COLLECTION JEUNE – VIEUX. Canicule (2/2)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 17-08-2019 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION JEUNE – VIEUX. Canicule (2/2)
- Bonjour madame avez-vous reçu le papier de la mairie vous signalant que des jeunes du quartier passeraient cette année pour voir si vous allez bien le temps de la canicule.
C’est ainsi qu’après un léger quiproquo nous entrons avec mes quatre copains chez mamy, pardon Violette dame âgée dont nous devons prendre soin pendant la période de la canicule.
Il y a quelques années, en 2003 plus précisément, le décès de nombreuses personnes d'âges mûrs alors que le ministre en charge se présentait en polo sur son lieu de vacances avait déchiré le pays.
C’est pour cela que le maire amant de maman, je vous le rappelle, aie constitué des équipes toutes d’amis comme la nôtre.
Contact pris, nous laissons les bouteilles d’eau et nous quittons mamy.
Je suis assez satisfait car à part la bourde de Mustapha la prise de contact c’est bien passé.
Comme prévu, en fin d’après-midi, je sonne chez mamy.
J’ai l’impression qu’elle m’attendait car en moins de trente secondes elle m’ouvre.
Elle semble s’être pomponnée, même légèrement maquillée.
- Entre Lionel, je suis sortie faire des courses.
Oh, pas loin, juste chez Albert, tu sais l’épicier.
Je t’ai fait une tarte aux pommes.
Tu seras indulgent, ça fait vingt ans que je n’en avais pas fait.
En plus de sa légère transformation, elle me tutoie, dois-je lui faire remarquer au risque de perdre la confiance qu’il semble s’être installé entre nous.
Elle m’emmène dans la cuisine, la pièce la plus fraîche à ce qu’elle nous a dit.
Ça n’empêche un vrai hammam.
Je commence à suer à grosses gouttes, mamy le voit.
- Attends, je reviens.
Elle est de retour avec un paquet de Kleenex, elle en sort un et me tapote le front.
Elle a enfilé un chemisier qui me rappelle quelque chose.
C’est celui qu’elle portait sur la photo avec Louis son mari.
Ses seins, même s’ils se sont flétris, oh, juste un peu restent assez volumineux.
Pensant qu’il faut que je prenne l’initiative, avec Radia, c’est en partie elle qui a tout fait.
Je suis le mâle depuis qu’elle m’a fait perdre mon pucelage.
J’avance ma main et je le passe dans son chemisier, ils sont à ma disposition sans soutien.
- Lionel, c’est divin et si bon, depuis le temps qu’ils sont délaissés.
Je sors son droit et ma bouche se porte dessus.
Nous nous regardons, allons-nous franchir les étapes normales dans un couple sans notre différence d’âge.
Quand je vois ses cheveux blancs, je me demande dans quel état je vais trouver sa chatte.
La chatte de Radia, je l’ai sucée et je vois encore ses grandes lèvres brunes que j’aie dû écarter pour y entrer ma langue.
Elle devait se raser dans sa salle de bain comme maman le fait chez nous.
Au début, le rasoir à main que j’avais trouvé dans un tiroir sous le lavabo m’a fait penser qu’il appartenait à papa, mais la longueur d’un poil m’a détrompé.
Il se rasait tous les jours et ce poil bien bouclé était obligatoirement à une autre personne de la famille.
Ma sœur, elle est trop petite pour avoir de telles longueurs de poils, en a-t-elle au moins un d’ailleurs.
Assez pensé, je reste sans agir, la chatte de mamy, je verrais si elle me la montre.
Elle me donne déjà ses seins, je dois en profiter.
- Lionel, je vais faire quelque chose d’impossible pour moi jusqu’à cette nuit ou j’ai pensé à vous.
Comme je l’ai dit quand ton camarade a apporté la photo de Louis et de moi, aucun autre homme que lui n’est entré dans ma chambre.
À mon âge, je me vois mal faire des galipettes dans cette cuisine ou sur mon canapé.
Viens.
Elle me prend la main, je vais pouvoir comparer une jeune avec une vieille chatte.
