COLLECTION HISTOIRE COURTE. Pute ou bourgeoise. (1/1)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 2411 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 4.2 • Cote moyenne attribuée par HDS : 10.6
- • L'ensemble des récits érotiques de CHRIS71 ont reçu un total de 12 038 474 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 12-06-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
Cette histoire de sexe a été affichée 4 134 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
COLLECTION HISTOIRE COURTE. Pute ou bourgeoise. (1/1)
- Jessica ?
- Oui.
- Entrez, vous êtes magnifique avec votre chevelure rousse.
Fidèle à votre photo.
1 000 €, les voilà comme prévu.
Mettez-vous à l’aise, il fait froid à l’extérieur.
Vous faites souvent appel à des putes, vous être malheureux dans votre ménage, pourtant vous êtes beau gosse.
J’éclate d’un grand rire qui traverse la chambre de cet hôtel de la ville voisine de celle où j’habite et où je travaille.
- Aucune méprise, je suis célibataire, cette alliance, c’est pour tromper les filles.
Beaucoup d’entre elles évitent les hommes mariés.
De plus, depuis ma jeunesse, j’ai toujours préféré les professionnelles aux petites pétasses qui vous piègent en se faisant faire un gosse dans votre dos.
Avec toi Jessica, tu viens, tu te déloques, je te baise, aucun sentiment.
On peut ce dire à la prochaine fois si ton petit cul m’a plu et que tu le tortilles bien.
- On va essayer monsieur mon client.
Il a un petit nom, c’est plus intime quand on baise.
- Christophe, 32 ans toutes mes dents et aucune difficulté pour tendre le bras.
- On va voir ça, montre-moi l’objet du délit.
J’ouvre mon pantalon.
Sous son manteau cette magnifique rousse est en mini et en boléro en cuir blanc.
Des bottes à la d’Artagnan avec des talons me semblant infini.
Jessica s’agenouille et sort ma queue.
Quand je baisse la tête, son boléro fermé simplement par un bouton me montre un soutien-gorge blanc lui aussi fort bien rempli ma foi.
- Si un jour tu te maries, ta femme aura dans les mains un joli paquet.
Cette pute me dit cela en me masturbant et me suçant.
C’est ce que j’aime avec les putes, elle coûte au départ, et puis c’est tout bénef.
Une femme, il faut la nourrir, la vêtir, la sortir dans les restaurants, s’emmerder avec ses règles, j’en passe et des meilleurs.
À oui, sans oublier qu’elle vous fond cocu, c’est vous qui l’entretenez pour qu’un autre la saute.
Avec Jessica quand je l’ai appelé sur son 06, donné par un copain, je savais qu’elle suçait.
Ça c’est normal à notre époque pour des putes.
Rare, voire inexistant celles qui refusent de sucer.
Elles acceptent toutes les positions et aiment se faire sodomiser.
Aime, je l’ignore, je leur présente ma verge et je vois la réaction.
Oui, je pousse, non, je me retire pour retourner vers le vagin.
Elles acceptent quelques claques sur leur postérieur, mais sont réfractaires pour certaines au sadomaso où toutes autres sortes de dépravation même le fist.
Fellation plus masturbation, je bande.
Les putes ont aussi leur avantage par rapport à des bourgeoises.
Elles savent calmer le jeu pour que la passe soit d’une durée à la hauteur du nombre de billets que vous avez alignés.
C’est ce que m’avait dit mon pote.
Jessica se lève, va se déshabiller rangeant ses affaires comme pourrait le faire une femme pour retarder le temps de se faire baiser par son mari.
Elles se sont pour le plaisir de vos yeux.
Elles le tortillent, le font rouler, vous excitant le plus possible.
Les femmes mariées, c’est pour mieux pouvoir vous tourner leurs culs en prétextant une migraine et vous disant à peine bonsoir.
Un pote m’a dit que la sienne, elle arrive à avoir ses règles tous les 15 jours.
Ça lui permet de se refuser deux fois, en moyenne dans le mois.
On comprend pourquoi dans ma vie je saute quatre-vingt-dix pour cents de tarifés.
- Tu m’offres une coupe, il y a des demi-bouteilles dans ces mini-bars.
Même au prix de la pute et de la demi-bouteille, tu es largement gagnant même si tu en payes deux fois par mois grâce à ton salaire.
J’ouvre le mini-bar la bouteille, deux coupes et nous trinquons.
Ce qu’il y a de bien avec les putes, c’est que la conversation est simple.
Inutile de l’interroger sur ce qu’elle est en dehors de cette chambre.
Vous feriez chou blanc où elle vous débitera les plus grandes balivernes qui passeront par son cerveau.
