COLLECTION HOMME FEMME. Violoncelliste. Saison II (7/9)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 20-01-2020 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION HOMME FEMME. Violoncelliste. Saison II (7/9)
Je croyais finir dans les bras de Nat la batteuse du groupe formé pour entourer Cécilia la nouvelle coqueluche de notre jeunesse avec laquelle je vais partir un mois en tourner des plages.
La venue d’Aline dans l’appartement de Nat, femme discrète quand elle est avec nous, cache une maîtresse femme lorsqu'elle punit Nat femme d’une carrure hors du commun.
Entendant que ce qu’elle veut me faire subir, lorsqu’elle aurait fini de massacrer les seins de cette femme, je fuis littéralement.
Quand j’ai surpris le secret de ces femmes, j’étais venue pour satisfaire ma vessie et rapidement dans la fin de cette nuit, tout étant fermé je me suis rabattue sur la salle où nous faisons nos répétitions.
Par chance Luis le bel italien est là à régler des suites pour satisfaire Cécilia qui lui a téléphoné dans la nuit avant d’arriver en début d’après-midi.
Je me soulage et il m’offre de prendre un café dans la loge réservée à la vedette et ses deux danseurs.
C’est en lui caressant le sexe que je lui montre l’envie que j’ai de lui.
Avec mon professeur, il décidait et je subissais.
Certes avec Vivian c’est moi qui ai tout fait mais c'était un puceau alors que là c’est un homme que je souhaite séduire.
Séduire est un grand mot car seule sa verge m’intéresse.
J’aime me gouiner avec Claire et j’étais prête à le faire avec Nat mais au fond de moi je sais que je suis faite pour un bon sexe mâle.
Je baisse son pantalon avec un peu de mal mais j’y arrive et ma bouche peut enfin le faire venir en elle jusqu’aux couilles.
La plus belle que j’ai eu à m’occuper.
Mais surtout ses mains qui restent actives et qui me dénudent autant que je lui défais sa chemise.
- Caresse-moi les seins.
Quand je dis que je veux maîtriser la situation c’est parce que Pierre mon prof me baisait sans prendre soin d’eux.
C’est Claire qui m’a fait découvrir leur sensibilité alors ce que Claire a fait, je veux que Luis me le fasse aussi.
Après le traitement que ma bouche a fait à sa verge, je veux une nouvelle fois que ce soit moi qui le baise.
Il veut se relever mais je le cloue sur le lit avant de l’enjamber et de littéralement m’empaler.
Quelle meilleure position pour dominer le monde que celle que je pratique en montant et descendant pour le plaisir qui irradie mon corps.
Je jouis avant que je sente qu’il décharge en moi.
Tous ces événements m’ont épuisé et je m’écroule de fatigue sur son corps.
- Debout, les autres vont arriver.
J’émerge, la loge est dévastée par notre coït.
Je la remets en ordre avant de rejoindre les autres.
Nat vient d’arriver avec Aline qui s’approche de moi.
- Nat m’a dit que tu nous avais vus avant de te sauver.
Un conseil, ton cerveau doit oublier ce qu’il a vu, sinon je te promets de m’occuper personnellement de toi petite salope.
- De quoi me parles-tu Aline, j’ai assez de m’occuper de Claire.
Tient elle arrive avec son violoncelle.
Je tourne les talons et je rejoins mon amie.
- Que t’arrive-t-il Claire, tu sembles très fatiguée.
- Non ça va et toi ça s’est bien passé chez Nat, tu en es sortie vivante.
- En place, on attaque la dernière répète avant l’arrivée de Cécilia.
On se dépêche.
C’est Christian qui nous rappelle à l’ordre.
Je vois que Claire a un peu de mal à marcher.
Quand je monte sur scène Nat est à ma hauteur.
- Tu m’excuses pour hier de mettre servie de toi Aline vient de me dire que tu serais muette auprès des autres, merci.
- À charge de revanche Nat.
- Tu peux compter sur moi.
Que dire, nous jouons, nous reprenons, nous allons déjeuner ?
L’amour faisant penser que Nat domine Aline reprend.
De temps en temps cette dernière me regarde pour voir si je vais tenir ma promesse mais c’est Claire qui me tracasse elle semble absente.
Avant de rentrer recevoir notre vedette, je descends aux toilettes de la brasserie.
