COLLECTION HISTOIRE COURTE. Pourquoi m’as-tu laissé faire ça (1/1)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-05-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION HISTOIRE COURTE. Pourquoi m’as-tu laissé faire ça (1/1)
- Jean pourquoi m’as-tu laissé faire ça ?
- Tu te fiches de ma gueule, je te retrouve dans la chambre de nos amis en levrette une bite dans la chatte et l’autre dans ta bouche et ça va être ma faute espèce de grosse salope.
- Je sais mais évite de m’accabler, j’ai perdu la tête pour la première fois de ma vie et de notre mariage.
Quand j’ai vu que ça partait en vrille, je t’ai cherché du regard et tu brillais par ton absence.
- J’étais sur la terrasse avec Alice et Albert à parler du match de l’équipe de France de rugby au Pays de Galles sans penser que ma chère épouse, mère de mes enfants, était une salope qui se faisait tringler par deux mecs et des potes de surcrois.
Qui me dit que ces pratiques sexuelles se produisaient pour la première fois et que depuis de longs mois, tu te fais baiser par le premier venu.
- Chéri, crois-moi c’est la première fois qu’un homme me touchait.
- Tu rigoles, tu dis un, tu as fait fort, deux d’un coup je te rappelle.
- Deux si tu veux, mais c’est pareil tu m’avais abandonné.
- Ça recommence, dit que tu as voulu réaliser un fantasme comme j’en ai mais je sais les refréner.
- Tu semblais assez doué à croire que tu avais fait ça toute ta vie alors que tu me refuses ce plaisir.
- Je te jure sur la tête de nos enfants avec les quelques verres que tu m’as fait boire, j’ai perdu la tête et quand il me la mise dans la bouche je me suis laissé faire.
Mais pourquoi m’as-tu laissé faire ça !
Ça recommence, c’est un travers de Lucie ma femme, il faut toujours qu’elle essaye de me culpabiliser.
Pour une fois, j’ai un avantage, la voir se donner à ces mecs m’a fait mal, mais au fond de moi, j’ai envie de profiter de la situation.
Depuis la naissance de Paul notre second et notre roi, c’est devenu un peu plat entre nous.
Tout le temps, son fils revient sur le tapis.
Paul va nous entendre.
Paul pleure, va voir ce qu’il a.
Ce soir, nous sommes tranquilles, Paul et Virginie sa sœur, deux prénoms choisis par Lucie et surtout sa mère qui trône en photo sur la table de salon.
Bonjours l’envie de baiser quand lorsque vous baissez les yeux mollement assis dans votre fauteuil quand un cerbère vous regarde.
Je dégrafe mon pantalon le laissant tomber au sol sortant ma bite de mon boxer.
- Si tu as su faire ça, tu dois savoir sucer la mienne.
Tu sais celle de ton mari celui à qui tu as juré fidélité dans cette putain d’église où ta mère m’a obligé à me rendre pour que tu me dises oui.
- Ma mère, toujours ma mère, tu es bien contente de la trouver pour garder nos enfants pour aller parler sport avec tes copains.
Tu es contente qu’elle les prenne chez elle tous les samedis soir pour sortir ou pour pouvoir nous lever à 7 heures pour aller faire notre jogging du dimanche.
Là elle marque un point, c’est le cas ce soir, ils dorment dans le pavillon voisin ce qui est pratique.
On les fait manger, on les lave en pyjama et on les dépose jusqu’au lendemain midi où nous allons manger avant de les récupérer.
Mais je tiens à avoir le dernier mot pour une fois que j’ai l’avantage dans notre couple.
- Content de quoi, que tu profites de ce que ta mère garde nos enfants pour aller te conduire comme une salope, alors suce, sinon.
Je laisse la suite en suspens surtout qu’elle s’agenouille et me prend la bite en main geste qui fait partie de mes fantasmes surtout quand sa bouche s’avance et que je sens sa glotte sur mon gland.
Dans mes rêves les plus fous et les plus érotiques, sa bouche prend mon gland et je me mets à bander.
Là c’est en gorge profonde qu’elle me suce m’amenant à la limite de l’éjaculation.
Je décide de faire diversion.