- Où veux-tu que nous allions, le lit, la moquette, la salle de bain les toilettes, tout est possible.
- Restons classique vient sur le lit.
J’ai débandé suce.
Courageuse la pute comme toutes ses copines.
Une épouse un peu bourge a du mal à accepter de sucer.
Jessica remet le couvert sa bouche me faisant repartir.
- En levrette !
- Aucun problème, chatte ou anus, tu peux m’enculer.
- Non, une autre fois, je pense que je te rappellerais.
Aujourd’hui, je veux finir dans ta bouche et que tu avales mon sperme.
- Au téléphone, tu m’as posé la question, je t’avais dit que j’aimais avaler.
Voilà, une belle levrette, une légère fellation et ce sont ses amygdales que j’arrose.
Elle va se laver la chatte et la bouche, vient remettre ses vêtements, reprend son sac alourdi de 1 000 € et salut.
Jessica, je sais au fond de moi que je la reverrais.
Qualité prix elle sait gagner son fric et je reste jusqu’au matin dans cette chambre.
Je l’ai payé avec petit déjeuner.
Si la soubrette qui vient me servir chaque fois faisait la pute, je me laisserais tenter.
Hélas, elle sait que je me fais des salopes moyennant monnaie, ça me flingue auprès d’elle.
Dans la vie, j’ai un bon copain Fred.
Nous nous sommes connus au club de foot où nous jouions.
Jouions, car si j’ai toutes mes dents, mes croisés ont souffert et j’ai arrêté ma carrière étant resté au niveau régional.
Il y a plusieurs semaines qu’il m’a parlé de sa rencontre avec une jeune institutrice nommée Christine et faisant l’école à des CM1 dans un petit village de l’autre côté de la ville où je vais me faire des putes.
C’est dans une boîte très près de l’hôtel où je vais me soulager les burnes qu’il m’a dit s’être rencontré.
Ce soir, bouteille de champagne en main, je sonne à son appartement.
Il a invité plusieurs de nos potes garçons et filles.
C’est lui qui m’ouvre et me guide vers la salle à manger.
Il m’a dit que sa fiancée était rousse.
Même si cette couleur de cheveux est peu fréquente, des rousses il y en a plusieurs sur terre et loin de moi l’idée que Jessica et Christine pouvait être une unique personne.
Une rousse de dos habillée comme une institutrice d’un petit village, quand elle se retourne je suis surpris à deux doigts de lui dire Jessica.
- Tu es Christine, je suis Christophe, le copain de foot de Fred.
- À la description qu’il a faite de vous, je vous aurais reconnu.
Grand et costauds.
- Arrêtez de vous vouvoyer, vous êtes amené à vous revoir, tutoyez-vous.
Rouge presque comme ses cheveux, mais elle voit que je ferme ma gueule alors elle se détend.
- Christophe, j’ai fait mon éternel gigot.
- Il paraît que tu es un spécialiste pour les découper.
Fred me l’a dit tout l’après-midi.
- Je vais dans la cuisine, tu viens Fred.
- Non, j’y vais, il faut que j’apprenne mon métier de femme au foyer.
Christophe on y va !
Cuisine, nous entendons Fred faire le show.
- Comment t’a rencontré mon copain ?
- Un soir, un client pingre m’a refusé la demi-bouteille de champagne.
J’avais soif, je suis passée devant la boîte, je suis rentrée, il était là.
Je vais bientôt arrêter de faire l’escorte, nous allons acheter une petite maison avec mes économies.
- Arrêter ça m’étonnerait.
- Pourquoi sors-tu ta queue ?
- Je découpe, tu suces, ton mec tient son auditoire.
La maîtresse d’école s’agenouille et me suce.
Même en tenue sage, elle suce divinement.
Elle avale au moment où je finis ma découpe.
- Ah, mon gigot, vous m’en direz des nouvelles.
Christine pose le saucier ici, je vais servir.
Il sert après que je me sois fait servir sur un plateau.
Le vendredi je sais que Fred est au foot.
À midi je fais le 06.
- Jessica, c’est Christophe, ce soir rendez-vous à la même heure que l’autre fois.
Chaque semaine, je te donnerais rendez-vous là-bas.
Il va sans dire que ce sera gratos.
Quand je disais qu’une femme mariée, c’était une pute.
Je fais mieux dès le vendredi quand elle entre dans la chambre où je suis nu sur le lit.
Pute et bourgeoise.
Pute quand le jour de leur mariage, elle me fait une fellation dans sa robe de mariée.
Et pute réelle quand en fin de soirée je la sodomise dans sa chambre de noces, mon copain Fred, bourré dormant sur la moquette au pied de son lit.
