COLLECTION HOMME - FEMME. L’interview impossible ou la chance du débutant (1/3)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-09-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION HOMME - FEMME. L’interview impossible ou la chance du débutant (1/3)
Cette histoire, c’est l’histoire de ma vie dans les années 70 quand j’ai fini mon service militaire encore obligatoire dans la marine.
Pas de famille, pas de piston donc douze mois sous les drapeaux.
Parisien avant d’être incorporé, c’est à Hourtin que j’ai fait mes classes avant d’être affecté au caisson de sécurité de la base des sous-marins de Toulon.
Aucune connaissance dans les systèmes d’incendies, mais la chance de me retrouver avec un second-maître ayant fait l’école de sécurité des sous-offs de Cherbourg.
Par chance, comme moi, il était aussi parisien.
L’Est pour lui, Sud de Paris pour moi.
Dans la marine, ce qu’ils appellent « les pays », est très important et nous nous sommes très bien entendu.
Jeune mariée avec Ludivine, j’ai même mangé chez eux les samedis et certains dimanches afin de regarder le tournoi des cinq nations en ces temps-là.
Un an pénard et un an à apprécier la quiétude de la Côte d’Azur.
J’avais dans l’idée de devenir journaliste sur Paris aussi à quelques jours de la quille, je m’offre le culot de me présenter au journal Var-Matin.
J’ai eu la première chance du débutant, cet homme aimait les jeunes ayant du culot et me dit.
- Fiston, tu finis ton armée vendredi, connais-tu Raya !
- La jeune chanteuse qui a sorti deux tubes de suite, numéro un des ventes et du « Top 50 » sur Europe 1.
- Avec ces informations tu as déjà deux lignes pour le papier que nous pensons sortir à la fin du mois.
Ramène-moi cinquante lignes sur elle et je t’embauche.
J’espère que tu es bon en Français, mais je verrais bien, je te relierais.
Pour t’aider, elle vient d’acquérir une villa sur les hauteurs de Nice, gardée par trois gros bras payés par sa maison de disques.
Je t’offre une ou deux lignes de plus en décrivant cette villa.
Tient, voici 2 000 francs d’avance sur tes frais et une carte de presse à durée limitée qui pourra te servir si le besoin s’en fait sentir.
Dans ce milieu, il est facile de se faire casser la gueule par un mari jaloux ayant appelé la police.
Tu leur montreras ta carte, ça devrait les calmer.
Voilà comment j’ai été engagé pour faire cette pige sur Raya.
Dès le vendredi soir, j’ai pris la route de Nice jusqu’à la rue où se trouve la villa de la jeune chanteuse.
Un grand mûr impossible à franchir surtout que je suis toujours en tenue de Marin.
Mes effets personnels ont refusé de s’agrandir après cette année ou en plus de mon travail au caisson de sécurité, j’ai fait énormément de sport.
Je fais le tour du quartier, une ruelle sur le côté.
Je vais être obligé de trouver des éléments indirects pour monter mon article.
Mais ou trouver ces éléments !
Je me démène dans les boutiques, même les bars.
Raya, inconnu au bataillon, cent pour cent des gens que j’arrive à faire parler la connaissent autre qu’à la télé.
Cette jolie blonde vit recluse, sortant simplement dans une voiture aux glaces teintées pour se rendre à ses rendez-vous.
Afin de faire des économies, je dors dans ma vieille 4 L héritage de mon grand-père à la mort de mon père avant mon armée et qui est restée, la plupart du temps sur le parking de l’arsenal de Toulon.
Si vieille que lorsque je décide de retourner à Toulon pour écrire un article disant la protection de cette jeune femme, je tombe en panne, arrivant juste à me garer sur un emplacement de parking.
Il est trop tard pour chercher un garage aussi, je m’installe à l’arrière de cette poubelle ou j’ai enlevé le siège arrière et me permettant de dormir dans une vieille couverture.
Quelle heure est-il quand une lumière clignotante me réveille.
23 heures 10, c’est un club privé qui a dû ouvrir qui m’éclaire.
