COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon (3,4)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 11-10-2024 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION HOMME FEMME. Le pompon (3,4)
Resto, Malaurie m’emmène au restaurant chez gégène à Joinville-le-Pont.
Je connais, mais seulement en passant devant, je suis plutôt adepte du petit Robinson où c’est plus moderne dans ce qu’il propose comme musique.
Je suis agréablement surpris, certes la moyenne d’âge est bien supérieure, mais sur la table voisine une deuxième Malaurie, Ophélie la femme de Samy me fait de l’effet et me fait bander lors d’un slow langoureux.
Malaurie, elle, a suivi Samy sur la piste et malgré qu’elle a respecté une certaine distance entre le bas-ventre de son partenaire et le sien, je cherche à voir si elle a mouillé.
C’est mon cas avec Malaurie, ma gentille salope, comme j’aime à l’appeler depuis que je lui ai enlevé son pucelage qu’elle conservait depuis vingt six ans.
Dommage que j’aie une socquette, j’aurais bien voulu sentir sa peau sur mes orteils.
Je lui caresse la chatte qui je le sens se trémousse au contact de mes orteils.
Tout en discutant avec Ophélie elle descend sa main sous la table et avec deux doigts elle écarte son sexe.
Aussitôt la pointe de mon pied pénètre sur quelques centimètres.
Malaurie a une question de Samy à un blanc avant de répondre.
Mieux, elle est obligée de se pincer la lèvre pour éviter de faire comprendre à toute la salle, le plaisir que mon pied lui procure.
Vous avez des surprises lorsque vous fréquentez une femme fontaine.
J’ai pensé à tous sauf au final qu’elle me réserve, plusieurs jets inondent ma socquette et viennent maculer le parquet.
Dans mon empressement à lui caresser le sexe, j’oublie complètement que ma gentille petite maîtresse était une femme fontaine.
Demain l’équipe de nettoyage va se poser des questions sur les gorets qui ont soupé à cette table et qui ont renversé leur verre.
• C’était bon Malaurie !
• On en redemanderait !
• Vous êtes comme Ophélie vous démarrer à la moindre sollicitation !
• Ophélie ! Explique à ton homme dans quel état Christophe t’a mise en dansant le slow tout à l’heure.
Regardant son mari dans les yeux.
• Il m’a tellement frotté que mon intimité était toute trempée, j’étais à la limite qu’il me prenne au milieu de la piste de danse !
• Christophe, as-tu envies de baiser ma femme, soit franc ?
• Comme vous le voyez, Malaurie porte un collier qui fait d’elle m’a soumise.
Ce soir, c’est elle qui m’invite pour fêter notre rencontre.
Elle est propriétaire de ma bite le temps de cette soirée, c’est Malaurie qui décide !
• Alors tu veux mon collier, en le passant à ton cou ce sera toi sa soumise, qu’en penses,-tu Samy !
• Ophélie attention à ta réponse, j’ai la laisse dans la poche de ma veste.
• À quoi cela te sert-il ?
• Lorsque je lui attache sa laisse elle accepte tout ce que je désire, elle accepte d’être mon esclave, tu deviendrais mon esclave.
• Malaurie tu me le prête et tu donnes la laisse à Samy, je trouve votre jeu extraordinaire, comment ne pas y avoir pensé plutôt mon chéri ?
Malaurie a formulé sa demande d’autorisation avec tant de ferveur que je donne bien volontiers mon accord à cette passation de soumise.
Elle le détache et se lève pour le mettre au cou de notre amie.
Je passe discrètement la laisse à Samy qui la place dans sa poche.
Nous finissons notre repas.
Après des slows que je danse avec Malaurie qui s’incruste littéralement en moi, Samy nous propose d’aller finir la nuit ailleurs.
Samy a sa berline de luxe de marque Mercedes garée près du restaurant.
