COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon (1,4)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
- • 2410 récits publiés.
- • Cote moyenne attribuée par les lecteurs : 4.2 • Cote moyenne attribuée par HDS : 10.6
- • L'ensemble des récits érotiques de CHRIS71 ont reçu un total de 12 037 202 visites.
Histoire érotique Publiée sur HDS le 25-09-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
Cette histoire de sexe a été affichée 1 272 fois depuis sa publication.
Couleur du fond :
COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon (1,4)
Dans le chapitre précédent, un mot m’a sauté aux yeux, « salope,» neuf fois!
Je suis peu fière d’avoir fait de Malaurie austère prof d’anglais, une salope, ma salope moi un de ses élèves.
Baiser dans une baignoire, c’est plutôt difficile et peut pratique, nous nous caressons surtout elle pour que ma verge puisse de nouveau l’honorer.
Je suis fière, si elle en veut encore, c’est que j’ai été à la hauteur pour sa première fois.
• Christophe mon chéri prend moi dans la position du missionnaire !
Nous avons rejoint son lit dégoulinant de l’eau qui a coulé sur nos corps.
Elle se positionne le dos calé par un oreiller et écarte les cuisses, la vue de sa chatte continue à me faire bander et rapidement je la pénètre.
• Tu n’as pas mal si près de la rupture de ton hymen !
• Un peu, mais je suis prête à souffrir pour toi, je veux être entièrement à toi. J’accepterais tous de toi !
• Juré ?
• Jurée !
Je commence à la limer tranquillement.
• J’aime beaucoup le missionnaire, j’aime le poids de ton corps sur moi, je te sens bien au fond de mon vagin, je commence à sentir, raaaa…
Quelle baiseuse j’ai découverte, il est vrai qu’elle a vingt-six ans et en rapport de la moyenne des jeunes filles de son âge, elle a un peu de retard à rattraper.
Je suis prêt un moment à l’aider à le faire, mais point trop s’en faut et j’espère bien en sauter quelques autres, une ou deux pénétrations et elle s’envole.
• As-tu joui ?
• J’ai senti une petite pointe de jouissance.
• On change !
Cette conversation entre adultes consentants me paraît irréelle.
• Je connais la levrette !
• C’est comment ?
• Enfantin, tu te mets à quatre pattes.
• Comme une petite chienne, bien fidèle à son beau maître ?
• Comme tu le dis, une chienne, je vais faire de toi une chienne, ma chienne.
Je me dégage de sa chatte et bascule sur le côté.
Elle se positionne, je passe derrière, lui prend les hanches, écarte un peu ses jambes et d’un coup, je la poignarde.
• Oh ! j’aimais le missionnaire, mais là, ouaf ! ouaf ! ouaf ! la levrette nous le ferons souvent.
Je la lime tendrement, elle se cambre le dos en repliant ses avants bras et en y posant sa tête.
Afin de la stimuler bien qu’elle n’en ait nul besoin pour jouir, je passe ma main sous son corps et je lui titille le clitoris.
• Eh ! chérie, tu as trouvé mon bouton, fait attention chaque fois que j’y touche. Je deviens folle.
Elle jouit et des jets de liquide sortent de sa chatte et viens inonder le lit.
• Tu vois, tu as déclenché ma fontaine, j’en ai mis partout.
Je lui claque assez fortement les fesses, deux trois fois.
• Je n’ai rien fait de mal, pourquoi tu me donnes la fessée ?
• Tu n’as pas aimé !
Je lui remets une deuxième vague de claques.
• Plus tu m’en donnes, plus je veux que tu m’en donnes, chaque fois que tu me claques, ta bite bouge en moi et augmente mon plaisir.
Je sens une nouvelle vague de plaisir monté en elle, j’enlève mon doigt de son clito et immédiatement je le place sur son œillet.
Elle se tortille pour rejeter l’intrus, plus elle se tortille et plus mon sexe ressent ses mouvements, plus je bande et plus mon doigt entre dans son joli anus tout fripon.
Fort de mon avantage je glisse un deuxième doigt dans son fondement.
• Mon cœur que me fais-tu, pourquoi mets-tu tes doigts dans mon petit trou ?
• En ce moment ce sont mes doigts qui te taraudent, quand je vais les enlever, c’est ma bite que je vais y mettre.
Cela s’appelle sodomiser la dame, ma petite copine adorait que je lui fasse, elle me disait toujours par cette voie, pas de gosses !
• Sodomise-moi Christophe, je veux tout apprendre de toi, même si je me demande comment ton gros engin peut entrer dans un si petit trou !
Cela risque-t-il de me faire mal.