Je sors de ma voiture, et je m’approche.
- Alors la marine, on entre boire un verre, la musique est sympa et il y a quelques jolies filles qui viennent d’arriver.
J’ai soif, sur les 2 000 francs juste un sandwich et un plein d’essence dépensés.
J’entre.
Une fois mes yeux habitués à la lumière rouge, je vois un bar et deux couples semblant être ensemble buvant une coupe de champagne.
Au bar, une jeune femme brune dans un tailleur me montrant de magnifiques cuisses.
Un homme se lève d’un sofa et lui parle.
Elle le recadre, il s’éclipse.
Je devrais me dire que je vais, moi aussi prendre une veste, mais la peur et le danger sont liés alors je m’approche.
- Je peux m’asseoir !
Elle me toise de ses yeux bleus.
Une brune aux yeux bleus, rare, mais magnifique.
- Je suis loin d’être propriétaire de ce tabouret, il est libre, vous pouvez-vous assoir.
J’ai un instant l’impression que j’ai déjà vu cette jeune femme.
- Une bière s’il vous plait.
- Mettez une bière à ce jeune marin, je lui offre, j’ai des difficultés à boire seule.
J’ai envie de lui parler du gars qu’elle a rembarré, mais c’est à ce moment que sous une perruque, je suis en présence de Raya, celle dont je dois faire un papier.
La chance du débutant.
Nous engageons la conversation, j’évite de lui dire que la marine pour moi c’est fini.
Je lui paye un verre, de son côté, elle évite de me dire qui elle est.
Sa main sur ma cuisse, ses yeux dans mes yeux, mon bachi sur sa tête ou il est marqué « Base des sous-marins ».
- Que fais-tu ce soir, ou vas-tu dormir ?
- Dans ma voiture.
- Suis-moi, la mienne est devant.
Les portes closes quand je suis passé autour de la propriété, elle les oublie et va jusqu’à l’impasse où elle s’engage.
Des portes s’ouvrent quand elle appuie sur un bouton de télécommande.
Elle se gare sur l’arrière de la villa.
Elle me fait entrer dans un salon.
Une servante vient lui servir un whisky et m’apporte une bière avant de s’éclipser.
Nous nous asseyons dans un grand canapé blanc.
Sa bouche vient chercher ma bouche.
La jeune chanteuse a envie de se faire un jeune marin.
Avant la marine, j’ai eu quelques maîtresses dont Olga, une Russe d’une cinquantaine d’années qui s’est attachée à faire de moi un très bon amant.
Au début, j’étais un chien fou, je me suis calmé et je cherche à ce que ce soit la femme qui ait son plaisir avant moi.
Elle a enlevé sa perruque sans me dire qui elle est.
Je me garde bien de lui dire que je l’ai reconnu, je soulève sa jupe, je lui ôte sa petite culotte.
Un cunnilingus, Olga m’a toujours fait commencer par un cunnilingus, je sais trouver leur clito et faire dégouliner leur cyprine.
Raya pose ses mains sur ma tête, pour que ma langue aille plus loin en elle.
Je suis satisfait, les lignes de mon article suivent les lignes de mon article.
Quand elle pousse de grands cris de jouissances, je sais mon but presque atteint, surtout quand elle me regarde avec des yeux jamais vus avec aucune de mes maîtresses.
Je me love jusqu’à elle, évitant de l’écraser, sa chatte ruisselante aspire mon sexe comme si tous les deux étaient aimantées.
Trois fois je la fais repartir avant qu’elle me prenne la main pour m’entraîner vers sa chambre au premier étage.
La chambre et le lit sont à la taille de cette maison blanche.
Le lit surtout, plus de deux mètres de large.
Si je la perds, j’aurai du mal à la retrouver.
Aussi je m’attaque à ses seins qui comme le reste de son corps réagissent extraordinairement.
Elle suit du geste et de la parole toutes mes injonctions.
Aussi c’est en levrette que je la fais jouir une dernière fois avant de s’écrouler sur notre lit.
