COLLECTION HISTOIRE COURTE. Métro, boulot, Dodo (1/1)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 18-05-2023 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION HISTOIRE COURTE. Métro, boulot, Dodo (1/1)
• Bonne journée ma chérie, passe une bonne journée.
• Sans problème Julien, j’ai beaucoup de clientes aujourd’hui, demain c’est la Saint-Valentin.
• Tu me dis ça pour me rappeler que l’an passé, j’avais oublié cette journée primordiale pour notre amour.
• Non, c’est simplement l’un des jours où les femmes se font belles pour leur amoureux.
• Véronique, pense au pain ce soir.
Ça c’est ma vie à Montrouge où nous avons notre appartement Julien et moi.
Julien, c’est en vacances à Concarneau que je l’ai rencontré au bal du 14 Juillet.
J’avais 20 ans et j’étais pleine de rêve.
Quand dans sa chambre d’hôtel il m’a dépucelé, la vision de la vie s’est trouvée complètement chamboulée.
De retour à Paris, je connaissais son numéro de portable.
Quelques semaines après, je l’appelais et nous nous sommes mariés.
Urgence, urgence, urgence.
Bébé arrivait et Julien a assuré en m’épousant.
Je finissais mes études de coiffure et c’est dans un salon près de la Madeleine que Maxence un homme de 50 ans m’a embauchée.
Un premier drame est survenu.
Mon mari refusait de me toucher de peur de me faire mal au moment de cette grossesse.
Ça, j’aurais pu le supporter, mais, hélas, j’ai perdu le bébé.
Julien a été un mari très prévenant.
Trop prévenant.
• Bonjour Véronique tout se passe bien.
• Oui, Maxence, nous avons trois clientes qui sont sous les casques.
• Tu es là à midi, il faut que je te parle.
Le tutoiement avec mes deux collèges s’est fait normalement et comme elles le tutoyaient, naturellement j’en ai fait de même afin d’éviter de dénoter.
À midi, Susy et Aline sont parties manger chez la première, à deux pas du salon.
J’ai toujours pensé malgré qu’Aline soit mariée avec deux enfants, que le midi elles se broutaient le minou.
Des moments d’intimité dans le fond du salon me permettaient d’avoir le doute, je me gardais bien de les rejoindre dans ces moments-là.
• Véronique, je t’aime bien, tu travailles bien, mais je dois réduire mon personnel.
Trop de charge en rapport de mon chiffre d’affaires, c’est toi que je dois licencier, la législation me l’impose.
Quand Maxence m’a dit ça, nous venions d’acheter un appartement de quatre pièces à Montrouge afin de faire ce que Julien appelait notre nid d’amours.
J’ai vite calculé qu’ayant galéré pour trouver cette place, nous allions rapidement nous trouver dans la panade.
• Maxence, je t’en supplie, garde-moi.
En disant ces mots je me suis jetée à ses pieds lui prenant la taille ma joue sur sa bite.
J’ai senti qu’elle réagissait et comme Julien me délaissait, je l’ai laissé défaire sa ceinture laissant tomber son pantalon.
Je me suis écartée.
• Je te suce si tu me jures que c’est Aline que tu licencies.
• Mais elle a deux enfants et a trois mois de plus que toi dans cette boîte.
• Si je te suce, tu la fiches dehors.
Réfléchi, d’ici huit jours, tu auras dans les mains les preuves que tu peux la foutre dehors sans risque de Prudhomme.
Je lui ai remonté son pantalon et je me suis mise en chasse.
Aline a manqué de chance, elle s’est trompée de puissance cramant la tête d’une cliente en mélangeant les produits pour une couleur.
Deux jours plus tard, Maxence comme a son habitude pour rejoindre sa femme, faisait les comptes en attendant que l’on finisse.
Écart de caisse 100 € pas moins.
J’ai montré les poches de ma tenue de travail et de mon manteau, rien.
Susy en a fait autant, rien.
Aline a râlé, mais s’est exécuté un billet de 100 étant tombé au sol.
Elle a pleuré, mais elle est partie me laissant la place et surtout ma paye.