Il me semble que c’est elle qui est plus impatiente que moi, qu’a-t-elle pensé cette nuit, s'est-elle masturbée.
Incroyable pour une ancienne institutrice, le faisait-elle devant ses élèves quand je dégrafe sa jupe et qu’elle tombe au sol, aucune petite culotte ne couvre ses poils blancs comme ses cheveux.
- Tu dois me prendre pour une salope Lionel, quand je me suis préparé suite à la résolution que j’ai prise cette nuit de revivre à la vie malgré mon âge.
J’ai cherché quels sous-vêtements mettre, je n’ai que des vieux trucs et moches, j’ai choisi de ne rien mettre.
- Violette tu as bien fait, j’ai rêvé de toi toute la nuit, tu restes une femme magnifique.
- Mais tes copains que vont-ils penser, ils vont m prendre pour une.
- Chut, Violette plus un mot, nous verrons les problèmes les uns après les autres, pour le moment seul ton plaisir compte.
- Je suis folle, mais qu’il est bon d’être folle, c’est vraiment une étuve cette chambre plein sud.
- Retournons dans la cuisine, tu trouves ça inconfortable mais on nous a demandé de faire attention de vous éviter d’avoir des coups de chauds.
- Je reconnais bien là notre maire, je vois bien que l’an prochain ce sont les élections municipales, il va encore nous envoyer des taxis pour nous emmener voter.
Tu as raison quittons ma chambre.
Avant de retourner dans sa cuisine, elle entièrement nue, belle dans sa grandeur, j’ai le temps de voir que le cadre que Moustapha s’était permis le droit de déplacer était là mais regardant le mur.
Violette sachant ce que nous allions faire a voulu que Louis ne voie pas qu’il était cocu.
Passant devant une chambre dont la porte est ouverte, je vois une solution à notre problème.
Comme elle l’a dit, elle se voit mal batifoler sur la table de sa cuisine.
Je vais dans cette pièce, je pousse la table et la laissant médusé, je retourne dans cette pièce récupérer le matelas une place et je nous installe dans cette pièce plus fraîche.
Le temps que je fasse cette opération, j’ai un instant peur que son ardeur pour moi se soit évaporée à cause de la chaleur mais il n’en est rien.
Je la prends dans mes bras et je la couche doucement, elle se redresse et défait le premier bouton de mon jean.
Quand elle me prend dans sa bouche, je suis étonné.
Comment une si belle dame peut-elle prendre dans sa bouche ma verge ?
Le faisait-on dans son temps avec Louis.
Nous nous avons Internet qui m’a tout appris du moins jusqu’à ce que je joue les éjaculateurs précausses avec Radia.
Je prends un cours de vision du monde, la terre est ronde et tout est un éternel recommencement.
Si j’avais il y a peu développé cette thèse au bac, je l’aurais peut-être eu au lieu de me vautrer lamentablement.
J’enlève mon marcel, seul vêtement que je supporte par cette chaleur mais qui met en valeur ma musculation entretenue à la salle de culture physique que l’amant de maman met généreusement à notre disposition.
Ce que vient de me dire Violette sur les taxis, me fait penser que pour les vieux ce sont les taxis, nous c’est la salle de sport dont il se sert pour sa réélection.
Je me suis inscrit sur les listes électorales pour faire mon devoir.
Il est sûr que celui qui fait cocu mon père n’aura pas mon bulletin de vote.
Mais revenons à Violette celle que je suis en train de séduire pour mon plus grand bonheur.
Je m’allonge à ses côtés et quand elle me dit.
- Viens !
Je suis le garçon le plus heureux du monde, j’ai la sensation de la dépuceler bien que ma verge entre sans forcer et que ses jambes viennent enserrer ma taille.
Je sue à grosses gouttes, je la regarde, elle me regarde.
Je la laboure doucement, une mamy est un objet rare surtout quand ça se donne.
Une goutte tombe sur sa bouche que je viens de libérer.
Elle tombe sur ses lèvres, elle y passe sa langue récupérant tout de moi mon sperme et ma sueur.
