COLLECTION JEUNE – VIEUX. Dépucelé par la copine de ma mère. (1/1)

- Par l'auteur HDS CHRIS71 -
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Auteur homme.
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Récit libertin : COLLECTION JEUNE – VIEUX. Dépucelé par la copine de ma mère. (1/1) Histoire érotique Publiée sur HDS le 29-05-2021 dans la catégorie Entre-nous, hommes et femmes
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COLLECTION JEUNE – VIEUX. Dépucelé par la copine de ma mère. (1/1)
• Allo, Romain, c’est maman, peux-tu descendre chez Ève nos amis, nous y avons été mangés il y a un mois, elle a laissé ses clefs à l’intérieur de leur appartement.
• La chieuse elle a passé la soirée à parler de votre époque où les filles faisaient l’amour avec leur mec seulement la nuit de leurs noces.
• Elle est comme cela, mais tu sais, ton papa et ta maman font partie de ces jeunes qui ont attendu cette nuit magique où nous nous sommes découverts.
Papa, le soir de mes noces, papa, papa et seulement papa depuis ce jour.
Pourtant dieu sait, si j’avais voulu le tromper, j’aurais pu le faire depuis longtemps.
Tu verras un jour, tu trouveras la femme de ta vie et tu lui seras fidèle comme je le suis avec ton père.
• Maman, ta vie sexuelle je m’en fiche, garde ça pour toi, même si à 50 ans je sens dans ta voix des regrets.
• Prends le double de leur clef, elles sont dans le tiroir de la commode Louis XVI dans l’entrée, elle attend devant sa porte.
Je te laisse, de toute façon tu dois partir à tes cours, pour une fois tu descendras à pied.
• Bien maman j’y vais.
• Tu es un bon fils mon chéri, tu verras, on est toujours récompensé d’un bon geste.
Dans la commode Louis XVI de l’entrée, tu trouveras ses clefs.

Sa commode Louis XVI, encore une de leurs conversations lors du repas ou je me suis fait passablement chier.
Maman se vantait de leur appartement meublé ancien avec des meubles sortis des meilleurs antiquaires du faubourg saint Honoré et Ève leur goût pour le moderne, meubles designs aussi chers les uns que les autres.
Dans cette soirée les seuls moments intéressant ce fut quand étant assis à côté de cette conne, par moments lorsqu’elle prenait sa serviette posée sur ses genoux, je voyais la lisière de ses bas.
Au fil du repas chaque fois qu’elle la récupérait sa jupe remontait jusqu’à me montrer sa petite culotte couverte de dentelles.
J’ai fini par mettre ma serviette comme la sienne, pour cacher bas-ventre !
Je l’ai retiré très vite, j’avais l’impression d’avoir monté une tente alors que mon pantalon noir cachet plus mon érection.

• Attends avant de raccrocher, ou en es-tu dans ta prépa du bac ?
• Je travaille, soit sans crainte, mais je dois aller chez Didier, il me manque quelques documents, c’est lui qui les a.
Je rentrerais pour dîner, je sais que la ponctualité, c’est primordial pour toi comme pour papa.
Pour mon bac, j’aurais ma mention très bien, je force sur les maths qui sont un peu mon point faible avec un gros coefficient.
• Je te fais confiance mon fils adoré, tu sais que tu es l’espoir de ton père.
Il a une grosse situation, mais son regret, c’est d’avoir loupé les finances après l’E.N.A.

Je coupe, je prends les clefs et je descends.

• Merci Romain de venir me sauver, j’ai appelé ta mère qui m’a dit que ton père était parti au Touquet dans leur villa avant de partir en mer.
Bertrand de son côté est en conférence à son ministère comme tous les mercredis, inutile que je l’appelle.
Je m’excuse de t’avoir dérangé, elle m’a dit que tu étais en train de potasser ton bac.
Tu sais, j’ai toujours été première en math, si tu veux des renseignements ou que je t’aide, je suis à ta disposition.
Depuis que je me suis mariée avec Bertrand, il gagne assez bien sa vie et contrairement à ta maman qui travaille trois jours par semaine dans un bureau à mettre à jour des comptes, moi je finis par m’ennuyer.
Entre, je vais t’offrir une limonade.

