COLLECTION HOMME FEMME. Violoncelliste. Début de la saison II (6/9)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 19-01-2020 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION HOMME FEMME. Violoncelliste. Début de la saison II (6/9)
Voici le début de la saison II, il y aura une saison III qui sera la dernière.
Je suis dans la nasse.
Au pied du mur.
Autant avec les 70 kilos de Claire, j’ai une chance de sortir indemne des corps-à-corps que nous avons appris à pratiquer depuis que je suis allée chez elle dans son garage.
Autant la tonne, pardon un zéro de trop.
Les cent kilos de Nat vont me broyer si elle vient se mettre sur moi.
Tout à une fin, même les kilomètres avalés sur son tapis roulant par notre batteur, batteuse faisant trop penser aux moissons que je faisais étant petite chez ma grand-mère.
- Aline me disait qu’elle avait une relation fusionnelle avec son violon, il en est de même pour toi avec ton violoncelle.
- Si tu mets les doigts dans ma chatte, tu verrais que je suis trempée.
- Mes doigts dans ta chatte, non, jamais.
- Tu es bien lesbienne ?
- Non, j’ai 35 ans et je suis vierge.
- Et alors Aline.
- Nous avons d’autres relations mais si tu veux bien, je préfère taire nos rapports c’est trop personnel.
- Pourquoi m’as-tu fait venir si ce…- Arrête je voulais rendre jalouse Aline, en ce moment sais-tu où elle est.
- Dans le lit de Christian notre régisseur !
- Détrompe-toi, elle est dans le métro ligne numéro 1 et fait des allées et retours.
Dans la nuit, elle va arriver et faire un cirque croyant que nous dormons ensemble.
Tu vas te coucher sur Betty Boop et moi dans notre chambre.
- C’était pour ça que Claire avait un petit sourire en coin, elle connaît votre secret.
- Une partie, comme je connais une partie du sien.
- Claire à un secret ?
- Oui, un jour je l’ai surpris et elle m’a tout dit.
Sais-tu avec qui elle est en ce moment ?
- Ce que je pourrais appeler son souteneur.
J’ai rentré de la terrasse Valentin que j’ai remise dans son étui.
Nat a pris une serviette de bain qui lui sert à se sécher le visage en sueur.
- Certes on peut dire ça, mais en réalité c’est son beau-père Jean-Marc le mari de sa mère qui paye tous pour l’avoir.
Quand sa mère s’est retrouvée veuve, Linda d’origine brésilienne faisait le ménage chez cet homme.
Elle a épousé ce patron ayant du fric sous couvert de les aider avec sa fille.
Claire est persuadée qu’il fomentait son coup depuis le début car de temps en temps elle allait chez lui quand sa mère devait la garder faute de nourrice.
Elles ont emménagé chez ce salopard qui lui a pris son pucelage à sa majorité.
- Elle pouvait en parler à sa mère et partir.
- Impossible, cette femme est une sans papier, elle avait connu son père qui l’avait engrossé.
Elle tient à ce que cette femme finisse sa vie tranquille et c’est elle qui subit.
- Si nous le pouvons, dit moi que nous l’aiderons.
- Je te promets, je serais la première à aller lui donner des baffes.
En attendant, couche-toi là sans poser plus de question.
À partir de maintenant je me retire dans ma chambre, toi dors bien.
C’est bizarre, sa chambre, elle m’a tout montré sauf cette partie de son appartement.
J’ai l’impression que la nuit va être agitée.
Je récupère mes affaires et je me rhabille.
J’ai bien peur d’être décanillé à point d’heure.
- Salopes où êtes-vous ?
C’est comme ça que je suis réveillée dans la nuit.
Par chance c’est pleine lune et je vois une ombre bondir vers la chambre.
J’allume.
- Que fais-tu la sur le canapé, c’est là qu’elle t’a baisé et elle est partie se cacher dans sa chambre ?
Je vais la massacrer.
- Aline, nous sommes allées au restaurant et après nous sommes venues ici.
Claire est avec son salopard et Nat m’a offert l’hospitalité par pure amitié.
- Pour me rendre jalouse, salope, Nat t’es une salope.