J’ai été un peu vite là encore, mais la façon qu’elle a de ne pas vouloir me lâcher m’empêche de débander.
J’ignorais que l’on pouvait baiser aussi longtemps jusqu’à ce qu’elle atteigne l’extase et ce que certain appelle la petite mort.
Repus d’amour et de sexe, nous reposons côté à côte entre le mur et la cuisinière.
Sur le côté il y a un torchon à vaisselle, je l’essuie, elle m’essuie et nous repartons pour un jeu avec nos langues.
Elle s’est retournée encore souplement et venant sur moi mes yeux voient sa chatte aux poils blancs s’approcher de ma bouche.
Je sens sa main sur mon sexe et sa bouche sur mon gland.
J’écarte ses grandes lèvres qui sont en rapport avec sa taille, je passe ma langue récupérant au passage ça cyprine bien différente de celle de Radia et mon sperme que j’y ai déposé pour son plus grand plaisir.
Elle me pompe, je la lèche, elle démarre un nouvel orgasme sous ma langue, elle boit elle aussi mon sperme.
Voilà je pourrais arrêter là mon histoire avec mamy, pardon Violette.
C’est une femme bandante que je fais jouir depuis deux mois.
La canicule est partie, reste plusieurs choses.
Les copains qui se sont bien comportés tout particulièrement Moustapha qui m’a aidé à installer une climatisation dans l’appartement.
N’ayant pas de revenu, c’est Violette qui a tout financé.
Lorsque nous discutons dans notre lit, la photo de Louis tant remplacé par une photo de nous tendrement enlacés.
Que je lui avoue avoir loupé mon bac m’obligeant à trouver un métier manuel, elle ne se résout pas à cet état de fait.
Réussirent mon bac et les écoles supérieures.
Le maire sera certainement réélu, mais seulement pour six ans car à la prochaine élection, il aura pour le remplacer un jeune loup de la politique qui fera son premier mandat.
Avec moi, il aura le futur député de notre circonscription qui n’aura pas de honte à s’afficher avec celle que ceux qui ne seront pas au courant prendront pour ma mère.
S’ils savaient chaque fois que je lui fais l’amour, elle jouit dans toutes les positions qu’elle connaissait ou que je lui ai apprise.
Même la table de la cuisine est témoin de notre amour.
C’est ainsi qu’après un léger quiproquo nous entrons avec mes quatre copains chez mamy, pardon Violette dame âgée dont nous devons prendre soin pendant la période de la canicule.
Il y a quelques années, en 2003 plus précisément, le décès de nombreuses personnes d'âges mûrs alors que le ministre en charge se présentait en polo sur son lieu de vacances avait déchiré le pays.
C’est pour cela que le maire amant de maman, je vous le rappelle, aie constitué des équipes toutes d’amis comme la nôtre.
Contact pris, nous laissons les bouteilles d’eau et nous quittons mamy.
Je suis assez satisfait car à part la bourde de Mustapha la prise de contact c’est bien passé.
Comme prévu, en fin d’après-midi, je sonne chez mamy.
J’ai l’impression qu’elle m’attendait car en moins de trente secondes elle m’ouvre.
Elle semble s’être pomponnée, même légèrement maquillée.
- Entre Lionel, je suis sortie faire des courses.
Oh, pas loin, juste chez Albert, tu sais l’épicier.
Je t’ai fait une tarte aux pommes.
Tu seras indulgent, ça fait vingt ans que je n’en avais pas fait.
En plus de sa légère transformation, elle me tutoie, dois-je lui faire remarquer au risque de perdre la confiance qu’il semble s’être installé entre nous.
Elle m’emmène dans la cuisine, la pièce la plus fraîche à ce qu’elle nous a dit.
Ça n’empêche un vrai hammam.
Je commence à suer à grosses gouttes, mamy le voit.
- Attends, je reviens.
Elle est de retour avec un paquet de Kleenex, elle en sort un et me tapote le front.
Elle a enfilé un chemisier qui me rappelle quelque chose.
C’est celui qu’elle portait sur la photo avec Louis son mari.
Ses seins, même s’ils se sont flétris, oh, juste un peu restent assez volumineux.
