, les hommes, comme ton mari, ont un sexe et nous les curés, c’est un goupillon.
• Un goupillon comme celui que mon père vous passe pour les bénédictions les dimanches.
• C’est un peu ça !
• Je comprends, ou pour mettre sur les cercueils, comme celui ou avait été mise la mère Agate morte il y a huit jours.
• Tu as tout compris.
• Mais, dis-moi, tu m’as bien dit qu’il était inutile de te confesser, tu ignores peut-être que de parler du bâton de son mari est péché, je vais être obligé de te punir par mon goupillon.
• Oh, mon père, si j’ai péché, j’accepte votre punition et de subir votre goupillon.
• À une seule condition, tout ceci doit rester strictement entre nous.
Si tu dis un simple mot, surtout à Florida cette pipelette, tu iras directement en enfer, sans possibilité de purgatoire.
• J’ai compris mon père, je serais muette à jamais.
J’ouvre ma soutane, il fait chaud et je sors ma verge.
• Mon Dieu, c’est gigantesque, si Lulu avait un machin comme ça, je serais déjà morte.
• Pas de panique Georgina, si tu savais le nombre de fois depuis que je suis ici que j’ai dû présenter mon goupillon à ta mère, il y aurait bien longtemps que je l’aurais tué.
• Je le savais, je lui ai dit que c’était anormal qu’elle s’enferme avec le boucher dans sa chambre froide.
Elle a dû vous le dire en confession, pour que vous lui présentiez le goupillon.
Et dire qu’elle était bonne sœur, mais je garde le reste pour moi, secret de la confession oblige.
• Tu sais que tout ce que j’entends en confession, il m’est impossible d’en parler.
• Oui, mon père, que dois-je faire ?
• Prends le goupillon dans ta main et secoue-le légèrement en le décalottant pour faire apparaître la boule comme celui du dimanche ou il y a de l’eau bénite.
• Il va en sortir de l’eau bénite !
Vous êtes fort monsieur le curé.
• Bien doucement, maintenant avance ta tête et place la tête du goupillon dans ta bouche.
• Vous m’apprenez bien des choses mon père.
Quand je disais que ces gens étaient des frustes, des cons, des résidus de capotes, on aurait pu croire que j’exagérais.
Elle est en train de me faire une fellation sans même savoir que ce mot existe.
Georgina finit par m’avaler jusqu’aux couilles en gorge profonde jusqu’à ce que je décharge.
• Avale, surtout fait ce qu’il faut pour qu’aucune goutte sorte de ta bouche.
C’est bien, tu es une bonne fille.
• Regardez, toute l’eau bénite un peu épaisse est en moi, le bon Dieu m’a pardonné mes mauvaises pensées avec Florida !
• C’est la moitié du chemin, voyons, que je réfléchisse.
Demain ?
Impossible Lucette vient à cinq heures se faire goupillonner.
Jeudi, c’est Florida, pour elle aussi, il a été possible de lui montrer mon goupillon, mais contrairement à Georgina, elle a compris très vite que j’étais une bête de sexe.
Mon goupillon, c’est partout que je lui mets, ce qu’elle adore c’est quand je l’encule.
Mince, il va falloir que je ralentisse de goupillonner les femmes de ma paroisse, je vais finir par tous les baisers, jeunes et vieilles.
• Dimanche matin après la messe, ils vont tous au bistrot pour l’apéro, trouve un motif et revient par la porte donnant directement dans la sacristie.
• J’ai hâte à y être mon père, vivre dans le pécher, s’il m’arrivait un malheur, j’ai trop peur du feu depuis que, j’étais dans la forêt et qu’elle a brûlé.
• Je te comprends, à dimanche.
Le dimanche arrive, je suis un peu fatigué, j’ai beaucoup donné d’extrême-onction.
• Vite, dépêchons-nous, l’apéro, ça dure, mais des fois certains pourraient se demander où tu es passée.
Soulève ta jupe et met toi à quatre pattes sur ce prie Dieu.
• Comme cela mon père !
• Très bien, je vois que comme toutes les femmes du village à qui je dois présenter le goupillon, vous vous promenez la chatte à l’air.
Laisse-moi opérer.
En moins de temps qu’il le faut pour le dire, je suis dans sa chatte certainement pénétrée par une petite bite, car j’ai l’impression de la déflorer tellement elle est serrée.
• Mon Dieu, mon père, que me faite vous, je sens que ça coule autour de votre goupillon, vous déversez déjà le liquide épais que j’ai dû avaler la première fois !
• Pas encore, c’est toi qui te liquéfies, c’est bon, c’est comme ça que ça doit fonctionner.
Hurle ton plaisir, le bon Dieu t’entendra de l’autre côté de cette porte menant à l’intérieur de l’église et tu éviteras les feux de l’enfer.
Je la pylône de plus en plus fort.
J’ai baisé sa mère Lucette hier, qui m’a vidé les burnes, ça me permet de la mettre et la faire jouir deux fois avant de lui donner ma divine semence.
• Va en paix, ma fille, pardon Georgina, passe régulièrement me voir, pour m’expliciter tes pensées.
Je suis sûr que j’aurais encore l’occasion de me servir de mon goupillon.
Je l’ai goupillonné deux fois avant que dans le village, il se dise que Lulu, il allait être père, ce qui fait la fierté des parents, Charles et Lucette ainsi que des parents de Georgina surtout que c’est un fils.
Mon fils, comment je le sais sans analyse ADN !
Le seul blond du village, c’est le curé alors que dans cette vallée profonde de France, tous son brun.
À oui, j’oubliais, Florida vient de nous annoncer qu’elle aussi attendait un enfant.
J’espère deux choses, que ce soit un brun et non un blond.
Que ce soit, lui aussi un garçon pour éviter dans une vingtaine d’années des consanguinités par leur père, si les enfants décident de se marier.
La seule chose qui me rassure, c’est que mon évêque satisfait de mon engagement avec mes paroissiens, m’a déjà parlé d’une possibilité d’être nommé dans une grande ville française où mon goupillon pourrait faire merveille.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par CHRIS71
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...