COLLECTION JEUNE – VIEUX. Maîtresse de jumeaux pour mes 50 ans (1/1)
Récit érotique écrit par CHRIS71 [→ Accès à sa fiche auteur]
Auteur homme.
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Histoire érotique Publiée sur HDS le 08-05-2019 dans la catégorie Dans la zone rouge
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COLLECTION JEUNE – VIEUX. Maîtresse de jumeaux pour mes 50 ans (1/1)
50 ans ce jour, hélas ma vie a basculé quand mon mari m’a appris qu’il me quittait sans plus me donner d’explication il y a trois mois.
Je ne l’avais pas vu venir, j’ai toujours pensé qu’il était heureux avec moi !
Je sais que souvent les couples explosent car sexuellement l’un ou l’autre se laisse aller.
Chaque fois que Christian voulait faire l’amour, je savais écarter mes cuisses.
Je le sais, ces termes sont un peu osés, une femme mariée de bonne famille doit dire que j’acceptais qu’il me fasse l’amour dans la position classique du missionnaire, c’est du moins ce que j’ai toujours fait.
Bref, je me retrouve seule avec ma fille Émilie qui m’a fêté mon anniversaire en m’offrant une boîte de chocolats.
Je me fiche, voir me contrefiche de cadeaux importants, la simple présence et un gros baisé sur ma joue m’ont satisfaite.
Émilie vient de partir lorsque l’on sonne à la porte.
• Bonjour madame Luce, maman nous a dit que c’était votre anniversaire, nous sommes venues vous le souhaiter et vous offrir un cadeau.
• Merci les jeunes, Émilie vient de partir, c’est dommage, mais entrez, faite comme chez vous, je vais vous offrir une orangeade.
• Luce, on est majeur, si tu as une bière ça sera parfait, tu sais les orangeades ce n’est plus de notre âge.
Je vois la façon dont le ton semble changer, mais je suis amie avec Lucette leur maman, elle a subi le même problème de mari volage et je mets sous mon coude le tutoiement qu’ils ont envers moi.
Il passe près de moi, j’ai l’impression qu’il évalue la marchandise.
Dès qu’ils sont à l’intérieur je pense que j’aurais dû simplement les remercier.
Ils vont dans la salle plutôt le salon.
Impossible de les différencier, même Lucette avoue qu’elle n’y arrive pas.
L’un d’eux s’assoit dans mon fauteuil et l’autre dans celui de Christian.
Malgré son abandon, je conserve l’espoir qu’il le reviendra et je lui conserve !
Il y a bien longtemps qu’Émilie s’est fait installer une télé dans sa chambre, à tout bout de champ, je dois crier pour qu’elle baisse le son des chaînes de musique toujours à fond.
Le deuxième passe sa jambe sur l’accoudoir me montrant qu’il a un beau paquet ou qu’il y a mis un mouchoir pour faire croire qu’il en a une énorme.
Je vais chercher les bières.
Christian en buvait le soir, moi c’était plutôt un verre de whisky que j’appréciais.
Quand je reviens, le seul endroit ou je peux m’asseoir, c’est sur le canapé où il nous arrivait de faire l’amour quand notre fille était absente pour des soirées.
• Vous m’avez parlé de cadeau, vous êtes les mains libres.
Je leur dis ça pour meubler car une lourde atmosphère s'est installée entre nous.
Je suis assise sans provocation mes genoux bien serrer mes mains posées dessus.
• Notre cadeau c’est nous, nous sommes venues de faire l’amour, nous e trouvons bandante dans ta petite robe à fleurs.
Je prends conscience du danger qui me guette surtout que celui sagement assis se lève et vient s’asseoir à mon côté.
Chez moi quand je suis seule, j’aime être nue, quand Émilie est là je passe cette robe.
Elle vient de partir je suis sans aucun sous-vêtement.
• Frérot regarde, elle rougit mais reste stoïque, je crois qu’elle a compris que nous étions là pour elle.
Luce écarte tes cuisses.