Je monte à l’arrière au côté de Malaurie, laissant le collier et la laisse sur le même siège avant.
Dès qu’ils sont installés, il sort la laisse et la fixe à l’anneau du collier de sa femme.
• Chérie, à partir de maintenant tu deviens mon esclave !
• Oui mon cœur, que dois-je faire ?
• Ce qui est plus bandant, Ophélie, c’est que tu appelles ton mari, maître Samy comme malgré que tu portes mon collier Christophe reste mon maître.
• Maître Samy, comme je le disais que dois-je faire ?
• Attends un peu, je te le dirais.
Nous démarrons et remontons vers le bois de Vincennes nous passons devant le champ de courses et remontons vers le château de Vincennes.
Je vois des putes attendant le client, comment la maman de Chantal a-t-elle pu gâcher sa vie pour venir se vendre dans un endroit aussi sordide ?
À hauteur du Parc floral, Samy engage sa voiture dans la contre-allée, il la place afin d’être en retrait et tout voir sans être vue.
• Ophélie, va faire la pute comme j’aime que tu le fasses, je t’interdire de revenir avant d’avoir gagné 2 000 francs.
• 2 000, au moins vingt pipes ! si j’ai la chance la moitié si des clients veulent une pute qui baise.
Au moment de descendre Samy lui enlève la laisse.
Elle se place le long d’un arbre, j’ai nettement l’impression que ce jeu nos amis y ont déjà jouée avec l’aisance d’Ophélie.
Cinq minutes une voiture descend la contre-allée et s’arrête près de notre amie.
Elle monte, la voiture démarre, dix minutes la voiture revient.
• Plusieurs voitures se succèdent, Ophélie monte et revient plus ou moins vite, ça doit dépendre si elle se fait baiser ou si elle suce.
• Malaurie, je te demande d’aller l’aider, à deux vous irez plus vite pour me ramener les 2 000 francs.
Coller contre moi, elle est toute tremblante, mais semble fascinée.
• Christophe, c’est toi mon maître, j’aurais trop peur de sortir de la voiture, veux-tu réellement que j’y aille ?
• Tu n’as pas ta laisse, je ne peux rien t’imposer.
Ophélie fait encore deux clients, j’ignore à combien elle est rendue dans sa quête à satisfaire Samy.
• Elle va y passer la nuit.
Relevant la tête et me regardant dans les yeux avec son regard que j’aime tant car il est celui de sa soumission.
• Veux-tu que j’y aille, je ne peux pas laisser notre amie toute seule ?
• Je te l’ai dit, c’est toi qui décides, le jeu en vaut-il la chandelle ?
Malgré ma réponse, elle ouvre la portière et descend, elle rejoint sa copine, elle se parle et Ophélie l’embrasse.
Une voiture s’arrête deux hommes en descendent de loin, car la voiture est assez éloignée pour tout voir sans que les clients des filles nous remarquent.
Je vois dans la clarté du réverbère sous lequel elles sont à côté de l’arbre, Malaurie. Prendre quelque chose, surement des billets.
J’attends qu’ils remontent en voiture, mais c’est incroyable ce que je vois.
Malaurie s’agenouille et l’homme a dû sortir sa queue qu’elle doit prendre dans sa bouche.
Ophélie quant à elle se retourne vers l’arbre, le garçon qui l’a payé lui relève sa jupe, au mouvement de leurs corps, lorsqu’il la sexe, sa chatte ou son anus doivent avoir ramassé.
J’ai à peine le temps de me demander dans quel trou l’homme la baise que l’un comme l’autre finissent et remonte en voiture qui redémarre.
Un peu d’attente deux voitures arrivent.
Dans la première, Ophélie monte, deux minutes et elle part.
Malaurie reste seule, elle regarde dans notre direction nous faisant voir son anxiété malgré la distance et surtout le froid de décembre.
La période des chaleurs qui m’ont permis de voir Malaurie chez elle en étant à la terrasse de la gare RER, est terminée.