Nat me rejoint.
- Isabelle, tu as vu Claire, elle est toujours comme ça quand son protecteur vient la voir.
- Ce soir, j’essayerais d’en savoir plus.
- Pour hier, tu aimes ce qu’Aline te faisait ?
- Oh oui, j’adore qu’elle me martyrise, j’ai l’impression d’exister, tu sais j’aime bien.
- Qui c’est que tu aimes bien ?
Toi dégage, arrête de tourner autour de Nat.
- Tout doux Aline pendant un mois on va se côtoyer, inutile de me faire la guerre.
Nat est une amie et les choses entre nous en resteront là.
Arrête ta jalousie.
Je les plante là, fière d’avoir cloué le bec à cette sado.
Plus, elle est dans la porte, je la bouscule pour passer de façon autoritaire.
Je sens que je m’affirme.
- Bonjour à tous, chaque fois que l’on se verra ce bonjour suffira.
J’ai horreur des grandes effusions.
Christian conduit nous à notre loge.
Le temps de refaire mon maquillage dans cinq minutes on arrive.
Première impression de notre vedette.
Petite connasse qui se la pète.
Certes elle se la pète, mais malgré son jeune âge, elle assume et nous arrivons en fin de journée crevé surtout moi après ma nuit et mon début de matinée.
- C’est bien, on a bien travaillé.
Je vous donne une heure demain matin on commence à 10 heures.
Nous rangeons nos instruments, Luis traîne bizarrement près de nous, mais je fais celle qui est ailleurs.
Ce qui est le cas quand Claire semble avoir du mal à mettre Pépère sur son dos.
De retour chez elle, je la prends dans mes bras et je l’embrasse.
- Claire il faut tout me dire, il est tard, je vais au Mac Do chercher de quoi manger et tu me diras.
Je dis ce que je fais, je fais ce que je dis.
Une demi-heure et je suis de retour.
- Je me suis douchée, mange je vais me coucher.
Elle a son peignoir sur le dos, elle va vers la chambre.
Je mange et après être allée à la douche, le sperme de Luis étant toujours là, je fais couler l’eau avec délice.
Quand je la rejoins dans le noir, je me couche nue comme elle d’ailleurs mais quand je lui touche le sein, elle soupire.
Elle me tourne le dos, comme le ferait une femme se refusant à son époux.
Nous dormons, normal je suis bien fatiguée.
Au matin il fait jour il est 8 heures.
J’ai envie d’un bon café, j’écarte les draps pour sortir du lit.
- Claire qu’as-tu sur ton dos, ces traces sombres.
Elle se retourne
- Et tes jolis seins aussi.
Ces traces de piqûres qu’est-ce que c’est.
Elle tombe en larmes, je la prends dans mes bras et je la laisse épancher ses larmes.
- Viens, je vais te faire voir.
Nous passons le vestiaire des douches.
Il y a une autre porte, elle l’ouvre avec une clef qui semble cachée derrière un poteau de métal soutenant l’ancien garage.
- Quand mon ami m’a fait venir la première fois, après des travaux qu’il avait faits voilà ce que j’ai découvert.
Mince, dans quel monde suis-je tombée.
Hier, Nat attachée sur une croix.
Ici, c’est en dix fois pire que des instruments de tortures se montrent à nous.
Une vraie salle comme dans les châteaux où Fernandel se trouve quand on veut le faire parler.
Une armoire, je l’ouvre, Aline était un ange quand elle caressait Nat de sa cravache.
Il manque les bougies pour la cire.
- Tu vois mon ami est un sadique et hier il a déversé sa haine sur moi.
- Ton ami, ton beau-père, Nat m’a dit qui était ton souteneur.
Je te promets de trouver une solution pour te sortir de ses pattes.
Dis-moi, je vois que tes fesses ont relativement épargné si je t’attachais.
- Surtout pas, regarde ce gode poser là, il me le met dans l’anus pendant qu’il me prend avec son sexe par-devant.
- Je comprends pourquoi tu avais du mal à te déplacer.
As-tu de la pommade ?
- Oui dans notre chambre.
- Retournons, je vais t’en appliquer.
Claire marche devant moi.
Comment un si joli petit cul peut-il recevoir ce gros gode noir ?
Nat, Aline, Aline, Nat.
Claire, Aline, Nat, Aline, Nat, Claire.