• Tu vas trop vite frangin, tu sais que mon plaisir c'est leur poitrine, regarde sa robe me fait voir sa vallée profonde, je vais me régaler.
Une main s’avance entrant dans mon décolleté, comme je l’ai dit j’aime être nue et cette robe les mets en valeur.
Je devrais crier au viol, mais les jumeaux font sa si simplement que je perds pied.
• Elle se balade les seins nus, regardent-les, de vrais pamplemousses, je regarderais ces fruits d’un autre œil la prochaine fois au marché.
Il me caresse le sein et moi, j’apprécie.
Je devrais dire que je me rebelle, mais j’apprécie.
Christian mes seins ça devait être pour faire joli quand il me sortait ce qui était rare alors que lui allait au stade tous les dimanches supporter notre équipe de foot.
J’ai su depuis que la salope avec laquelle il est maintenant, tenait la buvette.
Elle a fini par lui tenir la queue.
Le sein qu’il me caresse commence à réagir, j’ai de grosses fraises en leur bout et celle qu’il caresse bande.
Sa main progresse vers l’autre, le temps qu’elle l’atteigne j’ai un sentiment d’abandon vite éteint car il lui fait subir le même traitement.
• Luce dit nous, on a bien fait de venir, reconnais que nous te faisons un joli cadeau !
• Oui !
J’ai bien entendu ma bouche à dire « oui » avec des trémolos.
Il me demande de m’abandonner et je le fais.
• Écarte tes cuisses, ma belle, je veux voir ta chatte.
Toute seule, sans que mon cerveau commande quoi que ce soit, mes jambes s’écartent, je m’offre comme une salope saurait le faire.
Serais-ce possible que la queue de celui qui m’a abandonné me manque autant que ça !
Dans un léger brouillard, je vois le deuxième frère se lever s’asseoir de l’autre côté lui aussi et passer ma main sous ma jupe.
Comme j’étais assise et le mouvement de mes jambes la fait remonter plus que de façon raisonnable.
• J’avais bien vu, elle nous attendait, elle ruisselle, elle va être obligée de nettoyer son canapé.
Pourquoi n’ajoute-t-il pas « avant que sa fille ne revienne » ?
Son évocation m’aurait aidé à reprendre la situation en main, mais présentement j’aime qu’elle dégénère.
Mes seins sont abandonnés, un jean est ouvert, lui aussi est sans protection, la bite que j’ai devant mes yeux de plus en plus troubles est bien réelle, aucun mouchoir pour la gonfler.
Si je compare avec celle de Christian, aussi épaisse et plus longue.
• Suce-le !
• Je n’ai jamais sucé !
• Et voilà, on y arrive, toute une éducation à refaire, crois-tu que Sybile t’as enlevé ton mec, dans le village tout un chacun savait que le volet de la buvette rabaissé elle lui faisait de magnifiques sucettes.
• Dit-lui tout frangin, c’était la reine des pipes cette gonzesse, tu vas prendre ta revanche bien vite, elle va le cocufier comme il t’a cocufié.
Tu es encore bien mise Luce, si tu veux éviter de finir vieille fille quand ta fille t’aura quitté, on va faire ton éducation.
C’est comme ça que j’ai pris ma première verge en main et que ma bouche un peu hésitante s’est approchée de ce gland que l’on me propose.
La main sur ma chatte me quitte là encore ayant tendance à me frustrer.
C’est lui aussi debout qu’il me présente la jumelle de la première et que je les suce l’une après l’autre avec une parfaite harmonie dans leur développement.
Le premier, celui qui s’est occupé de mes seins pendant que je pompe détache les boutons laissant apparaitre mes deux seins qui aiment se retrouver libres.
Une bite au fond de ma gorge l’autre vient caresser la pointe, il n’a jamais autant bandé lui aussi.
Mes mains viennent prendre ces verges et en plus de les sucer, je les malaxe, j’arrive à les masturber en même temps, j’ignorais que j’étais ambidextre.
• Arrête ma poule, je vais décharger, vient on va te baiser, allonge-toi.
Je suis une salope, je suis une salope, j’ai envie de le crier car une nouvelle fois, je m’exécute.