Une voiture, elle monte et repart.
Douze, minutes qu’elle est partie, je prends conscience des risques par jeu nous faisons prendre aux filles, alors que nous sommes pénards assis bien au chaud de la voiture de Samy.
Ophélie arrive, pour elle, mon anxiété disparait, quatorze minutes toujours rien, la peur me prend.
Ouf ! elle arrive. Ophélie l’embrasse.
• Samy, rappelle les filles, c’est trop long et c’est dangereux, de plus elle crève de froid.
Malaurie est à peine descendue, qu’une voiture arrive.
À quelques mètres des filles, un gyrophare s’allume, ce sont des flics.
Ils tentent d’embarquer les filles.
Samy prestement saute de notre voiture et arrive vers le groupe une carte en main.
Les policiers discutent, le chauffeur arrête la sirène et le gyrophare.
Samy note quelque chose sur un calepin.
Les deux agents remontent et leur voiture passe devant moi.
Rapidement Malaurie est dans mes bras, elle frissonne, certainement de peur et de froid.
Nos deux amies montent et notre voiture repart.
• Chéri, j’ai eu la peur de ma vie, mais se sentir comme un objet chaque fois qu’un client vous choisit m’a fait mouiller.
On a des sueurs froides à la tête et la chatte te brûle.
Elle me tend ses lèvres qui ont sucé dont j’ignore le nombre de bites qu’elles ont sucées ?
Je n’hésite pas et lui faire entrer ma langue, ma main descend vers sa fente qui est trempée, mais en grande partie de sperme.
• Maître Christophe, baisez-moi, tellement je suis tendue.
Pour les puristes dans mon récit, nous sommes dans les années 60, pas de capote ou autres objets, les femmes de la classe de nos nanas arrivaient à prendre la pilule et le sida était inexistant...
Je connais, mais seulement en passant devant, je suis plutôt adepte du petit Robinson où c’est plus moderne dans ce qu’il propose comme musique.
Je suis agréablement surpris, certes la moyenne d’âge est bien supérieure, mais sur la table voisine une deuxième Malaurie, Ophélie la femme de Samy me fait de l’effet et me fait bander lors d’un slow langoureux.
Malaurie, elle, a suivi Samy sur la piste et malgré qu’elle a respecté une certaine distance entre le bas-ventre de son partenaire et le sien, je cherche à voir si elle a mouillé.
C’est mon cas avec Malaurie, ma gentille salope, comme j’aime à l’appeler depuis que je lui ai enlevé son pucelage qu’elle conservait depuis vingt six ans.
Dommage que j’aie une socquette, j’aurais bien voulu sentir sa peau sur mes orteils.
Je lui caresse la chatte qui je le sens se trémousse au contact de mes orteils.
Tout en discutant avec Ophélie elle descend sa main sous la table et avec deux doigts elle écarte son sexe.
Aussitôt la pointe de mon pied pénètre sur quelques centimètres.
Malaurie a une question de Samy à un blanc avant de répondre.
Mieux, elle est obligée de se pincer la lèvre pour éviter de faire comprendre à toute la salle, le plaisir que mon pied lui procure.
Vous avez des surprises lorsque vous fréquentez une femme fontaine.
J’ai pensé à tous sauf au final qu’elle me réserve, plusieurs jets inondent ma socquette et viennent maculer le parquet.
Dans mon empressement à lui caresser le sexe, j’oublie complètement que ma gentille petite maîtresse était une femme fontaine.
Demain l’équipe de nettoyage va se poser des questions sur les gorets qui ont soupé à cette table et qui ont renversé leur verre.
• C’était bon Malaurie !
• On en redemanderait !
• Vous êtes comme Ophélie vous démarrer à la moindre sollicitation !
• Ophélie ! Explique à ton homme dans quel état Christophe t’a mise en dansant le slow tout à l’heure.