À midi, Susy est partie en faisant la gueule, terminée les parties de gratte minou.
• Viens.
Toucher son dû, je savais que j’allais y passer.
Nous sommes passés dans la salle de repos où il a fermé la porte mettant le verrou.
Quatre chaises, une table.
Le pantalon est retombé sur les pieds et la bite bien dure et grosse est venu dans ma bouche.
Je l’ai sucé dix minutes sans qu’il rende les armes.
Il m’a relevé assis sur la table, il a fait glisser mon string et deux secondes après j’étais devenue une femme adultérine.
À partir de ce jour, c’est devenu classique.
Se vider les couilles, c’était tous les midis.
Métro où régulièrement dans la cohue je me fais frotter par des pervers.
Boulot, où Maxence me saute tous les midis même quand j’ai mes règles, mon bébé étant né.
Dodo où chaque samedi Julien se souvient que je suis sa femme.
Alors quand Julien me rappelle de prendre notre pain comme chaque jour.
Que venant au boulot dans le métro ou un frotteur m’agresse les fesses.
Que Maxence s’apprête à me baiser sur la table.
Je lui dis ces quelques mots.
• Je reviens.
J’ai pris le métro, direction la gare de Lyon.
J’ai pris un billet pour le premier train.
Certains diront que j’ai fait un burn-out et que je fuis cette vie que j’espérais plus belle et palpitante.
J’en ai ras le bol, du levé, du petit déjeuner pour Julien, moi pour ma ligne juste un jus de fruits.
J’en ai ras le bol, du trajet sous la coupe de pervers nous allumant sans jamais nous éteindre.
J’en ai ras le bol, du boulot, lavage des têtes, brushings, permanentes et autres coups de peigne.
J’en ai ras le bol, le midi de me faire baiser par mon patron.
J’en ai ras le bol de changer les couches, la seule mon mari me laissant cette charge alors qu’il m’avait promis d’être très engagé.
• Partez-vous en vacances ?
Je regarde mon voisin, beau gosse.
• Où vous allez, je vais !
Il faut bien que la vie continue.
• Sans problème Julien, j’ai beaucoup de clientes aujourd’hui, demain c’est la Saint-Valentin.
• Tu me dis ça pour me rappeler que l’an passé, j’avais oublié cette journée primordiale pour notre amour.
• Non, c’est simplement l’un des jours où les femmes se font belles pour leur amoureux.
• Véronique, pense au pain ce soir.
Ça c’est ma vie à Montrouge où nous avons notre appartement Julien et moi.
Julien, c’est en vacances à Concarneau que je l’ai rencontré au bal du 14 Juillet.
J’avais 20 ans et j’étais pleine de rêve.
Quand dans sa chambre d’hôtel il m’a dépucelé, la vision de la vie s’est trouvée complètement chamboulée.
De retour à Paris, je connaissais son numéro de portable.
Quelques semaines après, je l’appelais et nous nous sommes mariés.
Urgence, urgence, urgence.
Bébé arrivait et Julien a assuré en m’épousant.
Je finissais mes études de coiffure et c’est dans un salon près de la Madeleine que Maxence un homme de 50 ans m’a embauchée.
Un premier drame est survenu.
Mon mari refusait de me toucher de peur de me faire mal au moment de cette grossesse.
Ça, j’aurais pu le supporter, mais, hélas, j’ai perdu le bébé.
Julien a été un mari très prévenant.
Trop prévenant.
• Bonjour Véronique tout se passe bien.
• Oui, Maxence, nous avons trois clientes qui sont sous les casques.
• Tu es là à midi, il faut que je te parle.
Le tutoiement avec mes deux collèges s’est fait normalement et comme elles le tutoyaient, naturellement j’en ai fait de même afin d’éviter de dénoter.
À midi, Susy et Aline sont parties manger chez la première, à deux pas du salon.
J’ai toujours pensé malgré qu’Aline soit mariée avec deux enfants, que le midi elles se broutaient le minou.
Des moments d’intimité dans le fond du salon me permettaient d’avoir le doute, je me gardais bien de les rejoindre dans ces moments-là.