Je commence à aimer de plus en plus quand tu me fais mal, j’ai l’impression que tu sens comme mon cœur est à toi !
Je quitte sa chatte et je plonge dans son anus, mon gland tout d’abord, ça résiste, mais j’ai appris avec Chantal à forcer assez pour que ça rentre, c’est encore le cas cette fois.
Elle relève la tête de surprise et lâche un long ohoooo ! est-ce d’approbation !
Je profite de mon avantage et manie mon sexe dans son fondement sans ménagement. Je me surprends à aimer lui donner du plaisir en lui infligeant des douleurs bien supportables il est vrai, surtout lorsqu’une nouvelle fois elle émet des cris de plaisir, ce qui me rassure.
Serait-elle adepte potentielle de jeux érotiques plus pervers ?
Mes deux mains sont libres, je la claque droite gauche, droite gauche, ses fesses sont rouges et ses cris de plaisir me prouvent qu’elle semble avoir énormément apprécié.
Pour clore cette séance un jet supplémentaire coule le long de ses cuisses.
Je ne tiens plus et moi aussi j’inonde dans un râle le fond de son rectum.
Nous tombons sur le lit, sans que je ne quitte son anus.
Lovée dans mes bras, je la sens reprendre son souffle.
• Chéri, tu es le diable, pendant la même journée tu m’as défloré et sodomisé.
Je suis sûr que tu resteras le meilleur amant de ma vie.
Si tu revois Chantal, la petite qui t’a appris ces jeux remercie là de la part de Malaurie !
Au fond de moi, je rigole, Chantal lorsque nous jouions à la maman et au papa et que je lui demandais ce qu’elle ferait plus tard, disait, soi chanteuse, soi coiffeuse comme ma belle-mère, soi putain comme maman.
J’ai toujours ignoré jusqu’à où cette phrase avait de la portée, un de ces soirs en passant vers le champ de courses de Vincennes, verrais Chantal vendre son corps comme sa maman le faisait ?
Dans la mêlée, ses lunettes sont tombées et trainent sur le lit, je les saisis et pour m’amuser, je les place sur mon nez.
Surprise, je vois comme si elles étaient inexistantes.
• Pourquoi t’enlaidie-tu avec des lunettes à verres neutres ?
• C’est pour faire plus sévère envers vous les élèves turbulents !
• Tu nous trompes, tu me trompes, tu mérites une nouvelle fessée !
• Non chéri, je te promets de les enlever définitivement !
• À partir de demain, tu feras trois choses !
Plus de lunette, plus de cheveux en chignon, je les veux tombant sur tes épaules comme aujourd’hui et surtout plus de petite culotte.
Je veux sentir ta chatte toujours prête à me recevoir si j’en trouve l’occasion lorsque tu passeras à ma hauteur en toute impunité car je suis seul au dernier rang.
• Sinon mon cœur ?
• Plus de baises avec moi, d’ailleurs, pourrais-tu te libérer samedi après midi ?
• Oui !
• Si tu as respecté mes ordres, je viendrais continuer à faire de toi ma salope en t’honorant !
• Bien mon amour, tes désirs sont des ordres, je serais ta petite chienne fidèle !
• Attention, je pourrais t’acheter un collier pour chiens et te promener en laisse dans les rues de Champigny !
Ma bite a quitté sa rondelle.
• Nettoie-la-moi !
• Comment ?
• Avec ta bouche !
Je la sens un peu réticente, mais elle baisse sa tête et me suce consciencieusement la tige.
Rapidement je rebande et pour clore notre premier après midi je lui remplis la bouche d’un long jet de sperme qui je l’espère deviendra son mets favori.
Elle cherche où elle pourrait cracher.
• Avale, allez vas-y d’un coup !
Elle me regarde et déglutit, elle avale la totalité de ma sève, elle va même jusqu’à se passer sa langue sur ses lèvres, ma dernière giclée ayant atterri hors de sa jolie bouche.
Je ne m’étais pas aperçu que nous baignons dans un lit dévasté par les éjaculations de sa chatte.
Je me lève après un dernier baiser langoureux sentant quelques particules de mon jus venir sur ma langue, je me suis un jour demandé ce que sentait mon sperme au fond de la bouche de Chantal, c’est un peu fade.
Je vais me doucher et la quitte avec un dernier regard de sa part m’envoyant tout l’amour qu’elle a pour moi.
• À demain mon amour, hélas, ce sera moins intense que cette après-midi, mais je te promets de respecter tes ordres, j’ai hâte d’avoir la chatte à l’air devant tous ces puceaux que j’aurais devant moi.
Comment en si peu de temps ai-je réussi à transformer une coincer du cul en salope de première classe...