Nat m’a dit avoir une dette envers moi.
Et si l’idée qui vient de germer en moi arrivais à se concrétiser dans les jours prochains avant notre départ pour notre tournée des plages…
La venue d’Aline dans l’appartement de Nat, femme discrète quand elle est avec nous, cache une maîtresse femme lorsqu'elle punit Nat femme d’une carrure hors du commun.
Entendant que ce qu’elle veut me faire subir, lorsqu’elle aurait fini de massacrer les seins de cette femme, je fuis littéralement.
Quand j’ai surpris le secret de ces femmes, j’étais venue pour satisfaire ma vessie et rapidement dans la fin de cette nuit, tout étant fermé je me suis rabattue sur la salle où nous faisons nos répétitions.
Par chance Luis le bel italien est là à régler des suites pour satisfaire Cécilia qui lui a téléphoné dans la nuit avant d’arriver en début d’après-midi.
Je me soulage et il m’offre de prendre un café dans la loge réservée à la vedette et ses deux danseurs.
C’est en lui caressant le sexe que je lui montre l’envie que j’ai de lui.
Avec mon professeur, il décidait et je subissais.
Certes avec Vivian c’est moi qui ai tout fait mais c'était un puceau alors que là c’est un homme que je souhaite séduire.
Séduire est un grand mot car seule sa verge m’intéresse.
J’aime me gouiner avec Claire et j’étais prête à le faire avec Nat mais au fond de moi je sais que je suis faite pour un bon sexe mâle.
Je baisse son pantalon avec un peu de mal mais j’y arrive et ma bouche peut enfin le faire venir en elle jusqu’aux couilles.
La plus belle que j’ai eu à m’occuper.
Mais surtout ses mains qui restent actives et qui me dénudent autant que je lui défais sa chemise.
- Caresse-moi les seins.
Quand je dis que je veux maîtriser la situation c’est parce que Pierre mon prof me baisait sans prendre soin d’eux.
C’est Claire qui m’a fait découvrir leur sensibilité alors ce que Claire a fait, je veux que Luis me le fasse aussi.
Après le traitement que ma bouche a fait à sa verge, je veux une nouvelle fois que ce soit moi qui le baise.
Il veut se relever mais je le cloue sur le lit avant de l’enjamber et de littéralement m’empaler.
Quelle meilleure position pour dominer le monde que celle que je pratique en montant et descendant pour le plaisir qui irradie mon corps.
Je jouis avant que je sente qu’il décharge en moi.
Tous ces événements m’ont épuisé et je m’écroule de fatigue sur son corps.
- Debout, les autres vont arriver.
J’émerge, la loge est dévastée par notre coït.
Je la remets en ordre avant de rejoindre les autres.
Nat vient d’arriver avec Aline qui s’approche de moi.
- Nat m’a dit que tu nous avais vus avant de te sauver.
Un conseil, ton cerveau doit oublier ce qu’il a vu, sinon je te promets de m’occuper personnellement de toi petite salope.
- De quoi me parles-tu Aline, j’ai assez de m’occuper de Claire.
Tient elle arrive avec son violoncelle.
Je tourne les talons et je rejoins mon amie.
- Que t’arrive-t-il Claire, tu sembles très fatiguée.
- Non ça va et toi ça s’est bien passé chez Nat, tu en es sortie vivante.
- En place, on attaque la dernière répète avant l’arrivée de Cécilia.
On se dépêche.
C’est Christian qui nous rappelle à l’ordre.
Je vois que Claire a un peu de mal à marcher.
Quand je monte sur scène Nat est à ma hauteur.
- Tu m’excuses pour hier de mettre servie de toi Aline vient de me dire que tu serais muette auprès des autres, merci.
- À charge de revanche Nat.
- Tu peux compter sur moi.
Que dire, nous jouons, nous reprenons, nous allons déjeuner ?
L’amour faisant penser que Nat domine Aline reprend.
De temps en temps cette dernière me regarde pour voir si je vais tenir ma promesse mais c’est Claire qui me tracasse elle semble absente.
Avant de rentrer recevoir notre vedette, je descends aux toilettes de la brasserie.
Nat me rejoint.
- Isabelle, tu as vu Claire, elle est toujours comme ça quand son protecteur vient la voir.
- Ce soir, j’essayerais d’en savoir plus.