Elle me prend par la main et m’entraîne dans leur salle à manger.

• J’ai fini d’être un bébé, j’ai eu dix-huit ans la semaine dernière, alors la limonade.
• C’est vrai, je m’excuse, je savais que tu les avais ces jours si.
Tu me diras ce que tu veux je te ferais un cadeau, 18 ans, âge de la majorité, ça se marque.
J’ai pu constater, l’autre soir, malgré ton empressement à la cacher, que tu bandais comme un homme.
Je vais être grivoise, j’ai déjà vu la verge de mon mari bandé dans son pantalon, tu sembles être un jeune homme précoce, ta femme aura bien de la chance.
• Bertrand en a-t-il une petite ?
• Petite, non, mais c’est qu’avec le temps et son diabète, il s’en sert de moins en moins et par moments comme toute femme, malgré mes 50 ans j’ai toujours des envies.
Mais assez parlé de mes soucis conjugaux, veux-tu une bière.
• Pas d’alcool, mais un café oui.
• Viens dans la cuisine, j’en profiterais pour ranger mes courses surtout les produits frais.

Je la suis admirant son côté pile après avoir pu admirer sa petite culotte.
Bizarrement la conne commence à avoir de l’intérêt, pour un puceau comme moi.
Eh oui, je suis puceau, pas par envie, mais parce qu’à ce jour, les petites chattes m’ont toujours échappé.

• Assieds-toi, je démarre la machine, c’est du café en grains, tu verras on dirait un café fait par un percolateur de bar.

Sur la table, il y a un sac en matière plastique compostable, je prends les fraises et ouvre le frigo, je les dépose près d’un paquet de salade.

• Merci de m’aider, mais j’allais le faire.
• Tu es déjà occupée à faire le café, ou va la plaquette de beurre.

Elle appuie sur le bouton pour faire deux expressos et s’approche.

• Là, dans la porte à côté de la plaquette entamée.
• Où ça ?
• Pousse-toi, et donne-la-moi, je vais la ranger.

Je m’écarte un peu, mais pas suffisamment et quand je lui donne le beurre, son sein touche mon bras.

• Décidément, après ma petite culotte, c’est mon sein que je t’offre, tu vas finir par croire que je t’allume.
• Si c’est le cas, je sais ce que je veux comme cadeau d’anniversaire.
• Romain, je suis mariée et fidèle.
• Mais frustrée.

Par le mouvement qu’elle fait pour se rapprocher et se pencher pour se saisir du beurre, nos bouches sont proches au point de se réunir.
Ses lèvres sont douces et nous échangeons un long baisé bien profond.
Mieux même, ses mains se placent de chaque côté de mon visage pour que notre baiser soit très intense avant de me quitter avec regret.

• Nous sommes fous, mon mari peut être de retour à tout moment, il part tôt le matin et rentre de bonne heure certains jours quand ses réunions sont terminées.
• Je te veux en cadeau, je te le rappelle, prends tes clefs et celles que ma mère garde, remontons chez moi je suis seul, maman rentre très tard le soir.

Je l’entraîne par la main, sur le guéridon de l’entrée, elle récupère les deux trousseaux de clefs et nous remontons presque en courant les quelques étages qui nous séparent de ma chambre.
Contrairement à elle, j’ai ma clef dans mon jean.
J’ouvre rapidement, elle en veut la salope, elle est vraiment en manque, dès que nous sommes dans ma chambre.
Elle détache mon jean et comme, lorsque je suis seul dans ma chambre je suis nu.
Lorsque maman m’a appelé j’ai juste mis mon pantalon et mon tee-shirt ainsi que mes tongs d’intérieurs.
Ma verge est nue, je suis prise en bouche bandant avant qu’elle me touche.
Sentant que mon sperme bouillonne dans mes testicules, je lui sors ma verge de son réceptacle bien chaud et agréable.
Je la couche sur mon lit, je place mes lèvres sur sa petite culotte surtout sur sa fente qui dégouline de liqueur.

• Continu Romain prend ton cadeau, ta verge dans ma bouche s’était un délice pour moi, ta langue sur ma chatte, c’est encore plus divin.
Regarde le signe du destin, c’est la même petite culotte en dentelles que tu as vues lors du repas et où elle t’a fait bander.
Enlève là, tu la garderas en souvenir, mais dépêche-toi, j’ai envie de ta belle queue, je dois être une salope qui s’ignorait.