- Elle m’a montré le canapé et après avoir été dans sa chambre elle est allée courir sur son tapis avant de rejoindre sa chambre.
Inutile de lui parler de Valentin avec lequel j’ai joué nue pendant qu’elle courrait.
- Aline vient, j’ai été une méchante fille, j’ai voulu te rendre jalouse.
Pardonne-moi.
Elle a juste passé sa tête et Aline la suit semblant calmé.
Tout semble calme, juste quelques éclats de voix et le bruit de l’eau qui coule dans la salle de bain.
La salle d’eau j’y suis passée pour me satisfaire avant de m’allonger dans les bras de Betty Boop.
Encore quelques éclats de voix et je pense que je vais finir ma nuit tranquille dans cet appartement de dingue.
De nouveau du bruit venant de la chambre quelle heure.
Presque cinq heures.
J’ai bu du café, j’ai envie d’uriner, je me rends au petit coin.
La porte avec la chambre de mes copines est mal fermée.
Je m’approche et je vois.
Je vois, grâce à une glace qui me renvoie une partie de la chambre avec là encore Betty Boop mais les bras levés formant une croix.
Elle est attachée par des menottes aux pieds et aux mains.
Elle a une espèce de boule dans sa bouche étouffant ses cris.
Ces cris car Aline lui déverse directement de la cire sur ses grosses mamelles.
Ces mamelles sont entourées de cordes fortement serrées et passant par sa chatte.
J’ai mal pour elle.
- Tu aimes que je te brûle les seins espèce de pute.
Quand j’en aurais fini avec toi, c’est ta gouine avec laquelle je suis sûr que tu as frayé que je vais m’occuper.
Elle va voir si on peut me lever ma femme devant mes yeux sans que je réagisse.
Énormes, nous pensions que Nat dominait Aline, c’est le contraire que je découvre ici.
Nat est la soumise, Aline la maîtresse femme.
Pour me le prouver, elle est revêtue d’une combinaison noire.
Bougie d’une main et cravache de l’autre.
Bougie qu’elle fait couler sur les seins et le ventre de la suppliciée qui se tortille sous la douleur.
Et coup de cravache zébrant sa chatte là encore l’obligeant à se tordre dans ses liens.
Quand j’en aurais fini, des menottes sont sur le lit, inutile d’attendre qu’elles soient autour de mes membres.
Je quitte la salle de bains aussi discrètement que j’y suis rentrée.
Je remets mes chaussures et récupère ma veste et Valentin par chance remis dans son étui.
Dans la rue, le jour commence à poindre.
J’ai envie d’uriner, trois cafés, aucun d'ouvert à cette heure.
Je suis non loin de la salle de répète il y a de la lumière.
Je pousse la porte et je rejoins la salle.
Luis est là à la table des commandes de jeux de lumière et la voix de Cécilia emplissant la pièce.
- C’est trop tôt Isabelle, les répétitions sont à 9 heures.
- Et toi que fais-tu là Luis ?
Mon beau blond car c’est lui se lève et vient vers moi.
- Il était deux heures quand Cécilia m’a téléphoné, dans sa troisième chanson, la programmation en auto faisait un balayage de la scène, elle la voulait statique.
Depuis je suis là et j’ai fini.
Cécilia sera là à 14 heures après le repas.
Et toi ?
- Attends, je vais faire pipi.
Je vais vers les toilettes où après avoir déposé Valentin je me satisfais à deux doigts de faire pipi dans ma culotte.
- Veux-tu un café ?
- Oui.
- T’as ton déjà montré la loge de Cécilia, elle a tout ce qu’il faut même un lit.
Elle l’impose car par moments ses boys sont un peu plus que des boys.
- Ses boys la baisent ?
- Ça se dit.
Depuis le début des répétitions, tous disaient que Nat dominait Aline.
Je sais ce que font les deux femmes en ce moment, qui l'eût cru.
La loge est bien comme Luis vient de me le dire.
Je bois un café.
Il s’approche et en me regardant dans les yeux.
Ses yeux bleus d’Italien me disent.
- Tu me fixais cette après-midi, c’est ça que tu veux !