Je suis peu fière d’avoir fait de Malaurie austère prof d’anglais, une salope, ma salope moi un de ses élèves.
Baiser dans une baignoire, c’est plutôt difficile et peut pratique, nous nous caressons surtout elle pour que ma verge puisse de nouveau l’honorer.
Je suis fière, si elle en veut encore, c’est que j’ai été à la hauteur pour sa première fois.
• Christophe mon chéri prend moi dans la position du missionnaire !
Nous avons rejoint son lit dégoulinant de l’eau qui a coulé sur nos corps.
Elle se positionne le dos calé par un oreiller et écarte les cuisses, la vue de sa chatte continue à me faire bander et rapidement je la pénètre.
• Tu n’as pas mal si près de la rupture de ton hymen !
• Un peu, mais je suis prête à souffrir pour toi, je veux être entièrement à toi. J’accepterais tous de toi !
• Juré ?
• Jurée !
Je commence à la limer tranquillement.
• J’aime beaucoup le missionnaire, j’aime le poids de ton corps sur moi, je te sens bien au fond de mon vagin, je commence à sentir, raaaa…
Quelle baiseuse j’ai découverte, il est vrai qu’elle a vingt-six ans et en rapport de la moyenne des jeunes filles de son âge, elle a un peu de retard à rattraper.
Je suis prêt un moment à l’aider à le faire, mais point trop s’en faut et j’espère bien en sauter quelques autres, une ou deux pénétrations et elle s’envole.
• As-tu joui ?
• J’ai senti une petite pointe de jouissance.
• On change !
Cette conversation entre adultes consentants me paraît irréelle.
• Je connais la levrette !
• C’est comment ?
• Enfantin, tu te mets à quatre pattes.
• Comme une petite chienne, bien fidèle à son beau maître ?
• Comme tu le dis, une chienne, je vais faire de toi une chienne, ma chienne.
Je me dégage de sa chatte et bascule sur le côté.
Elle se positionne, je passe derrière, lui prend les hanches, écarte un peu ses jambes et d’un coup, je la poignarde.
• Oh ! j’aimais le missionnaire, mais là, ouaf ! ouaf ! ouaf ! la levrette nous le ferons souvent.
Je la lime tendrement, elle se cambre le dos en repliant ses avants bras et en y posant sa tête.
Afin de la stimuler bien qu’elle n’en ait nul besoin pour jouir, je passe ma main sous son corps et je lui titille le clitoris.
• Eh ! chérie, tu as trouvé mon bouton, fait attention chaque fois que j’y touche. Je deviens folle.
Elle jouit et des jets de liquide sortent de sa chatte et viens inonder le lit.
• Tu vois, tu as déclenché ma fontaine, j’en ai mis partout.
Je lui claque assez fortement les fesses, deux trois fois.
• Je n’ai rien fait de mal, pourquoi tu me donnes la fessée ?
• Tu n’as pas aimé !
Je lui remets une deuxième vague de claques.
• Plus tu m’en donnes, plus je veux que tu m’en donnes, chaque fois que tu me claques, ta bite bouge en moi et augmente mon plaisir.
Je sens une nouvelle vague de plaisir monté en elle, j’enlève mon doigt de son clito et immédiatement je le place sur son œillet.
Elle se tortille pour rejeter l’intrus, plus elle se tortille et plus mon sexe ressent ses mouvements, plus je bande et plus mon doigt entre dans son joli anus tout fripon.
Fort de mon avantage je glisse un deuxième doigt dans son fondement.
• Mon cœur que me fais-tu, pourquoi mets-tu tes doigts dans mon petit trou ?
• En ce moment ce sont mes doigts qui te taraudent, quand je vais les enlever, c’est ma bite que je vais y mettre.
Cela s’appelle sodomiser la dame, ma petite copine adorait que je lui fasse, elle me disait toujours par cette voie, pas de gosses !
• Sodomise-moi Christophe, je veux tout apprendre de toi, même si je me demande comment ton gros engin peut entrer dans un si petit trou !
Cela risque-t-il de me faire mal.
Je commence à aimer de plus en plus quand tu me fais mal, j’ai l’impression que tu sens comme mon cœur est à toi !
Je quitte sa chatte et je plonge dans son anus, mon gland tout d’abord, ça résiste, mais j’ai appris avec Chantal à forcer assez pour que ça rentre, c’est encore le cas cette fois.
Elle relève la tête de surprise et lâche un long ohoooo ! est-ce d’approbation !
Je profite de mon avantage et manie mon sexe dans son fondement sans ménagement. Je me surprends à aimer lui donner du plaisir en lui infligeant des douleurs bien supportables il est vrai, surtout lorsqu’une nouvelle fois elle émet des cris de plaisir, ce qui me rassure.
