COLLECTION HISTOIRE COURTE. Partie carrée (1/1)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION HISTOIRE COURTE. Partie carrée (1/1) Histoire érotique Publiée sur HDS le 07-03-2018 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION HISTOIRE COURTE. Partie carrée (1/1)
-- ATTENTION HISTOIRE FICTIVE POUR LECTEURS AVERTIS --

L’histoire qui m’est arrivé est insolite, je devrais dire qui nous est arrivé est insolite.
Je m’appelle Ludovic, Ludo pour les intimes, un jour mon père m’interpelle.

• Ludo, cela fait cinq ans que ta mère et moi, nous avons divorcé, j’ai rencontré quelqu’un, ne soit pas étonné si je découche ou si je fais venir Adeline ici pour passer la nuit.
Je te la présenterais samedi lors d’un repas que nous ferons ensemble tous les quatre, car elle a une fille qui s’appelle Violaine et qui à quelques mois près a ton âge.

Que répondre à son père qui souhaite refaire sa vie ?

• Aucun problème, papa, si tu as choisi Adeline, c’est que ce doit être une jolie femme, je t’ai déjà vu en ville parler avec l’une d’entre elles, ce n’était pas un boudin.
• Tu as raison Ludo, sans être un séducteur, je me défends avec les femmes, j’ai eu quelques aventures depuis la trahison d’Édith ta mère, mais jamais une femme de la classe d’Adeline.

C’est ainsi que Paul, mon père me présente Adeline, le samedi soir suivant, sans être un mannequin, cette femme est pétillante, enjouée et surtout semble d’entrer m’apprécier.
Par le biais de la conversation que nous entamons à l’apéro, il s’avère qu’Adeline a 36 ans et que la jeune fille qui l’accompagne Violaine comme je l’ai dit a deux mois de moins que moi.
Elle est tout le portrait de sa maman au même âge, du moins je le pense tellement la ressemblance est frappante.
Lors de ce repas, j’apprécie la conversation de ces deux femmes, papa a raison, Adeline est charmante et sa fille aussi.

• Les enfants allez visiter la maison, Ludo fait voir ta chambre à Violaine.
• Ludo, Paul a raison, mais fait attention à ma fille, elle est encore une jeune fille, ne la brusque pas.
• Maman, lâche-moi les baskets, je suis assez grande pour remettre Ludo à sa place s’il a de mauvaises manières.
• Ta fille a raison, Adeline, laisse les jeunes faire leur vie, j’ai élevé mon fils dans le respect de l’autre.

C’est ainsi que je fais faire le tour du propriétaire à cette jolie fille, je peux dire de la cave au grenier sans oublier le jardin que nous parcourons côte à côte.
Notre maison se trouve non loin d’Annecy et nous possédons qui a une vue sur la vallée et les montagnes les entrants.
Papa l’a acheté dès qu’ils se sont mariés avec maman et qu’il a créé son entreprise de travaux publics.

Passe ton bac d’abord et fait des études de management mon fils, c’est le conseil qu’il m’a donné et que j’ai suivi, je suis à la fac, il s’avère que Violaine s’oriente vers un B.T.S d’informatique de gestion.

• N’écoute pas maman, Ludo, elle croit toujours que sa fille est pure, elle a la hantise que je me trouve dans sa situation et que je me retrouve avec un polichinelle comme je l’ai été pour elle.
• Je comprends le message, n’en dis pas plus, le principal, c’est que tu te protèges, entre cette putain de maladie et le polichinelle comme tu dis, il serait con de mettre ta vie en l’air, pour un simple coup de bite.
Puisque l’on est dans les confidences, tu n’es plus vierge et je ne suis plus puceau, j’ai une aventure avec une amie de mon père qu’il a invité un week-end et qui s’est littéralement jetée sur moi quand il a dû s’absenter pour se rendre sur un chantier.
• Tu t’es tapé l’une des copines de ton père, ce doit être étrange comme situation, tu as dû flipper d’être pris.
• Non, j’ai presque 19 ans, je venais d’avoir mes dix-huit ans, elle m’a présenté cela comme mon cadeau d’anniversaire et pour moi la seule chose qui m’importait, c’est de pouvoir dire à mes copains que je m’en étais tapé une.
• La situation a-t-elle duré longtemps ?
• Non, hélas seulement une matinée, mais j’en ai autant appris en trois heures que d'autres en toute une vie ou il ne connaisse que la position du missionnaire.
• Et toi, si je ne suis pas indiscret, c’était où ?
• Dans la chambre des parents d’un copain de ma meilleure copine qui faisait une soirée pyjama, il avait promis à maman qu’il ferait attention à moi comme elle l’a fait avec toi.
Nous avons picolé, je rigole quand je parle de soirée pyjama, nous fêtions simplement son anniversaire, je me suis retrouvée dans cette chambre entièrement nue avec Juliette et deux de ses copains dont je n’ai pas souvenance des noms.
Jules m’a dépucelé autant que je l’ai fait, mais les choses ont évolué quand le troisième garçon, l’autre prenant ma copine m’a mis sa bite dans ma bouche.
Cette nuit-là, avant de rentrer sagement à la maison, je me suis tapé les trois et Juliette aussi.
Pour ma nuit d’initiation, j’ai bien baisé et j’ai fait des fellations.
• As-tu partouzé ?
• On peut le dire.
• Mais dit moi, ils étaient trois et ton.
• Je t’arrête, tu vois que je ne te cache rien, seule Juliette ce soir-là, s’est fait prendre en double péné.
C’est l’ami de la famille qui l’a eu la première fois, après l’avoir dépucelé, il ne souhaitait prendre aucun risque, car il craignait les foudres de son père, à partir de là, il la sodomisait chaque fois, oubliant sa chatte.
• Beau souvenir pour toi, et depuis as-tu recommencé à partouzer ?
• Non deux trois amants par ci, par là, mais rien de durable, juste entretenir ma chatte qui est gourmande.