Je lui prends la main et en même temps que je l’embrasse, je la pose sur ma chatte.
- Et si nous essayons le lit.
Je viens de décider de prendre mon destin en main…
Je suis dans la nasse.
Au pied du mur.
Autant avec les 70 kilos de Claire, j’ai une chance de sortir indemne des corps-à-corps que nous avons appris à pratiquer depuis que je suis allée chez elle dans son garage.
Autant la tonne, pardon un zéro de trop.
Les cent kilos de Nat vont me broyer si elle vient se mettre sur moi.
Tout à une fin, même les kilomètres avalés sur son tapis roulant par notre batteur, batteuse faisant trop penser aux moissons que je faisais étant petite chez ma grand-mère.
- Aline me disait qu’elle avait une relation fusionnelle avec son violon, il en est de même pour toi avec ton violoncelle.
- Si tu mets les doigts dans ma chatte, tu verrais que je suis trempée.
- Mes doigts dans ta chatte, non, jamais.
- Tu es bien lesbienne ?
- Non, j’ai 35 ans et je suis vierge.
- Et alors Aline.
- Nous avons d’autres relations mais si tu veux bien, je préfère taire nos rapports c’est trop personnel.
- Pourquoi m’as-tu fait venir si ce…- Arrête je voulais rendre jalouse Aline, en ce moment sais-tu où elle est.
- Dans le lit de Christian notre régisseur !
- Détrompe-toi, elle est dans le métro ligne numéro 1 et fait des allées et retours.
Dans la nuit, elle va arriver et faire un cirque croyant que nous dormons ensemble.
Tu vas te coucher sur Betty Boop et moi dans notre chambre.
- C’était pour ça que Claire avait un petit sourire en coin, elle connaît votre secret.
- Une partie, comme je connais une partie du sien.
- Claire à un secret ?
- Oui, un jour je l’ai surpris et elle m’a tout dit.
Sais-tu avec qui elle est en ce moment ?
- Ce que je pourrais appeler son souteneur.
J’ai rentré de la terrasse Valentin que j’ai remise dans son étui.
Nat a pris une serviette de bain qui lui sert à se sécher le visage en sueur.
- Certes on peut dire ça, mais en réalité c’est son beau-père Jean-Marc le mari de sa mère qui paye tous pour l’avoir.
Quand sa mère s’est retrouvée veuve, Linda d’origine brésilienne faisait le ménage chez cet homme.
Elle a épousé ce patron ayant du fric sous couvert de les aider avec sa fille.
Claire est persuadée qu’il fomentait son coup depuis le début car de temps en temps elle allait chez lui quand sa mère devait la garder faute de nourrice.
Elles ont emménagé chez ce salopard qui lui a pris son pucelage à sa majorité.
- Elle pouvait en parler à sa mère et partir.
- Impossible, cette femme est une sans papier, elle avait connu son père qui l’avait engrossé.
Elle tient à ce que cette femme finisse sa vie tranquille et c’est elle qui subit.
- Si nous le pouvons, dit moi que nous l’aiderons.
- Je te promets, je serais la première à aller lui donner des baffes.
En attendant, couche-toi là sans poser plus de question.
À partir de maintenant je me retire dans ma chambre, toi dors bien.
C’est bizarre, sa chambre, elle m’a tout montré sauf cette partie de son appartement.
J’ai l’impression que la nuit va être agitée.
Je récupère mes affaires et je me rhabille.
J’ai bien peur d’être décanillé à point d’heure.
- Salopes où êtes-vous ?
C’est comme ça que je suis réveillée dans la nuit.
Par chance c’est pleine lune et je vois une ombre bondir vers la chambre.
J’allume.
- Que fais-tu la sur le canapé, c’est là qu’elle t’a baisé et elle est partie se cacher dans sa chambre ?
Je vais la massacrer.
- Aline, nous sommes allées au restaurant et après nous sommes venues ici.
Claire est avec son salopard et Nat m’a offert l’hospitalité par pure amitié.
- Pour me rendre jalouse, salope, Nat t’es une salope.
- Elle m’a montré le canapé et après avoir été dans sa chambre elle est allée courir sur son tapis avant de rejoindre sa chambre.