• Véronique, je t’aime bien, tu travailles bien, mais je dois réduire mon personnel.
Trop de charge en rapport de mon chiffre d’affaires, c’est toi que je dois licencier, la législation me l’impose.
Quand Maxence m’a dit ça, nous venions d’acheter un appartement de quatre pièces à Montrouge afin de faire ce que Julien appelait notre nid d’amours.
J’ai vite calculé qu’ayant galéré pour trouver cette place, nous allions rapidement nous trouver dans la panade.
• Maxence, je t’en supplie, garde-moi.
En disant ces mots je me suis jetée à ses pieds lui prenant la taille ma joue sur sa bite.
J’ai senti qu’elle réagissait et comme Julien me délaissait, je l’ai laissé défaire sa ceinture laissant tomber son pantalon.
Je me suis écartée.
• Je te suce si tu me jures que c’est Aline que tu licencies.
• Mais elle a deux enfants et a trois mois de plus que toi dans cette boîte.
• Si je te suce, tu la fiches dehors.
Réfléchi, d’ici huit jours, tu auras dans les mains les preuves que tu peux la foutre dehors sans risque de Prudhomme.
Je lui ai remonté son pantalon et je me suis mise en chasse.
Aline a manqué de chance, elle s’est trompée de puissance cramant la tête d’une cliente en mélangeant les produits pour une couleur.
Deux jours plus tard, Maxence comme a son habitude pour rejoindre sa femme, faisait les comptes en attendant que l’on finisse.
Écart de caisse 100 € pas moins.
J’ai montré les poches de ma tenue de travail et de mon manteau, rien.
Susy en a fait autant, rien.
Aline a râlé, mais s’est exécuté un billet de 100 étant tombé au sol.
Elle a pleuré, mais elle est partie me laissant la place et surtout ma paye.
À midi, Susy est partie en faisant la gueule, terminée les parties de gratte minou.
• Viens.
Toucher son dû, je savais que j’allais y passer.
Nous sommes passés dans la salle de repos où il a fermé la porte mettant le verrou.
Quatre chaises, une table.
Le pantalon est retombé sur les pieds et la bite bien dure et grosse est venu dans ma bouche.
Je l’ai sucé dix minutes sans qu’il rende les armes.
Il m’a relevé assis sur la table, il a fait glisser mon string et deux secondes après j’étais devenue une femme adultérine.
À partir de ce jour, c’est devenu classique.
Se vider les couilles, c’était tous les midis.
Métro où régulièrement dans la cohue je me fais frotter par des pervers.
Boulot, où Maxence me saute tous les midis même quand j’ai mes règles, mon bébé étant né.
Dodo où chaque samedi Julien se souvient que je suis sa femme.
Alors quand Julien me rappelle de prendre notre pain comme chaque jour.
Que venant au boulot dans le métro ou un frotteur m’agresse les fesses.
Que Maxence s’apprête à me baiser sur la table.
Je lui dis ces quelques mots.
• Je reviens.
J’ai pris le métro, direction la gare de Lyon.
J’ai pris un billet pour le premier train.
Certains diront que j’ai fait un burn-out et que je fuis cette vie que j’espérais plus belle et palpitante.
J’en ai ras le bol, du levé, du petit déjeuner pour Julien, moi pour ma ligne juste un jus de fruits.
J’en ai ras le bol, du trajet sous la coupe de pervers nous allumant sans jamais nous éteindre.
J’en ai ras le bol, du boulot, lavage des têtes, brushings, permanentes et autres coups de peigne.
J’en ai ras le bol, le midi de me faire baiser par mon patron.
J’en ai ras le bol de changer les couches, la seule mon mari me laissant cette charge alors qu’il m’avait promis d’être très engagé.
• Partez-vous en vacances ?
Je regarde mon voisin, beau gosse.
• Où vous allez, je vais !
Il faut bien que la vie continue.
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Et vous le respect du travail que cet auteur a fait même si pour vous il a raté son coup.
Histoire bâclée mal écrite pas sans queue mais sans tête. Ce pauvre auteur est bien fatigué il devrait prendre des vacances et revenir dans vingt ou trente ans .