Regardant son mari dans les yeux.
• Il m’a tellement frotté que mon intimité était toute trempée, j’étais à la limite qu’il me prenne au milieu de la piste de danse !
• Christophe, as-tu envies de baiser ma femme, soit franc ?
• Comme vous le voyez, Malaurie porte un collier qui fait d’elle m’a soumise.
Ce soir, c’est elle qui m’invite pour fêter notre rencontre.
Elle est propriétaire de ma bite le temps de cette soirée, c’est Malaurie qui décide !
• Alors tu veux mon collier, en le passant à ton cou ce sera toi sa soumise, qu’en penses,-tu Samy !
• Ophélie attention à ta réponse, j’ai la laisse dans la poche de ma veste.
• À quoi cela te sert-il ?
• Lorsque je lui attache sa laisse elle accepte tout ce que je désire, elle accepte d’être mon esclave, tu deviendrais mon esclave.
• Malaurie tu me le prête et tu donnes la laisse à Samy, je trouve votre jeu extraordinaire, comment ne pas y avoir pensé plutôt mon chéri ?
Malaurie a formulé sa demande d’autorisation avec tant de ferveur que je donne bien volontiers mon accord à cette passation de soumise.
Elle le détache et se lève pour le mettre au cou de notre amie.
Je passe discrètement la laisse à Samy qui la place dans sa poche.
Nous finissons notre repas.
Après des slows que je danse avec Malaurie qui s’incruste littéralement en moi, Samy nous propose d’aller finir la nuit ailleurs.
Samy a sa berline de luxe de marque Mercedes garée près du restaurant.
Je monte à l’arrière au côté de Malaurie, laissant le collier et la laisse sur le même siège avant.
Dès qu’ils sont installés, il sort la laisse et la fixe à l’anneau du collier de sa femme.
• Chérie, à partir de maintenant tu deviens mon esclave !
• Oui mon cœur, que dois-je faire ?
• Ce qui est plus bandant, Ophélie, c’est que tu appelles ton mari, maître Samy comme malgré que tu portes mon collier Christophe reste mon maître.
• Maître Samy, comme je le disais que dois-je faire ?
• Attends un peu, je te le dirais.
Nous démarrons et remontons vers le bois de Vincennes nous passons devant le champ de courses et remontons vers le château de Vincennes.
Je vois des putes attendant le client, comment la maman de Chantal a-t-elle pu gâcher sa vie pour venir se vendre dans un endroit aussi sordide ?
À hauteur du Parc floral, Samy engage sa voiture dans la contre-allée, il la place afin d’être en retrait et tout voir sans être vue.
• Ophélie, va faire la pute comme j’aime que tu le fasses, je t’interdire de revenir avant d’avoir gagné 2 000 francs.
• 2 000, au moins vingt pipes ! si j’ai la chance la moitié si des clients veulent une pute qui baise.
Au moment de descendre Samy lui enlève la laisse.
Elle se place le long d’un arbre, j’ai nettement l’impression que ce jeu nos amis y ont déjà jouée avec l’aisance d’Ophélie.
Cinq minutes une voiture descend la contre-allée et s’arrête près de notre amie.
Elle monte, la voiture démarre, dix minutes la voiture revient.
• Plusieurs voitures se succèdent, Ophélie monte et revient plus ou moins vite, ça doit dépendre si elle se fait baiser ou si elle suce.
• Malaurie, je te demande d’aller l’aider, à deux vous irez plus vite pour me ramener les 2 000 francs.
Coller contre moi, elle est toute tremblante, mais semble fascinée.
• Christophe, c’est toi mon maître, j’aurais trop peur de sortir de la voiture, veux-tu réellement que j’y aille ?
• Tu n’as pas ta laisse, je ne peux rien t’imposer.
Ophélie fait encore deux clients, j’ignore à combien elle est rendue dans sa quête à satisfaire Samy.