- Tu suces bien, mais tu es loin d’apaiser mon courroux, toi la femme de ma vie, la mère de mes enfants.
Baiser avec deux mecs, cette image est gravée à jamais dans ma rétine.
- Que veux-tu que je fasse d’autre, je te promets de faire un effort pour me faire pardonner ?
Mais pourquoi étais-tu absent quand Luc et Mathieu m'ont emmené dans la chambre et m’ont déshabillé ?
Je prends la table du salon que je balaye du bras faisant chuter le cadre de belle-maman qui s’écrase dans un bruit de verre brisé.
- Maman !
- Criais-tu maman quand Luc te pilonnait la chatte qui doit être encore pleine du foutre qu’il y a craché ?
Soulève ta jupe et à genoux, j’encule ta mère et à sec encore.
- Évite d’être grossier, maman est une veuve digne qui va à l’église à Pâques et à Noël.
Ces déviances sexuelles, je suis sûr qu’elle ignore même leurs existences.
- En attendant dépêche de te mettre à genoux tout à l’heure tu semblais apprécier la levrette.
Elle s’exécute relève sa jupe sur son joli cul et s’agenouille sur la table du salon amenant son sexe à bonne hauteur.
Je lui arrache son string rose que je lui ai offert pour son anniversaire avant de présenter mon sexe à la porte interdite emmenant les sodomites au bucher dans les siècles derniers.
- Je t’ai dit, pas ça !
- Crois-tu que je vais mettre ma bite dans une chatte débordant du sperme de ta turpitude ?
Prends ça.
Et sans attendre, à sec je la pénètre.
Elle est subjuguée oubliant même de crier alors que ma verge l’a certainement déchiré.
Le gland passé, je sens mes couilles battre ses fesses la sodomisant pour la première fois.
Profitant de mon avantage, je lui prends les hanches et à grands coups de bite je me fore un chemin définitif dans son conduit anal.
- Tu me fais mal, mais je te le répète pourquoi m’as-tu laissé faire ça.
- Je suis bien en peine de te dire comment tu t’es retrouvée empalée sur une bite et suçant l’autre mais ton anus vient de te sauver de mon courroux.
Tu viens de gagner le droit de garder tes enfants.
À mon tour même si cette première pénétration la laisse sans jouissance, je lâche la purée tapissant son anus comme sa chatte l’est déjà.
Elle s’écroule de la table, m’entraînant dans sa chute lovée dans les bras l’un de l’autre.
Nous mettons quelques minutes à émerger.
- Jean je t’aime, je te le promets, la déchirure de notre contrat aura été la seule fois dans ma vie.
Lorsqu’elle me dit ça mes yeux sont posés à quelques centimètres de la photo de belle-maman.
- Lucie, écoute-moi, tu vois la photo de ta mère sortie de son cadre, c’est à ranger dans le fond de notre bibliothèque.
Après ce que nous venons de faire, pour la première fois aussi bien fellation que sodomie, dès demain matin au lieu d’aller courir nous allons recommencer.
- Oh oui mon amour.
- Toute cette semaine, chaque soir je vais te sodomiser pour laisser bien ouvert le trou que je viens de forer ce soir !
- Oui mon amour.
- Dès demain tu vas faire deux choses.
La première, prévenir ta mère que samedi prochain elle gardera nos enfants comme ce soir.
- Pourquoi ?
- Pour la deuxième chose.
Tu appelleras tous nos amis présents à la soirée chez Alice et Albert ce soir pour leur dire que nous ferons une soirée chez nous.
- Je te vois venir chéri.
- Tu as raison, je veux te voir te faire prendre en double pénétration quand je serais dans mon fauteuil dans la chatte d’une des femmes de Luc et Mathieu.
Ils auront bien le droit de connaître la joie d’être cocu comme je l’ai été ce soir.
- Refait moi l’amour mon amour, je sens que ma chatte dégouline d’envie.
- Allons prendre un bain, je te prendrais dans l’eau ta chatte propre.
Je l’entraîne dans la salle de bain et lorsque l’eau à bonne température a rempli la baignoire nous nous prélassons avant que d’elle-même malgré la douleur qu’elle doit ressentie, elle s’empale sur mon pieu comme l’étaient les sodomites je l’ai déjà dit.