Inutile de lui parler de Valentin avec lequel j’ai joué nue pendant qu’elle courrait.
- Aline vient, j’ai été une méchante fille, j’ai voulu te rendre jalouse.
Pardonne-moi.
Elle a juste passé sa tête et Aline la suit semblant calmé.
Tout semble calme, juste quelques éclats de voix et le bruit de l’eau qui coule dans la salle de bain.
La salle d’eau j’y suis passée pour me satisfaire avant de m’allonger dans les bras de Betty Boop.
Encore quelques éclats de voix et je pense que je vais finir ma nuit tranquille dans cet appartement de dingue.
De nouveau du bruit venant de la chambre quelle heure.
Presque cinq heures.
J’ai bu du café, j’ai envie d’uriner, je me rends au petit coin.
La porte avec la chambre de mes copines est mal fermée.
Je m’approche et je vois.
Je vois, grâce à une glace qui me renvoie une partie de la chambre avec là encore Betty Boop mais les bras levés formant une croix.
Elle est attachée par des menottes aux pieds et aux mains.
Elle a une espèce de boule dans sa bouche étouffant ses cris.
Ces cris car Aline lui déverse directement de la cire sur ses grosses mamelles.
Ces mamelles sont entourées de cordes fortement serrées et passant par sa chatte.
J’ai mal pour elle.
- Tu aimes que je te brûle les seins espèce de pute.
Quand j’en aurais fini avec toi, c’est ta gouine avec laquelle je suis sûr que tu as frayé que je vais m’occuper.
Elle va voir si on peut me lever ma femme devant mes yeux sans que je réagisse.
Énormes, nous pensions que Nat dominait Aline, c’est le contraire que je découvre ici.
Nat est la soumise, Aline la maîtresse femme.
Pour me le prouver, elle est revêtue d’une combinaison noire.
Bougie d’une main et cravache de l’autre.
Bougie qu’elle fait couler sur les seins et le ventre de la suppliciée qui se tortille sous la douleur.
Et coup de cravache zébrant sa chatte là encore l’obligeant à se tordre dans ses liens.
Quand j’en aurais fini, des menottes sont sur le lit, inutile d’attendre qu’elles soient autour de mes membres.
Je quitte la salle de bains aussi discrètement que j’y suis rentrée.
Je remets mes chaussures et récupère ma veste et Valentin par chance remis dans son étui.
Dans la rue, le jour commence à poindre.
J’ai envie d’uriner, trois cafés, aucun d'ouvert à cette heure.
Je suis non loin de la salle de répète il y a de la lumière.
Je pousse la porte et je rejoins la salle.
Luis est là à la table des commandes de jeux de lumière et la voix de Cécilia emplissant la pièce.
- C’est trop tôt Isabelle, les répétitions sont à 9 heures.
- Et toi que fais-tu là Luis ?
Mon beau blond car c’est lui se lève et vient vers moi.
- Il était deux heures quand Cécilia m’a téléphoné, dans sa troisième chanson, la programmation en auto faisait un balayage de la scène, elle la voulait statique.
Depuis je suis là et j’ai fini.
Cécilia sera là à 14 heures après le repas.
Et toi ?
- Attends, je vais faire pipi.
Je vais vers les toilettes où après avoir déposé Valentin je me satisfais à deux doigts de faire pipi dans ma culotte.
- Veux-tu un café ?
- Oui.
- T’as ton déjà montré la loge de Cécilia, elle a tout ce qu’il faut même un lit.
Elle l’impose car par moments ses boys sont un peu plus que des boys.
- Ses boys la baisent ?
- Ça se dit.
Depuis le début des répétitions, tous disaient que Nat dominait Aline.
Je sais ce que font les deux femmes en ce moment, qui l'eût cru.
La loge est bien comme Luis vient de me le dire.
Je bois un café.
Il s’approche et en me regardant dans les yeux.
Ses yeux bleus d’Italien me disent.
- Tu me fixais cette après-midi, c’est ça que tu veux !
Je lui prends la main et en même temps que je l’embrasse, je la pose sur ma chatte.
- Et si nous essayons le lit.
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