• Elle va y passer la nuit.
Relevant la tête et me regardant dans les yeux avec son regard que j’aime tant car il est celui de sa soumission.
• Veux-tu que j’y aille, je ne peux pas laisser notre amie toute seule ?
• Je te l’ai dit, c’est toi qui décides, le jeu en vaut-il la chandelle ?
Malgré ma réponse, elle ouvre la portière et descend, elle rejoint sa copine, elle se parle et Ophélie l’embrasse.
Une voiture s’arrête deux hommes en descendent de loin, car la voiture est assez éloignée pour tout voir sans que les clients des filles nous remarquent.
Je vois dans la clarté du réverbère sous lequel elles sont à côté de l’arbre, Malaurie. Prendre quelque chose, surement des billets.
J’attends qu’ils remontent en voiture, mais c’est incroyable ce que je vois.
Malaurie s’agenouille et l’homme a dû sortir sa queue qu’elle doit prendre dans sa bouche.
Ophélie quant à elle se retourne vers l’arbre, le garçon qui l’a payé lui relève sa jupe, au mouvement de leurs corps, lorsqu’il la sexe, sa chatte ou son anus doivent avoir ramassé.
J’ai à peine le temps de me demander dans quel trou l’homme la baise que l’un comme l’autre finissent et remonte en voiture qui redémarre.
Un peu d’attente deux voitures arrivent.
Dans la première, Ophélie monte, deux minutes et elle part.
Malaurie reste seule, elle regarde dans notre direction nous faisant voir son anxiété malgré la distance et surtout le froid de décembre.
La période des chaleurs qui m’ont permis de voir Malaurie chez elle en étant à la terrasse de la gare RER, est terminée.
Une voiture, elle monte et repart.
Douze, minutes qu’elle est partie, je prends conscience des risques par jeu nous faisons prendre aux filles, alors que nous sommes pénards assis bien au chaud de la voiture de Samy.
Ophélie arrive, pour elle, mon anxiété disparait, quatorze minutes toujours rien, la peur me prend.
Ouf ! elle arrive. Ophélie l’embrasse.
• Samy, rappelle les filles, c’est trop long et c’est dangereux, de plus elle crève de froid.
Malaurie est à peine descendue, qu’une voiture arrive.
À quelques mètres des filles, un gyrophare s’allume, ce sont des flics.
Ils tentent d’embarquer les filles.
Samy prestement saute de notre voiture et arrive vers le groupe une carte en main.
Les policiers discutent, le chauffeur arrête la sirène et le gyrophare.
Samy note quelque chose sur un calepin.
Les deux agents remontent et leur voiture passe devant moi.
Rapidement Malaurie est dans mes bras, elle frissonne, certainement de peur et de froid.
Nos deux amies montent et notre voiture repart.
• Chéri, j’ai eu la peur de ma vie, mais se sentir comme un objet chaque fois qu’un client vous choisit m’a fait mouiller.
On a des sueurs froides à la tête et la chatte te brûle.
Elle me tend ses lèvres qui ont sucé dont j’ignore le nombre de bites qu’elles ont sucées ?
Je n’hésite pas et lui faire entrer ma langue, ma main descend vers sa fente qui est trempée, mais en grande partie de sperme.
• Maître Christophe, baisez-moi, tellement je suis tendue.
Pour les puristes dans mon récit, nous sommes dans les années 60, pas de capote ou autres objets, les femmes de la classe de nos nanas arrivaient à prendre la pilule et le sida était inexistant...
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2 avis des lecteurs et lectrices après lecture : Les auteurs apprécient les commentaires de leurs lecteurs
Les avis des lecteurs
J'ai écrit ce texte il y a des mois et je les reprends un par un, ça peut engendrer ce genre de problème...
Avec mes excuses...
Avec mes excuses...
Belle histoire toutefois par moment quelque problème dans la suite des paroles des protagonistes