- Pour hier, tu aimes ce qu’Aline te faisait ?
- Oh oui, j’adore qu’elle me martyrise, j’ai l’impression d’exister, tu sais j’aime bien.
- Qui c’est que tu aimes bien ?
Toi dégage, arrête de tourner autour de Nat.
- Tout doux Aline pendant un mois on va se côtoyer, inutile de me faire la guerre.
Nat est une amie et les choses entre nous en resteront là.
Arrête ta jalousie.
Je les plante là, fière d’avoir cloué le bec à cette sado.
Plus, elle est dans la porte, je la bouscule pour passer de façon autoritaire.
Je sens que je m’affirme.
- Bonjour à tous, chaque fois que l’on se verra ce bonjour suffira.
J’ai horreur des grandes effusions.
Christian conduit nous à notre loge.
Le temps de refaire mon maquillage dans cinq minutes on arrive.
Première impression de notre vedette.
Petite connasse qui se la pète.
Certes elle se la pète, mais malgré son jeune âge, elle assume et nous arrivons en fin de journée crevé surtout moi après ma nuit et mon début de matinée.
- C’est bien, on a bien travaillé.
Je vous donne une heure demain matin on commence à 10 heures.
Nous rangeons nos instruments, Luis traîne bizarrement près de nous, mais je fais celle qui est ailleurs.
Ce qui est le cas quand Claire semble avoir du mal à mettre Pépère sur son dos.
De retour chez elle, je la prends dans mes bras et je l’embrasse.
- Claire il faut tout me dire, il est tard, je vais au Mac Do chercher de quoi manger et tu me diras.
Je dis ce que je fais, je fais ce que je dis.
Une demi-heure et je suis de retour.
- Je me suis douchée, mange je vais me coucher.
Elle a son peignoir sur le dos, elle va vers la chambre.
Je mange et après être allée à la douche, le sperme de Luis étant toujours là, je fais couler l’eau avec délice.
Quand je la rejoins dans le noir, je me couche nue comme elle d’ailleurs mais quand je lui touche le sein, elle soupire.
Elle me tourne le dos, comme le ferait une femme se refusant à son époux.
Nous dormons, normal je suis bien fatiguée.
Au matin il fait jour il est 8 heures.
J’ai envie d’un bon café, j’écarte les draps pour sortir du lit.
- Claire qu’as-tu sur ton dos, ces traces sombres.
Elle se retourne
- Et tes jolis seins aussi.
Ces traces de piqûres qu’est-ce que c’est.
Elle tombe en larmes, je la prends dans mes bras et je la laisse épancher ses larmes.
- Viens, je vais te faire voir.
Nous passons le vestiaire des douches.
Il y a une autre porte, elle l’ouvre avec une clef qui semble cachée derrière un poteau de métal soutenant l’ancien garage.
- Quand mon ami m’a fait venir la première fois, après des travaux qu’il avait faits voilà ce que j’ai découvert.
Mince, dans quel monde suis-je tombée.
Hier, Nat attachée sur une croix.
Ici, c’est en dix fois pire que des instruments de tortures se montrent à nous.
Une vraie salle comme dans les châteaux où Fernandel se trouve quand on veut le faire parler.
Une armoire, je l’ouvre, Aline était un ange quand elle caressait Nat de sa cravache.
Il manque les bougies pour la cire.
- Tu vois mon ami est un sadique et hier il a déversé sa haine sur moi.
- Ton ami, ton beau-père, Nat m’a dit qui était ton souteneur.
Je te promets de trouver une solution pour te sortir de ses pattes.
Dis-moi, je vois que tes fesses ont relativement épargné si je t’attachais.
- Surtout pas, regarde ce gode poser là, il me le met dans l’anus pendant qu’il me prend avec son sexe par-devant.
- Je comprends pourquoi tu avais du mal à te déplacer.
As-tu de la pommade ?
- Oui dans notre chambre.
- Retournons, je vais t’en appliquer.
Claire marche devant moi.
Comment un si joli petit cul peut-il recevoir ce gros gode noir ?
Nat, Aline, Aline, Nat.
Claire, Aline, Nat, Aline, Nat, Claire.
Nat m’a dit avoir une dette envers moi.
Et si l’idée qui vient de germer en moi arrivais à se concrétiser dans les jours prochains avant notre départ pour notre tournée des plages…
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