Cocu le jour de son mariage.
Fred aura fait la totale et j’ai trouvé la pute idéale qui va me faire faire des économies.
La vie va être belle pour nous trois.
- Oui.
- Entrez, vous êtes magnifique avec votre chevelure rousse.
Fidèle à votre photo.
1 000 €, les voilà comme prévu.
Mettez-vous à l’aise, il fait froid à l’extérieur.
Vous faites souvent appel à des putes, vous être malheureux dans votre ménage, pourtant vous êtes beau gosse.
J’éclate d’un grand rire qui traverse la chambre de cet hôtel de la ville voisine de celle où j’habite et où je travaille.
- Aucune méprise, je suis célibataire, cette alliance, c’est pour tromper les filles.
Beaucoup d’entre elles évitent les hommes mariés.
De plus, depuis ma jeunesse, j’ai toujours préféré les professionnelles aux petites pétasses qui vous piègent en se faisant faire un gosse dans votre dos.
Avec toi Jessica, tu viens, tu te déloques, je te baise, aucun sentiment.
On peut ce dire à la prochaine fois si ton petit cul m’a plu et que tu le tortilles bien.
- On va essayer monsieur mon client.
Il a un petit nom, c’est plus intime quand on baise.
- Christophe, 32 ans toutes mes dents et aucune difficulté pour tendre le bras.
- On va voir ça, montre-moi l’objet du délit.
J’ouvre mon pantalon.
Sous son manteau cette magnifique rousse est en mini et en boléro en cuir blanc.
Des bottes à la d’Artagnan avec des talons me semblant infini.
Jessica s’agenouille et sort ma queue.
Quand je baisse la tête, son boléro fermé simplement par un bouton me montre un soutien-gorge blanc lui aussi fort bien rempli ma foi.
- Si un jour tu te maries, ta femme aura dans les mains un joli paquet.
Cette pute me dit cela en me masturbant et me suçant.
C’est ce que j’aime avec les putes, elle coûte au départ, et puis c’est tout bénef.
Une femme, il faut la nourrir, la vêtir, la sortir dans les restaurants, s’emmerder avec ses règles, j’en passe et des meilleurs.
À oui, sans oublier qu’elle vous fond cocu, c’est vous qui l’entretenez pour qu’un autre la saute.
Avec Jessica quand je l’ai appelé sur son 06, donné par un copain, je savais qu’elle suçait.
Ça c’est normal à notre époque pour des putes.
Rare, voire inexistant celles qui refusent de sucer.
Elles acceptent toutes les positions et aiment se faire sodomiser.
Aime, je l’ignore, je leur présente ma verge et je vois la réaction.
Oui, je pousse, non, je me retire pour retourner vers le vagin.
Elles acceptent quelques claques sur leur postérieur, mais sont réfractaires pour certaines au sadomaso où toutes autres sortes de dépravation même le fist.
Fellation plus masturbation, je bande.
Les putes ont aussi leur avantage par rapport à des bourgeoises.
Elles savent calmer le jeu pour que la passe soit d’une durée à la hauteur du nombre de billets que vous avez alignés.
C’est ce que m’avait dit mon pote.
Jessica se lève, va se déshabiller rangeant ses affaires comme pourrait le faire une femme pour retarder le temps de se faire baiser par son mari.
Elles se sont pour le plaisir de vos yeux.
Elles le tortillent, le font rouler, vous excitant le plus possible.
Les femmes mariées, c’est pour mieux pouvoir vous tourner leurs culs en prétextant une migraine et vous disant à peine bonsoir.
Un pote m’a dit que la sienne, elle arrive à avoir ses règles tous les 15 jours.
Ça lui permet de se refuser deux fois, en moyenne dans le mois.
On comprend pourquoi dans ma vie je saute quatre-vingt-dix pour cents de tarifés.
- Tu m’offres une coupe, il y a des demi-bouteilles dans ces mini-bars.
Même au prix de la pute et de la demi-bouteille, tu es largement gagnant même si tu en payes deux fois par mois grâce à ton salaire.
J’ouvre le mini-bar la bouteille, deux coupes et nous trinquons.
Ce qu’il y a de bien avec les putes, c’est que la conversation est simple.
Inutile de l’interroger sur ce qu’elle est en dehors de cette chambre.
Vous feriez chou blanc où elle vous débitera les plus grandes balivernes qui passeront par son cerveau.
- Où veux-tu que nous allions, le lit, la moquette, la salle de bain les toilettes, tout est possible.
- Restons classique vient sur le lit.
J’ai débandé suce.
Courageuse la pute comme toutes ses copines.
Une épouse un peu bourge a du mal à accepter de sucer.