Pensant qu’il faut que je prenne l’initiative, avec Radia, c’est en partie elle qui a tout fait.
Je suis le mâle depuis qu’elle m’a fait perdre mon pucelage.
J’avance ma main et je le passe dans son chemisier, ils sont à ma disposition sans soutien.
- Lionel, c’est divin et si bon, depuis le temps qu’ils sont délaissés.
Je sors son droit et ma bouche se porte dessus.
Nous nous regardons, allons-nous franchir les étapes normales dans un couple sans notre différence d’âge.
Quand je vois ses cheveux blancs, je me demande dans quel état je vais trouver sa chatte.
La chatte de Radia, je l’ai sucée et je vois encore ses grandes lèvres brunes que j’aie dû écarter pour y entrer ma langue.
Elle devait se raser dans sa salle de bain comme maman le fait chez nous.
Au début, le rasoir à main que j’avais trouvé dans un tiroir sous le lavabo m’a fait penser qu’il appartenait à papa, mais la longueur d’un poil m’a détrompé.
Il se rasait tous les jours et ce poil bien bouclé était obligatoirement à une autre personne de la famille.
Ma sœur, elle est trop petite pour avoir de telles longueurs de poils, en a-t-elle au moins un d’ailleurs.
Assez pensé, je reste sans agir, la chatte de mamy, je verrais si elle me la montre.
Elle me donne déjà ses seins, je dois en profiter.
- Lionel, je vais faire quelque chose d’impossible pour moi jusqu’à cette nuit ou j’ai pensé à vous.
Comme je l’ai dit quand ton camarade a apporté la photo de Louis et de moi, aucun autre homme que lui n’est entré dans ma chambre.
À mon âge, je me vois mal faire des galipettes dans cette cuisine ou sur mon canapé.
Viens.
Elle me prend la main, je vais pouvoir comparer une jeune avec une vieille chatte.
Il me semble que c’est elle qui est plus impatiente que moi, qu’a-t-elle pensé cette nuit, s'est-elle masturbée.
Incroyable pour une ancienne institutrice, le faisait-elle devant ses élèves quand je dégrafe sa jupe et qu’elle tombe au sol, aucune petite culotte ne couvre ses poils blancs comme ses cheveux.
- Tu dois me prendre pour une salope Lionel, quand je me suis préparé suite à la résolution que j’ai prise cette nuit de revivre à la vie malgré mon âge.
J’ai cherché quels sous-vêtements mettre, je n’ai que des vieux trucs et moches, j’ai choisi de ne rien mettre.
- Violette tu as bien fait, j’ai rêvé de toi toute la nuit, tu restes une femme magnifique.
- Mais tes copains que vont-ils penser, ils vont m prendre pour une.
- Chut, Violette plus un mot, nous verrons les problèmes les uns après les autres, pour le moment seul ton plaisir compte.
- Je suis folle, mais qu’il est bon d’être folle, c’est vraiment une étuve cette chambre plein sud.
- Retournons dans la cuisine, tu trouves ça inconfortable mais on nous a demandé de faire attention de vous éviter d’avoir des coups de chauds.
- Je reconnais bien là notre maire, je vois bien que l’an prochain ce sont les élections municipales, il va encore nous envoyer des taxis pour nous emmener voter.
Tu as raison quittons ma chambre.
Avant de retourner dans sa cuisine, elle entièrement nue, belle dans sa grandeur, j’ai le temps de voir que le cadre que Moustapha s’était permis le droit de déplacer était là mais regardant le mur.
Violette sachant ce que nous allions faire a voulu que Louis ne voie pas qu’il était cocu.
Passant devant une chambre dont la porte est ouverte, je vois une solution à notre problème.
Comme elle l’a dit, elle se voit mal batifoler sur la table de sa cuisine.
Je vais dans cette pièce, je pousse la table et la laissant médusé, je retourne dans cette pièce récupérer le matelas une place et je nous installe dans cette pièce plus fraîche.
Le temps que je fasse cette opération, j’ai un instant peur que son ardeur pour moi se soit évaporée à cause de la chaleur mais il n’en est rien.
