COLLECTION HOMME FEMME. En Famille (3/5)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION HOMME FEMME. En Famille (3/5) Histoire érotique Publiée sur HDS le 13-06-2019 dans la catégorie Entre-nous, les femmes
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COLLECTION HOMME FEMME. En Famille (3/5)
COLLECTION HOMME FEMME. En Famille (3/5)
- Tu sais la tête des femmes, c’est bien, mais je suis sûr qu’avec ce que vous avez dépensé aujourd’hui, nous avons intérêt à ce que la Bourse soit en hausse demain, voire toute la semaine.

Après le repas cette phrase dite sur les dépenses des femmes, il la prend en pleine figure, car je joue au cul tourné et même une petite sodomie, ma nuisette étant relevée, il l’oublie.

Je suis éreinté, mais je reste éveillé en repensant à tout ce qui me donne comme signale de qui est la personne qui m’a caressé le sein.
Lorsque Paul dort profondément, je me lève.
Lorsque j’ouvre la porte de la chambre, j’entends un grincement, signalement certainement à celui qui est venu la nuit dernière que je fais mouvement.
J’ai raison, car la porte voisine qui est une chambre lorsqu’avec Isabelle, j’ai visité est entrouverte.
Je le vois grâce à la lampe de sécurité dans le couloir, je vois une main en sortir et m’attraper pour m’attirer.
Pas un mot, mais une poitrine sur ma poitrine, une main qui m’arrache ma nuisette et une bouche sur ma bouche avant de me faire chavirer sur le lit.
Nous sommes dans le noir, mais je n’ai aucun doute, ma future belle-mère vient de passer à l’offensive et tient à me donner du plaisir en en prenant, elle aussi.

Je sens sa main venir entre mes cuisses et les écartés pour pénétrer mes grandes lèvres et trouver mon clitoris.
Je me pâme, j’ai tout de suite un problème, je voudrais voir celle qui veut me donner du plaisir.

- Isabelle, tu peux allumer, j’aimerais que l’on se voie.

Je sens qu’elle se tortille et quels appuis sur le bouton qui donne une lumière tamisée dans la chambre.
Dans ce mouvement sa chatte qui est nue se trouve à porter de ma bouche et de ma main, j’en profite surtout de son clito qui est très développé.
Comme pour Adelia en Italie, je vois sortir de sa chatte un premier jet de cyprine qui vient arroser mon visage.
Mon expérience en ce domaine, je m’en sers.
Au fur et à mesure que la vulve de celle qui devient ma maîtresse me remplit la bouche au point que j’ai beau ingurgiter le plus vite possible cette salve de liquide, j’en prends plein la figure.
Une grande partie va se perdre dans les draps, la source semble se tarir et c’est le chant d’amour au moment où pour la première fois je la fais jouir avec ma langue et mes dents mordillant son excroissance, qu’elle atteint son premier orgasme avec moi.
Au moment où elle veut elle aussi m’amener au plaisir en revenant vers ma source au lieu d’avoir du remords d’avoir trompé Paul avec sa mère, je suis fière d’avoir séduit une femme de sa classe.

C’est au matin que je trouve le sommeil après bien des orgasmes qu’elle fait déferler par vagues en moi.
Ce sont mes seins qui semblent porter toute son attention.
Elle s’amuse avec mes mamelons qui au vu de leur grosseur semblent la fasciner.
J’adore lorsqu’elle me fait relativement mal, je dois reconnaître que je lui donne quitus de m’en redonner.

- Julie, tu sembles aimée lorsque je te pince et que je tords le bout des seins, es-tu toute à moi ?
- Tu le vois bien, suis-je retourné vers ton fils ?
- Je te l’interdis, sauf pour qu’il te fasse un enfant.
- Il y a plusieurs jours que j’ai arrêté la pilule.
Il le souhaitait peut-être que je suis déjà enceinte, on le saura dans huit jours, je devrais avoir mes règles et j’ai toujours été réglé au jour près.
- Alors, tu restes avec moi, tu retourneras vers lui si cela à échoué.
Je refuse de te partager.
Chérie, tu sembles connaître les femmes fontaines, raconte-moi.

Je lui raconte ma liaison avec Adelia à Rome et je lui dis qu’elle m’avait parlé de femmes fontaine à très grande quantité de cyprines expulsées de sa chatte.
Nous prenons un bain ensemble dans notre salle de bains aussi jolie que celle dans la chambre de mon fiancé.
Il est drôle que j’aie déjà intériorisé que la chambre d'Isabelle et sa salle de bains sont maintenant la nôtre et que j’accepte que ma vie bascule.

Chez mes beaux-parents le petit déjeuner est pris à 8 heures tapantes et chacun de nous porte une tenue de lever avant d’aller nous habiller pour la journée.
Elle me prête l’une d’elles, car lors des essayages hier nous avons constaté que nous avions la même morphologie et la même taille de vêtements.
Lorsque nous arrivons, les deux hommes sont déjà là à lire leurs journaux et aucun des deux ne lève la tête.

- Bonjours mesdames avez-vous passé une bonne nuit ?

Isabelle semble l’entendre et reste silencieuse.
Je me garde bien moi aussi de répondre et nous nous installons.