Jessica remet le couvert sa bouche me faisant repartir.
- En levrette !
- Aucun problème, chatte ou anus, tu peux m’enculer.
- Non, une autre fois, je pense que je te rappellerais.
Aujourd’hui, je veux finir dans ta bouche et que tu avales mon sperme.
- Au téléphone, tu m’as posé la question, je t’avais dit que j’aimais avaler.
Voilà, une belle levrette, une légère fellation et ce sont ses amygdales que j’arrose.
Elle va se laver la chatte et la bouche, vient remettre ses vêtements, reprend son sac alourdi de 1 000 € et salut.
Jessica, je sais au fond de moi que je la reverrais.
Qualité prix elle sait gagner son fric et je reste jusqu’au matin dans cette chambre.
Je l’ai payé avec petit déjeuner.
Si la soubrette qui vient me servir chaque fois faisait la pute, je me laisserais tenter.
Hélas, elle sait que je me fais des salopes moyennant monnaie, ça me flingue auprès d’elle.
Dans la vie, j’ai un bon copain Fred.
Nous nous sommes connus au club de foot où nous jouions.
Jouions, car si j’ai toutes mes dents, mes croisés ont souffert et j’ai arrêté ma carrière étant resté au niveau régional.
Il y a plusieurs semaines qu’il m’a parlé de sa rencontre avec une jeune institutrice nommée Christine et faisant l’école à des CM1 dans un petit village de l’autre côté de la ville où je vais me faire des putes.
C’est dans une boîte très près de l’hôtel où je vais me soulager les burnes qu’il m’a dit s’être rencontré.
Ce soir, bouteille de champagne en main, je sonne à son appartement.
Il a invité plusieurs de nos potes garçons et filles.
C’est lui qui m’ouvre et me guide vers la salle à manger.
Il m’a dit que sa fiancée était rousse.
Même si cette couleur de cheveux est peu fréquente, des rousses il y en a plusieurs sur terre et loin de moi l’idée que Jessica et Christine pouvait être une unique personne.
Une rousse de dos habillée comme une institutrice d’un petit village, quand elle se retourne je suis surpris à deux doigts de lui dire Jessica.
- Tu es Christine, je suis Christophe, le copain de foot de Fred.
- À la description qu’il a faite de vous, je vous aurais reconnu.
Grand et costauds.
- Arrêtez de vous vouvoyer, vous êtes amené à vous revoir, tutoyez-vous.
Rouge presque comme ses cheveux, mais elle voit que je ferme ma gueule alors elle se détend.
- Christophe, j’ai fait mon éternel gigot.
- Il paraît que tu es un spécialiste pour les découper.
Fred me l’a dit tout l’après-midi.
- Je vais dans la cuisine, tu viens Fred.
- Non, j’y vais, il faut que j’apprenne mon métier de femme au foyer.
Christophe on y va !
Cuisine, nous entendons Fred faire le show.
- Comment t’a rencontré mon copain ?
- Un soir, un client pingre m’a refusé la demi-bouteille de champagne.
J’avais soif, je suis passée devant la boîte, je suis rentrée, il était là.
Je vais bientôt arrêter de faire l’escorte, nous allons acheter une petite maison avec mes économies.
- Arrêter ça m’étonnerait.
- Pourquoi sors-tu ta queue ?
- Je découpe, tu suces, ton mec tient son auditoire.
La maîtresse d’école s’agenouille et me suce.
Même en tenue sage, elle suce divinement.
Elle avale au moment où je finis ma découpe.
- Ah, mon gigot, vous m’en direz des nouvelles.
Christine pose le saucier ici, je vais servir.
Il sert après que je me sois fait servir sur un plateau.
Le vendredi je sais que Fred est au foot.
À midi je fais le 06.
- Jessica, c’est Christophe, ce soir rendez-vous à la même heure que l’autre fois.
Chaque semaine, je te donnerais rendez-vous là-bas.
Il va sans dire que ce sera gratos.
Quand je disais qu’une femme mariée, c’était une pute.
Je fais mieux dès le vendredi quand elle entre dans la chambre où je suis nu sur le lit.
Pute et bourgeoise.
Pute quand le jour de leur mariage, elle me fait une fellation dans sa robe de mariée.
Et pute réelle quand en fin de soirée je la sodomise dans sa chambre de noces, mon copain Fred, bourré dormant sur la moquette au pied de son lit.
Cocu le jour de son mariage.
Fred aura fait la totale et j’ai trouvé la pute idéale qui va me faire faire des économies.
La vie va être belle pour nous trois.
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par CHRIS71
0 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Soyez le premier à donner votre avis après lecture sur cette histoire érotique...