COLLECTION HISTOIRE COURTE. Plus cradingue impossible (1/1)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION HISTOIRE COURTE. Plus cradingue impossible (1/1) Histoire érotique Publiée sur HDS le 30-05-2020 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION HISTOIRE COURTE. Plus cradingue impossible (1/1)
- On te paye un coup mec ?
- Refusé un verre à un rupin ce serait un manque de goût.
- Alain, non, c’est impossible.
- Depuis quand c’est toi qui dis oui ou non sur ton partenaire d’une nuit.
Tu croyais que j’allais te regarder baiser par le même genre de gigolo que celui de samedi dernier.
On était bien d’accord, je choisis et si le mec est d’accord tu es à lui le temps qu’il veut jusqu’au matin.
Regarde cet athlète, bien grand, bien bâti, un vrai roc, il doit en avoir une grosse.
- Eh !
Tu le payes ce verre, moi j’ai soif.
De quoi parlez-vous ?
Je m’en fous du moment que tu payes.

Je m’appelle Joëlle, j’ai 20 ans, je suis mariée depuis mes 18 ans avec Alain cet homme de presque 50 ans.
C’était mon prof de math.
J’ai eu des soucis pour mon bac, il m’a donné des cours particuliers et m’a séduite sans jamais me toucher.
Je lui ai dit oui au grand dam de ma famille.
Mon mari car je l’ai épousé est plus vieux que mon père qui m’a eu à 25 et maman 24.
Le soir de mes noces, je pensais perdre mon pucelage, mais mon mari a été dans la salle de bains de la chambre d’hôtel et en est ressorti sans me toucher se couchant à mes côtés.
Au bout de huit jours, pendant son sommeil, j’ai cherché son sexe pour le faire bander.
J’aurais trouvé une chatte ça aurait été la même stupeur.
Un eunuque, j’avais épousé un eunuque.
Il devait m’avouer que jeune, il s’était fait mordre par un chien sur une plage qui s’était empresser de becqueter ce qu’il lui avait arraché.
Il voulait que nous ayons un enfant et étant dans l’impossibilité de me le faire il m’a proposé d’avoir des amants qu’il choisirait.
Au début j’ai refusé mais l’envie de sexe et surtout d’enfants on fait que j’ai accepté.
À ce jour, j’en ai eu trois tous trouvés dans des boîtes de nuit.
Trois, des amants, aucun enfant malgré les baises pratiquées avec eux.
Ce soir chou blanc, j’ai chauffé deux trois mecs, quand je leur aie dit que mon mari voulait assister ils sont partis en courant.
C’est dans un café encore ouvert que mon mari semble vouloir me choisir cet homme pour le restant de la nuit.

- Comment trouves-tu ma femme ?
- Donne-moi mon verre et je te le dirais.

Le verre arrive, il le boit cul sec.

- Alors !
- Belle femme, elle est mannequin ou Miss France.
- Tu veux la baiser.
- Adolphe arrête d’emmerder la clientèle, va te coucher.
- Laissez patron, c’est mon invité.
Alors, tu veux la baiser.
- On va chez vous !
- Non, quand je vois ta dégaine, je pense que ta bauge est du même acabit que tes vêtements.
On va chez toi.
- Alain, je t’en supplie.
- Poupette, depuis quand me contredis-tu ?
Adolphe emmène nous.
- J’ai un studio dans la cave de l’immeuble d’à côté, un vrai palace.

À ce stade de notre histoire, on doit se demander comment une jolie jeune femme comme moi peut rester sous la coupe d’un tel mari.
Âge, manque de verge et offerte selon son choix et son choisi.
Je l’aime, je connais une copine d’enfance qui se prostitue pour un bel Italien.
On est ainsi fait les femmes, même si j’atteins des sommets.
Une palissade, une planche pivotante et nous descendons quelques marches dans ce qui doit être un squat.

- Regardez mon château, j’ai l’eau et le courant à l’œil.

Un fil entrant par la porte de cette cave, branché certainement de façon frauduleuse et un robinet qui coule tout le temps.
Une table avec une assiette remplie d’un reste d’une pâte infecte et une bouteille à moitié pleine d’un liquide incertain.
Une chaise sur laquelle Alain s’assoit et un matelas devant avoir fait la guerre de 14-18
- Joëlle montre tes seins à Adolphe, il y a longtemps qu’il a dû en voir des si beaux.

J’enlève ma veste et mon chemisier.
Quand nous partons en chasse, pas de sous-vêtements quand on a trouvé le mâle, seule la baise compte pour mon mari.

- Caresse là, tu vois elle est à toi.