Serait-elle adepte potentielle de jeux érotiques plus pervers ?
Mes deux mains sont libres, je la claque droite gauche, droite gauche, ses fesses sont rouges et ses cris de plaisir me prouvent qu’elle semble avoir énormément apprécié.
Pour clore cette séance un jet supplémentaire coule le long de ses cuisses.
Je ne tiens plus et moi aussi j’inonde dans un râle le fond de son rectum.
Nous tombons sur le lit, sans que je ne quitte son anus.
Lovée dans mes bras, je la sens reprendre son souffle.
• Chéri, tu es le diable, pendant la même journée tu m’as défloré et sodomisé.
Je suis sûr que tu resteras le meilleur amant de ma vie.
Si tu revois Chantal, la petite qui t’a appris ces jeux remercie là de la part de Malaurie !
Au fond de moi, je rigole, Chantal lorsque nous jouions à la maman et au papa et que je lui demandais ce qu’elle ferait plus tard, disait, soi chanteuse, soi coiffeuse comme ma belle-mère, soi putain comme maman.
J’ai toujours ignoré jusqu’à où cette phrase avait de la portée, un de ces soirs en passant vers le champ de courses de Vincennes, verrais Chantal vendre son corps comme sa maman le faisait ?
Dans la mêlée, ses lunettes sont tombées et trainent sur le lit, je les saisis et pour m’amuser, je les place sur mon nez.
Surprise, je vois comme si elles étaient inexistantes.
• Pourquoi t’enlaidie-tu avec des lunettes à verres neutres ?
• C’est pour faire plus sévère envers vous les élèves turbulents !
• Tu nous trompes, tu me trompes, tu mérites une nouvelle fessée !
• Non chéri, je te promets de les enlever définitivement !
• À partir de demain, tu feras trois choses !
Plus de lunette, plus de cheveux en chignon, je les veux tombant sur tes épaules comme aujourd’hui et surtout plus de petite culotte.
Je veux sentir ta chatte toujours prête à me recevoir si j’en trouve l’occasion lorsque tu passeras à ma hauteur en toute impunité car je suis seul au dernier rang.
• Sinon mon cœur ?
• Plus de baises avec moi, d’ailleurs, pourrais-tu te libérer samedi après midi ?
• Oui !
• Si tu as respecté mes ordres, je viendrais continuer à faire de toi ma salope en t’honorant !
• Bien mon amour, tes désirs sont des ordres, je serais ta petite chienne fidèle !
• Attention, je pourrais t’acheter un collier pour chiens et te promener en laisse dans les rues de Champigny !
Ma bite a quitté sa rondelle.
• Nettoie-la-moi !
• Comment ?
• Avec ta bouche !
Je la sens un peu réticente, mais elle baisse sa tête et me suce consciencieusement la tige.
Rapidement je rebande et pour clore notre premier après midi je lui remplis la bouche d’un long jet de sperme qui je l’espère deviendra son mets favori.
Elle cherche où elle pourrait cracher.
• Avale, allez vas-y d’un coup !
Elle me regarde et déglutit, elle avale la totalité de ma sève, elle va même jusqu’à se passer sa langue sur ses lèvres, ma dernière giclée ayant atterri hors de sa jolie bouche.
Je ne m’étais pas aperçu que nous baignons dans un lit dévasté par les éjaculations de sa chatte.
Je me lève après un dernier baiser langoureux sentant quelques particules de mon jus venir sur ma langue, je me suis un jour demandé ce que sentait mon sperme au fond de la bouche de Chantal, c’est un peu fade.
Je vais me doucher et la quitte avec un dernier regard de sa part m’envoyant tout l’amour qu’elle a pour moi.
• À demain mon amour, hélas, ce sera moins intense que cette après-midi, mais je te promets de respecter tes ordres, j’ai hâte d’avoir la chatte à l’air devant tous ces puceaux que j’aurais devant moi.
Comment en si peu de temps ai-je réussi à transformer une coincer du cul en salope de première classe...
→ Qu'avez-vous pensé de cette histoire ??? Donnez votre avis...
→ Autres histoires érotiques publiées par CHRIS71
2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
Tu commence à trop me connaitre Cyrille.
Ce texte il y a trois ou quatre ans que je l'ai écrit, je le remodèle pour lui donner plus de moments de suspense.
Ce texte il y a trois ou quatre ans que je l'ai écrit, je le remodèle pour lui donner plus de moments de suspense.
Je suis curieux de voir la suite, avec tous les rebondissements que tu sais caler dans tes histoires...
Merci Chris
Cyrille
Merci Chris
Cyrille