L’un vient à genoux à hauteur de ma tête, l’autre aussi mais face à ma chatte.
Alors que la première bite replonge dans ma bouche, j’ai le temps de voir la langue du second entrer en contact avec mon clitoris.
Ma tête se redresse, je sens la bite descendre dans ma gorge inexorablement jusqu’à ce que je sente ses couilles taper ma bouche.
Dans le même temps, la langue du frère remonte tout le long de ma chatte s’attardant sur mon clitoris que je dois reconnaître lui aussi est vierge de tout lapement.
Quand je disais qu’avec Christian, l’amour s’était une petite branlette et une verge en moi les cuisses écartées que je refermais sur son dos trouvant que par ce geste, j’étais une femme qui osait.
• Bien fille, tu apprends vite, regarde, elle me suce en gorge profonde.
Ma chatte est abandonnée.
Une main sur mon sein tourne ma fraise, je manque d’émasculer celle qui est au fond de ma gorge, mes dents se refermant sur cette bite.
Elle décharge me remplissant la bouche de sperme.
Il est tellement enfoncé que lorsqu'il décharge, je sens que ça remonte dans mes trous de nez.
J’ai simplement le temps de sentir la verge libre défoncer mon vagin, je suis en feu.
Lui aussi me remplit la chatte, je crois que j’ai eu un orgasme chose très rare pour moi.
Je reprends pied, je voudrais crier au viol, mais quand je reprends la liberté de ma bouche et que le sperme pas si désagréable que cela à quitter mon nez, la seule chose qui me vient à l’esprit est « merci ».
Les jumeaux se lèvent se rhabille.
• J’espère que tu as aimé notre cadeau, encore bon anniversaire, on peut revenir, on a beaucoup de choses à t’apprendre.
• Oui, merci.
Il est impossible que cette bouche ayant du sperme sur son côté ait pu dire ces mots, mais je sais que je cherche un motif pour croire que je suis toujours une femme respectable bien que je vienne de me comporter comme une belle salope le jour de mes 50 ans.
Quand ils sont partis, j’ai soif, je remets ma robe, je vais dans ma cuisine, je prends la bouteille de lait ouverte et regardant par la fenêtre, je vois les jumeaux parler avec Émilie sortant de sa voiture.
Mais ça c’est une autre histoire.
Je ne l’avais pas vu venir, j’ai toujours pensé qu’il était heureux avec moi !
Je sais que souvent les couples explosent car sexuellement l’un ou l’autre se laisse aller.
Chaque fois que Christian voulait faire l’amour, je savais écarter mes cuisses.
Je le sais, ces termes sont un peu osés, une femme mariée de bonne famille doit dire que j’acceptais qu’il me fasse l’amour dans la position classique du missionnaire, c’est du moins ce que j’ai toujours fait.
Bref, je me retrouve seule avec ma fille Émilie qui m’a fêté mon anniversaire en m’offrant une boîte de chocolats.
Je me fiche, voir me contrefiche de cadeaux importants, la simple présence et un gros baisé sur ma joue m’ont satisfaite.
Émilie vient de partir lorsque l’on sonne à la porte.
• Bonjour madame Luce, maman nous a dit que c’était votre anniversaire, nous sommes venues vous le souhaiter et vous offrir un cadeau.
• Merci les jeunes, Émilie vient de partir, c’est dommage, mais entrez, faite comme chez vous, je vais vous offrir une orangeade.
• Luce, on est majeur, si tu as une bière ça sera parfait, tu sais les orangeades ce n’est plus de notre âge.
Je vois la façon dont le ton semble changer, mais je suis amie avec Lucette leur maman, elle a subi le même problème de mari volage et je mets sous mon coude le tutoiement qu’ils ont envers moi.
Il passe près de moi, j’ai l’impression qu’il évalue la marchandise.
Dès qu’ils sont à l’intérieur je pense que j’aurais dû simplement les remercier.
Ils vont dans la salle plutôt le salon.
Impossible de les différencier, même Lucette avoue qu’elle n’y arrive pas.