- Paul as-tu suivi mon conseil, as-tu mis un peu d’agent sur ce que je t’ai dit la semaine dernière ?
- Non, pourquoi ?
- Tu as eu tort, je fais Banco, la journée d’hier me rapporte près d’un million d’euros si je fais les plus ou les moins.
- Super Robert, j’ai à peine gagné 50 000 €.

Il parle de leurs millions de leurs milliers d’euros comme s’ils demandaient combien de sucre voulez-vous dans votre café.
Je crois que Paul a du mal à analyser qu’avec ce qu’il vient de gagner en une journée, il pourrait payer la presque totalité du restaurant pour les invités de sa seule famille, car je serais seule représentante de la mienne.
Il va falloir que je voie avec Isabelle pour qu’elle me trouve des témoins.

- Chérie, viens te préparer, je t’emmène au restaurant.
À ce soir, boursicoter bien.
- Robert puis-je te demander un conseil, on me propose d’investir dans une recherche de pétrole en Guyane, qu’en penses-tu ?
- Erreur fondamentale, les tuyaux que j’ai vont faire dégringoler le titre, les éoliennes voilà le prochain coup à jouer, mets le paquet, tu vas faire la culbute.

Isabelle à raison, lorsqu’elle leur a dit à ce soir, ils ont continué leurs affaires sans plus pour autant faire attention à nous.
Nous profitons de ce que les hommes soient dans la salle pour passer toutes mes affaires dans la chambre d'Isabelle et nous nous prélassons dans un bon bain chaud jusqu’aux environs de midi où nous sortons.
Comme la veille le taxi nous attend et nous conduit au pied de la butte Montmartre à la place Clichy où il nous dépose devant un restaurant de fruits de mer où nous mangeons des huîtres réputées aphrodisiaques.
Pendant le repas nos hommes sont en partie la source de notre conversation.

- Tu as entendu Robert à gagner près d’un million d’euros hier, regarde comme je vais pouvoir faire chauffer ma Carte bleue.
Mon fils t’a ouvert un compte commun sur ce qu’il gagne.
- Non, je tiens à garder mon indépendance et à vivre avec les 2 000 € que je gagne à l’ambassade de France.
- Sûrement pas, je vais voir avec lui pour qu’il t’accorde une rente mensuelle.
Crois-moi, il est rare qu’il gagne si peu en empochant 50 000 € sur une affaire, il est comme son père, c’est un requin de la finance.
- Je peux te poser une question.
- Bien sûr, chérie je ne veux rien, te cacher.
- Tu baises toujours avec Robert puisque vous semblez tous l’appeler comme cela.
- Dieu m’en préserve, il a arrêté le jour où j’ai commencé à être une femme fontaine.
C’est à la naissance de Paul qu’après ma césarienne mon corps s’est mis à déverser les flots de cyprine que tu as reçus hier au soir.
Je t’ai dit que je te dirais la vérité, peut-être que c’est l’amant que j’ai eu dans cette période qui a su me faire jouir.
Depuis mon mariage, j’étais frigide et lorsque Daniel a su ouvrir mes vannes, elles sont toujours restées ouvertes.
Robert a su que je l’avais trompé par un homme bien intentionné qui souhaitait me récupérer.
Il m’a mis le marché en main et vu l’argent que je risquais de perdre, j’ai tout de suite choisi.
Mal m’en ai pris, car le jour où Robert a voulu me prendre, je lui ai arrosé les jambes et depuis nous sommes restés sans baiser.
J’ai eu des aventures féminines avec quelques amies et comme j’ai vite compris que cela, il me le tolérait, j’ai choisi les aventures féminines.
- Et moi pourquoi as-tu pris le risque à ce que cela se passe mal surtout avec ton fils ?
- Dès que je t’ai vu et après les conversations que j’ai eues avec Paul au téléphone, j’ai compris que c’est la copie conforme de son père et qu’il souhaite faire une fin à presque 30 ans.
T’ayant trouvé et dès que tu as accepté de lui apporter une descendance, il est revenu à sa seule passion pour prendre son pied, les millions qu’ils encaissent.
Comme tu m’as subjugué lorsque je t’ai vu à l’aéroport, l’autre nuit lorsque la porte de votre chambre a grincé, je t’ai rejointe, mais j’ai hésité à aller jusqu’au bout ce soir-là.
Viens, on va s’encanailler en remontant le boulevard qui va jusqu’au Moulin Rouge.

Pour une femme comme elle ces boutiques de sexes les unes suivant les autres semblent beaucoup l’intéresser.

- Tiens de la lingerie coquine, pour fêter notre nuit et les suivantes que je veux de plus en plus ardentes, je t’offre quelques modèles, viens, on va choisir.

Nous passons un certain temps dans la boutique ou à chaque essayage, Isabelle en profite pour caresser mon corps m’amenant au bout d’un moment à la limite du plaisir.

- Petite coquine, tu voudrais jouir sans moi, attends à la maison, je vais sortir ce qu’il faut pour te faire comprendre que ton plaisir m’appartient sinon la porte est ouverte et tu retournes à ta triste vie programmée par mon fils après ton mariage.

Argent et amour quand tu nous tiens, il va sans dire que c’est bras dessus bras dessous que nous sortons nos paquets en main.

- Regarde une boutique on l’on pose des piercings, j’ai toujours rêvé d’en avoir, mais j’ai peur de la douleur et j’ai toujours reculé.
Tu m’aimes…

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