Je me relève, je tire de chaque côté de sa culotte très fine et agréable au toucher.
Ça y est, je glisse lentement dans un sexe féminin.
Peu importe qu’il y a peu, je pensais qu’Ève était plus conne que conne, je savoure ce moment de ma vie qui sera gravé à jamais jusqu’à ma mort.
Peu importe les habitudes d’un temps passé ou garçon et fille se faisaient dépuceler lors de leur nuit de noce.
Moi ce sera Ève femme la cinquantaine qui sera ma première.
Entre garçon, nous parlons de notre dépucelage, Didier lui, ça fait deux ans qu’il l’a perdu.
C’était avec une petite pute marocaine qui recevait chez elle à Pigalle.
Il m’a donné son numéro, mais trempé ma bite dans la chatte où il avait trempé la sienne, j’ai préféré attendre.
Quand la belle salope, clamant sa fidélité et écartant ses cuisses à la première sollicitation d’un mâle fût moi et qui m’enserre avec ses jambes, je me retrouve dans un puits de velours.
Je serre les poings pour retarder mon éjaculation.
Bien m’en prennent, je la fais jouir et pour la première fois j’entends les cris de plaisir d’une femme en direct.
Ce genre de cri, j’en ai déjà entendu dans des pornos, dans des films classiques où le réalisateur avait tourné des scènes torrides.
Même maman avec papa les rares fois où je me suis rendu aux toilettes sans qu’ils m’entendent, ma chambre étant à l’autre bout de notre appartement et où ils faisaient leur devoir conjugal.
Je récupère, ma conquête dans mes bras, Didier et mon bac, on verra plus tard.
Je la laisse récupérer avant de remettre le couvert.
Nous avons encore du temps et j’espère bien la prendre en levrette, ça a toujours été la position que j’aime voir dans ces films.
J’entends du bruit, ce doit être la voisine du dessus qui fait du bruit comme à son habitude.
J’ai soif, je me détache de ma salope, je lui embrasse le cul avant de prendre la direction de la cuisine.
À quelques mètres, j’entends la voix de maman et très vite, je vois et j’entends ce qu’elle fait avec Bertrand le mari de ma maîtresse sur le plan de travail de notre cuisine.

• Baise-moi salop, vas-y fort, mon mari est au Touquet et Romain chez son copain.
• On se dépêche, Ève pourrait se demander pourquoi je rentre en retard.
Elle est un peu, même bien jalouse, mais toi, j’adore te baiser chaque fois que nous le pouvons.
• On est même fou, la dernière fois, c’était ici dans cette cuisine quand je découpais le gigot.
Ils étaient tous dans la salle, tu as relevé ma jupe, j’étais nue mouillant de désir.
J’ai failli me couper quand ta belle verge est entrée en moi.
Ève pérorait devant tout le monde, il faut toujours qu’elle ait la bouche ouverte.

Je sens une présence derrière moi.

• On parle de moi !

Catastrophe, ma maîtresse s’est levée, je sens ses seins dans mon dos et sa main venant prendre ma verge.
Je l’ai fait monter très haut et elle doit être un, peu dans du coton.

• Merde, Bertrand et toi salope, que fais-tu avec la bite de mon mari dans ta putain de chatte.
• Et toi, que fais-tu avec mon fils aussi nu que lui et ta main sur sa bite.

Moralité, je suis le seul qui s’en sort bien.
Mes parents ont divorcé.
Ève et Bertrand aussi.
Deux appartements,mais après quatre, grossissant le manque de logement.
De mon côté, j’ai eu mon bac avec mention et après m’être inscrit à math sup, j’ai emménagé avec Didier en collocation.
Nous sommes les rois des parties fines avec des gonzesses.
Merci à Ève de m’avoir dépucelé, malgré les conséquences.
Je vous quitte, en ce moment, la belle rousse de mon âge que je prends en levrette et qui pourrait être la femme de ma vie, ce fou royalement d’être vierge pour son mariage.
Moi aussi d’ailleurs.

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