L’un d’eux s’assoit dans mon fauteuil et l’autre dans celui de Christian.
Malgré son abandon, je conserve l’espoir qu’il le reviendra et je lui conserve !
Il y a bien longtemps qu’Émilie s’est fait installer une télé dans sa chambre, à tout bout de champ, je dois crier pour qu’elle baisse le son des chaînes de musique toujours à fond.
Le deuxième passe sa jambe sur l’accoudoir me montrant qu’il a un beau paquet ou qu’il y a mis un mouchoir pour faire croire qu’il en a une énorme.
Je vais chercher les bières.
Christian en buvait le soir, moi c’était plutôt un verre de whisky que j’appréciais.
Quand je reviens, le seul endroit ou je peux m’asseoir, c’est sur le canapé où il nous arrivait de faire l’amour quand notre fille était absente pour des soirées.
• Vous m’avez parlé de cadeau, vous êtes les mains libres.
Je leur dis ça pour meubler car une lourde atmosphère s'est installée entre nous.
Je suis assise sans provocation mes genoux bien serrer mes mains posées dessus.
• Notre cadeau c’est nous, nous sommes venues de faire l’amour, nous e trouvons bandante dans ta petite robe à fleurs.
Je prends conscience du danger qui me guette surtout que celui sagement assis se lève et vient s’asseoir à mon côté.
Chez moi quand je suis seule, j’aime être nue, quand Émilie est là je passe cette robe.
Elle vient de partir je suis sans aucun sous-vêtement.
• Frérot regarde, elle rougit mais reste stoïque, je crois qu’elle a compris que nous étions là pour elle.
Luce écarte tes cuisses.
• Tu vas trop vite frangin, tu sais que mon plaisir c'est leur poitrine, regarde sa robe me fait voir sa vallée profonde, je vais me régaler.
Une main s’avance entrant dans mon décolleté, comme je l’ai dit j’aime être nue et cette robe les mets en valeur.
Je devrais crier au viol, mais les jumeaux font sa si simplement que je perds pied.
• Elle se balade les seins nus, regardent-les, de vrais pamplemousses, je regarderais ces fruits d’un autre œil la prochaine fois au marché.
Il me caresse le sein et moi, j’apprécie.
Je devrais dire que je me rebelle, mais j’apprécie.
Christian mes seins ça devait être pour faire joli quand il me sortait ce qui était rare alors que lui allait au stade tous les dimanches supporter notre équipe de foot.
J’ai su depuis que la salope avec laquelle il est maintenant, tenait la buvette.
Elle a fini par lui tenir la queue.
Le sein qu’il me caresse commence à réagir, j’ai de grosses fraises en leur bout et celle qu’il caresse bande.
Sa main progresse vers l’autre, le temps qu’elle l’atteigne j’ai un sentiment d’abandon vite éteint car il lui fait subir le même traitement.
• Luce dit nous, on a bien fait de venir, reconnais que nous te faisons un joli cadeau !
• Oui !
J’ai bien entendu ma bouche à dire « oui » avec des trémolos.
Il me demande de m’abandonner et je le fais.
• Écarte tes cuisses, ma belle, je veux voir ta chatte.
Toute seule, sans que mon cerveau commande quoi que ce soit, mes jambes s’écartent, je m’offre comme une salope saurait le faire.
Serais-ce possible que la queue de celui qui m’a abandonné me manque autant que ça !
Dans un léger brouillard, je vois le deuxième frère se lever s’asseoir de l’autre côté lui aussi et passer ma main sous ma jupe.
Comme j’étais assise et le mouvement de mes jambes la fait remonter plus que de façon raisonnable.
• J’avais bien vu, elle nous attendait, elle ruisselle, elle va être obligée de nettoyer son canapé.
Pourquoi n’ajoute-t-il pas « avant que sa fille ne revienne » ?
Son évocation m’aurait aidé à reprendre la situation en main, mais présentement j’aime qu’elle dégénère.