Un seul point peut presser d’éclaircir au moment où une nouvelle fois mes reins éclatent en gerbe de feu et de sperme.
Pourquoi a-t-elle fait ça ??
- Tu te fiches de ma gueule, je te retrouve dans la chambre de nos amis en levrette une bite dans la chatte et l’autre dans ta bouche et ça va être ma faute espèce de grosse salope.
- Je sais mais évite de m’accabler, j’ai perdu la tête pour la première fois de ma vie et de notre mariage.
Quand j’ai vu que ça partait en vrille, je t’ai cherché du regard et tu brillais par ton absence.
- J’étais sur la terrasse avec Alice et Albert à parler du match de l’équipe de France de rugby au Pays de Galles sans penser que ma chère épouse, mère de mes enfants, était une salope qui se faisait tringler par deux mecs et des potes de surcrois.
Qui me dit que ces pratiques sexuelles se produisaient pour la première fois et que depuis de longs mois, tu te fais baiser par le premier venu.
- Chéri, crois-moi c’est la première fois qu’un homme me touchait.
- Tu rigoles, tu dis un, tu as fait fort, deux d’un coup je te rappelle.
- Deux si tu veux, mais c’est pareil tu m’avais abandonné.
- Ça recommence, dit que tu as voulu réaliser un fantasme comme j’en ai mais je sais les refréner.
- Tu semblais assez doué à croire que tu avais fait ça toute ta vie alors que tu me refuses ce plaisir.
- Je te jure sur la tête de nos enfants avec les quelques verres que tu m’as fait boire, j’ai perdu la tête et quand il me la mise dans la bouche je me suis laissé faire.
Mais pourquoi m’as-tu laissé faire ça !
Ça recommence, c’est un travers de Lucie ma femme, il faut toujours qu’elle essaye de me culpabiliser.
Pour une fois, j’ai un avantage, la voir se donner à ces mecs m’a fait mal, mais au fond de moi, j’ai envie de profiter de la situation.
Depuis la naissance de Paul notre second et notre roi, c’est devenu un peu plat entre nous.
Tout le temps, son fils revient sur le tapis.
Paul va nous entendre.
Paul pleure, va voir ce qu’il a.
Ce soir, nous sommes tranquilles, Paul et Virginie sa sœur, deux prénoms choisis par Lucie et surtout sa mère qui trône en photo sur la table de salon.
Bonjours l’envie de baiser quand lorsque vous baissez les yeux mollement assis dans votre fauteuil quand un cerbère vous regarde.
Je dégrafe mon pantalon le laissant tomber au sol sortant ma bite de mon boxer.
- Si tu as su faire ça, tu dois savoir sucer la mienne.
Tu sais celle de ton mari celui à qui tu as juré fidélité dans cette putain d’église où ta mère m’a obligé à me rendre pour que tu me dises oui.
- Ma mère, toujours ma mère, tu es bien contente de la trouver pour garder nos enfants pour aller parler sport avec tes copains.
Tu es contente qu’elle les prenne chez elle tous les samedis soir pour sortir ou pour pouvoir nous lever à 7 heures pour aller faire notre jogging du dimanche.
Là elle marque un point, c’est le cas ce soir, ils dorment dans le pavillon voisin ce qui est pratique.
On les fait manger, on les lave en pyjama et on les dépose jusqu’au lendemain midi où nous allons manger avant de les récupérer.
Mais je tiens à avoir le dernier mot pour une fois que j’ai l’avantage dans notre couple.
- Content de quoi, que tu profites de ce que ta mère garde nos enfants pour aller te conduire comme une salope, alors suce, sinon.
Je laisse la suite en suspens surtout qu’elle s’agenouille et me prend la bite en main geste qui fait partie de mes fantasmes surtout quand sa bouche s’avance et que je sens sa glotte sur mon gland.
Dans mes rêves les plus fous et les plus érotiques, sa bouche prend mon gland et je me mets à bander.
Là c’est en gorge profonde qu’elle me suce m’amenant à la limite de l’éjaculation.
Je décide de faire diversion.
- Tu suces bien, mais tu es loin d’apaiser mon courroux, toi la femme de ma vie, la mère de mes enfants.
Baiser avec deux mecs, cette image est gravée à jamais dans ma rétine.