Je la prends dans mes bras et je la couche doucement, elle se redresse et défait le premier bouton de mon jean.
Quand elle me prend dans sa bouche, je suis étonné.
Comment une si belle dame peut-elle prendre dans sa bouche ma verge ?
Le faisait-on dans son temps avec Louis.
Nous nous avons Internet qui m’a tout appris du moins jusqu’à ce que je joue les éjaculateurs précausses avec Radia.
Je prends un cours de vision du monde, la terre est ronde et tout est un éternel recommencement.
Si j’avais il y a peu développé cette thèse au bac, je l’aurais peut-être eu au lieu de me vautrer lamentablement.
J’enlève mon marcel, seul vêtement que je supporte par cette chaleur mais qui met en valeur ma musculation entretenue à la salle de culture physique que l’amant de maman met généreusement à notre disposition.
Ce que vient de me dire Violette sur les taxis, me fait penser que pour les vieux ce sont les taxis, nous c’est la salle de sport dont il se sert pour sa réélection.
Je me suis inscrit sur les listes électorales pour faire mon devoir.
Il est sûr que celui qui fait cocu mon père n’aura pas mon bulletin de vote.
Mais revenons à Violette celle que je suis en train de séduire pour mon plus grand bonheur.
Je m’allonge à ses côtés et quand elle me dit.
- Viens !
Je suis le garçon le plus heureux du monde, j’ai la sensation de la dépuceler bien que ma verge entre sans forcer et que ses jambes viennent enserrer ma taille.
Je sue à grosses gouttes, je la regarde, elle me regarde.
Je la laboure doucement, une mamy est un objet rare surtout quand ça se donne.
Une goutte tombe sur sa bouche que je viens de libérer.
Elle tombe sur ses lèvres, elle y passe sa langue récupérant tout de moi mon sperme et ma sueur.
J’ai été un peu vite là encore, mais la façon qu’elle a de ne pas vouloir me lâcher m’empêche de débander.
J’ignorais que l’on pouvait baiser aussi longtemps jusqu’à ce qu’elle atteigne l’extase et ce que certain appelle la petite mort.
Repus d’amour et de sexe, nous reposons côté à côte entre le mur et la cuisinière.
Sur le côté il y a un torchon à vaisselle, je l’essuie, elle m’essuie et nous repartons pour un jeu avec nos langues.
Elle s’est retournée encore souplement et venant sur moi mes yeux voient sa chatte aux poils blancs s’approcher de ma bouche.
Je sens sa main sur mon sexe et sa bouche sur mon gland.
J’écarte ses grandes lèvres qui sont en rapport avec sa taille, je passe ma langue récupérant au passage ça cyprine bien différente de celle de Radia et mon sperme que j’y ai déposé pour son plus grand plaisir.
Elle me pompe, je la lèche, elle démarre un nouvel orgasme sous ma langue, elle boit elle aussi mon sperme.
Voilà je pourrais arrêter là mon histoire avec mamy, pardon Violette.
C’est une femme bandante que je fais jouir depuis deux mois.
La canicule est partie, reste plusieurs choses.
Les copains qui se sont bien comportés tout particulièrement Moustapha qui m’a aidé à installer une climatisation dans l’appartement.
N’ayant pas de revenu, c’est Violette qui a tout financé.
Lorsque nous discutons dans notre lit, la photo de Louis tant remplacé par une photo de nous tendrement enlacés.
Que je lui avoue avoir loupé mon bac m’obligeant à trouver un métier manuel, elle ne se résout pas à cet état de fait.
Réussirent mon bac et les écoles supérieures.
Le maire sera certainement réélu, mais seulement pour six ans car à la prochaine élection, il aura pour le remplacer un jeune loup de la politique qui fera son premier mandat.
Avec moi, il aura le futur député de notre circonscription qui n’aura pas de honte à s’afficher avec celle que ceux qui ne seront pas au courant prendront pour ma mère.
S’ils savaient chaque fois que je lui fais l’amour, elle jouit dans toutes les positions qu’elle connaissait ou que je lui ai apprise.
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