Mes seins sont abandonnés, un jean est ouvert, lui aussi est sans protection, la bite que j’ai devant mes yeux de plus en plus troubles est bien réelle, aucun mouchoir pour la gonfler.
Si je compare avec celle de Christian, aussi épaisse et plus longue.
• Suce-le !
• Je n’ai jamais sucé !
• Et voilà, on y arrive, toute une éducation à refaire, crois-tu que Sybile t’as enlevé ton mec, dans le village tout un chacun savait que le volet de la buvette rabaissé elle lui faisait de magnifiques sucettes.
• Dit-lui tout frangin, c’était la reine des pipes cette gonzesse, tu vas prendre ta revanche bien vite, elle va le cocufier comme il t’a cocufié.
Tu es encore bien mise Luce, si tu veux éviter de finir vieille fille quand ta fille t’aura quitté, on va faire ton éducation.
C’est comme ça que j’ai pris ma première verge en main et que ma bouche un peu hésitante s’est approchée de ce gland que l’on me propose.
La main sur ma chatte me quitte là encore ayant tendance à me frustrer.
C’est lui aussi debout qu’il me présente la jumelle de la première et que je les suce l’une après l’autre avec une parfaite harmonie dans leur développement.
Le premier, celui qui s’est occupé de mes seins pendant que je pompe détache les boutons laissant apparaitre mes deux seins qui aiment se retrouver libres.
Une bite au fond de ma gorge l’autre vient caresser la pointe, il n’a jamais autant bandé lui aussi.
Mes mains viennent prendre ces verges et en plus de les sucer, je les malaxe, j’arrive à les masturber en même temps, j’ignorais que j’étais ambidextre.
• Arrête ma poule, je vais décharger, vient on va te baiser, allonge-toi.
Je suis une salope, je suis une salope, j’ai envie de le crier car une nouvelle fois, je m’exécute.
L’un vient à genoux à hauteur de ma tête, l’autre aussi mais face à ma chatte.
Alors que la première bite replonge dans ma bouche, j’ai le temps de voir la langue du second entrer en contact avec mon clitoris.
Ma tête se redresse, je sens la bite descendre dans ma gorge inexorablement jusqu’à ce que je sente ses couilles taper ma bouche.
Dans le même temps, la langue du frère remonte tout le long de ma chatte s’attardant sur mon clitoris que je dois reconnaître lui aussi est vierge de tout lapement.
Quand je disais qu’avec Christian, l’amour s’était une petite branlette et une verge en moi les cuisses écartées que je refermais sur son dos trouvant que par ce geste, j’étais une femme qui osait.
• Bien fille, tu apprends vite, regarde, elle me suce en gorge profonde.
Ma chatte est abandonnée.
Une main sur mon sein tourne ma fraise, je manque d’émasculer celle qui est au fond de ma gorge, mes dents se refermant sur cette bite.
Elle décharge me remplissant la bouche de sperme.
Il est tellement enfoncé que lorsqu'il décharge, je sens que ça remonte dans mes trous de nez.
J’ai simplement le temps de sentir la verge libre défoncer mon vagin, je suis en feu.
Lui aussi me remplit la chatte, je crois que j’ai eu un orgasme chose très rare pour moi.
Je reprends pied, je voudrais crier au viol, mais quand je reprends la liberté de ma bouche et que le sperme pas si désagréable que cela à quitter mon nez, la seule chose qui me vient à l’esprit est « merci ».
Les jumeaux se lèvent se rhabille.
• J’espère que tu as aimé notre cadeau, encore bon anniversaire, on peut revenir, on a beaucoup de choses à t’apprendre.
• Oui, merci.
Il est impossible que cette bouche ayant du sperme sur son côté ait pu dire ces mots, mais je sais que je cherche un motif pour croire que je suis toujours une femme respectable bien que je vienne de me comporter comme une belle salope le jour de mes 50 ans.
Quand ils sont partis, j’ai soif, je remets ma robe, je vais dans ma cuisine, je prends la bouteille de lait ouverte et regardant par la fenêtre, je vois les jumeaux parler avec Émilie sortant de sa voiture.
Mais ça c’est une autre histoire.
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