- Que veux-tu que je fasse d’autre, je te promets de faire un effort pour me faire pardonner ?
Mais pourquoi étais-tu absent quand Luc et Mathieu m'ont emmené dans la chambre et m’ont déshabillé ?
Je prends la table du salon que je balaye du bras faisant chuter le cadre de belle-maman qui s’écrase dans un bruit de verre brisé.
- Maman !
- Criais-tu maman quand Luc te pilonnait la chatte qui doit être encore pleine du foutre qu’il y a craché ?
Soulève ta jupe et à genoux, j’encule ta mère et à sec encore.
- Évite d’être grossier, maman est une veuve digne qui va à l’église à Pâques et à Noël.
Ces déviances sexuelles, je suis sûr qu’elle ignore même leurs existences.
- En attendant dépêche de te mettre à genoux tout à l’heure tu semblais apprécier la levrette.
Elle s’exécute relève sa jupe sur son joli cul et s’agenouille sur la table du salon amenant son sexe à bonne hauteur.
Je lui arrache son string rose que je lui ai offert pour son anniversaire avant de présenter mon sexe à la porte interdite emmenant les sodomites au bucher dans les siècles derniers.
- Je t’ai dit, pas ça !
- Crois-tu que je vais mettre ma bite dans une chatte débordant du sperme de ta turpitude ?
Prends ça.
Et sans attendre, à sec je la pénètre.
Elle est subjuguée oubliant même de crier alors que ma verge l’a certainement déchiré.
Le gland passé, je sens mes couilles battre ses fesses la sodomisant pour la première fois.
Profitant de mon avantage, je lui prends les hanches et à grands coups de bite je me fore un chemin définitif dans son conduit anal.
- Tu me fais mal, mais je te le répète pourquoi m’as-tu laissé faire ça.
- Je suis bien en peine de te dire comment tu t’es retrouvée empalée sur une bite et suçant l’autre mais ton anus vient de te sauver de mon courroux.
Tu viens de gagner le droit de garder tes enfants.
À mon tour même si cette première pénétration la laisse sans jouissance, je lâche la purée tapissant son anus comme sa chatte l’est déjà.
Elle s’écroule de la table, m’entraînant dans sa chute lovée dans les bras l’un de l’autre.
Nous mettons quelques minutes à émerger.
- Jean je t’aime, je te le promets, la déchirure de notre contrat aura été la seule fois dans ma vie.
Lorsqu’elle me dit ça mes yeux sont posés à quelques centimètres de la photo de belle-maman.
- Lucie, écoute-moi, tu vois la photo de ta mère sortie de son cadre, c’est à ranger dans le fond de notre bibliothèque.
Après ce que nous venons de faire, pour la première fois aussi bien fellation que sodomie, dès demain matin au lieu d’aller courir nous allons recommencer.
- Oh oui mon amour.
- Toute cette semaine, chaque soir je vais te sodomiser pour laisser bien ouvert le trou que je viens de forer ce soir !
- Oui mon amour.
- Dès demain tu vas faire deux choses.
La première, prévenir ta mère que samedi prochain elle gardera nos enfants comme ce soir.
- Pourquoi ?
- Pour la deuxième chose.
Tu appelleras tous nos amis présents à la soirée chez Alice et Albert ce soir pour leur dire que nous ferons une soirée chez nous.
- Je te vois venir chéri.
- Tu as raison, je veux te voir te faire prendre en double pénétration quand je serais dans mon fauteuil dans la chatte d’une des femmes de Luc et Mathieu.
Ils auront bien le droit de connaître la joie d’être cocu comme je l’ai été ce soir.
- Refait moi l’amour mon amour, je sens que ma chatte dégouline d’envie.
- Allons prendre un bain, je te prendrais dans l’eau ta chatte propre.
Je l’entraîne dans la salle de bain et lorsque l’eau à bonne température a rempli la baignoire nous nous prélassons avant que d’elle-même malgré la douleur qu’elle doit ressentie, elle s’empale sur mon pieu comme l’étaient les sodomites je l’ai déjà dit.
Un seul point peut presser d’éclaircir au moment où une nouvelle fois mes reins éclatent en gerbe de feu et de sperme.
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