Quand je m’endors, le grain de beauté en forme de cœur sera le point d’orgue de mes cinquante lignes qui contrairement à l’école dans ma jeunesse aura été loin d’être une sinécure…
Pas de famille, pas de piston donc douze mois sous les drapeaux.
Parisien avant d’être incorporé, c’est à Hourtin que j’ai fait mes classes avant d’être affecté au caisson de sécurité de la base des sous-marins de Toulon.
Aucune connaissance dans les systèmes d’incendies, mais la chance de me retrouver avec un second-maître ayant fait l’école de sécurité des sous-offs de Cherbourg.
Par chance, comme moi, il était aussi parisien.
L’Est pour lui, Sud de Paris pour moi.
Dans la marine, ce qu’ils appellent « les pays », est très important et nous nous sommes très bien entendu.
Jeune mariée avec Ludivine, j’ai même mangé chez eux les samedis et certains dimanches afin de regarder le tournoi des cinq nations en ces temps-là.
Un an pénard et un an à apprécier la quiétude de la Côte d’Azur.
J’avais dans l’idée de devenir journaliste sur Paris aussi à quelques jours de la quille, je m’offre le culot de me présenter au journal Var-Matin.
J’ai eu la première chance du débutant, cet homme aimait les jeunes ayant du culot et me dit.
- Fiston, tu finis ton armée vendredi, connais-tu Raya !
- La jeune chanteuse qui a sorti deux tubes de suite, numéro un des ventes et du « Top 50 » sur Europe 1.
- Avec ces informations tu as déjà deux lignes pour le papier que nous pensons sortir à la fin du mois.
Ramène-moi cinquante lignes sur elle et je t’embauche.
J’espère que tu es bon en Français, mais je verrais bien, je te relierais.
Pour t’aider, elle vient d’acquérir une villa sur les hauteurs de Nice, gardée par trois gros bras payés par sa maison de disques.
Je t’offre une ou deux lignes de plus en décrivant cette villa.
Tient, voici 2 000 francs d’avance sur tes frais et une carte de presse à durée limitée qui pourra te servir si le besoin s’en fait sentir.
Dans ce milieu, il est facile de se faire casser la gueule par un mari jaloux ayant appelé la police.
Tu leur montreras ta carte, ça devrait les calmer.
Voilà comment j’ai été engagé pour faire cette pige sur Raya.
Dès le vendredi soir, j’ai pris la route de Nice jusqu’à la rue où se trouve la villa de la jeune chanteuse.
Un grand mûr impossible à franchir surtout que je suis toujours en tenue de Marin.
Mes effets personnels ont refusé de s’agrandir après cette année ou en plus de mon travail au caisson de sécurité, j’ai fait énormément de sport.
Je fais le tour du quartier, une ruelle sur le côté.
Je vais être obligé de trouver des éléments indirects pour monter mon article.
Mais ou trouver ces éléments !
Je me démène dans les boutiques, même les bars.
Raya, inconnu au bataillon, cent pour cent des gens que j’arrive à faire parler la connaissent autre qu’à la télé.
Cette jolie blonde vit recluse, sortant simplement dans une voiture aux glaces teintées pour se rendre à ses rendez-vous.
Afin de faire des économies, je dors dans ma vieille 4 L héritage de mon grand-père à la mort de mon père avant mon armée et qui est restée, la plupart du temps sur le parking de l’arsenal de Toulon.
Si vieille que lorsque je décide de retourner à Toulon pour écrire un article disant la protection de cette jeune femme, je tombe en panne, arrivant juste à me garer sur un emplacement de parking.
Il est trop tard pour chercher un garage aussi, je m’installe à l’arrière de cette poubelle ou j’ai enlevé le siège arrière et me permettant de dormir dans une vieille couverture.
Quelle heure est-il quand une lumière clignotante me réveille.
23 heures 10, c’est un club privé qui a dû ouvrir qui m’éclaire.
Je sors de ma voiture, et je m’approche.
- Alors la marine, on entre boire un verre, la musique est sympa et il y a quelques jolies filles qui viennent d’arriver.