C’est ainsi que cette jeune fille s’est dévoilée à moi, nous savions tout l’un de l’autre.
C’est trois semaines plus tard que les choses ont évolué.

• Fiston, j’ai décidé de faire venir Adeline chez nous, tu as ton studio à côté de la fac et tu n’es là que les week-ends, Violaine va prendre ta chambre et je vais demander à mes ouvriers d’aménager les combles, tu auras toute l'espace, mansardé pour toi.

C’est ce qui a été fait, jusqu’au jour où j’ai entendu frapper à la porte de mon studio.

• Ludo, je passais dans le coin, je suis venue voir comment tu étais installé, j’entends parler de toi sans pouvoir me mettre en tête l’endroit où tu vis.
• Arrête de dire des conneries.

C’est comme cela que je l’ai dénudé et qu’une fois sur mon lit, j’ai mis une capote avant de lui faire l’amour.
Elle y a pris goût, elle venait avec la voiture que mon père lui avait offerte et je la baisais comme ma maîtresse m’avait appris à le faire, la faisant jouir à chaque coup.
C’est un jour dans ma chambre sous les combles que m’ayant rejoint, la question m’a été posée.

• Sodomise-moi, Ludo.

Ce que femme veut, tout a été parfait jusqu’aux vacances, là nous n’avons pas pu nous cacher trop longtemps et ma belle-mère a accepté que sa fille soit maintenant comme elle une femme.
Mon histoire aurait pu s’arrêter là, mais en août, Adeline était partie quatre jours chez sa sœur à Thonon les bains quand un jour, j’étais dans la salle, le soleil étant trop chaud à baiser ma copine sur le canapé.
Elle était sur moi, ma verge la pénétrant, il était prévu que mon père vienne nous rejoindre vers dix-sept heures pour que nous allions au lac nous baigner.
Je ne voyais pas ce qui se passait dans mon dos.
J’ai senti que Violaine faisait un signe et j’ai senti une présence, j’ai vu une queue entrer dans la bouche de ma copine, regardant de plus près, c’était mon père qui se faisait faire une fellation pendant que je baisais.

Est-ce la confidence sur la partouze qu’elle avait faite dès le premier soir ou elle avait perdu son pucelage, mais là ou j’aurais dû la foutre dehors, je l’ai laissé avaler le sperme paternel en même temps que je lui remplissais la chatte.
Après un bain au lac réparateur, papa nous a payé le restaurant au bord du canal dans la vieille ville.
De retour à la maison, nous avons passé la nuit à la baiser, pour la première fois de sa vie et de la mienne aussi, nous lui avons offert une double pénétration.
J’ignore si pour mon père s’était une première, si nous avions posé la question, cela nous aurait semblé saugrenu.

Deux jours plus tard, je suis descendu de notre chambre, j’ai entendu un léger bruit dans la cuisine, je m’attendais à trouver Violaine avec mon père, c’était Adeline qui semblait regarder dans le jardin par la fenêtre.
Je m’approchais doucement, refermant mon peignoir sur mon corps nu, pour voir ce qui semblait l’intéresser.
Je regardais par-dessus son épaule, elle matait sa fille se faire prendre en levrette par mon père, je lui enserrais la poitrine ma main sur son sein.

• C’est beau quand ils font l’amour.
• Tu n’es pas jaloux Ludo, c’est drôle, est-ce que c’est parce que c’est ma fille, j’aurais arraché les yeux à ton père si je l’avais vu me tromper avec une autre.
• Je vois les choses comme toi.

Je regardais par-dessus son épaule, elle matait sa fille se faire prendre en levrette par mon père, je lui enserrais la poitrine ma main sur son sein.
Je la prends sous les fesses et je la pose sur le plan de travail, j’entre en elle la faisant hurler de plaisir sans me rendre compte que sa voix porte jusque sur la pelouse.

• Maman, je vois que Ludo vient de te donner du plaisir autant que Paul vient de m’en donner.
• Tu ne m’en veux pas, ma chérie.
• Et toi ?

C’est le seul dialogue que les deux femmes échangent alors que mon père me fait un clin d’œil.

Dans les mois qui ont suivi, plusieurs événements se sont succédé, Paul a épousé Adeline, dans la même cérémonie, j’ai épousé Violaine.
Je la retourne et sa bouche vient sur la mienne, sa main descend entre les pans de mon peignoir et me saisit la verge, je bande aussi fort que je le fais avec Violaine.
Elles étaient contentes si elles se retrouvaient enceintes en même temps.
Comme nous baisions l’une ou l’autre sans nous préoccuper de qui est qui, il se peut que ce soit la même verge qui leur place la petite graine ou que nous engrossions la femme de l’autre.
Nous nous en fichons de qui aura apporté quoi à l’autre, les gènes sont les mêmes et notre amour au même niveau.
Attention, aucune perversité dans nos rapports, nos femmes n’ont jamais un geste déplacé l’une envers l’autre.
Nous les hommes non plus, sauf quand nous prenons l’une ou l’autre en double pénétration, je suis dans l’obligation de sentir sa verge à travers le périnée de nos femmes et amantes.

Nous nous en fichons de qui aura apporté quoi à l’autre, les gènes sont les mêmes et notre amour au même niveau.
Je vous laisse, malgré leur grossesse, nos femmes, avec mon père, attendent près de la piscine que nous avons fait construire pour une petite partie carrée.

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