Sa main aux ongles pourris s’approche de mon sein, je sens que mon corps réagit.
C’est bête mais dans ces moments de pure soumission à mon homme, dès que je suis en situation je mouille.
Dans cette bauge, c’est le sommet, j’atteins le point de non-retour de l’ignominie surtout quand le clodo me met sa langue dans ma bouche.
Ces chicots jaunis et l’odeur devrait me faire reculer mais je sais que c’était pour ces moments que ma mère m’a mise au monde.
Adolphe ayant du mal à tenir debout sort sa queue qui est loin d’être une flamberge pouvant m’honorer.
Il m’en faut plus pour me faire reculer surtout qu’au repos elle fait un bon 23 à 25.
Je la prends en main et je l’astique comme j’ai appris à le faire depuis qu’Alain a fait de moi une belle salope.
Je peux dire vu l’endroit et l’amant qu’il m’a choisi la reine des salopes.
Reine mais sans couronne sauf une bite dans ma bouche quand je m’agenouille sur ce matelas gluant de toutes sortes de choses répugnantes.
Je suis une bonne suceuse car elle finit par réagir mais loin de pouvoir entrer en moi.

C’est à ce moment qu’une chose inattendue se produit.
Mon homme sur sa chaise semble avoir du mal à respirer, il porte sa main à son cœur et s’écroule sur sa chaise.
Sur la table Adolphe prend la bouteille, commence par en boire une gorgée avant de relever la tête d’Alain et de lui en verser une rasade dans la gorge.

- Allongeons-le, il faut lui faire un massage cardiaque.

Après ma bouche, c’est dans celle d’Alain qu'Adolphe souffle en lui massant la poitrine.

- Inutile d’essayer d’appeler avec ton portable, va au bistrot appeler les secours, il va crever !

Je remets ma veste montrant la moitié de mes seins.
Quand je suis de retour Adolphe a mis mon chemisier sur le visage d’Alain.
Les secours arrivent après avoir brisé le cadenas de la palissade de cet immeuble à démolir.

- Où l’emmenez vous ?
- À la morgue madame, vous ferez les démarches demain.

La police est là.

- Voulez-vous que nous vous ramenions chez vous madame ?
- Attendez.

Adolphe va dans un coin de la cave et cherche dans un tas de veilles oripeaux.
C’est drôle comme il est précis semblant avoir dessoûlé.

- Conduisez-nous à cette adresse.

Il a dans les mains un trousseau de clefs avec une carte où semble être marqué une adresse.

Il y a trois ans que nous avons dispersé les cendres d’Alain dans le jardin des souvenirs.
Adolphe, pardon Christian pourquoi Adolphe, même lui est incapable de le dire.
Il s’amuse avec notre fils ayant deux ans.
Notre fils Alain fruit de l’amour et de cette verge de 23,8 centimètres est né après que nous avons eu fait l’amour partout et de nombreuses fois dans notre hôtel particulier.
Christian était et va peut-être aujourd’hui redevenir le grand chirurgien qu’il était si l’ordre des médecins l’autorise à reprendre son métier dans sa clinique.
Il a un associé qui a fait tourner la boutique quand il a disparu à la suite de la mort de Radia son épouse à la naissance de son fils.
Il a pété les plombs, aimant tellement cette jeune femme rencontrée lors d’un congrès à Meknès au Maroc.
Cette jeune femme de 22 ans comme moi avaient des diplômes de la faculté des sciences juridiques, économiques et sociales de Meknès.
Elle l’avait suivi en France et ils étaient heureux jusqu’à cet accident de la vie.

De mon côté, Alain nom qu’il a accepté que nous donnions à notre fils m’a laissé avec un joli pactole.
Nous avons ajouté Alain Marc nom qu’avec Radia sa compagne ils avaient choisi la veille de l’accouchement fatidique.
Alain se savait cardiaque et avait souscrit une grosse assurance-vie dès notre mariage.
Tout va bien dans ma vie Christian a retrouvé son lustre d’antan après une opération des dents par un de ses amis chirurgiens-dentistes qui lui a mis des implants et remis deux râteliers tous neuf.
Bien sûr, je lui ai donné un bon bain dès que nous sommes arrivés le premier soir.
Barbes et cheveux ont été coupés et coiffés et il a retrouvé ses costumes trois-pièces sur mesure.
Un seul point me rappelle où je l’ai rencontré.
Depuis la première fois qu’il m’a pris dans ses bras pour m’embrasser, comme je l’ai dit, il me fait l’amour partout.
Partout sauf dans notre lit mais surtout sur un matelas acheté spécialement pour le mettre sur la terrasse donnant sur le centre-ville où nous habitons.
Le soir il se couche à mes côtés mais dans la nuit il va le rejoindre.
Il a tellement dormi à la dure dans sa cave qu’un lit est trop mœlleux.

Chaque année, nous apportons des fleurs sur ce carré de terre ou reposent les cendres d’Alain, Radia et de leur bébé.
Voilà, le destin qui est le mien surtout quand mon mari me rentre ses 23,8 centimètres dans le vagin.
Je viens de le rejoindre me réveillant en manque.
Mince, un orage.
Il est profondément en moi, il a fait si chaud que les grosses gouttes qui tombent sur mon dos déclenchent mon orgasme.
Dans les yeux et ma tête un matelas 14-18 est toujours présent quand je jouis, jusqu’à quand.

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