J’ai soif, sur les 2 000 francs juste un sandwich et un plein d’essence dépensés.
J’entre.
Une fois mes yeux habitués à la lumière rouge, je vois un bar et deux couples semblant être ensemble buvant une coupe de champagne.
Au bar, une jeune femme brune dans un tailleur me montrant de magnifiques cuisses.
Un homme se lève d’un sofa et lui parle.
Elle le recadre, il s’éclipse.
Je devrais me dire que je vais, moi aussi prendre une veste, mais la peur et le danger sont liés alors je m’approche.
- Je peux m’asseoir !
Elle me toise de ses yeux bleus.
Une brune aux yeux bleus, rare, mais magnifique.
- Je suis loin d’être propriétaire de ce tabouret, il est libre, vous pouvez-vous assoir.
J’ai un instant l’impression que j’ai déjà vu cette jeune femme.
- Une bière s’il vous plait.
- Mettez une bière à ce jeune marin, je lui offre, j’ai des difficultés à boire seule.
J’ai envie de lui parler du gars qu’elle a rembarré, mais c’est à ce moment que sous une perruque, je suis en présence de Raya, celle dont je dois faire un papier.
La chance du débutant.
Nous engageons la conversation, j’évite de lui dire que la marine pour moi c’est fini.
Je lui paye un verre, de son côté, elle évite de me dire qui elle est.
Sa main sur ma cuisse, ses yeux dans mes yeux, mon bachi sur sa tête ou il est marqué « Base des sous-marins ».
- Que fais-tu ce soir, ou vas-tu dormir ?
- Dans ma voiture.
- Suis-moi, la mienne est devant.
Les portes closes quand je suis passé autour de la propriété, elle les oublie et va jusqu’à l’impasse où elle s’engage.
Des portes s’ouvrent quand elle appuie sur un bouton de télécommande.
Elle se gare sur l’arrière de la villa.
Elle me fait entrer dans un salon.
Une servante vient lui servir un whisky et m’apporte une bière avant de s’éclipser.
Nous nous asseyons dans un grand canapé blanc.
Sa bouche vient chercher ma bouche.
La jeune chanteuse a envie de se faire un jeune marin.
Avant la marine, j’ai eu quelques maîtresses dont Olga, une Russe d’une cinquantaine d’années qui s’est attachée à faire de moi un très bon amant.
Au début, j’étais un chien fou, je me suis calmé et je cherche à ce que ce soit la femme qui ait son plaisir avant moi.
Elle a enlevé sa perruque sans me dire qui elle est.
Je me garde bien de lui dire que je l’ai reconnu, je soulève sa jupe, je lui ôte sa petite culotte.
Un cunnilingus, Olga m’a toujours fait commencer par un cunnilingus, je sais trouver leur clito et faire dégouliner leur cyprine.
Raya pose ses mains sur ma tête, pour que ma langue aille plus loin en elle.
Je suis satisfait, les lignes de mon article suivent les lignes de mon article.
Quand elle pousse de grands cris de jouissances, je sais mon but presque atteint, surtout quand elle me regarde avec des yeux jamais vus avec aucune de mes maîtresses.
Je me love jusqu’à elle, évitant de l’écraser, sa chatte ruisselante aspire mon sexe comme si tous les deux étaient aimantées.
Trois fois je la fais repartir avant qu’elle me prenne la main pour m’entraîner vers sa chambre au premier étage.
La chambre et le lit sont à la taille de cette maison blanche.
Le lit surtout, plus de deux mètres de large.
Si je la perds, j’aurai du mal à la retrouver.
Aussi je m’attaque à ses seins qui comme le reste de son corps réagissent extraordinairement.
Elle suit du geste et de la parole toutes mes injonctions.
Aussi c’est en levrette que je la fais jouir une dernière fois avant de s’écrouler sur notre lit.
Quand je m’endors, le grain de beauté en forme de cœur sera le point d’orgue de mes cinquante lignes qui contrairement à l’école dans ma jeunesse aura été loin d’être une sinécure…
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